991 resultados para Inscriptions, Phoenician.


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

The excavations of the Dericik Early Christian Basilicas revealed the importance of the surrounding area of Bursa for understanding Early Christianity between the Late Roman and Early Byzantine periods. In the salvage excavations of 2001, the basic plan of the basilica (nave, narthex, presbyterium and apse) was revealed. The most important artefacts uncovered in that year were the mosaic pavements with geometric and plant ornaments and a grave located in the North Eastern corner of the church. The mosaic of the basilica was laid with the opus tessellatum technique on a thick mortar foundation with white, red, yellow, olive green and dark blue tesserae. A refrigerium scene is represented in the middle of the narthex mosaic. The mosaic in the centre of the nave is divided into parts, one of which with figures of birds inside octagons. In the transitional area between the nave and apse, three heavily damaged inscriptions have been conserved each of three or four lines, one of them indicating the wish of Epituchanos, diakôn, a church member.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Dissertação de mestrado em Arqueologia

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Les monuments des jeux visibles dans toutes les provinces de l'Empire romain impressionnent touj us le visiteur. Sur la rive sud de la Méditerranée, honnis les sites de la Tunisie comme Carthage on Dougga facilement accessibles au public, les villes romaines d'Algérie on du Maroc sont souvent moïas bien connues.Dans le cadre de notre thèse de doctorat, nous avons étudié chaque édifice de spectacle (théâtre, amphithéâtre, cirque et stade) connu dans les Manrétanïes, ainsi que les spectacles et les cérémonies qui s'y déroulaient. L'implication des jeux dans l'adoption des moeurs romaines par la population était essentielle. Noos avons aussi recensé toutes les inscriptions et les objets (lampes à huile, statuettes, mosaïques) liés aux divertissements retrouvés dans ces provinces. La majeure partie de notre travail a consisté en une analyse des données publiées sur les monuments et les spectacles romains dans les Manrétanies. Nous les avons mises en regard de nos recherches sur le terrain et nous avons proposé de nouvelles interprétations lorsque cela était possible.Nous avons choisi de limiter notre travail aux Maurétanies romaines, car il n'existe aucune étude d'ensemble concernant les spectacles pour ces provinces. Elles formaient une entité particulière, comme royaume maurétanien avant la colonisation romaine, puis réunies à plusieurs reprises sous l'autorité d'un seul gouverneur sous l'Empire. Se concentrer sur un territoire permet de mieux saisir dans sa totalité le phénomène des spectacles et surtout les particularités architecturales. De plus, les Mauiétanies césarienne et tingitane posent souvent un problème d'intégration à l'Empire. L'implantation sur ces territoires s'est peu développée en profondeur, les légions protégeant une longue bande de terre située entre le limes et la Méditerranée qu'il n'était pas toujours simple de contrôler. Cependant les cités pré-romaines ont largement adopté les us et coutumes du nouveau pouvoir. Les raines, l'épigraphie et les fouilles archéologiques ne laissent aucun doute. Les éléments liés au divertissements et (dus particulièrement aux spectacles symbolisent le rayonnement culturel romain.À la fin de cette étude, nous avons accordé une place particulière aux monuments des jeux d'Afrique pour comparer et mieux comprendre les spécificités des édifices mauiétaniens à l'échelle de ce continent. La réflexion a été poursuivie à l'échelle de l'Empire romain, certaines caractéristiques mauritaniennes se retrouvant à des milliers de kilomètres. Nous avons essayé d'appréhender quelles relations les Maurétanies entretenaient avec le reste de l'Empire par le biais des spectacles et comment ces jeux ont fini par disparaître du territoire maurétanien.Cet ouvrage est divisé en deux parties : un volume de texte et un volume d'annexes. Dans le volume de texte, le premier chapitre est l'introduction générale. Nous détaillons les raisons de notre étude, les problématiques de cette recherche et les méthodes de travail utilisées. Le chapitre deux présente les cadres géographique, historique et sociologique. Le chapitre trois propose un lexique architectural savant à décrire chaque partie des monuments. Π retrace aussi l'origine et l'évolution des jeux romains et présente la répartition du public ainsi que le prix des bâtiments et des spectacles. Le répertoire des sites et des monuments des jeux maurétaniens constitue le chapitre quatre. 11 est subdivisé par provinces (Maurétanie césarienne, Maurétanie sit îenne et Maurétanie tîngitane), puisque la construction des monuments est liée à l'histoire provinciale. Les mosaïques et les objets reprenant les thèmes ludiques sont présentés selon loir lieu de découverte. Dans le chapitre dnq, nous étudions l'évolution historique et fonctionnelle des édifices de spectacle. Nous essayons de comprendre quels sont leurs sources ou leurs modèles architecturaux et comment ils ont influencé les populations locales. À la suite de la conclusion générale nous avons placé la liste des abréviations et la bibliographie.Au début du volume d'annexes se trouvent plusieurs catalogues : ceux des chapiteaux du théâtre et du cirque de Caesarea et ceux des lampes romaines à thèmes ludiques d'Algérie et du Maroc. Ensuite nous avons placé la restitution de plusieurs inscriptions, toutes les figures mentionnées dans le texte du premier volume, puis les listes des tableaux et des figures.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Investigación producida a partir de una estancia en la Università degli studi di Sassari entre julio y diciembre de 2007. Se han investigado las fortificaciones fenicio-púnicas de la isla de Cerdeña. También se ha realizado labor de investigación a nivel bibliográfico en diferentes bibliotecas de Cerdeña. Los resultados obtenidos han mostrado una imagen totalmente diferente sobre las fortificaciones fenicio-púnicas de Cerdeña. La gran mayoría de los vestigios estudiados han resultado ser de época romana o pertenecer a estructuras arquitectónicas que no tiene una función defensiva. Estos resultados hacen que cambie totalmente la visión sobre la presencia militar cartaginesas en la isla, en especial sobre la conquista y el control de la misma.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

(Résumé de l'ouvrage) Cet ouvrage réunit un choix de contributions réalisées dans le cadre de rencontres et de colloques organisés entre 2002 et 2006 par le Séminaire d'épigraphie grecque et latine de l'Institut d'Archéologie et des Sciences de l'Antiquité de l'Université de Lausanne. En outre, un avant-propos offre la synthèse des résultats présentés dans ce volume. La participation des femmes à la vie publique est en effet l'un des domaines de recherches prioritaires du Séminaire d'épigraphie, car les milliers d'inscriptions antiques découvertes à ce jour offrent sur le sujet une foule de renseignements encore insuffisamment exploités par les historiens. L'originalité de l'ouvrage tient d'une part à l'analyse des différentes voies offertes aux femmes pour se tailler un rôle public, des plus traditionnelles comme les postes religieux, aux plus inhabituelles comme la présence de princesses et de reines sur les champs de bataille ou les « campagnes publicitaires » orchestrées pour certaines épouses de dirigeants politiques. Elle tient d'autre part à la volonté de confronter les activités publiques féminines en différents lieux du bassin méditerranéen et dans des civilisations antiques diverses : Egypte pharaonique, Grèce, royaumes hellénistiques d'Orient, Italie ou provinces occidentales de l'Empire romain.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

(Résumé de l'ouvrage) Cinq ans après sa première édition, cette désormais incontournable Introduction à l'Ancien Testament reparaît dans une nouvelle version entièrement révisée et substantiellement augmentée. Organisée sur le principe d'une présentationde chaque livre de l'Ancien Testament (plan, contenu, milieux producteurs, enjeux et orientations bibliographiques), ce manuel accueille aussi des contributions plus générales qui se voient ici largement complétées par des textes sur l'histoire d'Israël, les lois du Pentateuque, la littérature sapientiale, les Apocalypses juives et l'Ancien Testament des Eglises d'Orient. Avec cette nouvelle édition, la perspective initiale s'élargit vers une introduction plus large à l'Ancien Testament, au-delà de ses inscriptions protestantes et catholiques.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

(Résumé de l'ouvrage) Cinq ans après sa première édition, cette désormais incontournable Introduction à l'Ancien Testament reparaît dans une nouvelle version entièrement révisée et substantiellement augmentée. Organisée sur le principe d'une présentationde chaque livre de l'Ancien Testament (plan, contenu, milieux producteurs, enjeux et orientations bibliographiques), ce manuel accueille aussi des contributions plus générales qui se voient ici largement complétées par des textes sur l'histoire d'Israël, les lois du Pentateuque, la littérature sapientiale, les Apocalypses juives et l'Ancien Testament des Eglises d'Orient. Avec cette nouvelle édition, la perspective initiale s'élargit vers une introduction plus large à l'Ancien Testament, au-delà de ses inscriptions protestantes et catholiques.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Poème de Tobie (1). — Mag. Alexandri Laus sapientiae divinae {40). — Pièces de vers composées par Jo. Prevost (89), Fr, Caulier (90), Lud. Hurillon (91, 93), J. Mentel (94), N. Leon. Bursarius (95), J. Fr. Mondolot. (96), Fr. Boutard (99), Am. du Mas (106), Car. Thiery (112), Ben. Thibaud (113), Fr. de Clermont Thoury (139), Pet, Neveletus. Doschius (169), Car. Fr. Thiery (184), Seb. Tripier (276), Franc. Linant (323), Jos. Rosset (351), Rob. Wallery (363), Ren. Pr. Tassin (371), Jo. Henr. Wentsel (373). — Extr. du ms. 553 du Vatican (104). — Lettre des religieux de Tiron à Jean Casimir, roi de Pologne (178). — Épitaphes et inscriptions modernes, plusieurs composées par Mabillon. — Deux vieilles épitaphes de l'église de: Lagny (262). Inscription antique de Vicence (311). — Distiques de l'abbé Serlon (355). Épitaphe. de Ratherius (356). — Qq. pièces en français et en italien.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Présentation du plan La présente recherche se divise en cinq chapitres, plus l'introduction et la conclusion. Chaque chapitre s'ouvre par quelques mots de présentation dévoilant son contenu et expliquant son objectif, ainsi que la méthode adoptée. C'est pourquoi je ne ferai ici que d'exposer en termes généraux la façon dont s'articule le travail dans son ensemble. Les chapitres I et II sont consacrés à l'étude du contexte historique, juridique et social dans lequel s'exerce le maintien de l'ordre dans les provinces romaines d'Asie Mineure à l'époque impériale. Ils permettront de saisir quelles sont les spécificités structurelles des provinces anatoliennes dans le domaine de la sécurité publique, ainsi que d'affiner notre définition du maintien de l'ordre. Le chapitre I donnera un aperçu historique de la pénétration romaine en Anatolie depuis la période républicaine en insistant sur les changements que cela a entraînés pour cette région dans le domaine de la sécurité publique. Quant au chapitre II, il dévoilera les principaux facteurs sociaux venant ordinairement menacer l'ordre public dans les provinces anatoliennes. Ces deux premiers chapitres serviront de préambule à l'analyse proprement dite des institutions chargées de veiller à la sécurité publique en Anatolie sous le Principat, qui sera proposée dans les chapitres suivants. Les chapitres III et IV, qui sont les plus volumineux, forment le coeur de l'étude. J'y examine en parallèle les institutions municipales et les structures impériales et militaires actives dans le maintien de l'ordre présentes en Asie Mineure. Ces deux chapitres sont les plus techniques dans ce sens que chaque institution répertoriée y est décrite et examinée en détail, principalement sur la base de sources épigraphiques et juridiques. Le but est de déterminer l'origine, la diffusion, les compétences et l'utilité de chacune des structures retenues. Le chapitre V, pour sa part, est réservé à l'étude des conditions nécessaires à l'intervention directe de l'armée romaine dans les provinces anatoliennes. J'y observe aussi plusieurs cas limites où l'action des cités et celle de l'armée romaine s'entremêlent. Ce sera l'occasion de s'interroger sur l'existence d'une éventuelle répartition des tâches entre les cités et les autorités impériales en matière d'ordre public dans les provinces. Les chapitres II à V se terminent, en outre, par un bilan où les principales idées qui y ont été développées sont reprises sous la forme d'une conclusion intermédiaire. Dans la conclusion générale, j'analyse l'interaction des diverses institutions que j'aurai étudiées, dans l'intention de porter un jugement global sur la manière dont la sécurité publique est gérée dans les provinces d'Asie Mineure durant les trois premiers siècles de notre ère. Je chercherai également à savoir si la situation que j'aurai reconnue pour le cas des provinces anatoliennes est la règle pour le reste de l'empire ou si, au contraire, il s'agit d'une exception. J'en tirerai des observations générales sur le mode d'organisation et de gestion de l'empire sous le Principat, comme je me suis proposé de le faire. On trouvera à la fin du volume trois appendices historiques rassemblant de courtes digressions qui viennent s'adjoindre au corps central de l'étude; des appendices épigraphiques énumérant sous forme de listes un grand nombre des inscriptions utiles à l'élaboration de cette recherche; une bibliographie générale avec mention des abréviations employées; des illustrations et cartes; enfin, des index. Je terminerai par quelques avertissements d'ordre pratique nécessaires à la bonne consultation de ce livre. Pour ce qui est des renvois internes (lorsque je renvoie à un chapitre ou à une section de chapitre en général, et non à des pages précises), les numéros des chapitres sont exprimés en chiffres romains, tandis que les numéros des sous-chapitres sont exprimés en chiffres arabes: «Voir chap. V. 2.» signifie donc «voir section 2 du chapitre V». En ce qui concerne les inscriptions contenues dans les appendices épigraphiques, elles sont citées sous la forme d'une lettre suivie d'un numéro, par exemple «B 24»: la lettre renvoie aux listes des appendices épigraphiques (liste B dans cet exemple), le chiffre arabe au numéro de l'inscription dans la liste en question (inscription n° 24 de la liste B en l'occurrence). Quant aux notes de bas de page, la numérotation reprend au début de chaque chapitre. Sauf mention contraire, les dates s'entendent après Jésus-Christ et les traductions sont les miennes. Les abréviations utilisées pour les références aux sources primaires (sources littéraires, juridiques, épigraphiques, papyrologiques, numismatiques) et à la littérature secondaire sont développées dans la bibliographie. Enfin, je voudrais préciser que mon travail ne se veut pas une étude de géographie historique. Je ne me suis donc pas servi, en général, de cartes archéologiques, mais j'ai recouru le plus souvent, pour la localisation des villes et des régions que je mentionne, aux cartes du nouvel atlas Barrington, qui sont très commodes et tout à fait satisfaisantes pour une étude historique d'ensemble comme la mienne.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

The electroencephalogram (EEG), invented by the German psychiatrist Hans Berger in 1924, reached the neurophysiological laboratories and several clinical contexts in the mid-30s. In Switzerland, some skeptical physiologists and enthusiastic psychiatrists paved the way for its integration, but it was only after the Second World War that an emerging field of epileptology became part of a process of technological and epistemological innovation which raised great expectations and produced a large body of research at the crossroads of physiology, neurology and psychiatry. An informal network was created, characterized by clinical, scientific and local institutional cultures. The EEG also made it possible to detect some clinical entities, not however without transforming them, as in the case of epilepsy. Some attempts to probe psychiatric diseases and subjects with the EEG are described as negotiated relationships between clinical observations, subjective manifestations or symptoms and inscriptions of a spontaneous or elicited electrical brain activity. These attempts shape a clinical and experimental cerebral subject, which is analyzed in this article from the point of view of its technical aspects and the concrete procedures on which it depends.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

El text que es presenta a continuació: ‘Aquí s'esculpeixen inscripcions’. Aproximació al Corpus epigràfic de la ciutat de Girona, forma part d'un projecte d'investigació i anàlisi molt més ampli del que aquí es pot mostrar. Aquest té com a objectiu principal l'estudi dels signes i símbols escrits de la ciutat de Girona. És a dir, l'estudi de l'ús públic que es fa de l'escriptura, entenent l'escriptura com una eina que fa perdurable un determinat missatge i que pretén arribar a un gran nombre de persones

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

On remarque : « Ex Glossario pervetusto » (f. 3) ; — « Ex chartis ecclesiae de Caritate » (f. 10) ; — « Ex veteri membrana et ex antiquo circulo depicto propè altare Maurimonasterii in Alsatia » (f. 10) ; — « Ex chartis R. P. Stephani Voyrin » (f. 11) ; — « Episcopi Metenses, ex ms. codice Sancti Arnulfi Metensis » (f. 12 v°) ; — Lettre de Hugues Métel à Gerland (f. 14) ; — « Ex variis catalogis sanctorum » (f. 14) ; — « Ex archivio ecclesiae Beatae Magdalenae [Bisuntinae] » (f. 17) ; — « Ex archivio Sancti Vincentii Bisont[ini] » (f. 18) ; — « Ex archivio monasterii Bellaevallis » [Bisuntinae dioecesis] (f. 20) ; — « Ex veteri necrologio Sancti Stephani [Bisuntini], quod est ad margines Martyrologii Bedae perantiqui, ad ejusdem ecclesiae usum accommodati » [cf. ms. de Besançon 712] (f. 23 v°) ; — « Inter martyrologium et regulam, seu librum primum concilii Aquisgranensis, habetur haec sententia absolutionis » (f. 25) ; — « Ante veterem Ordinem Romanum, qui est Liber Pontificalis, habentur sequentes formulae praestandae obedientiae archiepiscopis et ecclesiae Bisuntinae » (f. 25 v°) ; — « Alia ex archivo archiepiscopi [Bisuntini] » (f. 26 v°) ; — « Ex archivio Balernensi » (f. 27 v°) ; — « Ex variis sanctorum historiis manuscriptis » (f. 30) ; — « Extraits concernant Tournus » (f. 34 v°), — notamment : « Ex codice manuscripto Trenorchiensi, membraneo, quod vocare possis Registrum Trenorchiense, incipiens ab anno 1222 et desinens in 1296 ; inscribitur : Feoda ecclesiae Trenorchiensis » (f. 37) ; — « Ex notis R. P. Voyrini » [cf. supra, f. 11] (f. 49) ; — « Inscriptio vetus Luxoviensis » (f. 50 v°) ; — Notes historiques, concernant principalement des abbayes comtoises (f. 51) ; — « Scriptores rerum Burgundicarum » (f. 52) ; — « Ex parvo chartulari Sancti Benigni [Divionensis] » (f. 52 v°) ; — « Ex libro anniversariorum Sancti Benigni [Divionensis] », 1579-1629 (f. 52 v°) ; — « Ex chartulari Sancti Symphoriani Augustodunensis » (f. 53) ; — « Ex chartulari Sancti Marcelli Cabilonensis » (f. 53 v°) ; — « Ex chartulari S. Sequani » [Lingonensis dioecesis] (f. 54 v°) ; — « Ex chartulari Sanctae Capellae Divionensis » (f. 55) ; — « Ex chartulari cathedralis Augustodunensis » (f. 55 v°) ; — « Ex tomo priore chartularis Sancti Stephani Divionensis » (f. 56) ; — « Ex chartulari Cluniacensi » (f. 57) ; — « Ex apographo chartularis Matisconensis, cujus autographum vetus dicebatur Liber catenatus » (f. 57 v°) ; — « Ex chartulari Patriciaci, qui est prioratus dependens a Floriacensi abbatia, situs in comitatu Kadrellensi, dioecesi Augustodunensi » (f. 58 v°) ; — Extraits concernant Autun et les comtes d'Autun (f. 60 v°) ; — « Ex autographis Sancti Benigni Divionensis » (f. 61) ; — « Iterum ex chartulari Sancti Stephani Divionensis » (f. 61) ; — « Ex autographis monasterii puellarum Tartensis » (f. 62) ; — « Iterum ex tabulario Cluniacensi, adnotatis paginis » (f. 62 v°) ; — « Ex majore tabulario ecclesiae Cabilonensis, quod digessit Johannes Germani, Cabilonensis episcopus » (f. 64 v°) ; — « Ex tabulario abbatiae de Buxeria » (f. 65) ; — « Ex autographis monialium Benedictinarum de Pralon » (f. 66) ; — « Ex autographis prioratus Vallis Beatae Mariae juxta Talant, de Ordine Vallis Scholarium, vulgò Bonvau » (f. 66) ; — « Ex kalendario pervetusto Sancti Benigni Divionensis » (f. 66 v°) ; — « Ex martyrologio proprio Sancti Martini Eduensis » (f. 67) ; — « Ex necrologio Sancti Lazari Aeduensis » (f. 67) ; — « Ex chronico Sancti Petri Vivi Senonensis » (f. 67) ; — « Ex chronico S. Medardi Suessionensis » (f. 68) ; — « Ex brevi chronico Sancti Dionysii ad cyclos paschales » (f. 68) ; — « De Saracenis in Gallia profligatis » (f. 69) ; — « Ex necrologio Sancti Augendi Jurensis » (f. 74) ; — « Ex necrologio Sancti Petri Bisuntini » (f. 74) ; — « Ex necrologio veteri Sancti Stephani [Bisuntini] » (f. 74 v°) ; — « Ex registro Innocentii papae VI, anni IX pontificatus, Christi 1361 » (f. 82) ; — « Ex tabulis capituli Sancti Dionysii de Vergeyo, nunc Nuciacensis » (f. 83) ; — « Ex manuscripto codice donationum 208 Joannis, comitis Burgundiae et domini Salinensis, super puteum Salinarum » (f. 89 v°) ; — « Ex archivo Sancti Anatolii Salinensis ; ex magno necrologio chartaceo eique simili membraneo, composito 1390 » (f. 92) ; — « Ex chartis prioratus de Marthereto prope Vesulium » (f. 94) ; — « Ex archivo Sancti Pauli Bisonticensis » (f. 95) ; — « Ex veteri chartulario Sancti Pauli [Bisonticensis] » (f. 95 v°) ; — « Ex veteri manuscripto codice Sancti Pauli [Bisonticensis] » (f. 96) ; — « Ex antiquioribus libris ecclesiae Sancti Stephani [Bisonticensis], scriptis aut in usum adhibitis tempore Hugonis primi, [archiepiscopi Bisonticensis] » (f. 96 v°) ; — « Ex codice Sancti Stephani [Bisonticensis] pervetusto, qui Bisonticensis ecclesiae sacros ritus continet » (f. 97) ; — « Ex antiquis codicibus Sancti Pauli [Bisonticensis] » (f. 98) ; — « Ex antiquo rituum libro » (f. 98) ; — « Ex antiquis letaniis, tempore Hugonis I, [archiepiscopi Bisuntini], in ecclesia Bisontina cani solitis ; ex manuscriptis Sancti Stephani et Sancti Pauli » (f. 99) ; — « Extraits de plusieurs manuscrits de Saint-Paul de Besançon » (f. 99 v°) ; — « Ex manuscripto codice Sanctae Magdalenae [Bisuntinae] » (f. 101) ; — Inscription trouvée à Saint-Ferjeux, en 1627 (f. 101 v°) ; — « Ex antiquis membranis archivii ecclesiae metropolitanae Bisontinae », extraits de bulles pontificales, etc. (f. 102) ; — « Ex archivio Loci Crescentis seu Trium Regum » (f. 105) ; — Notes empruntées, « ut videtur », à Anselme « de Marenchiis » (f. 106) ; — « Ex actis capituli Bisontini » (f. 106 v°) ; — « Ex obitibus adnotatis ad marginem martyrologii cathedralis Aeduensis » (f. 106 v°) ; — Fragment de chronique, 563-1033, tiré « ex veteri membrana monasterii Sancti Augendi » (f. 107) ; — « Ex alia membrana, post chronicon Engolismense » (f. 107) ; — « Ex archivio abbatiae de Aceyo » (f. 108) ; — « Ex archivio abbatiae de Roseriis » (f. 109) ; — « Extrait d'un tome des recognoissances des fiefs du Charolois » (f. 109 v°) ; — « Ex polypthico Sancti Vincentii Cabilonensis » (f. 114) ; — « Ex Aeneae, Parisiensis episcopi, collectione contra Graecos, Biblioth. Thuan., n. 444 » (f. 114) ; — « Consuetudines Cluniacenses, auctore Wdalrico, monacho Cluniacensi » (f. 115) ; — Inscriptions copiées « in pervetusto manuscripto codice, post Persii satyras », etc. (f. 116) ; — Extraits d'une « Vita metrica sancti Eustachii martyris, cognomine Placidae », contenue « in manuscripto codice Cisterciensi », etc. (f. 116 v°) ; — « De archiepiscopis Bisontinis » (f. 119) ; — « Ex archivio capituli Bisontini » (f. 120 v°) ; — « Notitia nostrorum diplomatum » (f. 124-135 r° , 141 r° , 142 v° et 143 r°) ; — « De comitibus Burgundiae in Sancti Stephani basilica Bisontina sepultis, ex veteri membrana archivi ecclesiae metropolitanae » (f. 135 v°) ; — Lettre autogr. de « Pierre-François Chifflet » [à Baluze], Dijon, 18 mars 1657 (f. 161) ; — Fragment de charte, « extrait du thresor de S. Anatoile de Salins » (f. 162) ; — Lettre autogr. de « [fr.] François Du Chemin » à Chifflet, Cîteaux, 16 mai 1657 (f. 167) ; — « Nova regum Francorum series, a quâ Theodericus II et omnes ejus posteri excluduntur, ex manuscripto codice Fontanetensi » (f. 171) ; — « Vita sancti Theutbaldi, Viennensis archiepiscopi », incomplète [Bibliotheca hagiographica latina, 8044 b] (f. 172 et 172 bis) ; — « Ex chartulario Sancti Germani Autisiodorensis », diplômes carolingiens (f. 174) ; — Fragment d'une lettre [adressée vraisemblablement à Chifflet], Paris, octobre 1670 (f. 177) ; — Extraits « ex vitâ sancti Theutbaldi, Viennensis archiepiscopi..., ex manuscripto codice monasterii Sancti Theuderii, ubi sanctus Theobaldus, Viennensis archiepiscopus, requiescit » [extraits de la vie dont un fragment occupe les feuillets 172 et 172 bis] (f. 178) ; — Lettre autogr. de « P[ierre-] F[rançois] Chifflet » [à Baluze], 10 mars (f. 180) ; — Notes sur saint Théobald, archevêque de Vienne (f. 181). Cf. Ulysse Robert, Catalogue des manuscrits relatifs à la Franche-Comté, qui sont conservés dans les bibliothèques publiques de Paris (1878), p. 161-162.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

La présente thèse se propose d'étudier les fortifications connues dans le territoire d'Erétrie (île d'Eubée, Grèce), essentiellement aux époques classique et hellénistique (Ve-IIe siècles av. J.-C.). La plupart de ces constructions (forteresses de grand appareil, habitats fortifiés, enceintes de pierres sèches et tours) sont connues depuis le 19e siècle, mais ce travail constitue la première étude archéologique et historique d'ensemble qui leur est consacrée exclusivement. Bien que décrites depuis longtemps, les fortifications des campagnes grecques ont surtout été étudiées d'un point de vue architectural et historique. Cette approche a privilégié une interprétation militaire et stratégique, reliant les fortifications au sein de réseaux défensifs conçus à grande échelle et destinés à bloquer les accès et les frontières du territoire. Notre perspective est différente, puisqu'elle s'efforce de replacer chaque fortification dans la géographie antique en étudiant son interaction avec les plaines et les reliefs, les frontières, l'habitat, les voies de communication, les terres cultivables et la répartition de la population. Pour ce faire, nous avons établi une carte archéologique de l'Erétriade, conduit des prospections extensives autour des fortifications, ainsi que dans de nombreuses régions du territoire. Cette méthode permet d'aborder l'étude des fortifications rurales en adoptant des angles d'analyse différents : le premier, macro-géographique, met ainsi en valeur des caractéristiques générales, telles que la relation entre les fortifications et la capitale d'une part, les fortifications et les terres cultivables de l'autre ; au plan régional, ou micro-géographique, elle analyse la répartition des fortifications au sein de chaque district de l'Erétriade, voire des vallées ou des cantons, mettant en évidence le rôle local des ouvrages fortifiés. Au terme de cette recherche, il est apparu qu'une approche purement stratégique ou militaire ne permettait pas d'expliquer la répartition géographique des fortifications, puisque ces dernières se trouvent pour la plupart à l'intérieur du territoire et non à ses frontières. Elles ne sont pas non plus disposées de manière à pouvoir exercer une surveillance étroite sur les routes pénétrant dans la chôra ; aussi leur fonctionnement au sein d'un «réseau défensif frontalier ne peut pas être démontré. Dans l'Erétriade, la colonne vertébrale de la sécurité publique est formée par les habitats fortifiés, dèmes et kômai, complétée par l'existence de deux forteresses militaires ayant accueilli des garnisons. Placés toujours à bonne distance de la ville, puis à intervalles plus ou moins réguliers au sein du territoire, les habitats fortifiés jouent sur le plan régional le rôle de la ville : en cas d'invasion ou de danger, la population du dème ou des dèmes environnants pouvait y trouver refuge, mettant ainsi à l'abri récoltes, biens et animaux. L'apparition des fortifications territoriales correspond à l'extension maximale de l'occupation humaine, agricole et économique du territoire. Les communautés rurales qui en avaient la possibilité se dotèrent alors de fortifications, souvent sommaires, pour faire face à des menaces variées, mais surtout pour assurer leur propre sécurité et protéger un équilibre autarcique fragile. Il ne faut donc pas nécessairement attribuer la construction de fortifications à un événement historique précis, interprétation abusive courante dans l'étude des fortifications, en Grèce comme ailleurs. La fortification des habitats ruraux s'est réalisée de manière progressive, en réponse aux sentiments d'insécurité d'une population rurale toujours plus nombreuse. Faute de références littéraires et d'inscriptions, en particulier de décrets honorifiques, les forteresses et les habitats fortifiés de l'Erétriade constituent les derniers témoins de l'insécurité publique et des violences auxquelles fut confronté le territoire d'Erétrie aux époques classique et hellénistique.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

The graffiti on pottery discovered on the site of Aventicum (Avenches, VD/Switzerland) form the largest corpus of minor inscriptions of the Roman Empire studied until now. Indeed, a total of 1828 graffiti have been found. The reading and the recording of the inscriptions are generally dependent on the state of conservation of the graffito and its support. In numerous cases, only a pale shadow of the inscription is visible, which makes traditional observations, such as visual observations with the naked eye, unsuitable for its decipherment. Consequently, advanced techniques have been applied for enhancing the readability of such inscriptions. In our paper we show the efficiency of 3D laser profilometry as well as high resolution photography as powerful means to decipher illegible engraved inscriptions. The use of such analyses to decipher graffiti on pottery or on other materials enables a better understanding of minor inscriptions and improves the knowledge of the daily life of ancient populations substantially.