876 resultados para Lung-cancer
Resumo:
Compounds of plant origin and food components have attracted scientific attention for use as agents for cancer prevention and treatment. Wine contains polyphenols that were shown to have anti-cancer and other health benefits. The survival pathways of Akt and extracellular signal-regulated kinase (Erk), and the tumor suppressor p53 are key modulators of cancer cell growth and survival. In this study, we examined the effects of wine on proliferation and survival of human Non-small cell lung cancer (NSCLC) cells and its effects on signaling events.
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Compounds of plant origin and food components have attracted scientific attention for use as agents for cancer prevention and treatment. Wine contains polyphenols that were shown to have anti-cancer and other health benefits. The survival pathways of Akt and extracellular signal-regulated kinase (Erk), and the tumor suppressor p53 are key modulators of cancer cell growth and survival. In this study, we examined the effects of wine on proliferation and survival of human Non-small cell lung cancer (NSCLC) cells and its effects on signaling events.
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The study aim was to investigate the relationship between factors related to personal cancer history and lung cancer risk as well as assess their predictive utility. Characteristics of interest included the number, anatomical site(s), and age of onset of previous cancer(s). Data from the Prostate, Lung, Colorectal and Ovarian Screening (PLCO) Cancer Screening Trial (N = 154,901) and National Lung Screening Trial (N = 53,452) were analysed. Logistic regression models were used to assess the relationships between each variable of interest and 6-year lung cancer risk. Predictive utility was assessed through changes in area-under-the-curve (AUC) after substitution into the PLCOall2014 lung cancer risk prediction model. Previous lung, uterine and oral cancers were strongly and significantly associated with elevated 6-year lung cancer risk after controlling for confounders. None of these refined measures of personal cancer history offered more predictive utility than the simple (yes/no) measure already included in the PLCOall2014 model.
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Despite being considered a disease of smokers, approximately 10-15% of lung cancer cases occur in never-smokers. Lung cancer risk prediction models have demonstrated excellent ability to discriminate cases from non-cases, and have been shown to be more efficient at selecting individuals for future screening than current criteria. Existing models have primarily been developed in populations of smokers, thus there was a need to develop an accurate model in never-smokers. This study focused on developing and validating a model using never-smokers from the Prostate, Lung, Colorectal, and Ovarian Cancer Screening Trial. Cox regression analysis, with six-year follow-up, was used for model building. Predictors included: age, body mass index, education level, personal history of cancer, family history of lung cancer, previous chest X-ray, and secondhand smoke exposure. This model achieved fair discrimination (optimism corrected c-statistic = 0.6645) and good calibration. This represents an improvement on existing neversmoker models, but is not suitable for individual-level risk prediction.
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Cancer cells display enhanced growth rates and a resistance to apoptosis. Lung cancer accounts for the most cancer related deaths and non-small cell lung cancer (NSCLC) represents an aggressive form of lung cancer, accounting for almost 80% of all lung cancer cases. The phytochemical rosemary extract (RE) has been reported to have anticancer effects in vitro and in vivo however, limited evidence exists regarding the effects of RE and its polyphenolic constituents carnosic acid (CA) and rosmarinic acid (RA) in lung cancer. The present study shows RE, CA and RA inhibit lung cancer cell proliferation and survival in various NSCLC cell lines and that CA and RA interact synergistically to inhibit cell proliferation. Moreover RE, CA and RA are capable of altering activation and/or expression of Akt, ERK and AMPK, signaling molecules which regulate cell proliferation and survival. RE shows potential as an anticancer agent and should be further investigated.
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Cancer du poumon associé à l’exposition au nickel, au chrome VI et au cadmium dans le milieu de travail utilisant deux études populationnelles cas-témoins à Montréal. Au début des années 1990, le nickel, le chrome VI et le cadmium ont été classés en tant qu’agents cancérigènes de classe 1 par le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer). Cependant, les résultats des études ayant permis la classification de ces métaux n’ont pas toujours été reproduits, et d’importantes questions demeurent quant aux effets de ces métaux à de faibles niveaux d’exposition. Un plus grand nombre de recherches empiriques est donc nécessaire afin de réaffirmer la cancérogénicité de ces agents, et d’identifier les circonstances dans lesquelles ils peuvent être néfastes. L'objectif de cette étude était d'explorer la relation entre l’exposition à un des métaux (soit le nickel, le chrome VI, ou le cadmium) et les risques subséquents de développer un cancer du poumon chez des travailleurs provenant de différents milieux de travail qui sont exposés à ces métaux à de différents degrés. Deux études cas-témoins de base populationnelle menées à Montréal ont fourni les données nécessaires pour examiner la cancérogénicité de ces métaux. La première étude était menée entre 1979 et 1986 chez des hommes âgés de 35 à 70 ans ayant un cancer dans l’un de 19 sites anatomiques de cancer sélectionnés. La seconde étude était menée entre 1996 et 2001 chez des hommes et des femmes âgés de 35 à 75 ans, avec un diagnostic de tumeur maligne au poumon. Dans ces deux études, les cas ont été recensés dans tous les hôpitaux de l'île de Montréal, tandis que les contrôles populationnels appariés par âge et stratifiés par sexe, ont été sélectionnés des listes électorales. Une entrevue avec chaque sujet a permis d'obtenir un historique d'emploi détaillé ainsi que des informations précises sur les facteurs de risques socio-économiques et personnels. Les descriptions de poste ont été évaluées par une équipe d'experts chimistes et hygiénistes afin de déterminer si le sujet a été exposé à chaque agent, et pour mesurer à la fois la concentration et la durée de chaque exposition, ainsi que l’exposition cumulative tout au long de la vie de chaque participant. Pour déterminer si une exposition à l’un des trois métaux en cause était associée à une augmentation de l'incidence du cancer du poumon, des données ont été analysées par régression logistique : des ajustements ont été effectués pour des facteurs de confusion pertinents incluant un historique détaillé du tabagisme. Des mesures catégoriques d'exposition cumulée ont été également analysées, ainsi que la modification des effets par le tabagisme. Les deux études ont été analysées séparément, puis par la suite combinées afin d'augmenter la puissance statistique. Les niveaux d'exposition mesurés dans cette population ne semblaient pas poser un excès de risque de cancer du poumon pour les travailleurs exposés au chrome VI. Cependant, ceux qui ont été exposés au nickel ont subi une augmentation significative du risque, et ce, quel que soit leur niveau d'exposition. Le risque de développer un cancer du poumon suite à une exposition au cadmium était élevé, mais pas de manière significative. Pour chacun des trois métaux, le risque de cancer du poumon était très élevé parmi les non-fumeurs, mais pas parmi les fumeurs. L’effet combiné du tabagisme et de l’exposition aux métaux était compatible avec un excès de risque additif. Cependant, les intervalles de confiance dans cette étude tendaient à être larges, et une faiblesse de puissance statistique peut limiter l’interprétation de certains résultats. Cette étude est unique dans la mesure où elle a fourni des preuves empiriques sur les risques de développer le cancer du poumon liés aux faibles niveaux d’exposition au nickel, au chrome VI, ou au cadmium provenant de divers contextes de travail. Dans la plupart des autres études, la majorité des expositions pertinentes n’ont pas été bien contrôlées. À l'inverse, cette étude a bénéficié de la collecte et de la disponibilité d'information détaillée concernant le tabagisme et d’autres facteurs de risque. Les résultats de cette étude ont d'importantes conséquences pour la santé publique, tant au niveau de la détermination des risques pour les travailleurs actuellement exposés à ces métaux, qu'au niveau de l’évaluation des risques pour la population en général, elle-même exposée à ces métaux par le biais de la pollution et de la fumée de cigarette. Cette analyse contribuera fort probablement à une réévaluation par le CIRC de la cancérogénicité de ces métaux. L'exploration de la relation entre les risques de cancer du poumon et l'exposition au nickel, au chrome VI et au cadmium est donc opportune et pertinente.
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Le cancer du poumon a une incidence et une létalité parmi les plus hautes de tous les cancers diagnostiqués au Canada. En considérant la gravité du pronostic et des symptômes de la maladie, l’accès au traitement dans les plus brefs de délais est essentiel. Malgré l’engagement du gouvernement fédéral et les gouvernements provinciaux de réduire les délais de temps d’attente, des balises pour les temps d’attente pour le traitement d’un cancer ne sont toujours pas établis. En outre, le compte-rendu des indicateurs des temps d’attente n’est pas uniforme à travers les provinces. Une des solutions proposées pour la réduction des temps d’attente pour le traitement du cancer est les équipes interdisciplinaires. J’ai complété un audit du programme interdisciplinaire traitant le cancer du poumon à l’Hôpital général juif (l’HGJ) de 2004 à 2007. Les objectifs primaires de l’étude étaient : (1) de faire un audit de la performance de l’équipe interdisciplinaire à l’HGJ en ce qui concerne les temps d’attente pour les intervalles critiques et les sous-groupes de patients ; (2) de comparer les temps d’attente dans la trajectoire clinique des patients traités à l’HGJ avec les balises qui existent ; (3) de déterminer les facteurs associés aux délais plus longs dans cette population. Un objectif secondaire de l’étude était de suggérer des mesures visant à réduire les temps d’attente. Le service clinique à l’HGJ a été évalué selon les balises proposées par le British Thoracic Society, Cancer Care Ontario, et la balise pan-canadienne pour la radiothérapie. Les patients de l’HGJ ont subi un délai médian de 9 jours pour l’intervalle «Ready to treat to first treatment», et un délai médian de 30 jours pour l’intervalle entre le premier contact avec l’hôpital et le premier traitement. Les patients âgés de plus de 65 ans, les patients avec une capacité physique diminuée, et les patients avec un stade de tumeur limité étaient plus à risque d’échouer les balises pour les temps d’attente.
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Objectif: Étudier l’association entre la consommation de café, la consommation de thé noir et le risque de cancer du poumon. Méthodologie: Cette recherche utilise les données obtenues lors d’une étude cas-témoin effectuée à Montréal avec des résidents canadiens âgés entre 35 et 75 ans recrutés entre 1996 et 2001. Les cas étaient des individus atteints du cancer et diagnostiqués entre 1996 et 1997 dans l’un des 18 hôpitaux de la région du Grand-Montréal. Les contrôles on été sélectionnés à partir de la liste électorale et appariés selon la fréquence de distribution des cas par groupe d’âge de 5 ans, par sexe et par district électoral. Au total, 1130 cas et 1484 contrôles ont été inclus dans cette étude. Les rapports de cote (RC) et les intervalles de confiance de 95% (CI) des associations entre la consommation de thé noir, de café et le cancer du poumon ont été estimés à l’aide de la régression logistique non conditionnelle. Quatre aspects de la consommation ont été analysés dans des modèles multivariés distincts: la fréquence de consommation, la consommation journalière moyenne, la durée de consommation et la consommation cumulative. Les covariables potentielles considérées incluaient : l’âge, le sexe, l’historique de tabagisme, le statut du répondant, l’ethnicité, la consommation d’alcool, la consommation de fruit et de légume, l’apport énergétique journalier, l’exposition a des agents professionnelle et les variables socio-économiques . Des analyses secondaires par le sexe, le tabagisme et le type histologique de cancer on été effectuées. Résultats : Aucune association statistiquement significative n’a été observée entre la consommation de thé noir et le cancer du poumon. Nos résultats suggèrent qu’une consommation de ≥ 50 ans était associée avec une augmentation du risque d’adénocarcinome comparée à aucune consommation. Nous avons observé une association inverse statistiquement significative entre la consommation occasionnelle de café et le cancer du poumon (RC : 0.32, 95%CI : 0.17-0.59). La durée de consommation de café n’était pas associée avec le cancer du poumon. Conclusion : Nos résultats suggèrent que la consommation à long terme de thé noir pourrait augmenter le risque d’adénocarcinome. D’un autre côté, la consommation occasionnelle de café pourrait réduire le risque de cancer du poumon.
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Resumen tomado de la publicaci??n
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Objective: To determine the risk of lung cancer associated with exposure at home to the radioactive disintegration products of naturally Occurring radon gas. Design: Collaborative analysis of individual data from 13 case-control studies of residential radon and lung cancer. Setting Nine European countries. Subjects 7148 cases Of lung cancer and 14 208 controls. Main outcome measures: Relative risks of lung cancer and radon gas concentrations in homes inhabited during the previous 5-34 years measured in becquerels (radon disintegrations per second) per cubic incite (Bq/m(3)) Of household air. Results: The mean measured radon concentration in homes of people in tire control group was 97 Bq/m(3), with 11% measuring > 200 and 4% measuring > 400 Bq/m(3). For cases of lung cancer the mean concentration was 104 Bq/m(3). The risk of lung cancer increased by 8.4% (95% confidence interval 3.0% to 15.8%) per 100 Bq/m(3) increase in measured radon (P = 0.0007). This corresponds to an increase of 16% (5% to 31%) per 100 Bq/m(3) increase in usual radon-that is, after correction for the dilution caused by random uncertainties in measuring radon concentrations. The dose-response relation seemed to be linear with no threshold and remained significant (P=0.04) in analyses limited to individuals from homes with measured radon < 200 Bq/m(3). The proportionate excess risk did not differ significantly with study, age, sex, or smoking. In the absence of other causes of death, the absolute risks of lung cancer by age 75 years at usual radon concentrations of 0, 100, and 400 Bq/m(3) would be about 0.4%, 0.5%, and 0.7%, respectively, for lifelong non-smokers, and about 25 times greater (10%, 12%, and 16%) for cigarette smokers. Conclusions: Collectively, though not separately, these studies show appreciable hazards from residential radon, particularly for smokers and recent ex-smokers, and indicate that it is responsible for about 2% of all deaths from cancer in Europe.
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Factors influencing the use of chemotherapy for the initial (6 months) treatment of lung cancer in South East England were investigated. The variables explored as possibly influencing the use of chemotherapy were sex, age, the year of diagnosis, the type of lung cancer, the stage, the index of multiple deprivation and the cancer network of residence. Chi2 analysis and multivariate logistic regression models were used to examine the effect of each of the variables on the use of chemotherapy. The results showed a highly significant trend in use of chemotherapy over time; the adjusted proportion of patients receiving chemotherapy increasing from 13.6% in 1994 to 29.3% in 2003. However, age, cancer network and type of lung cancer had the strongest influence on the use of chemotherapy. This finding is important when we consider that the NHS Cancer Plan aims at improving inequalities in cancer care in the UK.
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The objective of this paper was to assess sex and socioeconomic inequalities in lung cancer mortality in two major cities of Europe and South America. Official information on mortality and population allowed the estimation of sex- and age-specific death rates for Barcelona, Spain and Sao Paulo, Brazil (1995-2003). Mortality trends and levels were independently assessed for each city and subsequently compared. Rate ratios assessed by Poisson regression analysis addressed hypotheses of association between the outcome and socioeconomic covariates (human development index, unemployment and schooling) at the inner-city area level. Barcelona had a higher mortality in men (76.9/100000 inhabitants) than Sao Paulo (38.2/100 000 inhabitants); although rates were decreasing for the former (-2%/year) and levelled-off for the [after. Mortality in women ranked similarly (9.1 for Barcelona, 11.5 for Sao Paulo); with an increasing trend for women aged 35-64 years (+ 7.7%/year in Barcelona and + 2.4%/year in Sao Paulo). The socioeconomic gradient of mortality in men was negative for Barcelona and positive for Sao Paulo; for women, the socioeconomic gradient was positive in both cities. Negative gradients indicate that deprived areas suffer a higher burden of disease; positive gradients suggest that prosmoking lifestyles may have been more prevalent in more affluent areas during the last decades. Sex and socioeconomic inequalities of lung cancer mortality reinforce the hypothesis that the epidemiologic profile of cancer can be improved by an expanded access to existing technology of healthcare and prevention. The continuous monitoring of inequalities in health may contribute to the concurrent promotion of well-being and social justice.
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The present paper shows, for the first time, the membrane expression of the dendritic cell maturation marker CD83 on tumor cells from lung cancer patients. CD83 was also detected on freshly cultured fibroblast-like cells from these tissues and on several adherent human tumor cell lines (lung adenocarcinomas P9, A459 and A549, melanomas A375 and C81-61, breast adenocarcinomas SKBR-3 and MCF-7 and colon carcinoma AR42-J), but not in the non-adherent MOT leukemia cell line. CD83 may have immunosuppressive properties and its expression by cancer cells could have a role in facilitating tumor growth.
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Introduction Antigen-presenting cells, like dendritic cells (DCs) and macrophages, play a significant role in the induction of an immune response and an imbalance in the proportion of macrophages, immature and mature DCs within the tumor could affect significantly the immune response to cancer. DCs and macrophages can differentiate from monocytes, depending on the milieu, where cytokines, like interleukin (IL)-4 and granulocyte-macrophage colony-stimulating factor (GM-CSF) induce DC differentiation and tumor necrosis factor (TNF)-alpha induce DC maturation. Thus, the aim of this work was to analyze by immunohistochemistry the presence of DCs (S100+ or CD1a+), macrophages (CD68+), IL-4 and TNF-alpha within the microenvironment of primary lung carcinomas. Results Higher frequencies of both immature DCs and macrophages were detected in the tumor-affected lung, when compared to the non-affected lung. Also, TNF-alpha-positive cells were more frequent, while IL-4-positive cells were less frequent in neoplastic tissues. This decreased frequency of mature DCs within the tumor was further confirmed by the lower frequency of CD14-CD80+ cells in cell suspensions obtained from the same lung tissues analyzed by flow cytometry. Conclusion These data are discussed and interpreted as the result of an environment that does not oppose monocyte differentiation into DCs, but that could impair DC maturation, thus affecting the induction of effective immune responses against the tumor.