991 resultados para Pe riodique e lectronique (Descripteur de forme)
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Mmoire numris par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Universit de Montral
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Les premires tudes recenses ayant trait de la co-dlinquance ont plus de cent ans. Comme il sagit dun sujet qui a de lhistoire, il y a eu une grande volution dans la faon daborder la question et dans les mthodologies employes. Mais, ce nest que depuis quelques annes que la co-dlinquance est tudie par lentremise de donnes darrestations policires et cest ce type de donnes qui sera utilis pour rpondre lobjectif principal, celui-ci tant la dtermination des conditions expliquant le recours ou non la co-dlinquance pour commettre une infraction criminelle. De plus, pour rpondre notre objectif de recherche, nous avons opt pour une thorie structurante du crime, approche qui navait jamais t utilis auparavant dans les tudes sur la co-dlinquance. Comme mthodologie, nous avons utilis un chantillon compos de 9 103 participations criminelles, de 8 243 vnements distincts et de 3 356 individus et plusieurs prdicteurs ont t analyss afin de dterminer lesquels expliquent le mieux la co-dlinquance. Lge, le genre, les antcdents criminels, lurbanit et le type de crimes sont toutes des variables qui ont t considres. Lurbanit reprsente une nouveaut dans ce type de recherche, puisque nous avons recens que trs peu dtudes ayant abordes la question. Alors, que pour le type de crime, nous lavons dtaill, comme aucune tude sur la co-dlinquance ne la fait auparavant (23 catgories dinfractions). Ce dtail nous permet donc de bien cibler limpact de chaque dlit sur le recours la co-dlinquance. Le rsultat mergeant des analyses de rgression logistique est que le recours la co-dlinquance sexplique principalement par le type de crime commis, certains actes criminels sont plus propices la co-dlinquance que dautres. Nous constatons galement que les autres variables analyses ont trs peu ou pas dimpact sur le recours la co-dlinquance, que ce soit lge, le genre, les antcdents criminels ou mme lurbanit.
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Depuis longtemps dj, les arts visuels se dmarquent par leurs rapports proches quoique cratifs avec les dveloppements technologiques des socits modernes. Pour les muses, Internet constitue une opportunit de rejoindre des publics qui savrent de prime abord moins accessibles. Ce nouvel acteur dans le monde de l'art occupe une place croissante dans la prsentation des oeuvres tout en jouant un rle dterminant dans la diffusion et donc dans le retentissement qu'elles ont auprs de publics aux attentes changeantes. Alors que le muse diffusait autrefois ses collections et connaissances par les expositions et les catalogues, le cyberespace est aujourdhui un nouveau lieu public quil lui convient dinvestir. Linternaute est souvent isol dans sa qute dune trouvaille parmi la diversit de loffre technologique. Nous proposons limage alternative du flneur comme mtaphore oprationnelle afin danalyser la relation entre linternaute et lexposition. Les oeuvres sont transposes dans le virtuel par le mdium numrique, le mme langage qui sous-tend lexposition dans son ensemble, un transfert dont les implications sont nombreuses. La reproduction, par sa nature dsacralise, autorise la manipulation virtuelle. Cest une nouvelle forme de participation qui est exige des spectateurs, non pas en termes dacquisition rationnelle de connaissances, mais de manire ludoducative, par cette mme manipulation de limage. Dans le but de souligner lauthenticit de loeuvre originale par la prsentation de son quivalent numrique, lexposition virtuelle est souvent mdiatrice et documentaire avant tout, privilgiant lobservation technologique didactique.
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Lune des particularits fondamentales caractrisant les cellules vgtales des cellules animales est la prsence de la paroi cellulaire entourant le protoplaste. La paroi cellulaire joue un rle primordial dans (1) la protection du protoplaste, (2) est implique dans les mcanismes de filtration et (3) est le lieu de maintes ractions biochimiques ncessaires la rgulation du mtabolisme et des proprits mcaniques de la cellule. Les proprits locales dlasticit, dextensibilit, de plasticit et de duret des composants paritaux dterminent la gomtrie et la forme des cellules lors des processus de diffrentiation et de morphogense. Le but de ma thse est de comprendre les rles que jouent les diffrents composants paritaux dans le modelage de la gomtrie et le contrle de la croissance des cellules vgtales. Pour atteindre cet objectif, le modle cellulaire sur lequel je me suis bas est le tube pollinique ou gamtophyte mle. Le tube pollinique est une protubrance cellulaire qui se forme partir du grain de pollen la suite de son contact avec le stigmate. Sa fonction est la livraison des cellules spermatiques lovaire pour effectuer la double fcondation. Le tube pollinique est une cellule croissance apicale, caractrise par la simple composition de sa paroi et par sa vitesse de croissance qui est la plus rapide du rgne vgtal. Ces proprits uniques font du tube pollinique le modle idal pour ltude des effets courts termes du stress sur la croissance et le mtabolisme cellulaire ainsi que sur les proprits mcaniques de la paroi. La paroi du tube pollinique est compose de trois composantes polysaccharidiques : pectines, cellulose et callose et dune multitude de protines. Pour comprendre les effets que jouent ces diffrents composants dans la rgulation de la croissance du tube pollinique, jai tudi les effets de mutations, de traitements enzymatiques, de lhyper-gravit et de la gravit omni-directionnelle sur la paroi du tube pollinique. En utilisant des mthodes de modlisation mathmatiques combines de la biologie molculaire et de la microscopie fluorescence et lectronique haute rsolution, jai montr que (1) la rgulation de la chimie des pectines est primordiale pour le contrle du taux de croissance et de la forme du tube et que (2) la cellulose dtermine le diamtre du tube pollinique en partie sub-apicale. De plus, jai examin le rle dun groupe denzymes digestives de pectines exprimes durant le dveloppement du tube pollinique : les pectate lyases. Jai montr que ces enzymes sont requises lors de linitiation de la germination du pollen. Jai notamment directement prouv que les pectate lyases sont scrtes par le tube pollinique dans le but de faciliter sa pntration au travers du style.
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Dans lespoir d'amliorer l'efficacit, lefficience, la qualit et la scurit des soins de sant, la plupart des pays investissent dans linformatisation de leur systme de sant. Malgr loctroi de ressources substantielles, les projets d'implantation dun Dossier mdical lectronique (DME) font parfois lobjet dune rsistance importante de la part des utilisateurs au moment de leur implantation sur le terrain. Pour expliquer ladoption dun DME par les professionnels de la sant, plusieurs modles thoriques ont t dvelopps et appliqus. Une diversit de facteurs agissant diffrents niveaux (individuel, organisationnel et lis la technologie elle-mme) a ainsi t identifie. Lobjectif de cette recherche est dapprofondir les connaissances empiriques quant aux facteurs influenant lutilisation du DME chez les professionnels de la sant. Le devis de recherche repose sur une tude de cas unique avec douze entrevues et une observation non participante ralises un an suite au lancement du processus dimplantation dun DME auprs dun groupe de mdecine famille (GMF) au sein du Centre de sant et de services sociaux du Sud-Ouest-Verdun (Montral, Canada). Dans le cadre de cette tude, lanalyse a permis lidentification de facilitateurs et de barrires influenant ladoption du DME. Les facilitateurs taient lutilit perue, la dcision du GMF dimplanter le DME, le support de la direction ainsi que la prsence de champions et de superutilisateurs. Les barrires les plus importantes taient limpact ngatif sur le travail clinique, la fragmentation de linformation dans le DME ainsi que les problmes lis linfrastructure technique. Cette connaissance permettra dalimenter des stratgies visant mieux rpondre aux dfis suscits par limplantation du dossier mdical lectronique.
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La rduction de la taille des particules jusqu lobtention de nanocristaux est lune des approches utilises afin damliorer la pntration cutane des mdicaments usage topique. Nous proposons que la fabrication dune formulation semi solide (hydrogel) base de nanosuspension de docosanol, aboutira une diffusion du principe actif suprieure celle du produit commercial Abreva, travers des membranes synthtiques de polycarbonates. Le broyage humide est la technique propose pour la production des nanoparticules de docosanol. Nous proposons aussi la prparation dune formulation semi-solide (hydrogel) usage topique partir de la nanosuspension de docosanol. La nanosuspension de docosanol est obtenue par dispersion du docosanol en solution aqueuse en prsence du polymre stabilisant hydroxypropylcellulose (HPC) et du surfactant laurylsulfate de sodium (SDS) suivi dun broyage humide faible ou haute nergie. Lhydrogel de docosanol nanoformul est prpar laide de la nanosuspension de docosanol qui subit une glification par le carbopol Ultrez 21 sous agitation mcanique suivie dune neutralisation au trithanolamine TEA. La taille des particules de la nanosuspension et de lhydrogel a t dtermine par diffusion dynamique de la lumire (DLS). Une mthode analytique de chromatographie liquide haute performance (HPLC) munie dun dtecteur vaporatif (ELSD) a t dveloppe et valide pour valuer la teneur de docosanol dans les prparations liquides, dans les diffrentes nanosuspensions et dans les hydrogels de docosanol. Ltat de cristallinit des nanocristaux dans la nanosuspension et dans lhydrogel a t tudi par calorimtrie diffrentielle balayage. La morphologie de la nanosuspension et de lhydrogel de docosanol a t examine par microscopie lectronique balayage (MEB). Les proprits rhologiques et de stabilit physique diffrentes tempratures ont t aussi tudies pour la formulation semi-solide (hydrogel). De mme, la libration in vitro du docosanol contenu dans lhydrogel et dans le produit commercial Abreva a t tudie travers deux membranes de polycarbonates de taille de pores 400 et 800 nm. Dans le cas de nanosuspensions, des cristaux de docosanol de taille nanomtrique ont t produits avec succs par broyage humide. Les nanoparticules de tailles variant de 197 nm 312 nm ont t produites pour des pourcentages diffrents en docosanol, en polymre HPC et en surfactant SDS. Aprs lyophilisation, une augmentation de la taille dpendant de la composition de la formulation a t observe tout en restant dans la gamme nanomtrique pour la totalit presque des formulations tudies. Dans le cas des hydrogels examins, la taille moyenne des particules de docosanol est maintenue dans la gamme nanomtrique avant et aprs lyophilisation. Lanalyse thermique des mlanges physiques, des nanosuspensions et des hydrogels de docosanol a rvl la conservation de ltat de cristallinit des nanocristaux de docosanol aprs broyage et aussi aprs glification. Lexamen par microscopie lectronique balayage (MEB) a montr que la nanosuspension et lhydrogel ont tous deux une morphologie rgulire et les nanoparticules ont une forme sphrique. De plus les nanoparticules de la nanosuspension ont presque la mme taille infrieure 300 nm en accord avec le rsultat obtenu par diffusion dynamique de la lumire (DLS). Les nanoparticules de lhydrogel ont une lgre augmentation de taille par rapport celle de la nanosuspension, ce qui est en accord avec les mesures de DLS. Daprs les mesures rhologiques, lhydrogel de docosanol a un comportement pseudoplastique et un faible degr de thixotropie. Ltude de stabilit physique a montr que les formulations dhydrogel sont stables basse temprature (5C) et temprature ambiante (21C) pendant une priode dincubation de 13 semaines et instable au-del de 30C aprs deux semaines. La mthode HPLC-ELSD a rvl des teneurs en docosanol comprises entre 90% et 110% dans le cas des nanosuspensions et aux alentours de 100% dans le cas de lhydrogel. Lessai de diffusion in vitro a montr quil y a diffusion de docosanol de lhydrogel travers les membranes de polycarbonates, qui est plus marque pour celle de pore 800 nm, tandis que celui du produit commercial Abreva ne diffuse pas. Le broyage humide est une technique bien adapte pour la prparation des nanosuspensions docosanol. Ces nanosuspensions peuvent tre utilise comme base pour la prparation de lhydrogel de docosanol nanoformul.
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Article
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Les crits aphoristiques de Friedrich Nietzsche (1844-1900) posent une vidente difficult. Cette difficult na pas chapp lauteur qui a recommand ses lecteurs, en 1887 dans sa prface Zur Genealogie der Moral, quils pratiquent en lisant ses aphorismes un art de linterprtation [Kunst der Auslegung] [KSA, V, p. 255, 8.]. Malheureusement, Nietzsche ne dit pas prcisment en quoi consiste une telle lecture. Comment le lecteur doit-il alors interprter les crits aphoristiques de Friedrich Nietzsche? Pour rpondre cette question hermneutique nous nous servirons de la mtaphore du thtre , prsente en filigrane dans luvre du philosophe. Notre mmoire se propose dabord dexaminer ce que Nietzsche a lui-mme dit au sujet des formes brves (la maxime, la sentence, mais surtout laphorisme), et en mme temps ce quil attend plus particulirement dun lecteur de ces formes dexpression. Cette analyse philologique du corpus nietzschen se fera aussi la lumire des commentaires que Peter Sloterdijk (1947-) et Sarah Kofman (1934-1994) ont proposs de la philosophie nietzschenne. Aprs avoir nous-mmes analys les propos de Nietzsche portant sur ce quil estime tre un lecteur la hauteur de ses crits, il sera ds lors possible de porter un jugement critique sur la pertinence et la porte des tudes de Sloterdijk et Kofman qui abordent eux-mmes la mise en scne de la pense nietzschenne au moyen de la mtaphore du thtre. Une part importante de notre critique portera notamment sur la nature synthtique de leurs interprtations philosophiques, menes dans une perspective thmatico-synthtique et trans-aphoristique, qui marginalisent bien des gards la particularit et lautonomie des formes dexpression au moyen desquelles Friedrich Nietzsche sexprime.
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"ECODIR a vu le jour en octobre 2001, Bruxelles, grce la contribution financire entre autres de lUnion europenne. Cest une plate-forme de rglement des litiges de consommation par Internet. Son champ daction est limit, en raison des termes du contrat de recherche conclu avec la Commission europenne et de certaines contraintes juridiques. Il ne couvre que les conflits mettant en cause au moins un consommateur et relatifs une transaction effectue en ligne; les litiges portant sur des questions complexes (fiscalit, droit de la famille par exemple) sont exclus. ECODIR nest pas un processus darbitrage, mais de mdiation: la possibilit dester en justice en cas dchec du processus nest pas exclue.Les auteurs dcrivent les trois phases du processus, puis font le bilan de son fonctionnement. Ils analysent lincidence des recommandations et des directives de la Commission europenne sur le commerce lectronique avant dexaminer enfin la porte des solutions dgages au terme de toute la procdure."
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"Ce texte se veut une rflexion sur les points considrer avant l'adoption d'un systme de dpt lectronique accessible toutes les cours du Canada. En prenant pour exemple l'exprience torontoise, l'auteur souligne une srie d'lments considrer avant la mise en uvre d'un tel processus, savoir : La ncessit de tenir compte des cots associs la formation des avocats, des juges, ainsi que du personnel juridique; L'attachement au document "" papier "" et le manque d'unanimit quant la valeur du document lectronique; et L'impact ngatif que peut avoir l'informatisation des donnes sur la vie prive des contribuables. L'auteur conclu en ventant l'aspect centralis du projet de dpt lectronique propos par la Cour suprme en soulignant toutefois qu'un tel projet devra ncessairement valuer les besoins des utilisateurs du systme afin d'en tenir compte lors de sa conception."
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Peut-tre mieux connu sous son appellation anglaise d'online dispute resolution ou ODR, le rglement en ligne des diffrends rfre la migration, vers Internet, des modes alternatifs de rsolution des conflits, dont font entre autres partie la ngociation, la conciliation, la mdiation et l'arbitrage. Cet article prsente d'abord brivement les quatre procds d'ODR les plus souvent rencontrs en pratique, soit la ngociation automatise, la ngociation en ligne assiste par ordinateur, la mdiation en ligne et l'arbitrage en ligne. Il examine ensuite les types de conflits qui trouvent actuellement une solution par l'entremise de l'Internet, conflits qui peuvent natre aussi bien sur la Toile qu'hors ligne. On y aborde, en troisime lieu, les avantages de la rsolution en ligne des litiges, lesquels ont trait la modicit, la rapidit, la souplesse et la convivialit, en insistant sur l'attrait tout particulier que cette nouvelle forme de justice prsente pour les conflits rsultant de la cyberconsommation. Puis, aprs un survol des arguments les plus souvent cits l'encontre du rglement lectronique des diffrends, on fait tat du phnomne d'institutionnalisation de la rsolution en ligne, qui investit aujourd'hui les cours de justice.
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Partout dans le monde, des tribunaux empruntent lautoroute de linformation et choisissent le dpt lectronique comme moyen de faire voluer les systmes judiciaires. Certains tribunaux canadiens ont ralli le mouvement, mais la plupart se contentent pour linstant dobserver, risquant de se voir claquer au nez la porte du cybermonde. Les obstacles invoqus sont diverset vont du manque dargent et de ressources techniques labsence dune masse critique de dpts justifiant linvestissement initial ncessaire pour faire entrer le tribunal au XXIe sicle. La Cour fdrale, la Cour suprme et quelques partenaires du secteur priv tudient un modle de nature liminer certains de ces obstacles, qui permettrait de numriser linformation qui circule entre les parties un litige, leurs avocats et les tribunaux, grce la technologie scurise de lInternet, fonde sur le Web. Le prsent rapport expose la perspective des praticiens et nonce les avantages, les difficults et les risques associs au modle.