Multinational Firms’ Heterogeneity in Tax Responsiveness: the Role of Transfer Pricing

In this paper we show that the ability of multinational firms to manipulate transfer prices affects the tax sensitivity of foreign direct investment (FDI). We offer a model of international capital allocation where firms are heterogeneous in their ability to manipulate transfer prices. Perhaps paradoxically, we show that the ability to shift profits can make parent companies' investment more sensitive to host-country tax rates, as long as investors expect fisscal authorities to use price and profit detection methods. We then offer a comprehensive empirical study to test our predictions in the case of Japanese FDI. We exploit the finding that the unobservable ability to manipulate transfer prices is correlated with whole ownership of a±liates and R&D expenditure. Based on country, parent firm and sector characteristics, we estimate an investment equation on a sample of 3614 Japanese affiliates in 49 emerging countries. We obtain a greater semi-elasticity of investment to the statutory tax rate in a±liates that are wholly-owned and that have R&D intensive parents. We interpret these results as indirect evidence that abusive transfer pricing is one of the determinants of FDI activity.

Market Familiarity and the Location of South and North MNEs

We use a systematic empirical analysis of the determinants of South-South (SS) and North-South (NS) foreign direct investment (FDI) as a canvas to explore how multinational enterprises’ (MNEs) location decisions are shaped by better acquaintance with a foreign market resulting from bilateral ties, experience of international expansion, and knowledge of how to deal with poor governance. We find that these various aspects of market familiarity, which can interact together, are important to explain and differentiate the location behaviours of South MNEs (S-MNEs) and North MNEs (N-MNEs) in developing countries.

Entry Modes for Finnish Firms into the Zambian Renewable Energy Industry

The renewable energy industry in Zambia is poised for growth and offers many possibilities for Finnish firms willing to enter the market. The Zambian government’s deliberate policy measures aim at attracting foreign direct investment (FDI) into this sector. This study rationalises that this could be the pull factor for Finnish firms. The thesis gives an overview of the industry and investigates an appropriate mode of entry, basing its arguments on the comparison analysis of the two economies with the use of the world forum’s stages of economic development as a framework. The theoretical part of the study examines internationalisation theories, entry mode choice and factors influencing the choice. The multiple case study approach is implored, analysing four case companies from Finland with the use of extant literature on internationalisation relevant to the study. The research design involves the use of documentation, secondary data, interviews and observation. The results of the case analyses show that the Finnish firm’s most preferred entry mode initially is exporting because it is considered to be less risky. Additionally, the findings also reveal that the selection of a suitable mode of entry is dependent on the firms’ size, orientation and international experience and could therefore be considered to be subjective. Paramount is the act of gaining market knowledge. The study shows that only hydro-electrical, solar energies and biomass are by far the most used and known forms of renewable energy in Zambia, while other alternative sources still remain un-exploited thus highlighting a growth potential. However, policy formulation and the regulatory framework in the renewable energy sector were found to be wanting.

Investir en République Populaire de Chine : l'environnement légal et les formes juridiques d'entreprises

L'économie de la Chine a connu au cours des trois dernières décennies une effervescence sans précédent. Dorénavant ouvert sur le monde, ce nouveau marché de près de 1,3 milliard d'individus possède un potentiel commercial et des perspectives de croissance n'ayant aucun équivalent en Occident. Toutefois, partir à la conquête de l'Empire du Milieu peut s'avérer être une aventure périlleuse pour celui qui ne maîtrise pas le cadre contextuel et légal dans lequel les affaires s'opèrent en ces lieux. Le présent mémoire se veut une étude en deux parties des considérations afin de mener à terme avec succès un projet d'investissement en sol chinois. Dans un premier temps, la présente étude tente de démystifier le climat économique, social et légal entourant le monde des affaires en Chine. L'investisseur étranger a tout intérêt à comprendre cet environnement dans lequel nos repères occidentaux sont parfois inexistants. Il s'agit donc, initialement, de comprendre l'évolution récente de ce pays et les transformations profondes que la Chine a connues dans les dernières décennies. Du socialisme à l'économie de marché, le plus grand marché potentiel sur terre s'est ouvert progressivement sur le monde. Sans délai, l'investissement étranger a alors afflué massivement en ces lieux. Fort de l'évolution de son environnement légal, qui se poursuit d'ailleurs toujours à l'heure actuelle, quels sont les principaux enjeux et défis pour un investisseur étranger en Chine? Parmi différentes considérations, l'investisseur étranger doit s'intéresser particulièrement à la place qu'occupent les autorités gouvernementales dans les transactions privées, à la force obligatoire des ententes commerciales et à la résolution de conflits éventuels. Dans un second temps, la présente étude couvre les principales formes juridiques d'investissement accessibles aux investisseurs étrangers afin d'exploiter ou de participer à l'exploitation d'une entreprise en sol chinois. Il s'agit, pour chacune d'entre elles, d'analyser le droit positif posé par le législateur ainsi que de le compléter avec certains éléments pratiques soulevés par des observateurs en la matière. Il s'ensuivra une analyse des différents mécanismes d'acquisition d'entreprise par les investisseurs étrangers. Ultimement, l'étude de cette seconde partie mènera à une analyse comparative des incidences pratiques relativement aux différentes formes d'établissement ou d'acquisition d'entreprise.

Le droit du travail américain : un droit plus favorable à l’investissement que le droit du travail québécois ? Une étude de la question...

L’auteur s’intéresse à la question de savoir si le droit du travail américain est plus favorable à l’investissement direct étranger (IDE) que le droit du travail québécois dans le contexte de l’ALENA. Pour ce faire, il fait une revue de littérature sur les déterminants de la localisation de l’IDE afin de clarifier l’importance du droit du travail national dans les décisions d’investissement des entreprises multinationales. Celle-ci révèle que la localisation de l’IDE est un processus complexe et multidimensionnel impliquant un grand nombre de facteurs, dont certains sont associés à la demande, d’autres aux coûts, d’autres aux caractéristiques des pays-hôtes, et d’autres, enfin, au risque. Le droit du travail national, bien que revêtant une certaine importance, n’est qu’un facteur parmi d’autres. Elle révèle également que l’importance relative des déterminants de la localisation de l’IDE, incluant le droit du travail national, varie elle-même en fonction d’autres facteurs, comme le secteur d’activité de l’entreprise, sa stratégie, sa taille et la motivation de l’IDE. Ensuite, il fait une étude de droit comparé entre le Québec et le Massachusetts afin d’identifier les principales différences qui existent entre les deux régimes de droit du travail. Cette étude a permis d’identifier des différences importantes entre les deux systèmes étudiés. Ainsi, dans l’ensemble, le droit du travail applicable au Massachusetts se fonde davantage sur les principes de la liberté contractuelle et du laisser-faire que le droit du travail québécois, qui est beaucoup plus interventionniste. Enfin, l’auteur analyse les différences observées dans le cadre de l’étude de droit comparé à la lumière des conclusions de sa revue de littérature sur les déterminants de la localisation de l’IDE. Il en vient à la conclusion que bien qu’à de nombreux égards le droits du travail québécois s’avère plus avantageux que le droit du travail applicable au Massachusetts aux fins de la localisation de l’IDE, c’est plutôt ce dernier qui, de façon générale, s’avère le plus avantageux à ce chapitre. En effet, dans l’ensemble, le droit du travail québécois est susceptible d’imposer des coûts de main-d’œuvre supérieurs et de réduire la flexibilité du marché du travail davantage que le droit du travail applicable au Massachusetts. Or, considérant que le droit du travail national n’est qu’un facteur parmi d’autres dans la décision de localisation de l’IDE, le Québec n’est pas sans moyens. En effet, il possède d’autres avantages comparatifs qu’il peut faire valoir auprès des entreprises qui œuvrent dans des secteurs d’activités où ces avantages concurrentiels sont valorisés et susceptibles d’être exploités. De plus, considérant que le droit du travail national a un importance relative qui varie elle-même en fonction d’autres facteurs, le droit du travail québécois n’a pas nécessairement le même effet sur tous les investisseurs. Enfin, considérant que le droit du travail remplit des fonctions sociales autant que des fonctions économiques, c’est un faux débat que de mettre l’accent uniquement sur les conséquences « négatives » du droit du travail national sur l’IDE. En effet, c’est faire complètement abstraction de la question des coûts sociaux que le droit du travail permet de prévenir au sein d’une société.

Confianza inversionista. Inversión extranjera directa en Colombia. Periodo 2002–2010

Desde el surgimiento de las doctrinas económicas sobre el crecimiento endógeno, se ha determinado que la inversión extranjera es un factor que contribuye al crecimiento económico, ya que facilita la transferencia de tecnología y conocimientos en técnicas de producción, de mercadeo y de gestión en mercado extranjeras donde la competencia permite la existencia de incrementos en la productividad de los factores. Hacia el año 2000 la política de IED en Colombia, contemplaba unas políticas de gobierno centradas en la paz, reformas estructurales y promoción a las exportaciones. Dadas estas condiciones, los retos concernientes a aumentar la inversión extranjera eran bastante exigentes al momento de iniciar el periodo de gobierno de Álvaro Uribe Vélez (2002 – 2010), razón por la cual el objetivo de esta investigación es analizar los resultados al finalizar los dos periodos consecutivos de mandato del Presidente Uribe. Durante su gobierno, el Presidente Uribe Vélez, logró que la inversión extranjera directa alcanzara un notable incremento en sectores específicos como el minero y el petrolero, acompañando el proceso de crecimiento económico, sin embargo, este crecimiento no figura generalizado y contrariamente los índices de desempleo se incrementaron y las utilidades generadas se convierten en remesas al exterior conllevando baja reinversión en el país y estancamiento de otros sectores. Centraré la investigación en las situaciones inicial y final del periodo presidencial, en los aspectos concernientes a los niveles de inversión captados en Colombia, los sectores más favorecidos con dicha inversión, el origen de los recursos y la relación que estos flujos han tenido en los resultados de indicadores de crecimiento económico, productividad, competitividad, empleo y reinversión de utilidades.

Análisis de inversión extranjera directa por parte del grupo de los BRIC hacia los sectores estratégicos de Colombia

El siguiente documento da a conocer el comportamiento de la Inversión Extranjera Directa (IED) de los países denominados BRIC (Brasil, Rusia, India y China) en Colombia. De acuerdo a lo anterior, en el presente trabajo, se realizó un análisis general de la IED entrante en el país suramericano que buscaba establecer los principales inversores; además de determinar los sectores más atractivos. Posteriormente, se observó la magnitud de la inversión que realizan los países BRIC en Colombia y en el mundo, con el fin de efectuar una comparación que permitiera determinar que tan significativa es la inversión que se realiza en el Estado Colombiano frente a la que es efectuada por estas naciones a nivel global. Igualmente, se consideró las industrias a las que la IED está dirigida, el grado de beneficio que representa para la población y si existe la posibilidad de enfocarla hacia otros sectores estratégicos o si se recomienda encauzarla hacia aquellos que hoy en día son el principal foco de inversión.

Epidemiología y perdurabilidad empresarial en Colombia: Grupo Éxito

La muerte empresarial es un proceso que se ha venido presentando en compañías de las diferentes industrias a nivel nacional. La causa son los diferentes factores externos que impactan directamente las operaciones y estructura de estas. Con base en lo anterior es importante resaltar que existen diferentes tipos de muerte empresarial que para efectos de este trabajo se encontraron importante referenciar, pues son el marco del análisis de caso sobre Almacenes Éxito S.A. perteneciente al sector retail, donde se buscaba determinar cuál fue el tipo de cesión que tuvo, como consecuencia de la venta de acciones a la Compañía Francesa Casino Guichard-Perrachon S.A. Además del marco teórico empleado, se encontró importante realizar una reseña histórica de las diferentes empresas que han integrado el sector con el fin de entender posibles generalidades que se han venido replicando y que han llevado a la muerte empresarial de importantes compañías. Este trabajo permite la comprensión de las diferentes transformaciones que pueden tener los entes económicos a lo largo de su vida empresarial, no solo con lo que puede entenderse como el cese de operaciones sino también como apertura a nuevas estrategias de crecimiento y expansión.

Real estate capital flows and transitional economies

reign real estate capital was a major source of financing domestic property market office construction in Central Europe after the fall of the Berlin Wall in 1989. During the 1990s, over 800 office buildings were either newly constructed or refurbished in Budapest, Prague and Warsaw. The primary focus of this analysis is explaining the spatial construction and redevelopment patterns of the post-1989 office buildings in these cities. Secondarily, we analyze the correlation of foreign direct investment flows to annual construction of office buildings. We seek to explain the location of new or refurbished office buildings in the central business district (CBD) or in non-CBD locations in terms of the effect of time, size of property and other variables, and test whether there is a positive correlation relationship of foreign direct investment flows and new office construction or refurbishment. Integrating relevant foreign direct investment (FDI), economic geography and property theories in the research, the authors attempt to bridge existing gaps in the literature.

Fifty years of international business theory and beyond

As the field of international business has matured, there have been shifts in the core unit of analysis. First, there was analysis at country level, using national statistics on trade and foreign direct investment (FDI). Next, the focus shifted to the multinational enterprise (MNE) and the parent’s firm specific advantages (FSAs). Eventually the MNE was analysed as a network and the subsidiary became a unit of analysis. We untangle the last fifty years of international business theory using a classification by these three units of analysis. This is the country-specific advantage (CSA) and firm-specific advantage (FSA) matrix. Will this integrative framework continue to be useful in the future? We demonstrate that this is likely as the CSA/FSA matrix permits integration of potentially useful alternative units of analysis, including the broad region of the triad. Looking forward, we develop a new framework, visualized in two matrices, to show how distance really matters and how FSAs function in international business. Key to this are the concepts of compounded distance and resource recombination barriers facing MNEs when operating across national borders.

British public policy and multinationals during the “Dollar Gap” era, 1945–1960

This article examines the role of British exchange and import controls in stimulating the dramatic increase in overseas (particularly American) multinationals in Britain from the end of the Second World War to the late 1950s, together with the ways in which the government used controls to regulate the foreign direct investment (FDI) inflow. Exchange controls were both an important stimulus to inward investment and a powerful and flexible means of regulating its volume and character. Government was relatively successful in using these powers to maximize the dollar balance and industrial benefits of FDI to Britain, given initially severe dollar and capacity constraints, and in liberalizing policy once these constraints receded and competition from other FDI hosts intensified.

The regional strategies of British multinational subsidiaries in South East Asia

We compare the strategies of manufacturing and service multinational enterprise (MNE) subsidiaries in South East Asia to investigate whether they follow global versus regional strategy. We examine foreign direct investment (FDI) motives, types of FDI, product and service offerings, and sales strategies of these two groups. Using a unique primary data set of 101 British MNE subsidiaries in six South East Asian countries over the five-year period (2003–2007), we find that manufacturing and service subsidiaries pursue regional strategies. Both groups have a strong regional focus in their sales. We explore the possible reasons for the relative lack of global strategy of these subsidiaries.

Can British multinational enterprises finance economic development in South East Asia?

Purpose – The purpose of this paper is to shed new light on the debate about the role of foreign direct investment (FDI) and public policy in fostering economic development. Specifically, can the capital inflow of multinational enterprises (MNEs) and the ability of the subsidiaries to raise funds locally help promote development? This paper addresses this issue by examining the capital structure and financing sources of foreign subsidiaries of MNEs. Design/methodology/approach – This paper integrates the capital structure theories in finance with internalization theory in international business. It uses an original primary dataset collected by a survey of 101 foreign subsidiaries of British MNEs in six emerging economies in the ASEAN region. Findings – There are three significant findings. First, these subsidiaries rely heavily on internal funds generated within the MNEs and less on external debts raised in the host countries. Second, the foreign subsidiary's capital structure is influenced by the home country of origin of the parent firm and the parent firm's financing sources. Third, these subsidiaries have used the financial resources to develop business networks with local small and medium enterprises (SMEs) which contribute to economic development of the host countries. Originality/value – This paper examines the internal capital market within the MNE. It provides theoretical and empirical support for the capital structure theory of the hierarchy financing approach and also for internalization theory by addressing FDI inflows by MNEs and the raising of funds locally. These findings have important implications for public policy, namely the facilitation of MNE entry to encourage economic development.

Regional business networks in the multinational retail sector

This article examines the network relationships of a set of large retail multinational enterprises (MNEs). We analyze under what conditions a flagship-network strategy (characterized by a network of five partners – the MNE, key suppliers, key partners, selected competitors and key organisations in the non-business infrastructure) explains the internationalisation of three retailers whose geographic scope, sectoral conditions and competitive strategies differ substantially. We explore why and when retailers will adopt a flagship strategy. The three firms are two U.K.-based multinational retailers (Tesco and The Body Shop) and a French-based global retailer (Moët Hennessy Louis Vuitton). We find evidence of strong network relationships for all three retailers, although each embraces network strategies for different reasons. Their flagship relationships depend on each retailer's strategic use of firm-specific-advantages (FSAs) and country-specific advantages (CSAs). We find that a flagship strategy can succeed in overcoming internal and/or environmental constraints to cross-border resource transfers, which are barriers to foreign direct investment (FDI). We provide recommendations on why and when to use a flagship-based strategy and which type of network partners to prioritize in order to succeed internationally.

The persistence of distance: a gravity model of European cross-border real estate development flows

Purpose – This paper aims to investigate the scale and drivers of cross-border real estate development in Western Europe and Central and Eastern Europe. Design/methodology/approach – Placing cross-border real estate development within the framework of foreign direct investment (FDI), conceptual complexities in characterizing the notional real estate developer are emphasized. Drawing upon a transaction database, this paper proxies cross-border real estate development flows with asset sales by developers. Findings – Much higher levels of market penetration by international real estate developers are found in the less mature markets of Central and Eastern Europe. Analysis suggests a complex range of determinants with physical distance remaining a consistent barrier to cross-border development flows. Originality/value – This analysis adds significant value in terms of understanding cross-border real estate development flows. In this study, a detailed examination of the issues based on a rigorous empirical analysis through gravity modelling is offered. The gravity framework is one of the most confirmed empirical regularities in international economics and commonly applied to trade, FDI, migration, foreign portfolio investment inter alia. This paper assesses the extent to which it provides useful insights into the pattern of cross-border real estate development flows.