842 resultados para Psychology, General|Psychology, Clinical


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The central paradigm linking disadvantaged social status and mental health has been the social stress model (Horwitz, 1999), the assumption being that individuals residing in lower social status groups are subjected to greater levels of stress not experienced by individuals from higher status groups. A further assumption is that such individuals have fewer resources to cope with stress, in turn leading to higher levels of psychological disorder, including depression (Pearlin, 1989). Despite these key assumptions, there is a dearth of literature comparing the social patterning of stress exposure (Hatch & Dohrenwend, 2007; Meyer, Schwartz, & Frost, 2008; Kessler, Mickelson, & Williams, 1999; Turner & Avison, 2003; Turner & Lloyd, 1999; Turner, Wheaton, & Lloyd, 1995), and the distribution and contribution of protective factors, posited to play a role in the low rates of depression found among African- and Latino-Americans (Alegria et al., 2007; Breslau, Aguilar-Gaxiola, Kendler, Su, Williams, & Kessler, 2006; Breslau, Borges, Hagar, Tancredi, Gilman, 2009; Gavin, Walton, Chae, Alegria, Jackson, & Takeuchi, 2010; Williams, & Neighbors, 2006). Thus, this study sought to describe both the distribution and contribution of risk and protective factors in relation to depression among a sample of African-, European-, and Latina-American mothers of adolescents, including testing a hypothesized mechanism through which social support, an important protective factor specific to women and depression, operates. ^ Despite the finding that the levels of depression were not statistically different across all three groups of women, surprising results were found in describing the distribution of both risk and protective factors, in that results reported among all women who were mothers when analyzed masked differences within each ethnic group when SES was assessed, a point made explicit by Williams (2002) regarding racial and ethnic variations in women's health. In the final analysis, while perceived social support was found to partially mediate the effect of social isolation on depression, among African-Americans, the direct effect of social isolation and depression was lower among this group of women, as was the indirect effect of social isolation and perceived social support when compared to European- and Latina-American mothers. Or, put differently, higher levels of social isolation were not found to be as associated with more depression or lower social support among African-American mothers when compared to their European- and Latina-American counterparts. ^ Women in American society occupy a number of roles, i.e., that of being female, married or single, mother, homemaker or employee. In addition, to these roles, ethnicity and SES also come into play, such that the intersection of all these roles and the social contexts that they occupy are equally important and must be taken into consideration when making predictions drawn from the social stress model. Based on these findings, it appears that the assumptions of the social stress model need to be revisited to include the variety of roles that intersect among individuals from differing social groups. More specifically, among women who are mothers and occupy a myriad of other roles, i.e., that of being female, married or single, African- or Latina-American, mother, homemaker or employee, the intersection of all the roles and the social contexts that women occupy are equally important and must be taken into consideration when looking at both the types and distribution of stressors across women. Predictions based on simple, mutually exclusive categories of social groups may lead to erroneous assumptions and misleading results.^

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Cette thèse a pour objectif l’investigation du circuit des récompenses, sur les plans comportementaux et neuronaux, chez des adolescents à risque parental élevé de dépression majeure et de trouble bipolaire, en comparaison à des jeunes à risque parental peu élevé. Plus précisément, le but est d’identifier des marqueurs comportementaux et neuronaux du risque de développer une dépression majeure ou un trouble bipolaire, afin d’être en mesure de détecter et de prévenir ces troubles le plus tôt possible pour éviter, ou du moins retarder, leur émergence. Pour ce faire, nous avons réalisé deux études, présentées ici dans deux articles empiriques. Dans le premier article, le fonctionnement comportemental et neuronal du circuit des récompenses a été investigué au moyen d’une tâche d’anticipation et d’obtention de gains et de pertes monétaires, chez des adolescents à risque parental de dépression majeure (i.e., jeunes asymptomatiques dont un des parents souffre de dépression majeure), des adolescents à risque parental de trouble bipolaire (i.e., jeunes asymptomatiques dont un des parents souffre de trouble bipolaire) et des adolescents contrôles (i.e., jeunes asymptomatiques dont les deux parents sont en bonne santé mentale). Au niveau comportemental, les résultats ont révélé une meilleure performance chez les jeunes à risque de dépression majeure lorsqu’ils devaient éviter d’obtenir des pertes monétaires de magnitude variée (0,20$, 1$ ou 5$), ainsi qu’une meilleure performance chez les jeunes à risque de trouble bipolaire sur les essais impliquant d’éviter des pertes monétaires de magnitude nulle (0$). Au niveau neuronal, les jeunes à risque de dépression majeure démontraient une diminution de l’activation du cortex préfrontal dorsolatéral lors de l’anticipation de potentielles pertes monétaires de magnitude variée, tandis que les jeunes à risque de trouble bipolaire démontraient une diminution de l’activation du cortex préfrontal dorsolatéral lors de l’anticipation de potentielles pertes monétaires de magnitude nulle. De plus, les jeunes à risque de dépression majeure tendaient à démontrer une augmentation de l’activité du cortex orbitofrontal durant l’évitement réussi de pertes monétaires, tandis que les jeunes à risque de trouble bipolaire tendaient à démontrer une augmentation de l’activité du cortex orbitofrontal lors de l’obtention de pertes monétaires. Dans le deuxième article, l’intégrité structurelle des régions fronto-limbiques a été investiguée, au moyen de mesures du volume, de l’épaisseur corticale et de la superficie corticale. Les résultats ont mis en évidence, chez les jeunes à risque de trouble bipolaire, un volume plus élevé du cortex préfrontal dorsolatéral, par rapport aux jeunes à risque de dépression majeure et contrôles. De plus, les jeunes à risque de trouble bipolaire présentaient un volume plus élevé du cortex cingulaire postérieur, en comparaison aux jeunes à risque de dépression majeure. Enfin, une diminution de l’épaisseur corticale du cortex orbitofrontal et du gyrus frontal moyen a été observée chez les adolescents à risque de trouble bipolaire, en comparaison au groupe contrôle. L’ensemble de ces résultats démontre ainsi l’existence de particularités comportementales et d’altérations neuronales sur les plans fonctionnel et structurel, chez des jeunes à risque élevé de troubles de l’humeur, et ce, avant même l’émergence des premiers symptômes thymiques. Plus particulièrement, ces caractéristiques pourraient constituer des marqueurs du risque de développer un trouble de l’humeur. Par conséquent, ces marqueurs pourraient aider à mieux identifier les jeunes qui sont le plus à risque de développer un trouble de l’humeur, et ainsi permettre la mise en place précoce de stratégies préventives adaptées, afin d’éviter des trajectoires développementales psychopathologiques.

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Depuis une vingtaine d’années, le modèle cognitif basé sur les interprétations (Groupe de recherche sur la cognition dans le trouble obsessionnel compulsif [OCCWG], 1997, 2001, 2003, 2005) représente le modèle psychologique de l’étiologie et du maintien du TOC le plus étudié au plan empirique. Cependant, peu de recherches ont porté sur les deux postulats importants du modèle touchant respectivement le développement des croyances liées à l’obsessionnalité et la contribution des états affectifs au maintien des interprétations et des croyances (réactivité cognitive). L’objectif de cette thèse est de contribuer à la validation empirique de ces postulats. Fondé sur un devis corrélationnel dans un échantillon de participants mixte (participants troubles obsessionnels-compulsifs et participants non cliniques), le premier article étudie les liens entre les expériences de l’enfance et la présence de croyances obsessionnelles chez l’adulte. Deux modèles alternatifs sont comparés qui représentent d’une part un lien spécifique, et d’autre part un lien non spécifique entre les expériences de l’enfance et les croyances obsessionnelles adultes. Les résultats suggèrent la présence à la fois de relations spécifiques et non spécifiques entre les expériences de l’enfance et les croyances adultes. Les expériences de l’enfance et les domaines de croyance obsessionnels qui montrent des liens spécifiques sont ceux relatifs à la responsabilité, à la perception du danger, et au perfectionnisme. En contrepartie, les expériences de l’enfance relatives à la perception de danger et dans une moindre mesure la sociotropie, apparaissent étroitement liés à la plupart des domaines de croyances adultes (intolérance à l’incertitude, surestimation du danger, importance et contrôle des pensées). Dans la seconde étude, nous nous intéressons à la mesure et l’analyse longitudinales de la réactivité cognitive telle qu’elle s’exprime dans l’environnement naturel de huit participants troubles obsessionnels-compulsifs de type ruminateur. Par le biais de huit protocoles à cas uniques intensifs, l’analyse de contingence entre les scores quotidiens d’humeur (4 états émotionnels cotés par participant) et d’interprétations (une interprétation idiographique des intrusions par participant) permet d’établir une mesure de l’importance de la réactivité cognitive chez chaque participant. Ces résultats sont ensuite analysés du point de vue des postulats principaux de deux modèles spécifiques de la réactivité cognitive (modèle de l’Infusion de l’affect [Forgas, 2008] et modèle de l’Humeur comme intrant [Meeten & Davey, 2011]. Ainsi, les analyses intra-individuelles répétées trans-comportements) et interindividuelles (trans-participants) permettent d’illustrer le rôle proximal déterminant des stratégies de traitement de l’information (traitement systématique; traitement superficiel; traitement altéré) employées par les participants. En résumé, les résultats obtenus dans ces deux études fournissent des données utiles à la poursuite de la validation du modèle des interprétations du TOC. Dans la première étude, l’identification de liens spécifiques entre les EE et les croyances obsessionnelles soutient la séquence étiologique postulée, alors que l’identification de liens non spécifiques suggère que d’autres trajectoires étiologiques peuvent être pertinentes. Dans la seconde étude, l’analyse longitudinale et naturaliste des covariations humeur – interprétations se révèle d’abord féconde à identifier les phénomènes de réactivité cognitive postulés dans le modèle des interprétations. Ensuite, en conformité aux modèles intégrés de la réactivité cognitive, l’analyse des liens entre cette réactivité et les stratégies privilégiées de neutralisation des participants permet d’identifier le rôle clé des différentes stratégies de traitement de l’information dans la réactivité cognitive.

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Cette thèse a pour objectif l’investigation du circuit des récompenses, sur les plans comportementaux et neuronaux, chez des adolescents à risque parental élevé de dépression majeure et de trouble bipolaire, en comparaison à des jeunes à risque parental peu élevé. Plus précisément, le but est d’identifier des marqueurs comportementaux et neuronaux du risque de développer une dépression majeure ou un trouble bipolaire, afin d’être en mesure de détecter et de prévenir ces troubles le plus tôt possible pour éviter, ou du moins retarder, leur émergence. Pour ce faire, nous avons réalisé deux études, présentées ici dans deux articles empiriques. Dans le premier article, le fonctionnement comportemental et neuronal du circuit des récompenses a été investigué au moyen d’une tâche d’anticipation et d’obtention de gains et de pertes monétaires, chez des adolescents à risque parental de dépression majeure (i.e., jeunes asymptomatiques dont un des parents souffre de dépression majeure), des adolescents à risque parental de trouble bipolaire (i.e., jeunes asymptomatiques dont un des parents souffre de trouble bipolaire) et des adolescents contrôles (i.e., jeunes asymptomatiques dont les deux parents sont en bonne santé mentale). Au niveau comportemental, les résultats ont révélé une meilleure performance chez les jeunes à risque de dépression majeure lorsqu’ils devaient éviter d’obtenir des pertes monétaires de magnitude variée (0,20$, 1$ ou 5$), ainsi qu’une meilleure performance chez les jeunes à risque de trouble bipolaire sur les essais impliquant d’éviter des pertes monétaires de magnitude nulle (0$). Au niveau neuronal, les jeunes à risque de dépression majeure démontraient une diminution de l’activation du cortex préfrontal dorsolatéral lors de l’anticipation de potentielles pertes monétaires de magnitude variée, tandis que les jeunes à risque de trouble bipolaire démontraient une diminution de l’activation du cortex préfrontal dorsolatéral lors de l’anticipation de potentielles pertes monétaires de magnitude nulle. De plus, les jeunes à risque de dépression majeure tendaient à démontrer une augmentation de l’activité du cortex orbitofrontal durant l’évitement réussi de pertes monétaires, tandis que les jeunes à risque de trouble bipolaire tendaient à démontrer une augmentation de l’activité du cortex orbitofrontal lors de l’obtention de pertes monétaires. Dans le deuxième article, l’intégrité structurelle des régions fronto-limbiques a été investiguée, au moyen de mesures du volume, de l’épaisseur corticale et de la superficie corticale. Les résultats ont mis en évidence, chez les jeunes à risque de trouble bipolaire, un volume plus élevé du cortex préfrontal dorsolatéral, par rapport aux jeunes à risque de dépression majeure et contrôles. De plus, les jeunes à risque de trouble bipolaire présentaient un volume plus élevé du cortex cingulaire postérieur, en comparaison aux jeunes à risque de dépression majeure. Enfin, une diminution de l’épaisseur corticale du cortex orbitofrontal et du gyrus frontal moyen a été observée chez les adolescents à risque de trouble bipolaire, en comparaison au groupe contrôle. L’ensemble de ces résultats démontre ainsi l’existence de particularités comportementales et d’altérations neuronales sur les plans fonctionnel et structurel, chez des jeunes à risque élevé de troubles de l’humeur, et ce, avant même l’émergence des premiers symptômes thymiques. Plus particulièrement, ces caractéristiques pourraient constituer des marqueurs du risque de développer un trouble de l’humeur. Par conséquent, ces marqueurs pourraient aider à mieux identifier les jeunes qui sont le plus à risque de développer un trouble de l’humeur, et ainsi permettre la mise en place précoce de stratégies préventives adaptées, afin d’éviter des trajectoires développementales psychopathologiques.

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Depuis une vingtaine d’années, le modèle cognitif basé sur les interprétations (Groupe de recherche sur la cognition dans le trouble obsessionnel compulsif [OCCWG], 1997, 2001, 2003, 2005) représente le modèle psychologique de l’étiologie et du maintien du TOC le plus étudié au plan empirique. Cependant, peu de recherches ont porté sur les deux postulats importants du modèle touchant respectivement le développement des croyances liées à l’obsessionnalité et la contribution des états affectifs au maintien des interprétations et des croyances (réactivité cognitive). L’objectif de cette thèse est de contribuer à la validation empirique de ces postulats. Fondé sur un devis corrélationnel dans un échantillon de participants mixte (participants troubles obsessionnels-compulsifs et participants non cliniques), le premier article étudie les liens entre les expériences de l’enfance et la présence de croyances obsessionnelles chez l’adulte. Deux modèles alternatifs sont comparés qui représentent d’une part un lien spécifique, et d’autre part un lien non spécifique entre les expériences de l’enfance et les croyances obsessionnelles adultes. Les résultats suggèrent la présence à la fois de relations spécifiques et non spécifiques entre les expériences de l’enfance et les croyances adultes. Les expériences de l’enfance et les domaines de croyance obsessionnels qui montrent des liens spécifiques sont ceux relatifs à la responsabilité, à la perception du danger, et au perfectionnisme. En contrepartie, les expériences de l’enfance relatives à la perception de danger et dans une moindre mesure la sociotropie, apparaissent étroitement liés à la plupart des domaines de croyances adultes (intolérance à l’incertitude, surestimation du danger, importance et contrôle des pensées). Dans la seconde étude, nous nous intéressons à la mesure et l’analyse longitudinales de la réactivité cognitive telle qu’elle s’exprime dans l’environnement naturel de huit participants troubles obsessionnels-compulsifs de type ruminateur. Par le biais de huit protocoles à cas uniques intensifs, l’analyse de contingence entre les scores quotidiens d’humeur (4 états émotionnels cotés par participant) et d’interprétations (une interprétation idiographique des intrusions par participant) permet d’établir une mesure de l’importance de la réactivité cognitive chez chaque participant. Ces résultats sont ensuite analysés du point de vue des postulats principaux de deux modèles spécifiques de la réactivité cognitive (modèle de l’Infusion de l’affect [Forgas, 2008] et modèle de l’Humeur comme intrant [Meeten & Davey, 2011]. Ainsi, les analyses intra-individuelles répétées trans-comportements) et interindividuelles (trans-participants) permettent d’illustrer le rôle proximal déterminant des stratégies de traitement de l’information (traitement systématique; traitement superficiel; traitement altéré) employées par les participants. En résumé, les résultats obtenus dans ces deux études fournissent des données utiles à la poursuite de la validation du modèle des interprétations du TOC. Dans la première étude, l’identification de liens spécifiques entre les EE et les croyances obsessionnelles soutient la séquence étiologique postulée, alors que l’identification de liens non spécifiques suggère que d’autres trajectoires étiologiques peuvent être pertinentes. Dans la seconde étude, l’analyse longitudinale et naturaliste des covariations humeur – interprétations se révèle d’abord féconde à identifier les phénomènes de réactivité cognitive postulés dans le modèle des interprétations. Ensuite, en conformité aux modèles intégrés de la réactivité cognitive, l’analyse des liens entre cette réactivité et les stratégies privilégiées de neutralisation des participants permet d’identifier le rôle clé des différentes stratégies de traitement de l’information dans la réactivité cognitive.

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Translation of: Leçons orales de clinique chirurgicale.

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This paper presents a pilot study of a brief, group-based, cognitive-behavioural intervention for anxiety-disordered children. Five children (aged 7 to 13 years) diagnosed with a clinically significant anxiety disorder were treated with a recently developed 6-session, child-focused, cognitive-behavioural intervention that was evaluated using multiple measures (including structured diagnostic interview, self-report questionnaires and behaviour rating scales completed by parents) over four follow-up occasions (posttreatment, 3-month follow-up, 6-month follow-up and 12-month follow-up). This trial aimed to (a) evaluate the conclusion suggested by the research of Cobham, Dadds, and Spence (1998) that anxious children with non-anxious parents require a child-focused intervention only in order to demonstrate sustained clinical gains; and (b) to evaluate a new and more cost-effective child-focused cognitive-behavioural intervention. Unfortunately, the return rate of the questionnaires was poor, rendering this data source of questionable value. However, diagnostic interviews (traditionally the gold standard in terms of outcome in this research area) were completed for all children at all follow-up points. Changes in diagnostic status indicated that meaningful treatment-related gains had been achieved and were maintained over the full follow-up period. The results would thus seem to support the principle of participant-intervention matching proposed by Cobham et al. (1998), as well as the utility of the more brief intervention evaluated.

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The Fear Survey Schedule-III (FSS-III) was administered to a total of 5491 students in Australia, East Germany, Great Britain, Greece, Guatemala, Hungary, Italy, Japan, Spain, Sweden, and Venezuela, and submitted to the multiple group method of confirmatory analysis (MGM) in order to determine the cross-national dimensional constancy of the five-factor model of self-assessed fears originally established in Dutch, British, and Canadian samples. The model comprises fears of bodily injury-illness-death, agoraphobic fears, social fears, fears of sexual and aggressive scenes, and harmless animals fears. Close correspondence between the factors was demonstrated across national samples. In each country, the corresponding scales were internally consistent, were intercorrelated at magnitudes comparable to those yielded in the original samples, and yielded (in 93% of the total number of 55 comparisons) sex differences in line with the usual finding (higher scores for females). In each country, the relatively largest sex differences were obtained on harmless animals fears. The organization of self-assessed fears is sufficiently similar across nations to warrant the use of the same weight matrix (scoring key) for the FSS-III in the different countries and to make cross-national comparisons feasible. This opens the way to further studies that attempt to predict (on an a priori basis) cross-national variations in fear levels with dimensions of national cultures. (C) 2002 Elsevier Science Ltd. All rights reserved.

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Hofstede's dimension of national culture termed Masculinity-Femininity [Hofstede (1991). Cultures and organizations: software of the mind. London: McGraw-Hill] is proposed to be of relevance for understanding national-level differences in self-assessed agoraphobic fears. This prediction is based on the classical work of Fodor [Fodor (1974). In: V. Franks & V. Burtle (Eds.), Women in therapy: new psychotherapies for a changing society. New York: Brunner/Mazel]. A unique data set comprising 11 countries (total N = 5491 students) provided the opportunity of scrutinizing this issue. It was hypothesized and found that national Masculinity (the degree to which cultures delineate sex roles, with masculine or tough societies making clearer differentiations between the sexes than feminine or modest societies do) would correlate positively with national agoraphobic fear levels (as assessed with the Fear Survey Schedule-III). Following the correction for sex and age differences across national samples, a significant and large effect-sized national-level (ecological) r = +0.67 (P = 0.01) was found. A highly feminine society such as Sweden had the lowest, whereas the champion among the masculine societies, Japan, had the highest national Agoraphobic fear score. (C) 2003 Elsevier Science Ltd. All rights reserved.

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The present study attempted to examine the causal relationships among changes in automatic thoughts, dysfunctional attitudes, and depressive symptoms in a 12-week group cognitive behavior therapy (GCBT) program for depression. In all, 35 depressed patients attending the GCBT program were monitored with the Automatic Thoughts Questionnaire, Dysfunctional Attitudes Scale, and Beck Depression Inventory at the pre-treatment, 4th and 8th sessions, and post-treatment. The results were as follows: (1) GCBT reduces negative cognitions; (2) changes in automatic thoughts and dysfunctional attitudes lead to change in depressive symptoms; and (3) automatic thoughts play a mediating role between dysfunctional attitudes and depression. The findings taken as a whole support the Causal Cognition Model of depression. (C) 2003 Elsevier Science Ltd. All rights reserved.

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This study evaluated the effectiveness of the Problem Solving For Life program as it universal approach to the prevention of adolescent depression. Short-term results indicated that participants with initially elevated depressions scores (high risk) who received the intervention showed a significantly greater decrease in depressive symptoms and increase in life problem-solving scores from pre- to postintervention compared with a high-risk control group. Low-risk participants who received the intervention reported a small but significant decrease in depression scores over the intervention period, whereas the low-risk controls reported an increase in depression scores. The low-risk group reported a significantly greater increase in problem-solving scores over the intervention period compared with low-risk controls. These results were not maintained, however, at 12-month follow-up.

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The aim of this study was to analyze the psychometric properties of the Spanish translation of the List of Social Situation Problems (LSSP; S. H. Spence, 1980). The questionnaire was administered to a sample of 388 adolescents between the ages of 12 and 18. Exploratory factor analysis identified four factors: Social Anxiety, Adult Oppositional, Assertiveness, and Making Friends, which accounted for 26.64% of the variance. Internal consistency of the total scale was high (alpha = .86). Correlations between the LSSP and two self-report measures of social anxiety, the Questionnaire about Interpersonal Difficulties for Adolescents (r = .45) and the Social Phobia and Anxiety Inventory (r = .48), were statistically significant. A significant difference was found between LSSP total scores for adolescents with and without social anxiety (d = 1.14), supporting the construct validity of the scale.

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Families attending child and adolescent mental health (CAMH) services are often assumed to have problems in key areas such as communication, belonging/acceptance and problem-solving. Family therapy is often directed towards addressing these difficulties. With increasing emphasis in family therapy and human services fields over the last decade on identifying and building from strengths, a different starting point has been advocated. This paper describes a large survey of the self-reported pre-therapy functioning of children and families using a public CAMH service (n = 416). Before commencing family therapy parents identified family strengths across a range of key areas, despite the burden of caring for children with moderate to severe mental health problems. This evidence supports theoretical and clinical work that advocates a strengths perspective, and highlights how resilience framed in family (and social) rather than individual terms enables a greater appreciation of how strengths may be harnessed in therapeutic work.

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Background. The rate of binocular rivalry has been reported to be slower in subjects with bipolar disorder than in controls when tested with drifting, vertical and horizontal gratings of high spatial frequency. Method. Here we assess the rate of binocular rivalry with stationary, vertical and horizontal gratings of low spatial frequency in 30 subjects with bipolar disorder, 30 age- and sex-matched controls, 18 subjects with schizophrenia and 18 subjects with major depression. Along with rivalry rate, the predominance of each of the rivaling images was assessed, as was the distribution of normalized rivalry intervals. Results. The bipolar group demonstrated significantly slower rivalry than the control, schizophrenia and major depression groups. The schizophrenia and major depression groups did not differ significantly from the control group. Predominance values did not differ according to diagnosis and the distribution of normalized rivalry intervals was well described by a gamma function in all groups. Conclusions. The results provide further evidence that binocular rivalry is slow in bipolar disorder and demonstrate that rivalry predominance and the distribution of normalized rivalry intervals are not abnormal in bipolar disorder. It is also shown by comparison with previous work, that high strength stimuli more effectively distinguish bipolar from control subjects than low strength stimuli. The data on schizophrenia and major depression suggest the need for large-scale specificity trials. Further study is also required to assess genetic and pathophysiological factors as well as the potential effects of state, medication, and clinical and biological subtypes.

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There is no specific self-efficacy measure that has been developed primarily for problem drinkers seeking a moderation drinking goal. In this article, we report the factor structure of a 20-item Controlled Drinking Self-Efficacy Scale (CDSES Sitharthan et al., 1996; Sitharthan et al., 1997). The results indicate that the CDSES is highly reliable, and the factor analysis using the full sample identified four factors: negative affect, positive mood/social context, frequency of drinking, and consumption quantity. A similar factor structure was obtained for the subsample of men. In contrast, only three factors emerged in the analysis of data on female participants. Compared to women, men had low self-efficacy to control their drinking in situations relating to positive mood/social context, and subjects with high alcohol dependence had low self-efficacy for situations relating to negative affect, social situations, and drinking less frequently. The CDSES can be a useful measure in treatment programs providing a moderation drinking goal. (C) 2003 Wiley Periodicals, Inc.