965 resultados para Roman Empire
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Text in English and Latin, and English and French, in parallel columns.
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Mode of access: Internet.
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Subtitle, v. 16-18: The world's greatest war ... Editor-in-chief, Holland Thompson ... and other contributors.
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A continuation of the author's "The history of Christianity to the extinction of paganism in the Roman empire". cf. Pref. to 1st ed., v. 1.
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Thesis (Ph.D.)--University of Washington, 2016-03
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As religiões, em especial as monoteístas judaica, islâmica e cristã, sempre condenaram os homossexuais afirmando que a homossexualidade é um comportamento contrário às determinações religiosas e biológicas que Deus estipulou para a raça humana. Nesse contexto, o presente trabalho analisará qual o tratamento dado por alguns líderes cristãos e parlamentares evangélicos acerca das reivindicações LGBT, compreendendo o período de 2010 e 2013. A dissertação está dividida em três capítulos. No primeiro capítulo tratará sobre as origens, as definições, as aproximações e o distanciamento que guardam entre si os conceitos de laicidade e secularização, que servirão como pano de fundo para uma análise da presença religiosa privada no espaço político-público. O segundo capítulo fará uma análise histórica sobre o tratamento dado pela religião cristã aos homossexuais, com uma breve história a partir da ascensão da religião cristã e sua hegemonia como religião oficial do Império Romano. Ainda no segundo capítulo, será analisada a questão da homossexualidade e seu tratamento pela religião cristã, desde a época da colonização portuguesa até os dias atuais, com uma análise sobre a utilização da grande mídia (televisão, rádio e internet) pelas lideranças evangélicas, para desestabilizar e até mesmo evitar que os interesses da população LGBT sejam analisados e aprovados pelo poder público. No terceiro capítulo a dissertação aprofundará o tema com uma análise dos discursos dos parlamentares evangélicos sobre as reivindicações LGBT. Nesse contexto, será demonstrado como os discursos são direcionados a pontos específicos das reivindicações da população homossexual, para obstar suas pretensões no Congresso Nacional. Será analisado ainda, como os parlamentares evangélicos recuam em seus argumentos doutrinários (religiosos) e, passam a utilizar-se de argumentos políticos, jurídicos e sociais, tendo como objetivo fortalecer seus discursos e enfraquecer os argumentos dos ativistas LGBT na persecução de suas reivindicações.
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The organizational authority of the Papacy in the Roman Catholic Church and the permanent membership of the UN Security Council are unique from institutions that are commonly compared with the UN, like the Concert of Europe and the League of Nations, in that these institutional organs possessed strong authoritative and veto powers. Both organs also owe their strong authority during their founding to a need for stability: The Papacy after the crippling of Western Roman Empire and the P-5 to deal with the insecurities of the post-WWII world. While the P-5 still possesses similar authoritative powers within the Council as it did after WWII, the historical authoritative powers of the Papacy within the Church was debilitated to such a degree that by the time of the Reformation in Europe, condemnations of practices within the Church itself were not effective. This paper will analyze major challenges to the authoritative powers of the Papacy, from the crowning of Charlemagne to the beginning of the Reformation, and compare the analysis to challenges affecting the authoritative powers of the P-5 since its creation. From research conducted thus far, I hypothesize that common themes affecting the authoritative powers of the P-5 and the Papacy would include: major changes in the institutions organization (i.e. the Avignon Papacy and Japan’s bid to become a permanent member); the decline in power of actors supporting the institutional organ (i.e. the Holy Roman Empire and the P-5 members); and ideological clashes affecting the institution’s normative power (i.e. the Great Western Schism and Cold War politics).
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The organizational authority of the Papacy in the Roman Catholic Church and the permanent membership of the UN Security Council are unique from institutions that are commonly compared with the UN, like the Concert of Europe and the League of Nations, in that these institutional organs possessed strong authoritative and veto powers. Both organs also owe their strong authority during their founding to a need for stability: The Papacy after the crippling of Western Roman Empire and the P-5 to deal with the insecurities of the post-WWII world. While the P-5 still possesses similar authoritative powers within the Council as it did after WWII, the historical authoritative powers of the Papacy within the Church was debilitated to such a degree that by the time of the Reformation in Europe, condemnations of practices within the Church itself were not effective. This paper will analyze major challenges to the authoritative powers of the Papacy, from the crowning of Charlemagne to the beginning of the Reformation, and compare the analysis to challenges affecting the authoritative powers of the P-5 since its creation. From research conducted thus far, I hypothesize that common themes affecting the authoritative powers of the P-5 and the Papacy would include: major changes in the institutions organization (i.e. the Avignon Papacy and Japan’s bid to become a permanent member); the decline in power of actors supporting the institutional organ (i.e. the Holy Roman Empire and the P-5 members); and ideological clashes affecting the institution’s normative power (i.e. the Great Western Schism and Cold War politics).
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Cette thèse a comme objectif de démontrer combien Alaric et ses Goths étaient Romains dans pratiquement toutes les catégories connues sur leur compte. Pour ce faire, l’auteur a puisé dans les sciences sociales et a emprunté le champ conceptuel de l’éminent sociologue Pierre Bourdieu. À l’aide du concept d’habitus, entre autres choses, l’auteur a tenté de faire valoir à quel point les actions d’Alaric s’apparentaient à celles des généraux romains de son époque. Naturellement, il a fallu étaler le raisonnement au long de plusieurs chapitres et sur de nombreux niveaux. C’est-à-dire qu’il a fallu d’abord définir les concepts populaires en ce moment pour « faire » l’histoire des barbares durant l’Antiquité tardive. Pensons ici à des termes tels que l’ethnicité et l’ethnogenèse. L’auteur s’est distancé de ces concepts qu’il croyait mal adaptés à la réalité des Goths et d’Alaric. C’est qu’il fallait comprendre ces hommes dans une structure romaine, au lieu de leur octroyer une histoire et des traditions barbares. Il a ensuite fallu montrer que la thèse explorait des avenues restées peu empruntées jusqu’à aujourd’hui. Il a été question de remonter jusqu’à Gibbon pour ensuite promouvoir le fait que quelques érudits avaient autrefois effleuré la question d’Alaric comme étant un homme beaucoup moins barbare que ce que la tradition véhiculait à son sujet, tel que Fustel de Coulanges, Amédée Thierry ou encore Marcel Brion. Il s’agissait donc de valider l’angle de recherche en prenant appui d’abord sur ces anciens luminaires de la discipline. Vint ensuite l’apport majeur de cette thèse, c’est-à-dire essentiellement les sections B, C et D. La section B a analysé la logistique durant la carrière d’Alaric. Cette section a permis avant tout de démontrer clairement qu’on n’a pas affaire à une troupe de brigands révoltés; le voyage de 401-402 en Italie prouve à lui seul ce fait. L’analyse approfondie de l’itinéraire d’Alaric durant ses nombreux voyages a démontré que cette armée n’aurait pas pu effectuer tous ces déplacements sans l’appui de la cour orientale. En l’occurrence, Alaric et son armée étaient véritablement des soldats romains à ce moment précis, et non pas simplement les fédérés barbares de la tradition. La section C s’est concentrée sur les Goths d’Alaric, où on peut trouver deux chapitres qui analysent deux sujets distincts : origine/migration et comparaison. C’est dans cette section que l’auteur tente de valider l’hypothèse que les Goths d’Alaric n’étaient pas vraiment Goths, d’abord, et qu’ils étaient plutôt Romains, ensuite. Le chapitre sur la migration n’a comme but que de faire tomber les nombreuses présomptions sur la tradition gothe que des érudits comme Wolfram et Heather s’efforcent de défendre encore aujourd’hui. L’auteur argumente pour voir les Goths d’Alaric comme un groupe formé à partir d’éléments romains; qu’ils eurent été d’une origine barbare quelconque dans les faits n’a aucun impact sur le résultat final : ces hommes avaient vécu dans l’Empire durant toute leur vie (Alaric inclus) et leurs habitus ne pouvaient pas être autre chose que romain. Le dernier chapitre de la section C a aussi démontré que le groupe d’Alaric était d’abord profondément différent des Goths de 376-382, puis d’autres groupes que l’on dit barbares au tournant du 5e siècle, comme l’étaient les Vandales et les Alamans par exemple. Ensemble, ces trois chapitres couvrent la totalité de ce que l’on connait du groupe d’Alaric et en offre une nouvelle interprétation à la lumière des dernières tendances sociologiques. La section D analyse quant à elle en profondeur Alaric et sa place dans l’Empire romain. L’auteur a avant tout lancé l’idée, en s’appuyant sur les sources, qu’Alaric n’était pas un Goth ni un roi. Il a ensuite analysé le rôle d’Alaric dans la structure du pouvoir de l’Empire et en est venu à la conclusion qu’il était l’un des plus importants personnages de l’Empire d’Orient entre 397 et 408, tout en étant soumis irrémédiablement à cette structure. Sa carrière militaire était des plus normale et s’inscrivait dans l’habitus militaire romain de l’époque. Il a d’ailleurs montré que, par ses actions, Alaric était tout aussi Romain qu’un Stilicon. À dire le vrai, mis à part Claudien, rien ne pourrait nous indiquer qu’Alaric était un barbare et qu’il essayait d’anéantir l’Empire. La mauvaise image d’Alaric n’est en effet redevable qu’à Claudien : aucun auteur contemporain n’en a dressé un portrait aussi sombre. En découle que les auteurs subséquents qui firent d’Alaric le roi des Goths et le ravageur de la Grèce avaient sans doute été fortement influencés eux aussi par les textes de Claudien.
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En este artículo se estudia una obra atribuida a Sófocles titulada Κρῆτες (Los cretenses), una tragedia sólo conocida por dos dudosos testimonios de Hesiquio y Ateneo de Náucratis. A finales del siglo xviii una nueva lectura de ambos los adscribía a otra tragedia, con lo que se negaba la existencia de Κρῆτες. A pesar de esto, este título se sigue manteniendo en las ediciones de la obra sofoclea, ahora relacionado con nuevos hallazgos de fragmentos papiráceos del autor. Nuestro objetivo es el de analizar los testimonios en profundidad para concluir si la obra pudo o no haberse escrito.
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Ausonio de Burdigala (Burdeos) escribe entre los años 379-383 su obra poética titulada Caesares. Esta colección es una biografía de la vida de los emperadores en verso (hexámetro y dístico elegíaco). Caesares no está completa; la obra acaba de repente en el cuarteto dedicado a Heliogábalo. En este trabajo abordamos el género de la colección, examinamos el estilo de Ausonio en varias partes (monósticos y tetrásticos) y destacamos las fuentes (Suetonio, Tácito, Kaisergeschichte, Mario Máximo). Asimismo valoramos las diferentes opiniones que los estudiosos de Ausonio han expresado sobre la parte perdida de esta colección.
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Las perspectivas geopolíticas de la guerra de Sucesion espanola traspasaron ampliamente los limites de la herencia territorial de Carlos II. El político enlace del candidato austriaco al trono de Madrid, Carlos III de Austria, con Isabel Cristina de Braunschweig-Wolfenbuttel, una princesa luterana convertida ex profeso al catolicismo, vinculó las dos dinastias con el esfuerzo misionero de la Santa Sede en el norte del Sacro Imperio. En el presente estudio se propone reconstruir la relacion de la red diplomatica Wolfenbuttel con el papado y la monarquia carolina, ademas de apuntar la difusa -pero constante- presencia de la soberana dentro del proceso de financiación lombarda del misionalismo germánico a comienzos del Setecientos.
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Quintus Curtius found in his sources a speech where a Scythian censured Alexander, followed by the King’s reply. Curtius drastically abridged this second discourse in order to highlight the criticism of the Macedonian. The Scythian’s words have a striking rhetorical language and some allusions taken from Greek literature, in addition to possible indirect references to Caligula. Curtius declares that he follows his source word-for-word aiming to justify these inconsistencies, but also trying to hide the manipulations he has done to achieve his own narrative purposes.
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Deeply conflicting views on the political situation of Judaea under the Roman prefects (6-41 c.e.) have been offered. According to some scholars, this was a period of persistent political unrest and agitation, whilst according to a widespread view it was a quiescent period of political calm (reflected in Tacitus’ phrase sub Tiberio quies). The present article critically examines again the main available sources –particularly Josephus, the canonical Gospels and Tacitus– in order to offer a more reliable historical reconstruction. The conclusions drawn by this survey calls into question some widespread and insufficiently nuanced views on the period. This, in turn, allows a reflection on the non-epistemic factors which might contribute to explain the origin of such views.
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Constantino y sus sucesores, Constancio II, Constante y Juliano, expresaron su particular interés por supervisar la aplicación de determinadas leyes imperiales mediante el uso de la fórmula ad nostram scientiam referatur y de otras similares. Constantino fue el príncipe que la empleó con más frecuencia, especialmente durante el período de 313-324, exceptuando el intervalo de 315-316, cuando la confrontación con Licinio le obligó a renunciar a atender directamente las cuestiones administrativas. La progresiva disminución de la inclusión de estas cláusulas en los textos legales imperiales a partir de la unificación del Imperio en 324 se debe poner en relación con la aparición de los curiosi y luego de los agentes in rebus, como oficiales encargados de vigilar la observancia de las normas vigentes.