899 resultados para Generalized Anxiety Disorder
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Epidemiological and clinical studies have shown a positive correlation between smoking and psychiatric disorders. To investigate the prevalence of cigarette smoking, 277 psychiatric outpatients with anxiety or depressive disorders (DSM-IV) answered a self-evaluation questionnaire about smoking behavior and were compared with a group of 68 control subjects. The diagnoses (N = 262) were: 30.2% (N = 79) major depressive disorder, 23.3% (N = 61) panic disorder, 15.6% (N = 41) social anxiety disorder, 7.3% (N = 19) other anxiety disorders, and 23.7% (N = 62) comorbidity disorders. Among them, 26.3% (N = 69) were smokers, 23.7% (N = 62) were former smokers and 50.0% (N = 131) were nonsmokers. The prevalence of nicotine dependence among the smokers was 59.0% (DSM-IV). The frequency of cigarette smoking did not show any significant difference among the five classes of diagnosis. The social anxiety disorder patients were the heaviest smokers (75.0%), with more unsuccessful attempts to stop smoking (89.0%). The frequency of former smokers was significantly higher among older subjects and nonsmokers were significantly younger (c² = 9.13, d.f. = 2, P = 0.01). Our data present some clinical implications suggesting that in our psychiatric outpatient sample with anxiety disorder, major depression and comorbidity (anxiety disorder and major depression), the frequency of cigarette smoking did not differ from the frequency found in the control group or in general population studies. Some specific features of our population (outpatients, anxiety and depressive disorders) might be responsible for these results.
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Our aim was to compare the clinical features of panic disorder (PD) patients sensitive to hyperventilation or breath-holding methods of inducing panic attacks. Eighty-five PD patients were submitted to both a hyperventilation challenge test and a breath-holding test. They were asked to hyperventilate (30 breaths/min) for 4 min and a week later to hold their breath for as long as possible, four times with a 2-min interval. Anxiety scales were applied before and after the tests. We selected the patients who responded with a panic attack to just one of the tests, i.e., those who had a panic attack after hyperventilating (HPA, N = 24, 16 females, 8 males, mean age ± SD = 38.5 ± 12.7 years) and those who had a panic attack after breath holding (BHPA, N = 20, 11 females, 9 males, mean age ± SD = 42.1 ± 10.6 years). Both groups had similar (chi² = 1.28, d.f. = 1, P = 0.672) respiratory symptoms (fear of dying, chest/pain disconfort, shortness of breath, paresthesias, and feelings of choking) during a panic attack. The criteria of Briggs et al. [British Journal of Psychiatry, 1993; 163: 201-209] for respiratory PD subtype were fulfilled by 18 (75.0%) HPA patients and by 14 (70.0%) BHPA patients. The HPA group had a later onset of the disease compared to BHPA patients (37.9 ± 11.0 vs 21.3 ± 12.9 years old, Mann-Whitney, P < 0.001), and had a higher family prevalence of PD (70.8 vs 25.0%, chi² = 19.65, d.f. = 1, P = 0.041). Our data suggest that these two groups - HPA and BHPA patients - may be specific subtypes of PD.
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The aim of the present investigation was to study the prevalence of psychiatric disorders in a sample of delinquent adolescents of both genders and to compare the prevalence between genders. A total of 116 adolescents (99 males and 17 females) aged 12 to 19 on parole in the State of Rio de Janeiro were interviewed using the screening interview based on the Schedule for Affective Disorders and Schizophrenia for School-Age Children - Present and Lifetime (KSADS-PL). Data were collected between May 2002 and January 2003. Of 373 male and 58 female adolescents present in May 2002 in the largest institution that gives assistance to adolescents on parole in the city of Rio de Janeiro, 119 subjects were assessed (three of them refused to participate). Their average age was 16.5 years with no difference between genders. The screening interview was positive for psychopathology for most of the sample, with the frequencies of the suggested more prevalent psychiatric disorders being 54% for attention-deficit/hyperactivity disorder, 77% for conduct disorder, 41% for oppositional defiant disorder, 57% for anxiety disorder 57, 60% for depressive disorder 60, 63% for illicit drug abuse, and 58% for regular alcohol use. Internalizing disorders (depressive disorders, anxiety disorders and phobias) were more prevalent in the female subsample. There was no significant difference in the prevalence of illicit drug abuse between genders. There were more male than female adolescents on parole and failure to comply with the sentence was significantly more frequent in females. The high prevalence of psychopathology suggested by this study indicates the need for psychiatric treatment as part of the prevention of juvenile delinquency or as part of the sentence. However, treatment had never been available for 93% of the sample in this study.
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Les troubles anxieux sont parmi les troubles psychiatriques les plus souvent diagnostiqués chez les adolescents. Ces troubles sont souvent accompagnés de nombreuses comorbidités, dont des difficultés de sommeil. L’objectif principal de cette thèse est de caractériser l’activité corticale à l’éveil et pendant le sommeil à l’aide de l’EEG quantifié chez une population d’adolescents présentant un trouble anxieux, et de la comparer à un groupe témoin d’adolescents. Dans un second temps, on cherche à savoir si l’activité EEG des patients anxieux corrèle avec différentes mesures cliniques. Deux études permettent de répondre à ces objectifs, une première portant sur l’activité EEG au cours de l’éveil, et une seconde portant sur l’activité EEG au cours du sommeil (SL et SP). La première étude démontre que l’activité EEG des deux groupes ne présente pas de différence à l’EEG le soir. Par contre, le matin, les patients anxieux présentent une activité significativement supérieure à celle des contrôles aux électrodes centrales (0,75-10 Hz et 13-20 Hz) ainsi qu’aux électrodes occipitales (2,5-7,75 Hz). Dans la seconde étude, nous avons analysé l’activité EEG absolue et relative en SL et en SP. Nous avons trouvé une activité absolue significativement supérieure à l’EEG de la région centrale chez les participants du groupe anxieux : en SLP (stades 3 et 4) sur l’ensemble des bandes de fréquence, en stade 2 sur les bandes de fréquence thêta, alpha et beta seulement. Finalement, en SP, les différences sont trouvées en alpha et beta, et non en thêta et delta. Les résultats obtenus à ces deux études suggèrent la présence de mécanismes de synchronisation et de filtrage inadéquats au niveau de la boucle thalamo-corticale, entraînant une hypervigilance du SNC. Quant aux corrélations entre l’activité EEG et les mesures cliniques, les résultats obtenus dans les deux études révèlent que les fréquences lentes (thêta et delta) de l’activité d’éveil le matin corrèlent à la fois avec l’anxiété de trait et d’état et les fréquences rapides (Alpha et Beta) de l’EEG du sommeil corrèlent sélectivement avec l’anxiété d’état. Il semble donc exister un lien entre les mesures cliniques et l’activité EEG. Une hausse d’activité EEG pourrait être un indicateur de la sévérité accrue des symptômes anxieux.
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Contexte De nombreuses études, utilisant des indicateurs de qualité variés, ont démontré que la qualité des soins pour la dépression n’est pas optimale en première ligne. Peu de ces études ont examiné les facteurs associés à la réception d’un traitement adéquat, en particulier en tenant compte simultanément des caractéristiques individuelles et organisationnelles. L'association entre un traitement adéquat pour un épisode dépressif majeur (EDM) et une amélioration des symptômes dépressifs n'est pas bien établie dans des conditions non-expérimentales. Les objectifs de cette étude étaient de : 1) réaliser une revue systématique des indicateurs mesurant la qualité du traitement de la dépression en première ligne ; 2) estimer la proportion de patients souffrant d’EDM qui reçoivent un traitement adéquat (selon les guides de pratique clinique) en première ligne ; 3) examiner les caractéristiques individuelles et organisationnelles associées à l’adéquation du traitement pour la dépression ; 4) examiner l'association entre un traitement minimalement adéquat au cours des 12 mois précédents et l'évolution des symptômes dépressifs à 6 et 12 mois. Méthodes La littérature sur la qualité du traitement de la dépression a été examinée en utilisant un ensemble de mots-clés (« depression », « depressive disorder », « quality », « treatment », « indicator », « adequacy », « adherence », « concordance », « clinical guideline » et « guideline ») et « 360search », un moteur de recherche fédérée. Les données proviennent d'une étude de cohorte incluant 915 adultes consultant un médecin généraliste, quel que soit le motif de consultation, répondant aux critères du DSM-IV pour l’EDM dans la dernière année, nichés dans 65 cliniques de première ligne au Québec, Canada. Des analyses multiniveaux ont été réalisées. Résultats Bien que majoritairement développés à partir de guides de pratique clinique, une grande variété d'indicateurs a été observée dans la revue systématique de littérature. La plupart des études retenues ont utilisé des indicateurs de qualité rudimentaires, surtout pour la psychothérapie. Les méthodes utilisées étaient très variées, limitant la comparabilité des résultats. Toutefois, quelque soit la méthode choisie, la plupart des études ont révélé qu’une grande proportion des personnes souffrant de dépression n’ont pas reçu de traitement minimalement adéquat en première ligne. Dans notre échantillon, l’adéquation était élevée (> 75 %) pour un tiers des indicateurs de qualité mesurés, mais était faible (< 60 %) pour près de la moitié des mesures. Un peu plus de la moitié de l'échantillon (52,2 %) a reçu au moins un traitement minimalement adéquat pour la dépression. Au niveau individuel, les jeunes adultes (18-24 ans) et les personnes de plus de 65 ans avaient une probabilité moins élevée de recevoir un traitement minimalement adéquat. Cette probabilité était plus élevée pour ceux qui ont un médecin de famille, une assurance complémentaire, un trouble anxieux comorbide et une dépression plus sévère. Au niveau des cliniques, la disponibilité de la psychothérapie sur place, l'utilisation d'algorithmes de traitement, et le mode de rémunération perçu comme adéquat étaient associés à plus de traitement adéquat. Les résultats ont également montré que 1) la réception d'au moins un traitement minimalement adéquat pour la dépression était associée à une plus grande amélioration des symptômes dépressifs à 6 et à 12 mois; 2) la pharmacothérapie adéquate et la psychothérapie adéquate étaient toutes deux associées à de plus grandes améliorations dans les symptômes dépressifs, et 3) l'association entre un traitement adéquat et l'amélioration des symptômes dépressifs varie en fonction de la sévérité des symptômes au moment de l'inclusion dans la cohorte, un niveau de symptômes plus élevé étant associé à une amélioration plus importante à 6 et à 12 mois. Conclusions Nos résultats suggèrent que des interventions sont nécessaires pour améliorer la qualité du traitement de la dépression en première ligne. Ces interventions devraient cibler des populations spécifiques (les jeunes adultes et les personnes âgées), améliorer l'accessibilité à la psychothérapie et à un médecin de famille, et soutenir les médecins de première ligne dans leur pratique clinique avec des patients souffrant de dépression de différentes façons, telles que le développement des connaissances pour traiter la dépression et l'adaptation du mode de rémunération. Cette étude montre également que le traitement adéquat de la dépression en première ligne est associé à une amélioration des symptômes dépressifs dans des conditions non-expérimentales.
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Le trouble d’anxiété de séparation (TAS) est le trouble anxieux le plus prévalent chez les enfants. Il apparaît tôt et entraîne plusieurs conséquences négatives. La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) a été reconnue efficace pour traiter les troubles anxieux. Toutefois, peu d’études ont vérifié son efficacité pour le traitement spécifique du TAS et très peu en ont examiné l’effet auprès d’enfants de moins de 7 ans. Les quelques interventions étudiées visant les moins de 7 ans ont en commun d’inclure le parent dans le traitement ou de l’offrir directement à celui-ci. L’objectif principal de cette thèse est de vérifier l’efficacité d’un programme d’entraînement parental de type TCC, adapté pour les parents d’enfants de 4 à 7 ans souffrant de TAS. Cette étude vise également deux objectifs spécifiques : observer la fluctuation des symptômes de TAS de l’enfant pendant le traitement et examiner l’impact du programme sur les variables parentales. Un devis à cas unique à niveaux de base multiples a été utilisé. Six familles ont pris part à l’étude. Des entrevues semi-structurées, des questionnaires auto-administrés et des calepins d’auto-observations quotidiennes ont été utilisés auprès des parents pour mesurer les symptômes anxieux des enfants, leurs pratiques parentales, le stress parental et leurs symptômes anxieux et dépressifs. Des questionnaires sur les difficultés de l’enfant incluant l’anxiété ont aussi été envoyés à l’éducatrice ou à l’enseignante. Tous les questionnaires ont été administrés aux trois temps de mesure (prétraitement, post-traitement et relance 3 mois). Les calepins d’auto-observations ont été remplis quotidiennement durant le niveau de base, pour toute la durée de l’intervention et pendant une à deux semaines à la relance. Les résultats de l’étude indiquent que cinq enfants sur six ne répondent plus au diagnostic de TAS suite au traitement ainsi que trois mois plus tard. Les résultats des calepins d’auto-observations montrent une amélioration claire des manifestations principales de TAS pour la moitié des enfants et plus mitigée pour l’autre moitié, de même qu’une amélioration systématique de la fréquence hebdomadaire totale de manifestations de TAS suite à l’intervention pour quatre enfants. Les résultats aux questionnaires remplis par les parents montrent une amélioration des symptômes d’anxiété et de TAS chez quatre enfants au post-test et/ou à la relance, tandis que les questionnaires de l’éducatrice (ou enseignante) suggèrent que les symptômes anxieux des enfants se manifestaient peu dans leur milieu scolaire ou de garde. L’impact du programme sur le stress parental et les pratiques parentales est également mitigé. Ces résultats suggèrent que le Programme d’entraînement parental pour les enfants souffrant d’anxiété de séparation (PEP-AS) est efficace pour réduire les symptômes de TAS chez les enfants d’âge préscolaire ou en début de parcours scolaire et appuient la pertinence d’offrir le traitement aux parents et d’inclure un volet relationnel. D’autres études seront cependant nécessaires pour répliquer ces résultats auprès d’un plus vaste échantillon. Il serait également intéressant de vérifier les effets indépendants des différentes composantes du traitement et d’évaluer les effets du programme sur davantage de pratiques parentales associées spécifiquement à l’anxiété.
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El ausentismo laboral es un problema para la economía de las empresas y para la sociedad en general, su principal causa son las enfermedades de origen común. Los costos totales son difíciles de cuantificar por la cantidad de factores que influyen en él. METODOLOGIA: Estudio descriptivo de corte transversal que caracterizó el ausentismo laboral teniendo como fuente la base de datos de una empresa del sector terciario de la economía Colombiana, dedicada a las telecomunicaciones a nivel nacional. Se tomó como población universo 3.647 trabajadores a mitad de año de 2013. La población objeto de estudio la conformaron 889 trabajadores que se incapacitaron desde el 1 de enero de 2013 al 31 de diciembre de 2013. RESULTADOS: Se presentaron por enfermedad común 1.097 (83,87%)incapacidades, 740 (83,24%) incapacitados y 7.526 (57,28%) de días perdidos. Las mujeres son las que presentaron mayor número de incapacidades 63,3% (694). Según la clasificación de grupos diagnósticos del CIE 10, el sistema que generó mayor número de días perdidos fue el osteomuscular con el 13,40%. El diagnostico individual que genero mayor número de días perdidos fue el trastorno mixto de ansiedad y depresión 4% (301). Los trabajadores con cinco o más incapacidades durante el año fueron 26 (3,51%) que generaron el 33,3% (2.506) de los días perdidos. Los accidentes de trabajo no son una causa importante de ausentismo. RECOMENDACIONES: Implementar un sistema de recolección de información del ausentismo que se alimente de manera sistemática y continua para tener información suficiente, oportuna y confiable que permita analizarla y generar planes de acción. revisar las actividades que la empresa ha implementado para identificar, evaluar, gestionar los factores de riesgo psicolaborales; optimizar la detección temprana y prevención de desórdenes musculo esqueléticos. Por último realizar monitoreo evaluación y seguimiento a los trabajadores que presentan más de cinco incapacidades durante el año, con un grupo de salud interdisciplinario que permita implementar acciones de promoción y prevención de salud.
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El ausentismo laboral es un problema para la economía de las empresas y para la sociedad en general, su principal causa son las enfermedades de origen común. Los costos totales son difíciles de cuantificar por la cantidad de factores que influyen en él. METODOLOGIA: Estudio descriptivo de corte transversal que caracterizó el ausentismo laboral teniendo como fuente la base de datos de una empresa del sector terciario de la economía Colombiana, dedicada a las telecomunicaciones a nivel nacional. Se tomó como población universo 3.647 trabajadores a mitad de año de 2013. La población objeto de estudio la conformaron 889 trabajadores que se incapacitaron desde el 1 de enero de 2013 al 31 de diciembre de 2013. RESULTADOS: Se presentaron por enfermedad común 1.097 (83,87%)incapacidades, 740 (83,24%) incapacitados y 7.526 (57,28%) de días perdidos. Las mujeres son las que presentaron mayor número de incapacidades 63,3% (694). Según la clasificación de grupos diagnósticos del CIE 10, el sistema que generó mayor número de días perdidos fue el osteomuscular con el 13,40%. El diagnostico individual que genero mayor número de días perdidos fue el trastorno mixto de ansiedad y depresión 4% (301). Los trabajadores con cinco o más incapacidades durante el año fueron 26 (3,51%) que generaron el 33,3% (2.506) de los días perdidos. Los accidentes de trabajo no son una causa importante de ausentismo. RECOMENDACIONES: Implementar un sistema de recolección de información del ausentismo que se alimente de manera sistemática y continua para tener información suficiente, oportuna y confiable que permita analizarla y generar planes de acción. revisar las actividades que la empresa ha implementado para identificar, evaluar, gestionar los factores de riesgo psicolaborales; optimizar la detección temprana y prevención de desórdenes musculo esqueléticos. Por último realizar monitoreo evaluación y seguimiento a los trabajadores que presentan más de cinco incapacidades durante el año, con un grupo de salud interdisciplinario que permita implementar acciones de promoción y prevención de salud.
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El objetivo de este estudio fue identificar las tendencias en la investigación de la depresión infantil mediante un análisis bibliométrico de artículos publicados entre enero de 2010 y enero de 2015, en las bases de datos EBSCO, Scopus y Scielo. Se incluyeron 146 artículos, escritos en inglés, español y portugués. En el trabajo se identifican los autores más productivos y las tendencias de los autores con respecto al sexo, profesión y producción; así como los países, instituciones y revistas que más publicaron sobre dicho trastorno. La edad y la ansiedad son las variables que con más frecuencia se asocian al tema; de igual forma, se identificó el Children Depression Inventory (CDI) como el instrumento más común para medir la depresión infantil. En este periodo de tiempo destacan los artículos centrados en investigaciones sobre poblaciones con diferentes estados de salud, diseños correlacionales, de corte transversal y escritos por múltiples autores. Al analizar los resultados obtenidos se observa un creciente interés y preocupación de los investigadores por conocer la frecuencia de los trastornos del estado de ánimo y más específicamente de la depresión en niños, y la asociación e influencia que esta puede tener para su desarrollo.
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Objective: Autism spectrum disorders are now recognized to occur in up to 1% of the population and to be a major public health concern because of their early onset, lifelong persistence, and high levels of associated impairment. Little is known about the associated psychiatric disorders that may contribute to impairment. We identify the rates and type of psychiatric comorbidity associated with ASDs and explore the associations with variables identified as risk factors for child psychiatric disorders. Method: A subgroup of 112 ten- to 14-year old children from a population-derived cohort was assessed for other child psychiatric disorders (3 months' prevalence) through parent interview using the Child and Adolescent Psychiatric Assessment. DSM-IV diagnoses for childhood anxiety disorders, depressive disorders, oppositional defiant and conduct disorders, attention-deficit/hyperactivity disorder, tic disorders, trichotillomania, enuresis, and encopresis were identified. Results: Seventy percent of participants had at least one comorbid disorder and 41% had two or more. The most common diagnoses were social anxiety disorder (29.2%, 95% confidence interval [CI)] 13.2-45.1), attention-deficit/hyperactivity disorder (28.2%, 95% CI 13.3-43.0), and oppositional defiant disorder (28.1%, 95% CI 13.9-42.2). Of those with attention/deficit/hyperactivity disorder, 84% received a second comorbid diagnosis. There were few associations between putative risk factors and psychiatric disorder. Conclusions: Psychiatric disorders are common and frequently multiple in children with autism spectrum disorders. They may provide targets for intervention and should be routinely evaluated in the clinical assessment of this group.
The effects of maternal social phobia on mother-infant interactions and infant social responsiveness
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Background: Social phobia aggregates in families. The genetic contribution to intergenerational transmission is modest, and parenting is considered important. Research on the effects of social phobia on parenting has been subject to problems of small sample size, heterogeneity of samples and lack of specificity of observational frameworks. We addressed these problems in the current study.Methods: We assessed mothers with social phobia (N = 84) and control mothers (N = 89) at 10 weeks in face-to-face interactions with their infants, and during a social challenge, namely, engaging with a stranger. We also assessed mothers with generalised anxiety disorder (GAD) (N = 50). We examined the contribution to infant social responsiveness of early infant characteristics (neonatal irritability), as well as maternal behaviour. Results: Mothers with social phobia were no less sensitive to their infants during face-to-face interactions than control mothers, but when interacting with the stranger they appeared more anxious, engaged less with the stranger themselves, and were less encouraging of the infant's interaction with the stranger; infants of index mothers also showed reduced social responsiveness to the stranger. These differences did not apply to mothers with GAD and their infants. Regression analyses showed that the reduction in social responsiveness in infants of mothers with social phobia was predicted by neonatal irritability and the degree to which the mother encouraged the infant to interact with the stranger.Conclusions: Mothers with social phobia show specific parenting difficulties, and their infants show early signs of reduced social responsiveness that are related to both individual infant differences and a lack of maternal encouragement to engage in social interactions.
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Interpretation biases towards threat play a prominent role in cognitive theories of anxiety, and have been identified amongst highly anxious adults and children. Little is known, however, about the development of these cognitive biases although family processes have been implicated. The current study investigated the nature of threat interpretation of anxious children and their mothers through (i) comparison of a clinic and non-clinic population, (ii) analysis of individual differences; and (ill) pre- and post-treatment comparisons. Participants were 27 children with a primary anxiety disorder and 33 children from a non-clinic population and their mothers. Children and mothers completed self-report measures of anxiety and indicated their most likely interpretation of ambiguous scenarios. Clinic and non-clinical groups differed significantly on measures of threat interpretation. Furthermore, mothers' and children's threat interpretation correlated significantly. Following treatment for child anxiety, both children and their mothers reported a reduction in threat interpretation. (c) 2005 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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Background: Research on depression has identified hyperactivity of the HPA axis as a potential contributory factor to the intergenerational transmission of affective symptoms. However, this has not yet been examined in the context of social phobia. The current study compared HPA axis activity in response to a universal social stressor (starting school) in children of 2 groups of women: one with social phobia and one with no history of anxiety (comparison group). To determine specificity of effects of maternal social phobia, a third group of children were also examined whose mothers had generalised anxiety disorder (GAD). Method: Children provided salivary cortisol samples in the morning, afternoon and at bedtime across 3 time-blocks surrounding the school start: a month before starting school (baseline), the first week at school (stress response), and the end of the first school term (stress recovery). Child behavioural inhibition at 14 months was also assessed to explore the influence of early temperament on later stress responses. Results: All children displayed an elevation in morning and afternoon cortisol from baseline during the first week at school, which remained elevated until the end of the first term. Children in the social phobia group, however, also displayed an equivalent elevation in bedtime cortisol, which was not observed for comparison children or for children of mothers with GAD. Children in the social phobia group who were classified as 'inhibited' at 14 months displayed significantly higher afternoon cortisol levels overall. Summary: A persistent stress response to school in the morning and afternoon is typical for all children, but children of mothers with social phobia also display atypical elevations in evening cortisol levels when at school - signalling long-term disruption of the circadian rhythm in HPA axis activity. This is the first study to report HPA axis disruption in children at risk of developing social phobia, and future research should aim to determine whether this represents a pathway for symptom development, taking early temperament into account.
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Although pharmacogenetic research thrives,1 genetic determinants of response to purely psychotherapeutic treatments remain unexplored. In a sample of children undergoing cognitive behaviour therapy (CBT) for an anxiety disorder, we tested whether treatment response is associated with the serotonin transporter gene promoter region (5HTTLPR), previously shown to moderate environmental influences on depression.
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Anxious mothers’ parenting, particularly transfer of threat information, has been considered important in their children’s risk for social anxiety disorder (SAnxD), and maternal narratives concerning potential social threat could elucidate this contribution. Maternal narratives to their pre-school 4-5 year-old children, via a picture book about starting school, were assessed in socially anxious (N=73), and non-anxious (N=63) mothers. Child representations of school were assessed via Doll Play (DP). After one school term, mothers (CBCL) and teachers (TRF) reported on child internalizing problems, and child SAnxD was assessed via maternal interview. Relations between these variables, infant behavioral inhibition, and attachment, were examined. Socially anxious mothers showed more negative (higher threat attribution), and less supportive (lower encouragement) narratives, than controls, and their children’s DP representations, SAnxD and CBCL scores were more adverse. High narrative threat predicted child SAnxD; lower encouragement predicted negative child CBCL scores and, particularly for behaviorally inhibited children, TRF scores and DP representations. In securely attached children, CBCL scores and risk for SAnxD were affected by maternal anxiety and threat attributions, respectively. Low encouragement mediated the effects of maternal anxiety on child DP representations, and CBCL scores. Maternal narratives are affected by social anxiety, and contribute to adverse child outcome.