774 resultados para outpatient substance abuse treatment
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To assess the impact of international consensus conference guidelines on the attitude of Swiss specialists when facing the decision to treat chronic hepatitis C patients. Questionnaires focusing on the personal situation and treatment decisions were mailed to 165 patients who were newly diagnosed with hepatitis C virus (HCV) infection and enrolled into the Swiss Hepatitis C Cohort Study during the years 2002-2004. Survey respondents (n = 86, 52.1%) were comparable to non-respondents with respect to severity of liver disease, history of substance abuse and psychiatric co-morbidities. Seventy percent of survey respondents reported having been offered antiviral treatment. Patients deferred from treatment had less advanced liver fibrosis, were more frequently infected with HCV genotypes 1 or 4 and presented more often with a history of depression. There were no differences regarding age, socio-economic background, alcohol abuse, intravenous drug abuse or methadone treatment when compared with patients to whom treatment was proposed. Ninety percent of eligible patients agreed to undergo treatment. Overall, 54.6% of respondents and 78.3% of those considered eligible had actually received antiviral therapy by 2007. Ninety-five percent of patients reported high satisfaction with their own hepatitis C management. Consistent with latest international consensus guidelines, patients enrolled in the Swiss Hepatitis C Cohort with a history of substance abuse were not withheld antiviral treatment. A multidisciplinary approach is warranted to provide antiviral treatment to patients suffering from depression.
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The following study was a secondary analysis of data drawn from adolescents in South Western Ontario. The purpose of the study was to: examine the relationships among substance use and school outcomes, explore the relationships between gender and school outcomes, examine the moderating potential of gender on the substance useschool outcomes relationship, and to provide researchers and educators further knowledge of adolescent substance use behaviours. Many previous studies have failed to include the three most common substances used by adolescents (i.e., alcohol, tobacco, and marijuana). Furthermore, many studies have included only one school outcome instead of comparing several outcome variables. Moderated hierarchical regression was used to determine if gender moderated the substance use-school outcomes relationships. The dependent variables consisted of alcohol use, binge drinking, tobacco use, and marijuana use. Five measure of school outcomes were used as independent variables, including Grade Point Average, Positive School-role Behaviour, Negative School Behaviour, School Withdrawal, and School Misbehaviour. The results for this study indicated that substance use and gender were both predictors of all school outcome variables. Furthermore, gender was found to moderate 5 of the 25 substance use-school outcome relationships.
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Contexte: L’anhédonie, un état caractérisé par une capacité réduite d’éprouver du plaisir. Des études cliniques récentes montrent qu’un médicament antipsychotique atypique, la quétiapine, est bénéfique pour le traitement de la toxicomanie qui est supposé d’atténuer les symptômes de sevrage associés à l’usage abusif des drogues psychotropes. Le but de la présente étude était d’étudier les effets de l'administration aiguë de quétiapine sur la récompense chez des animaux en état de sevrage après un traitement chronique avec l’amphétamine. Notre hypothese est que la quetiapine va diminuer l’anhedonie causer par le sevrage. Méthodes: Les expériences ont été effectuées avec des rats mâles de la souche Sprague-Dawley entraînés à produire une réponse opérante pour obtenir une courte stimulation électrique au niveau de l'hypothalamus latéral. Des mesures du seuil de récompense ont été déterminées chez différents groupes de rats avant et pendant quatre jours après le traitement avec des doses croissantes (1 à 10 mg/kg, ip toutes les 8 heures) de d-amphétamine sulfate, ou de son véhicule, au moyen de la méthode du déplacement de la courbe. L’effet de deux doses de quétiapine a été testé 24 h après le sevrage chez des animaux traités avec l’amphétamine ou le véhicule. Résultats: Les animaux traités avec l’amphétamine ont montré une augmentation de 25% du seuil de récompense 24 h après la dernière injection, un effet qui a diminué progressivement entre le jour 1 et le jour 4, mais qui est resté significativement plus élevé en comparaison de celui du groupe contrôle. La quétiapine administrée à 2 et 10 mg/kg pendant la phase de sevrage (à 24 h) a produit une augmentation respective de 10 % et 25 % du seuil de recompense; le meme augmentation du seuil a été observe chez les animaux traitées avec le véhicule. Un augmentation de 25 % du seuil de recompense a aussi été observés chez les animaux en état de sevrage à l'amphétamine. Un test avec une faible dose d’amphétamine (1 mg/kg) avant et après le sevrage a révélé une légère tolérance à l’effet amplificateur de cette drogue sur la récompense, un phénomène qui pourrait expliquer l’effet différent de la quétiapine chez les animaux traités avec le véhicule et ceux traités avec l’amphétamine. Conclusions: Ces résultats reproduisent ceux des études précédentes montrant que la quétiapine produit une légère atténuation de la récompense. Ils montrent également que le sevrage à l’amphétamine engendre un léger état d'anhédonie et que dans cet état, une dose élevée de quetiapine et non pas une dose faible accentue l’état émotionnel négatif. Ils suggèrent qu’un traitement à faibles doses de quétiapine des symptômes de sevrage chez le toxicomane devrait ni aggraver ni améliorer son état émotionnel.
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Il est possible qu’une personne qui consulte pour un problème d’utilisation de substances souffre également d’un problème associé à un état de stress post-traumatique ( ESPT ). Plusieurs auteurs croient qu’il existe un lien expliquant cette co-morbidité. Voilà pourquoi plusieurs hypothèses ont été formulées pour expliquer le lien entre un trouble tel que celui lié à l’utilisation de substance (TUS) pouvant exister avant l’ESPT, la vulnérabilité suite au TUS, ainsi que l’automédication. Plusieurs recherches proposent deux types d’interventions afin d’aider les personnes aux prises avec cette double problématique. La première consiste à traiter les deux problèmes séparément alors que la seconde, préconise une approche intégrée et simultanée. Puisque les écrits conseillent davantage un traitement intégré, il y aura une présentation d’une de ces formes de traitement nommé « À la recherche de la sécurité ». Le volet académique visait à comprendre le lien existant entre le TUS, les traumas psychologiques et l’ESPT ainsi que les différentes formes d’interventions pour aider les personnes ayant cette co-morbidité. Nous avons utilisé un module du programme « À la recherche de la sécurité » récemment traduit en français afin de vérifier sa mise en application et l’appréciation qu’en ont fait cinq usagers du Centre Dollar-Cormier-Institut universitaire sur les dépendances (CDC-IUD) ayant vécu un traumatisme au cours de leur vie. En conclusion, il sera démontré dans nos résultats que les hypothèses quant au lien de comorbidité sont effectivement présentes dans la réalité des personnes ayant un ESPT et un TUS, et qu’une intervention intégrée offre des points positifs autant pour l’usager que pour l’intervenant.
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Les problèmes de toxicomanie sont très communs chez les schizophrènes. L’administration chronique d’antipsychotiques pourrait être impliquée dans cette cooccurrence en induisant une hypersensibilisation du système dopaminergique. Précédemment, nous avons démontré chez le rat qu’un traitement continu (via une mini-pompe osmotique sous-cutanée), et non pas intermittent (via des injections journalières sous-cutanées), avec l’halopéridol a augmenté la capacité de l’amphétamine à potentialiser un comportement de recherche de récompense. Dans cette étude, nous avons étudié les effets d’un antipsychotique atypique soit l’olanzapine comparé à l’halopéridol. Un traitement continu avec l’halopéridol, et non pas l’olanzapine, a augmenté la capacité de l’amphétamine de potentialiser la poursuite d’une récompense conditionnée (lumière/son préalablement associés à l’eau). De plus, un traitement continu avec l’halopéridol a augmenté l’induction par l’amphétamine de l’activité locomotrice et l’expression d’ARNm pour le c-fos (marqueur fonctionnel d’activité cellulaire) dans le caudé-putamen. Donc, un traitement continu avec un antipsychotique typique, et non pas atypique, a augmenté les caractéristiques motivationnelles attribuées à un stimulus neutre. Ceci est potentiellement lié à au développement d’un état de sensibilisation comportementale aux effets de l’amphétamine et à une augmentation de la capacité de l’amphétamine de susciter la modulation de l’activité du caudé-putamen. Ainsi, un antipsychotique typique tel que l’halopéridol semble modifier les circuits de la récompense de façon à contribuer à des comportements caractérisés par une recherche et une consommation de drogues d’abus alors qu’un antipsychotique atypique tel que l’olanzapine aurait moins tendance à le faire. Nous suggérons que les antipsychotiques atypiques pourraient être une meilleure option chez les patients schizophrènes à risque d’avoir un trouble de consommation de drogues d’abus ou de toxicomanie.
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Rapport de stage présenté en vue de l’obtention du grade de Maître ès sciences (M.Sc.) En criminologie option stage – profil intervention clinique
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Driving while impaired (DWI) is a grave and persistent high-risk behavior. Previous work demonstrated that DWI recidivists had attenuated cortisol reactivity compared to non-DWI drivers. This suggests that cortisol is a neurobiological marker of high-risk driving. The present study tested the hypothesis that this initial finding would extend to first-time DWI (fDWI) offenders compared to non-DWI drivers. Male fDWI offenders (n = 139) and non-DWI drivers (n = 31) were exposed to a stress task, and their salivary cortisol activity (total output and reactivity) was measured. Participants also completed questionnaires on sensation seeking, impulsivity, substance use, and engagement in risky and criminal behaviors. As hypothesized, fDWI offenders, compared to non-DWI drivers, had lower cortisol reactivity; fDWI offenders also showed lower total output. In addition, cortisol activity was the most important predictor of group membership, after accounting for alcohol misuse patterns and consequences and other personality and problem behavior characteristics. The findings indicate that attenuated cortisol activity is an independent factor associated with DWI offending risk at an earlier stage in the DWI trajectory than previously detected.
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Toxicomanie et criminalité sont des comportements fréquemment associés. Dans un objectif de réduction de la récidive, le traitement des toxicomanes apparaît dans la littérature américaine comme une solution plus efficace que l'incarcération et beaucoup moins dispendieuse. Qu'en est-il au Québec ? Pour répondre à cette question, 20 intervenants de la région de Montréal et de Trois-Rivières œuvrant dans le domaine de la justice, de la sécurité publique et de la santé et des services sociaux ont été rencontrés dans le cadre de groupes de discussion. Les résultats de la consultation montrent que si le traitement des toxicomanes judiciarisés est une idée intéressante en soi, plusieurs difficultés surgissent dans son application en raison notamment de la différence de culture des milieux impliqués. Cependant, une bonne communication, le respect des expertises de chacun, et une certaine tolérance vis-à-vis des objectifs de ses partenaires constituent des conditions qui rendraient possible, du moins sur papier, les expériences de déjudiciarisation en matière de toxicomanie.
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El suicidio es un problema de salud resultando 1000.000 de muertes anuales, siendo mayores en pacientes con enfermedades psiquiátricas, lo cual genera costos en atención llegando hasta 46,024 USD anuales. Objetivo: Determinar la prevalencia y factores asociados al intento suicida en pacientes con antecedente psicótico. Métodos: Estudio de corte transversal, 226 pacientes de consulta externa en la Clínica La Paz, Bogotá; entre 2008-2009. Información recolectada por entrevista directa con el paciente/cuidador mediante cuestionario que evaluó factores demográficos, consumo, adherencia, clínicos y atención. Resultados: La distribución por género fue similar, promedio de edad de 41,11±12,5 años y mediana de 41 años. Prevalencia del 26% de intento suicida. Diagnóstico más frecuente: esquizofrenia (53.5%). La mayoría de los pacientes vivía con sus familiares (91,2%). Factores asociados al aumento de la probabilidad de intento suicida fueron: género femenino (OR = 1,77; IC 0,919-3,422), ingesta de alcohol (OR = 2,43; IC 95: 1,07-5,51) y tener hospitalización previa con duración menor a 10 días (OR = 2,065; IC 95: 1,086-3,928). Los factores asociados con menor probabilidad de intento suicida en el último año fueron las relacionados con adherencia. Mientras que el alcohol se determinó como un factor asociado que aumentó la probabilidad de intento suicida en los últimos 5 años (OR = 1,68 IC 95: 1,17-22,17). Conclusiones: Ser de género femenino, ingerir alcohol y haber tenido hospitalización previa menor a 10 días son factores asociados a mayor probabilidad de intento suicida. La adherencia al tratamiento es un factor asociado con menor probabilidad del dicho desenlace.
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Introducción: el Trastorno Límite de la Personalidad afecta del 2% al 6% de los adultos en Estados Unidos. Es una condición de alta relevancia dentro de las patologías psiquiátricas debido a características como impulsividad, inestabilidad en las relaciones interpersonales, disregulación en el estado de ánimo y comportamiento agresivo. Esto determina un impacto negativo en la funcionalidad del individuo siendo la agresividad contra sí mismo o contra otras personas uno de sus componentes claves. Métodos: Revisión sistemática de la literatura de artículos de bases de datos y búsqueda manual de revistas relacionadas que aportaran la mejor evidencia con el fin de encontrar estudios que evaluaran, con instrumentos objetivos, los tratamientos farmacológicos disponibles para el manejo de la agresividad en el TLP .Se evaluó calidad metodológica y los estudios se organizaron en tablas de evidencia. Resultados: La búsqueda arrojo 1081 artículos de los cuales se seleccionaron 52 como potenciales y cinco fueron incluidos en esta revisión. Se clasificaron como nivel de evidencia Ib. El topiramato, el aripiprazol, el divalproato y la fluoxetina mostraron mejores resultados que el placebo especialmente en agresividad e impulsividad. El topiramato fue asociado con pérdida de peso. Los medicamentos fueron seguros y bien tolerados. Discusión: Los medicamentos evaluados mostraron ser mejores que placebo. La diversidad en las escalas utilizadas genera complejidad en la interpretación de resultados. Conclusión: La evidencia sugiere que el tratamiento farmacológico es efectivo en síntomas como agresividad e impulsividad comparado con placebo. Deben considerarse estudios que evalúen combinaciones de fármacos y psicoterapia.
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Introducción: Es una necesidad para los países del mundo, tener información epidemiológica mucho más precisa y oportuna sobre las sustancias psicoactivas (SPA), partiendo del conocimiento científico de porqué unas personas abusan de las sustancias y otras no. El objetivo de investigación es establecer el perfil epidemiológico y evolución de los pacientes consumidores de SPA que acuden al servicio de toxicología de Colsubsidio durante el 2011 y 2012. Caracterizar la población, identificar su patrón de consumo y explorar las tendencias, para poder generar estrategias dirigidas de atención y prevención. Metodología: Estudio descriptivo observacional exploratorio retrospectivo. 610 historias clínicas fueron analizadas para variables epidemiológicas y clínicas, por medio de análisis univariados acorde al tipo de variable y análisis bivariados exploratorios en los cuales se compararon proporciones. Resultados: Se evaluaron un total de 610 pacientes, 475 hombres y 135 mujeres. El promedio de edad, la mediana y la moda fue de 24,9, 17 y 16 años respectivamente; la mayoría solteros y cursando bachillerato; la mayoría menores de 18 años fueron remitidos por ICBF y psiquiatría. Los patrones de abuso y dependencia representaron los porcentajes más elevados. Las sustancias más consumidas fueron marihuana, etanol y tabaco. El tratamiento para el 44,3% de los pacientes fue valoración por especialidades, seguido de básico (33,1%), y sólo 1,1% asistieron para prevención en el consumo de SPA. Discusión: Es necesario dirigir los esfuerzos y recursos a la generación de campañas de diagnóstico temprano y prevención en el consumo de SPA principalmente para la población adolescente.
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El trasplante de órganos y/o tejidos es considerado como una opción terapéutica viable para el tratamiento tanto de enfermedades crónicas o en estadios terminales, como de afectaciones no vitales, pero que generen una disminución en la calidad de vida percibida por el paciente. Este procedimiento, de carácter multidimensional, está compuesto por 3 actores principales: el donante, el órgano/tejido, y el receptor. Si bien un porcentaje significativo de investigaciones y planes de intervención han girado en torno a la dimensión biológica del trasplante, y a la promoción de la donación; el interés por la experiencia psicosocial y la calidad de vida de los receptores en este proceso ha aumentado durante la última década. En relación con esto, la presente monografía se plantea como objetivo general la exploración de la experiencia y los significados construidos por los pacientes trasplantados, a través de una revisión sistemática de la literatura sobre esta temática. Para ello, se plantearon unos objetivos específicos derivados del general, se seleccionaron términos o palabras claves por cada uno de estos, y se realizó una búsqueda en 5 bases de datos para revistas indexadas: Ebsco Host (Academic Search; y Psychology and Behavioral Sciences Collection); Proquest; Pubmed; y Science Direct. A partir de los resultados, se establece que si bien la vivencia de los receptores ha comenzado a ser investigada, aún es necesaria una mayor exploración sobre la experiencia de estos pacientes; exploración que carecería de objetivo si no se hiciera a través de las narrativas o testimonios de los mismos receptores
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The purpose of this study was to examine the reliability, validity and classification accuracy of the South Oaks Gambling Screen (SOGS) in a sample of the Brazilian population. Participants in this study were drawn from three sources: 71 men and women from the general population interviewed at a metropolitan train station; 116 men and women encountered at a bingo venue; and 54 men and women undergoing treatment for gambling. The SOGS and a DSM-IV-based instrument were applied by trained researchers. The internal consistency of the SOGS was 0.75 according to the Cronbach`s alpha model, and construct validity was good. A significant difference among groups was demonstrated by ANOVA (F ((2.238)) = 221.3, P < 0.001). The SOGS items and DSM-IV symptoms were highly correlated (r = 0.854, P < 0.01). The SOGS also presented satisfactory psychometric properties: sensitivity (100), specificity (74.7), positive predictive rate (60.7), negative predictive rate (100) and misclassification rate (0.18). However, a cut-off score of eight improved classification accuracy and reduced the rate of false positives: sensitivity (95.4), specificity (89.8), positive predictive rate (78.5), negative predictive rate (98) and misclassification rate (0.09). Thus, the SOGS was found to be reliable and valid in the Brazilian population.
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Background: Functional neuroimaging studies have shown that specific brain areas are associated with alcohol craving including the dorsolateral prefrontal cortex (DLPFC). We tested whether modulation of DLPFC using transcranial direct current stimulation (tDCS) could alter alcohol craving in patients with alcohol dependence while being exposed to alcohol cues. Methods: We performed a randomized sham-controlled study in which 13 subjects received sham and active bilateral tDCS delivered to DLPFC (anodal left/cathodal right and anodal right/cathodal left). For sham stimulation, the electrodes were placed at the same positions as in active stimulation; however, the stimulator was turned off after 30 s of stimulation. Subjects were presented videos depicting alcohol consumption to increase alcohol craving. Results: Our results showed that both anodal left/cathodal right and anodal right/cathodal left significantly decreased alcohol craving compared to sham stimulation (p < 0.0001). In addition, we found that following treatment, craving could not be further increased by alcohol cues. Conclusions: Our findings showed that tDCS treatment to DLPFC can reduce alcohol craving. These findings extend the results of previous studies using noninvasive brain stimulation to reduce craving in humans. Given the relatively rapid suppressive effect of tDCS and the highly fluctuating nature of alcohol craving, this technique may prove to be a valuable treatment strategy within the clinical setting. (C) 2007 Elsevier Ireland Ltd. All rights reserved.
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Aims To describe, in the context of DSM-V, how a focus on addiction and compulsion is emerging in the consideration of pathological gambling (PG). Methods A systematic literature review of evidence for the proposed re-classification of PG as an addiction. Results Findings include: (i) phenomenological models of addiction highlighting a motivational shift from impulsivity to compulsivity associated with a protracted withdrawal syndrome and blurring of the ego-syntonic/ego-dystonic dichotomy; (ii) common neurotransmitter (dopamine, serotonin) contributions to PG and substance use disorders (SUDs); (iii) neuroimaging support for shared neurocircuitries between behavioural and substance addictions and differences between obsessivecompulsive disorder (OCD), impulse control disorders (ICDs) and SUDs; (iv) genetic findings more closely related to endophenotypic constructs such as compulsivity and impulsivity than to psychiatric disorders; (v) psychological measures such as harm avoidance identifying a closer association between SUDs and PG than with OCD; (vi) community and pharmacotherapeutic trials data supporting a closer association between SUDs and PG than with OCD. Adapted behavioural therapies, such as exposure therapy, appear applicable to OCD, PG or SUDs, suggesting some commonalities across disorders. Conclusions PG shares more similarities with SUDs than with OCD. Similar to the investigation of impulsivity, studies of compulsivity hold promising insights concerning the course, differential diagnosis and treatment of PG, SUDs, and OCD.