284 resultados para créations artistiques
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La musique aujourd’hui est régulièrement accompagnée d’environnements visuels. Depuis les propositions en provenance du vidéoclip jusqu’aux œuvres installatives en passant par l’art web ou le cinéma, l’audiovisuel occupe une place considérable dans notre monde médiatisé et constitue un foyer important du développement des pratiques musicales. L’alliage entre son et image est souvent rattachée à l’histoire du cinéma mais les prémisses entourant l’audiovisuel remontent en réalité à l’Antiquité. Les correspondances entre sons et couleurs ont pris racine en premier chez les Pythagoriciens et cet intérêt se poursuit encore aujourd’hui. L’avènement de différentes technologies est venu reformuler au fil des siècles cette recherche qui retourne du décloisonnement artistique. L’arrivée de l’électricité permet au XIXe siècle le développement d’une lutherie expérimentale avec entre autres l’orgue à couleur d’Alexander Rimington. Ces instruments audiovisuels donnent naissance plus tard au Lumia, un art de la couleur et du mouvement se voulant proche de la musique et qui ne donne pourtant rien à entendre. Parallèlement à ces nouvelles propositions artistiques, il se développe dès les tout début du XXe siècle au sein des avant-gardes cinématographiques un corpus d’œuvres qui sera ensuite appelé musique visuelle. Les possibilités offertes par le support filmique vient offrir de nouvelles possibilités quant à l’organisation de la couleur et du mouvement. La pratique de cet art hybride est ensuite reformulée par les artistes associés à l’art vidéo avant de connaitre une vaste phase de démocratisation avec l’avènement des ordinateurs domestiques depuis les années 1990. Je retrace le parcours historique de ces pratiques audiovisuelles qui s’inscrivent résolument sur le terrain du musical. Un parcours appuyé essentiellement sur des œuvres et des ouvrages théoriques tout en étant parsemé de réflexions personnelles. Je traite des enjeux théoriques associés à ces propositions artistiques en les différenciant d’un autre format audiovisuel majeur soit le cinéma. Cet exposé permet de préparer le terrain afin de présenter et contextualiser mon travail de création. Je traite de deux œuvres, Trombe (2011) et Lungta (2012), des propositions qui héritent à la fois des musiques visuelles, de l’art interactif et de l’art cinétique.
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L’Atelier contemporain recueille la plupart des textes sur l’art de Francis Ponge. Malgré sa réputation de « poète des choses », celui-ci n’y écrit pourtant pas avant tout sur les œuvres finies (les tableaux), mais plutôt sur les artistes mêmes. S’appuyant sur un approfondissement de la conceptualisation de la poétique pongienne comme érotique entre le sujet et l’objet, ce mémoire cherche à découvrir, à travers les questions particulières que la peinture pose à l’écriture de Ponge, les raisons du déplacement du regard de l’écriture de la chose muette à la personne parlante. Il semble que Ponge, face à des œuvres artistiques non verbales, soit à la recherche d’une signifiance qu’il ne peut trouver, ce qui l’oblige à se tourner vers les personnes. Mais ces personnes finissent toujours par céder la première place, dans L’Atelier contemporain, au « je » du poète.
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Thèse réalisée en cotutelle avec l'Institut d'Études théâtrales de l'Université Sorbonne nouvelle - Paris 3
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Prenant le parti d’étudier la culture numérique émergente selon des rapports de continuité plutôt que de rupture, cet article envisage la question de l’auctorialité féminine sur le web au regard du mythe antique de Dibutade. Il semble en effet que Dibutade, en sa qualité de figure fondatrice de nombreuses pratiques artistiques, nous permet de porter un éclairage tout à fait intéressant sur la façon dont certaines bloggeuses affirment leur statut de femme auteur, jouant rôle majeur et moteur dans l’émergence et la reconnaissance d’une littérature numérique (conçue en ligne, publiée en ligne). Les analyses conduites dans cet article entendent souligner le potentiel esthétique de certaines pratiques d’écriture en ligne souvent ignorées par les études littéraires : les profils Facebook, les blogues érotiques voire pornographiques.
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Dans la Politique, Aristote distingue quatre « espèces » de démocratie. Le présent article tâche de déterminer dans quelle mesure le passage de la première à la quatrième espèce peut s’interpréter comme un progrès vers une forme constitutionnelle plus accomplie et plus parfaite. Aristote, autrement dit, conçoit-il un perfectionnement des formes politiques comme il conçoit, par ailleurs, le perfectionnement des formes artistiques et des formes de vie ?
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Les travaux ici présentés se définissent explicitement comme des recherches sur des situations de formation d’enseignants non spécialistes aux problématiques des Enseignements Artistiques et Culturels1 [EAC]. Cela ne signifie pas que ces travaux relèvent de ce qui serait une «recherche appliquée»; bien au contraire, nous postulons que ces situations professionnelles renvoient à la recherche «fondamentale» en sciences des arts des questions originales et difficiles. Une des difficultés de la formation d’enseignants polyvalents est justement de leur apporter, dans des délais forcément réduits, des connaissances solides, alors qu’elles portent sur des champs disciplinaires multiples, et sur des noeuds théoriques qui se révèlent complexes
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Le Grand-Guignol n’a reçu que peu d’attention critique sérieuse jusqu’à la fin des années 1980. Ce petit théâtre a pendant 65 ans, de 1897 à 1962, offert des pièces d’un genre nouveau mêlant terreur, violence et souvent érotisme. Le succès était au rendez-vous et le Théâtre du Grand-Guignol est longtemps resté une attraction incontournable de Paris. Les pièces choisies pour ce mémoire sont issues de ce répertoire et ont cela de particulier qu’elles ont été écrites en collaboration entre un écrivain, André de Lorde, et un psychologue, Alfred Binet. Malgré leurs différences, ces pièces ont une constante, un point commun : elles suscitent toutes la peur chez le spectateur. C’est précisément la façon dont Binet et de Lorde établissent cette peur à travers leurs pièces qui sera l’objet d’étude de ce mémoire. Ce mémoire se limite à l’analyse de deux œuvres en particulier : L’Obsession, et Une leçon à la Salpêtrière. Appréhender la notion de peur dans une œuvre théâtrale impose de réfléchir non seulement aux thèmes développés mais également à la construction dramatique du récit et à sa mise en scène. Dans le cas spécifique d’une pièce Grand-Guignol, il y aura une dimension supplémentaire à inclure : ce que l’on peut appeler « l’expérience Grand-Guignol ». De quelles façons le fait même d’aller voir une pièce dans ce théâtre participait-il à l’anticipation et au sentiment de peur nécessaire à l’efficacité des pièces ? Après un bref rappel de l’histoire du Grand-Guignol, les causes externes comme le quartier de Montmartre, mais aussi les habiles coups publicitaires des premiers directeurs artistiques ainsi que la configuration du théâtre lui-même sont étudiées pour montrer comment elles ont largement contribué à créer un véritable mythe autour du Grand-Guignol. Dans la deuxième partie, une analyse spécifique des deux pièces mentionnées précédemment est faite. Les questions suivantes ont été posées : sur quels thèmes pouvaient bien jouer les auteurs pour toucher leur public ? En quoi ces thèmes reflétaient-ils les peurs de l’époque, c’est-à-dire de la « Belle Epoque » ? Dans la dernière partie, une analyse textuelle et scénique a été faite au cours de laquelle il a été tenté de comprendre comment les auteurs provoquent et entretiennent la peur et l’angoisse à travers à la fois la construction dramatique des pièces et leurs jeux de scène.
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Partindo de duas questões teóricas preliminares, uma, da representação (literária e cinematográfica)do real e do imaginário, tanto no ângulo da produção como no da sua recepção e, a outra, da articulação entre formas de expressão artísticas distintas, ou seja, da interdisciplinaridade, este trabalho examina a presença do tema relativo aos limites entre realidade e fantasia no teatro, no cinema e na literatura, centrando sua atenção na obra de Harold Pinter. Consta de duas partes, cada uma com três capítulos. Na primeira, "Os pressupostos," discute-se as questões que fornecem seu substrato teórico. A segunda é dedicada ao corpus, identificando em seu título o tema investigado: "Os limites da realidade." Quanto à questão da representação, procura-se refutar "a afirmação de que a arte seja uma imitação da realidade. Uma releitura da Poética, de Aristóteles, reforçada pela opinião de diversos estudiosos da mesma, permite afirmar que a mÍmese corresponde, isto sim, a uma representação que envolve uma construção em que elementos da realidade são organizados segundo uma verdade criada pela própria obra, de acordo com critérios inerentes a ela. Além disso, através de uma leitura de Kathryn Hume, procura-se afirmar a interação sinestésica quase que permanente dos impulsos realista e da fantasiana literatura, identificando os tipos com que a fantasia se manifesta e as técnicas usadas para sua criação. A primeira parte encerra-se com um exame do relacionamento da literatura com as artes visuais e dramáticas, relações inter-disciplinares que situam este trabalho na literatura comparada.Dentre vários autores cujas obras contribuem para tal fim, destaca-se Martin Esslin, que estabelece os limitesde cada uma das artes dramáticas, identifica contatos delas com a literatura e permite, através de uma leitura de seu estudo sobre o teatro do absurdo, seja estabelecida a evolução que liga Aristóteles a Pinter. O corpus centra-se na obra de Pinterpara o teatro e para o cinema, sem limitar-se a ela,pois são também analisadas obras de outros escritores e cineastas, estabelendo-se aproximações ou contrastes entre elas. No quarto capítulo estão agrupadas obras nas quais desponta a imposição de verdades pela força fisica ou verbal. A luta pelo poder, a expulsão de elementos estranhos, dúvidas sobre a identidade e a inter-penetrablidade arte-vida caracterizam o capítulo seguinte. A ênfase temática do sexto capítulo recai sobre as limitações impostas pela condição humana. Praticamente todas as obras expressam a impossibilidade da existência de certezas absolutas e de uma perfeita distinção dos limites da realidade. Com isso, é possível afirmar não ser o objetivo da arte reproduzir a realidade. Mesmo que o fosse, tal tentativa resultaria infrutífera devido às limitações humanas.
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O objetivo deste trabalho foi o de tentar entender o contexto do menor institucionalizado, questionando até que ponto a arte na instituição é buscada pela arte; se a arte propicia a busca de identidade e influi na auto-estima do menor, e se ela contribui para a reintegraçãodo me nor na sociedade. Este estudo volta-se em sua introdução para a ca racterização da problemática do menor partindo de uma descrição sobre o SAM (Serviço de Assistência a Menores) e a FUNABEM (Fundação Nacional do Bem-Estar do Menor) para poder situar o menor institucionalizado e compreender o seu processo de institucionalização, ressaltando, nesta, dados relativos às atividades mucicais. Inicialmente, apresenta-se o resultado de estudos de teses e subsídios de livros e artigos publicados sobre o menor institucionalizado e o processo de institucional ização. A seguir o referencial teórico é explicitado abor dando-se aspectos importantes e, em especial os efeitos da institucionalização e da arte no desenvolvimento psicossocial do menor. Duas instituições foram mais de perto descritas: (SAM e FUNABEM) e, em seguida, partiu-se para a caracterização da ASSEAF (Associação de. Ex-alunos da Fundação Nacio nal do Bem-Estar do Menor), onde foram buscados os ex-alunos que participaram da pesquisa. A metodologia da pesquisa se aproxima a fenomeno lógica, tendo como sujeitos os ex-alunos do SAM e da FUNA BEM ligados à arte, os quais se encontravam alguns na ASSEAF, e outros, no Corpo de Bombei ros do Estado do Rio de Janeiro. Estes ex-alunos deram seus depoimentos em situação de entrevistas semi- estrutura das. Foram realizados também discussões em grupo, levantamento de documentos e outras informações constantes dos arquivos da ASSEAF. Os resultados da análise são discutidos tendo sido feita a categorização de todo o material recolhido. Concluiu-se, do ponto de vista dos ex-alunos,que a arte musical deveria ser procurada, respondendo por uma vocação - em alguns casos isto até acontece - mas, na instituição, esta procura funciona como uma troca de vantagens e benefícios; prestígio para o aluno versus prestígio para a instituição. Nessa troca de benefícios, a arte posibilita a busca de identidade à medida em que proporciona oportunidades de realização pessoal, elevação da auto-estima, melhoria de relacionamentos, e, sobretudo, uma identificação com a música. Porém, os efeitos da prática das atividades artísticas musicais não são suficientemente consistentes no sentido de determinar a plena reintegração do menor a sociedade, pois depende de um grande número de fatores. Mesmo no plano dessa visão positiva em relação à arte musical, encontram-se evidências de ambiguidade que perpassam por todas as representações analisadas nas conclusões. Assim é que os ex-alunos, muitas vezes, reforçam o uso institucional da prática artística musical, em contraposição aos efeitos benéficos que dela advêm. E, quando falam na música como centro de sua identificação, indicam o interesse e o esforço pessoal como fatores marcantes em direção a essa possibilidade de identificação.
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O presente estudo propõe uma análise crítica dos objetivos e estratégias dos três movimentos de educação popular mais expressivos no Brasil, no periodo de 1961-64, as quais tinham como objetivo último transformações qualitativas na estrutura social: o Movimento de Educação de Base (MEB), o Movimento de Cultura Popular de Recife (MCP) e o Centro Popular de Cultura (CPC) da União Nacional dos Estudantes(UNE). A análise crítica foi feita a partir de referencial teórico elaborado com base na teoria de Gramsci, com elementos para explicar a dinâmica das forças sociais em Estado capitalista, levando em consideração o contexto econômico, social e politico da época como pressuposto necessãrio à análise de um fato social. Interessou, sobremodo, no referencial, identificar os espaços de ação que escaparam ao controle da classe dominante, permitindo a formação de uma contra-hegemonia. A ação dos intelectuais, fundamental nesta dimensão, uma vez que se trata de criar nova concepção de história, foi analisada enquanto se propôs despertar o dinamismo residente na camada popular e canalizá-lo para fins político-sociais de transformação qualitativa da ordem vigente. Sem conclusões definitivas - os movimentos só atuaram três anos, até serem supressos em abril de 1964 - o estudo reconhece uma expressiva atuação do MEB e MCP na conscientização e treinamento da camada popular em sentido da formação de contra-hegemonia, destacando-se o surgimento e formação de lideranças nesta camada. O CPC, com maior caráter de mobilização, teve ação menos significativa com a camada popular, no entanto ele se distinguiu pela elaboração artistica e cultural. Não apareceu, nos três movimentos, uma visão teórica suficientemente clara sobre as possibilidades de transformação qualitativa em Estado capitalista e não houve a canalização e orientação política que era de se esperar no dinamismo despertado na camada popular.
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A proposta deste trabalho consiste, primeiramente, em apresentar a questão do discurso que, na filosofia ocidental, ficou confinado a um espaço entre pensamento e linguagem, confundindo- se ora com o primeiro, ora com a segunda. A seguir, procura-se mostrar que Foucault, ao libertar o discurso, torna-o objeto de saber e cria o saber apropriado a este objeto, deixando claro que todo discurso é um processo de produção de sentido. o discurso que circula nos interstícios da prática pedagógica produz um determinado sentido que muitas vezes se caracteriza pelo silêncio. Tal discurso pode configurar-se de forma autoritária, crítica ou singular. Para penetrar neste último modo de engendramento do discurso, estudam-se os processos de singularização, procurando compreendê-los e estendê-los aos espaços pedagógicos. Este estudo conta com a análise das contribuições de Guattari. Os lugares pedagógicos, onde poderia florescer este discurso de singularização, tomam forma e se definem em um espaço pedagógico concreto, na cidade de São João del-Rei que, impregnada pelo estilo barroco, possui características culturais,históricas e artísticas que propIcIam um clima favorável aos processos de singularização. Em decorrência, as produções pedagógicas também se aliam a tais processos e, assim, através da análise temática destas produções, pode-se apontar pistas ou sinais que indicam o caminho para o qual tende o discurso pedagógico. Na concl usão, traça-se uma síntese onde se procura evidenciar que as produções pedagógicas, em São João del-Rei, participam do dinamismo de um discurso afeito aos processos de singularização.
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A abertura política brasileira iniciada no ano de 1978 não parece estar sendo acompanhada, na área da cultura, por uma retomada do vigor da criação cultural verificado na década de 60 e que foi interrompido pelo regime autoritário instalado no país. A penetração da lógica mercantil no âmbito cultural vem dificultando a expressão de formas artísticas e empurrando a criação no sentido do consumo de entretenimento. O cinema brasileiro, por exemplo, encontra-se em dificuldade pois afastou-se de sua proposta original de vir a ser um cinema expressivo culturalmente sem, por outro lado ter conseguido se estabelecer como uma manifestação da chamada cultura de massas. A abertura política não trouxe mudanças culturais importantes porque, mais do que um problema político circunstancial, vivemos a crise de um mundo que desvaloriza a dimensão estética da vida na medida em que transforma seus homens em meros consumidores, comandados por um sistema que prescinde cada vez mais do pensamento, da vontade e da capacidade de escolha de cada um desses homens.
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Cette recherche vise à réfléchir sur la culture vers le point de vue de l'art. À partir de la pensée d'Antonin Artaud (1896-1948), qui nos invite à penser la culture tel comme une ramification de la vie. Le théâtre, la scène pour ses nombreuses créations, il se déplace dans l'espace, une fois qu'Artaud vas essayer de vivre leurs expériences scéniques a partir de son propre théâtre, le Théâtre de la Cruauté, avec des actions vecue, en nient alors la représentation. Ainsi Artaud a fait de votre existence une oeuvre d'art, il transporte à sa propre vie l'esthétique de la cruauté, tel comme il l'a compris. Cette étude présente le concept de la cruauté artaudienne, l'attachant à la culture, donnant lieu a ce qu'on appelle la Culture de la Cruauté
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Cette étude présente l anthropophagie comme une notion théorique et experiementale du corps qui réhabilite le sensible et réveille le monde perçu. L argumentation fait ressortir la dimension sensible du corps et de la connaissance, en considerant sa sensibilité et motricité, corps qui ne se sépare pas de la nature et de l histoire, en actuant dans le monde comme présence vive, originaire, en mouvement ; en supposant un sujet qui, au même temps que construit ses propres senses, il dépend de l expérience de l autre et du monde, en créant et en recréant la culture, et il agrandit le processus de connaître, de sentir, de penser, d agir, d être, de se transformer. Cette attitude annonce une connaissance sensible et un corps qui est suscetible de sensations, mais d expréssions aussi, de communication, de création, aspects indispensables pour se pensar l éducation comme un space sensible, d apprantissage et réssignification de la culture ; que dévient possible la communion avec le corps, le temps, le space ; qu enseigne à réapprendre à voir le monde, que considère la réversibilité des senses et l esthésie comme champs de l expérience sensible et de l imputation des senses ; qu évoque la beauté des multiples léctures du vécu et qu agrandit la compréhension du soi et de l autre. L objectif de ce travail est comprendre l anthropophagie comme une attitude du corps et de la connaisance sensible, qu approfondit la rélation de l être au monde, la rélation avec l autre et permet la création de senses culturelles, ésthetiques et éxistentielles our l éducation. Nos présentons l attitude phénomologique de Maurice Merleau-Ponty comme référence théorique et méthodologique de notre recherche. Il s agit d une attitude de la pensée qui place la conaissance au centre de nos expériences vécues au monde ; une attitude qui ne propose pas un sens définitif des choses et des personnes et qui contribue pour la compréhension de l anthropophagie, du corps, du sensible, du monde et de l autre, en indiquant des développements de ces réflexions pour l éducation. En créant des horizonts de sense et strastégies de pérception sur l anthopophagie, nos considérons comme choix notre expérience vécu, comme les voyages; atelier d extension avec des élèves du cours de Technologie en Production Culturelle de l Institut Fédéral d Éducation, Science et Technologie du Rio Grande do Norte-IFRN, Campus Cidade Alta ; l anthropophagie comme élement de l Art Moderne Brésilien ; les créations et les récits des élèves ; images ; filmes et livres recherchés ; dialogues avec les penseurs Lévi-Strauss, Montaigne et Oswald de Andrade, qui constituent nos principales références conceptuelles et qui ont permis traversé des savoirs et promouvoir un dialogue entre divers champs de connaissance, comme l Anthropologie, la Philosophie, l Art et l Éducation. Ces stratégies constituent le resultat partiel et inachevé d un processus de connaisance de soi et de l autre, que permet de revivre des mémoires, faire ressortir des couleurs, des senses, des goûts, des découvertes sensibles et encourageantes sur la connaissance, sur l art, des découvertes sur soi même, sur l autre, sur le monde, sur la vie, indiquant que l éducation peut être un processus fort sensible, dans lequel le corps est une présence indispensable, aussi comme le toucher, le créer, les delires, les affections, les encontres et l invention
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Caractérisation du "Poema-Processo" au long de sa trajectoire entre les années 1967 et 1972, au regard d´une lecture visant son insertion dans le mouvement d´avant-guarde de la deuxième moitié du XX° siècle, au Brésil. On vérifie la façon dont le mouvement du "Poema-Processo" s´est formé, comme dédoublement de l´art concret, ainsi comme ses adéquations à la conjoncture de son apparition au Brésil, s´établissant une comparaison entre la pratique du poème et les propositions des manifestes lancés. L´analyse des poèmes sélectionnés démontre leur co-relation avec les travaux visuels initiés par les avant-guardes historiques, ainsi comme les réponses de la pratique poétique à la théorie developpée par les principaux représentants, Wlademir Dias-Pinto, Álvaro de Sá et Moacy Cirne. La production poétique et culturelle de Moacy Cirne est abordée en observant sa pratique sur trois points fondamentaux: la production poétique, la critique littéraire donnant de l´emphase à la culture locale et au texte du "Poema-Processo", et la recherche du language des bandes dessinées.