280 resultados para Mobilisations populaires
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L’objectif général de notre projet est d’étudier l’interrelation entre espaces intérieurs, temporalité et sociabilités dans la littérature dite « mémorialiste » de Buenos Aires de la période 1880-1910. Notre recherche privilégie l’analyse des textes d’inspiration mémorialiste parus à Buenos Aires entre 1881 et 1904: Buenos Aires, desde setenta años atrás (José A. Wilde); La Gran Aldea (Lucio V. López); Las beldades de mi tiempo (Santiago Calzadilla); Memorias de un viejo (Víctor Gálvez) et Memorias. Infancia y adolescencia (Lucio V. Mansilla). Plus spécifiquement, nous essayons de définir notre concept de « dimension intérieure », à partir de l’intersection entre espace et temps perceptible chez les auteurs mémorialistes dès le commencement de leurs récits évocateurs. Parallèlement, nous cherchons à prouver que ce concept s’exprime comme la progression graduelle, à partir de la pensée des auteurs (c’est-à-dire, le premier espace intérieur, le plus intime), jusqu’à la conquête des espaces plus vastes, comme la maison de l’enfance, le quartier, la ville, la Nation. En même temps, nous explorons la relation problématique entre mémoire et espace intime, d’un côté, et les complexes relations entre mémoire et histoire nationale, de l’autre côté. Parallèlement, nous analysons la transition historique de la période coloniale à la période moderne -ce qui José Luis Romero appelle les ères « créole » et « alluviale »- depuis la perspective des sociabilités de la « haute société » et des « secteurs populaires ». Pour ce faire, nous analysons, en premier lieu, les espaces domestiques des grandes maisons coloniales de la « haute société » de Buenos Aires, dans Memorias. Infancia y adolescencia (Lucio V. Mansilla), avant de nous consacrer à d’autres sites qui nous permettent d’identifier les variables sociabilités historiques: « tertulias », magasins, « pulperías », cafés et clubs.
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Le musée local, au Portugal, tel qu’il apparaît dans la perspective de la révolution socio-cultureile de 74, puis projeté à l’avant-scène de la muséologie portugaise renaissante, lors du IIe Atelier international de Nouvelle muséologie (Lisbonne/Seixal/Monte Redondo — Musées locaux/Nouvelle musólogie, novembre 85), se perpétue jusqu’à nos jours, tout au moins dans le discours de ses promoteurs, préoccupé par le rapport aux pouvoirs et aux populations. Fortement enraciné dans la structure municipale et associative, utilisé à ses débuts, à des degrés divers, comme un outil de militance communautaire, le musée local présente un modèle muséographique de type ethnographique diffusé à travers le pays. Celui-ci est fondé sur la participation de donateurs d’objets utiles de la vie courante, mis à contribution dans le programme, de même que sur l’apport des savoir-faire populaires et artisanaux, évitant de tomber dans le folklorisme par une réflexion alimentée par les universitaires. Ce mouvement naissant correspond à la mode de l’écomusée dont il épouse certains contours, tout en demeurant enraciné dans la tradition ethnographique du pays.
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Changes in the cultures and spaces of death during the Victorian era reveal the shifting conceptualisations and mobilisations of class in this period. Using the example of Brookwood Necropolis, established 1852 in response to the contemporary burial reform debate, the paper explores tensions within the sanitary reform movement, 1853–1903. Whilst reformist ideology grounded the cemetery's practices in a discourse of inclusion, one of the consequences of reform was to reinforce class distinctions. Combined with commercial imperatives and the modern impulse towards separation of living and dead, this aspect of reform enacted a counter-discourse of alienation. The presence of these conflicting strands in the spaces and practices of the Necropolis and their changes during the time period reflect wider urban trends.
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Depuis très récemment, un changement est en train de se produire dans le domaine de la traduction de la littérature jeunesse: auparavant et pendant de nombreuses années, les ouvrages traduits venaient le plus souvent de la Suède pour être traduits en français (Gossas & Lindgren, 2011). Dans l’autre sens, on trouvait des imagiers plus ou moins sans texte, des bandes-dessinées (surtout franco-belges), des retraductions et quelques classiques comme les très populaires ouvrages de Jules Verne ou Le Petit Prince. Or, la littérature jeunesse française est certes abondante – et ce même si l’on s’en tient aux livres publiés en France, mais aussi souvent de grande qualité littéraire et iconique, ce qui devrait a priori encourager sa diffusion. Cette littérature a de surcroît la chance de pouvoir surfer sur la vague actuelle des traductions du français au suédois de livres ne faisant pas partie de cette catégorie. Mais il est bien connu que le système littéraire suédois de la littérature jeunesse comporte peu de livres traduits, en dehors des traductions massives d’ouvrages en anglais. Les questions auxquelles nous répondrons lors de notre présentation sont : Quels sont les livres actuellement traduits du français vers le suédois ? Qui les traduit (quels éditeurs et quels traducteurs) ? Nous allons ainsi montrer quelle a été l’évolution depuis 1970 jusqu’à nos jours. Nous ferons aussi le lien avec nos études précédentes concernant le sens inverse, c’est-à-dire la traduction en français de la littérature suédoise contemporaine pour la jeunesse et de nos résultats en la matière sur les livres traduits, les éditeurs et les traducteurs. Nous utiliserons comme base théorique la théorie du polysystème (Even-Zohar), notamment concernant le rôle de la littérature traduite dans un système littéraire, et les études descriptives de la traduction (voir Toury, Shavit, etc.).
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A prática educativa protestante no Brasi I se ex pressou principalmente através de colégios destinados as camadas dominantes da sociedade. No entanto, existiram também outras escolas, para atendimento a alunos provenientes das classes populares. No caso específico dos metodistas, foram cria - das escolas paroquiais e, no Rio de Janeiro, na zona portuária, surgiu o Instituto Central do Povo, com ativida - des ligadas a educação, saúde e higiene, trabalho, lazer, além da pregação religiosa. Este tipo de proposta de trabalho foi liderado por setores da igreja metodista que revelavam especial in teresse pelas questões sociais. De fato, desde sua origem na Inglaterra existem evidências de que os metodistas se preocupavam com as condições sociais a que o povo da epoca estava submetido, como se pode ver nos discursos de seus líderes e mesmo na sua prática. Posteriormente, ao transplantar-se o meto - dismo para a América, persistiram as discussões acerca des sas questoes, inclusive provocando divisões internas. Embora a orientação predominante, trazida para o Brasil pelos missionários, tenha sido a influenciada p~ 10 pietismo e pela fi losofia 1 iberal, em íntima relação com o processo de consolidação do capitalismo na sociedade norte-americana durante o Século XIX, é necessário reconhecer entre os metodistas a existência de grupos que defenderam o envolvimento dos cristãos e da igreja nas lu tas sociais, em defesa dos setores populares. Dentro do quadro do protestantismo norte-americano esses grupos se fil iam à corrente conhecida como Evangelho Social.A tentativa de atuação dos missionários metodis tas, 1 igados a esta tendência, que vieram ao Brasil teve, porem, alcance limitado na medida em que esbarrou em di - versos obstáculos: nos fundamentos teóricos sobre os quais as atividades foram concebidas, nas dificuldades de inser ção num contexto social diferente e na própria situação de inferioridade numérica dessa corrente dentro da Igreja.
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Este estudo trata da questão da qualidade do ensino, tal como ela se apresenta nos planos oficiais de desenvolvimento da educação, do período compreendido entre 1955 e 1980. O que se tentou buscar, durante todo o desenvolvimento do trabalho, foi o significado que a expressão melhoria da qualidade do ensino tomava no discurso oficial, procurando explicá-la do ponto de vista dos interesses das classes dominantes e, paralelamente, procurando perceber como as classes populares a entendiam no mesmo período. O estudo dos planos foi feito tendo presente que qualidade do ensino significa a prática pedagógica, desenvolvida nas escolas, capaz de dar aos alunos das classes populares a instrumentalidade necessária e a possibilidade de organização do conhecimento para que eles possam ter, efetivamente, participação no processo político do país, lutar pela superação de sua marginalização nas decisões políticas e buscar melhores condições de vida.
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Ce travail presente une analyse de la proposition du Projet "João de Barro" élaboré par la Secretaria de Educação do Estado do Maranhão en 1967. 11 était destiné aux popul~ tions rurales de l'Etat et avait pour objectif: "par l'inter mêdiaire d'une dêmarche éducacionnelle totale et a un niveau primaire, intégrer l'homme de la terre au proces de dévelo~ pement socio-êconomique racionalisé". Le quadre thêorique qui dirige l'analyse fut élaboré basiquement et principalement ã. partir de la théorie de Gramsci pour expliquer la dynamique de la démarche éducative dans un état capitaliste. Les données êconomiques, sociales et polit~ ques de l'êpoque sont êgalement considérêes comme necessaires a une analyse d'un fait social. Considérant ce quadre de réfê rence thêorique et de conjonction on identifie dans l'éduca tion scolaire son rôle d'agent reproducteur de l'idêologie dQ minante. De cette maniere est produit un instrument util pour la consolidation de l'hêgêmonie des groupes dominants et dans cette même avancée est exaltée la contribution que peut ~pporter á l'autonomie des couches populaires. l'école Sans vouloir concluir d'une maniere définitive, ce travail souligne, malgrê tout, l'importance que l'éducation scolaire possede pour que les couches populaires utilisentmieux cet instrument de connaissance de la complexitê des re lations sociales au milieu desquelles elles_.~ont embourbées. De cette maniere elles pourront agir plus consciemment dans leurs .luttes pour la liberté. Dans ce sens, la naissance de n'importe quelle êcole, particulierement de l'êcole "João de Barro", est saluée avec espoir: qu'elle soit le germe de la vêritable école de l'avenir.
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A presente dissertação estuda uma feira nordestina, a Feira de são Cristóvao, situada na zona norte do Rio de Janeiro e que se realiza há mais de trinta anos. Mostra o surgimento desta Feira como vinculado ao fenômeno das migrações nordestinas para as grandes cidades do Centro-Sul nos primeiros anos da década de 50. Reconstitui a história da Feira onde se evidencia a existência de formas associativas. Estas, disputaram entre si, através de mecanismos autoritários, o domínio e a exploração da Feira até a sua legalização em 1982. Focaliza a maneira como o nordestino migrante se apropriou do espaço da Feira, registrando as principais características desse espaço. Discute o significado de paraiba e nortista. Paraiba, denominação de cunho depreciativo, é dada ao migrante originário do Nordeste pelos demais habitantes da cidade; nortista, é a autodenominação que o nordestino se atribui para sua identificação. Analisa, como uma das manifestações específicas da Feira, a produção e venda da comida regional. Esta é produzida através de práticas e técnicas sedimentadas na educação do senso comum caracterizando um tipo de saber que é próprio das classes populares. Finalmente, trata de conhecer e interpretar a Feira de São Cristóvão como um espaço de expressão da cultura popular que contribui no processo de reconstrução da identidade do nordestino na cidade que o batizou de paraíba.
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Este trabalho é resultado de uma pesquisa exploratória. Pesquisa esta, que tem como pressuposto bãsico, a vinculação entre educação e reprodução da força de trabalho. E tambem como educação e consciência/não-consciência andam juntas. Preocupamo-nos basicamente como a questão consciência/educação é colocada para as camadas populares. Fizemos então a análise de caso para o "Jardim da Esperança". Conjunto feito para as camadas populares em Aracaju/Se. Observamos então como um dos elementos fundamentais para a reprodução do trabalho - a habitação, pela importância estratégica que assu me diante das outras necessidades, ê local privilegiado de educação/consciência. Local que é tomado pela burguesia. Levantamos a história do "Jardim da Esperança", atraves dos jornais, o que nos levou a uma constatação prelimi nar, qual seja: os projetos educativos, destinados as camadas populares, são sempre desmobilizantes políticos dessas mesmas camadas.
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O presente estudo propõe uma análise crítica dos objetivos e estratégias dos três movimentos de educação popular mais expressivos no Brasil, no periodo de 1961-64, as quais tinham como objetivo último transformações qualitativas na estrutura social: o Movimento de Educação de Base (MEB), o Movimento de Cultura Popular de Recife (MCP) e o Centro Popular de Cultura (CPC) da União Nacional dos Estudantes(UNE). A análise crítica foi feita a partir de referencial teórico elaborado com base na teoria de Gramsci, com elementos para explicar a dinâmica das forças sociais em Estado capitalista, levando em consideração o contexto econômico, social e politico da época como pressuposto necessãrio à análise de um fato social. Interessou, sobremodo, no referencial, identificar os espaços de ação que escaparam ao controle da classe dominante, permitindo a formação de uma contra-hegemonia. A ação dos intelectuais, fundamental nesta dimensão, uma vez que se trata de criar nova concepção de história, foi analisada enquanto se propôs despertar o dinamismo residente na camada popular e canalizá-lo para fins político-sociais de transformação qualitativa da ordem vigente. Sem conclusões definitivas - os movimentos só atuaram três anos, até serem supressos em abril de 1964 - o estudo reconhece uma expressiva atuação do MEB e MCP na conscientização e treinamento da camada popular em sentido da formação de contra-hegemonia, destacando-se o surgimento e formação de lideranças nesta camada. O CPC, com maior caráter de mobilização, teve ação menos significativa com a camada popular, no entanto ele se distinguiu pela elaboração artistica e cultural. Não apareceu, nos três movimentos, uma visão teórica suficientemente clara sobre as possibilidades de transformação qualitativa em Estado capitalista e não houve a canalização e orientação política que era de se esperar no dinamismo despertado na camada popular.
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Esta dissertação pretende discutir as possibilidades de trabalho do psicólogo na instituição escolar, considerando as comunidades populares como fundamentais no processo educativo realizado com as crianças que delas participam. Num primeiro momento, faço incursões à Psicologia institucional, à pesquisa-ação e aos movimentos sociais, utilizando o materialismo histórico como pano de fundo para a compreensão dessas práticas/teorias. Procuro contextualizar a escola e sua atuação junto a favelas e bairros periféricos e também a Educação que, enquanto pertencente a um projeto capitalista terceiro-mundista, será portadora das contradições e fracassos desse projeto. A partir daí, compreendendo a atuação do psicólogo na escola e a tradição medidora ou terapêutica da Psicologia no Brasil, tento vestir esse ator numa peça onde as contradições afloram à superfície, constatando que o nosso pouco compromisso com as classes populares e com a realidade vivida faz com que sejamos coniventes com essa situação atual e a perpetuemos através de nosso instrumental de trabalho, psicologizando o social e reificando o individualismo, através de teorias e intervenções de consultório. En passant, faço um apanhado de algumas questões acerca da metodologia de pesquisa-ação, pois esta, além de constituir urna prática nova, apresenta várias lacunas por exemplo, falta-lhe um quadro teórico que a lastreie e lhe permita ser reconhecida corno teoria, e não somente como uma técnica ou prática. Num segundo momento, realizo uma pesquisa em uma favela e um trabalho com os professores da escola municipal ali localizada. Juntos fazemos um trabalho de grupo, tentando refletir o cotidiano e entender nossos limites e contradições. Busco também, nesse momento, fazer uma leitura das relações de poder ali existentes, destacando os meandros da burocracia da escola pública enquanto cerceadora e cristalizada, impedindo e escamoteando o emergir dos conflitos. Paralelamente desenvolvo um trabalho com mães de alunos, objetivando a sua participação no processo educativo dos próprios filhos. Considero que, neste aspecto, a sua participação é fundamental e vai garantir a integração da escola à comunidade. A tentativa de atingir esse objetivo é o vir-a-ser da Educação, pois só assim se definirá o seu compromisso com as clásses populares. A priori, tenho consciência das dificuldades que emperram esse tipo de trabalho, ao mesmo tempo que reconheço a urgência dessa busca. Uma conclusão a que cheguei é da urgência e da necessidade desse trabalho no atual contexto educacional e para a Psicologia no Brasil. Outra conclusão é de que esse trabalho deve privilegiar os grupos que sofrem diretamente a contradição da Educação e são ligados umbilicalmente às crianças; isto é, as mães e os professores!
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A partir da reflexão sobre a experiência do Posto de Saude Comunitária de Nova Holanda, uma das favelas da área da Maré, situada na periferia da cidade do Rio de Janeiro, este estudo aponta os lugares/papeis de trablhadores sociais em educação, hoje, para a tarefa da educação popular. A educação popular e o lugar onde a Educação pode ser vivida enquato movimento. Sendo uma prática aberta à participação dos mais diversos grupos, que têm em seu horizonte o compromisso com as classes populares, constitui campo de trabalho onde coexistem modelos precedentes e emergentes, como poderá ser observado no relato/análise aqui empreendido. No encontro entre educadores e sujeitos populares (profissionais/ agentes comunitários), momentos da prática, estabelecer relações interpessoais solidárias e democráticas foi fundamental para que, questionando e desvendando limites e armadilhas do saber/poder instituido, fosse criada a possibilidade da construção coletiva de uma concepção de mundo articulada com os interesses populares a qual tenha potencialidade de se tornar hegemônica. A experiência educativa vivenciada em Nova Holanda,analisada enquanto ação em educação popular, situa-se entre a tendência da organização comunitária e a do movimento social, considerando-se o caminho percorrido e o movimento de organização surgido como desdobramento dessa experiência que, atualmente vivo, vem criando articulações com outras entidades organizativas de classe. Na prática, conceitos foram concretizados e o papel/lugar do educador popular-tecnico-intelectual foi sendo redimensionado,e hoje e compreendido como assessoria às organizações de poder de classe, atraves do trabalho pedagógico colocado a serviço dos projetos populares.
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O presente trabalho tenta reconstruir a trajetória do Projeto de Educação Básica para Jovens e Adultos na Baixada Fluminense - Projeto Baixada, a partir da análise da parceria estabelecida entre o poder público (Fundação Educar) e diversas entidades representativas dos movimentos populares da Baixada Fluminense, periferia da cidade do Rio de Janeiro. Para tanto, optou-se por uma abordagem teórica que, valorizando as falas dos atores-autores envolvidos no processo, resgata e registra a história que precisa ser interpretadas em suas diferentes dimensões. Desenvolvido de fevereiro de 1986 até março de 1990, em pleno processo de redemocratização no Brasil, o Projeto Baixada ocorreu num período político marcado pelo fortalecimento dos movimentos sociais organizados, e, conseqüentemente, seu reconhecimento. Nesta conjuntura, pretendia-se com a parceria poder público/entidades dos movimentos populares formar e profissionalizar educadores originários da Baixada para a alfabetização de jovens e adultos, à luz de metodologias que estimulassem a emergência de cidadãos conscientes, com autonomia o bastante para enfrentar as dificuldades impostas pelas sociedades modernas e complexas. Para a construção de referenciais teóricos que pudessem interpretar tais registros, optou-se em ir além das análises pautadas em perspectivas macroestruturais, na tentativa de realizar uma nova abordagem na sistematização e análise de uma experiência social vivida entre parceiros no âmbito da educação, cujas relações revelam-se complexas, tensas e repletas de contradições.
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Comment expliquer l'attrait et la fascination exerces sur les gens, et particulierement, sur les enfants, par la télévision? Quel est son enchantement? D'ou vient ce pouvoir de toucher, indistinctement, des individues et des groupes sociaux? Le témoignage de 450 jeunes, y compris des enfants et des adolescents, répresentatifs de couches populaires de la ville de Rio de Janeiro - aupres desquels nous avons realisé notre étude - nous apporte des données qui permettent de vérifier le fait que la TV, en tant que moyen de communication, et d'apres les messagens qu'elle véhicule, atteint surtout la subjectivité des gens. On constate, ainsi , qu'à travers la TV, le mythe est vécu, dans l'optique électronique: de façon explicité ou non, les récits télévisifs parlent de questions fondamentales pour l'homme, telles que l'indagation sur l'origine de l'espèce humaine, l'éternelle peur de la mort , de l'inconnu, de l'anormal et le désir de dominer le temps et de vivre le rêve du bonheur éternel. Or, le discours même des enfants sur la TV est aussi mythologique; elles y voient un appareil magique, dont il suffit de tourner le bouton pour arriver à d’autres mondes. D'autre part, pour les adolescents, la TV remplit des fonctions diversifiées; en plus d'avoir un rôle important dans leur loisir, elle est aussi appelée à résoudre des complexes problèmes d’éducation, comme les difficultés dans le rapport des jeunes avec leurs parents ou le choix d’une profession. On attend ici qu’elle ait un pouvoir pareil ã celui des super-héros ou des fées. Si l’on considère, partant, que la TV peut être efficace au niveau de 1’idéologie , et que, par contre, le spectateur, lui aussi, peut demeurer actif et autonome devant les messagens qui lui sont dirigés, il faut penser à des projects dont le but soit l'éducation des gens par rapport à la TV.
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o homem é simultaneamente um ser animal e um ser social. E não somente uma. síntese bio-pSico+rocial. mas tam bém ideológico-afetiva. .1 A formação da personalidade nO.rmal ?I~ patológica nao esti fundamentalmsnte centrada no indivídtioiiológico, mas sim em suas relaç5es com o mundo, isto é} no relaciona- mento de seu potencial bio-psíquico com o social. i ~ Entre to~o~ os animais é o homem aquele que possui relativamente ao período total de vida, a mais longa : infân cia e portanto o que atravessa o maior período de aprendiz~ ~. gem social. Nele, a educabilidade vem sobrepondo-se aos ins tintos. Na realidade, o homem inicia, ao nascer, um proce~ so de tomada de consciência mediatizado por sua relação com os objetos e as pessoas que o cercam, reconstruindo o mun do e elaborando gradativamente sua identidad~. I" I Nesse processo de conscientização ~~antitativa e qualitativa da realidade 6bjetiva e de si próprio, a escola ocupi um importante papel, não só como um lugar de transmis I são d~, conhecimento mas uma agência de socialização de gra~ de significado. Examinar teoricamente a importância desse processo de escolarização veiculado pela relação do professor com seu aluno, par:l a elaboração da idcntid:Hlc da criança da clas- se po~ular ê objetivo desse trabalho. A escola como processo de difusão de cultura influ '! encia na v1são de mundo que o aluno tem de si e dos outros, interferindo em certa medida nas suas próprias atitudes fren te a vida. A escola assume um significado mui to importante f~ cionando como ponte entre a identificação da família e o gru po social mais amplo. A discriminação econômica que sofre a criança da classe popular' ~ revivida na relação direta com seu profes- sor que valoriza a cultura da classe dominante, menospreza a, cultura popular. criando na criança pobre um sentimento de ihcapacidade que s6 serve para justificar a dominação. Na relação professor-aluno a criança revive seus cc:>nflitos sociais revestidos de seus conflitos familiares. Nesse sentido o exame da questão ideol6gica para o estudo da influência do processo de escolarização na forma- çao da identidade da criança da classe popular passa também por uma compreensão dos aspectos afetivos que estruturam a relação professor-aluno e que lhe servem de suporte.