767 resultados para ATRIAL FIBRILLATION
Resumo:
Le système rénine-angiotensine est impliqué dans le remodelage structurel et électrique caractérisant la fibrillation auriculaire (FA). L’angiotensine II (ANG II) induit le développement de fibrose et d’hypertrophie au niveau des oreillettes, prédisposant à la FA. Or, les mécanismes électrophysiologiques par lesquels l’ANG II pourrait promouvoir la FA sont peu connus. L’objectif de ce projet de recherche est d’évaluer l’effet de l’ANG II sur les courants potassiques et calciques au niveau auriculaire indépendamment du remodelage structurel. Pour ce faire, nous avons utilisé la technique de patch-clamp avec un modèle de souris surexprimant le récepteur de type 1 à l’angiotensine II (AT1R) spécifiquement au niveau cardiaque. Pour distinguer les effets directs de la surexpression d’AT1R des effets induits par le remodelage cardiaque, nous avons étudié des souris âgées de 180 jours, qui présentent du remodelage structurel, et des souris âgées de 50 jours, qui n’en présentent pas. Des études précédentes sur ce modèle ont montré qu’au niveau des myocytes ventriculaires, l’ANG II réduit le courant potassique global (Ipeak) et rectifiant entrant (IK1) ainsi que le courant calcique de type L (ICaL). Ainsi, notre hypothèse est que l’ANG II modulera aussi ces courants au niveau auriculaire, pouvant ainsi augmenter l’hétérogénéité de repolarisation auriculaire et de ce fait le risque de développer et maintenir la FA. Nous avons observé une diminution significative de la densité d’IK1 dans l’oreillette gauche des souris transgéniques sans changement d’Ipeak. De plus, la densité d’ ICaL n’est pas réduite chez les souris transgéniques âgées de 50 jours. En conclusion, l’effet de l’ANG II sur les courants potassiques et calciques semble dépendre de la chambre cardiaque. En effet, nous savions que l’ANGII réduisait Ipeak, IK1 et ICaL au niveau ventriculaire, mais nos résultats ont montré qu’il ne les affectait pas directement au niveau des oreillettes. Ceci suggère des mécanismes de régulation impliquant des voies de signalisation distinctes selon les chambres cardiaques. Enfin, nos résultats montrant l’absence de l’influence directe de la surexpression d’AT1R sur les canaux K+ et Ca2+ au niveau des myocytes auriculaires renforcent l’importance d’approfondir nos connaissances sur les effets de l’angiotensine II sur le développement de la fibrose, sur le remodelage structurel et sur la conduction électrique cardiaque.
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Introduction : Bien que la pratique de l’usage de la warfarine se soit améliorée au cours de la dernière décennie, aucune recommandation claire basée sur le dosage de l’amiodarone n’a été jusqu’à maintenant standardisée, ce qui représente un grand obstacle pour les cliniciens. La warfarine a un index thérapeutique étroit nécessitant un suivi régulier et un ajustement individuel de la posologie, ceci afin de déterminer la dose thérapeutique, tout en prévenant les effets secondaires qui pourraient être fatals dans certains cas. La variabilité interindividuelle de la réponse à la warfarine dépend de plusieurs facteurs, dont l’âge, le sexe, le poids, l’alimentation et l’interaction médicamenteuse, mais ceux-ci n’expliquent que partiellement les différences de sensibilité à la warfarine. Les polymorphismes des gènes CYP2C9 et VKORC1 jouent un rôle important dans la réponse à la warfarine et expliquent jusqu’à 50% de la variabilité des doses. L’utilisation d’antiarythmiques telle l’amiodarone peut accentuer considérablement l’effet de la warfarine et nécessite généralement une diminution de 30 à 50% de la dose de la warfarine. Aucune étude à ce jour n’a tenté de déterminer l’utilité du génotypage des polymorphismes des gènes CYP2C9 et VKORC1 chez les patients sous traitement combiné de warfarine et amiodarone. Objectif : Notre étude a pour objectif tout d’abord de déterminer si des facteurs génétiques influencent la première dose de stabilisation de la warfarine chez les patients en FA après l’introduction de l’amiodarone. Nous allons également tenter de confirmer l’association préalablement rapportée entre les facteurs génétiques et la première dose de stabilisation de warfarine dans notre population à l’étude. Méthodes : Un devis de cohorte rétrospective de patients qui fréquentaient la clinique d'anticoagulothérapie de l’Institut de cardiologie de Montréal entre le 1er janvier 2007 et le 29 février 2008 pour l’ajustement de leur dose selon les mesures d'INR. Au total, 1615 patients ont été recrutés pour participer à cette étude de recherche. Les critères de sélection des patients étaient les patients avec fibrillation auriculaire ou flutter, ayant un ECG documenté avec l'un de ces deux diagnostics et âgé de moins de 67 ans, en raison d’une moindre comorbidité. Les patients souffrant d’insuffisance hépatique chronique ont été écartés de l’étude. Tous les patients devaient signer un consentement éclairé pour leur participation au projet et échantillon de sang a été pri pour les tests génétiques. La collecte des données a été effectuée à partir du dossier médical du patient de l’Institut de cardiologie de Montréal. Un formulaire de collecte de données a été conçu à cet effet et les données ont ensuite été saisies dans une base de données SQL programmée par un informaticien expert dans ce domaine. La validation des données a été effectuée en plusieurs étapes pour minimiser les erreurs. Les analyses statistiques utilisant des tests de régression ont été effectuées pour déterminer l’association des variants génétiques avec la première dose de warfarine. Résultats : Nous avons identifié une association entre les polymorphismes des gènes CYP2C9 et VKORC1 et la dose de la warfarine. Les polymorphismes génétiques expliquent jusqu’à 42% de la variabilité de dose de la warfarine. Nous avons également démontré que certains polymorphismes génétiques expliquent la réduction de la dose de warfarine lorsque l’amiodarone est ajoutée à la warfarine. Conclusion : Les travaux effectués dans le cadre de ce mémoire ont permis de démontrer l’implication des gènes CYP2C9 et VKORC1 dans la réponse au traitement avec la warfarine et l’amiodarone. Les résultats obtenus permettent d’établir un profil personnalisé pour réduire les risques de toxicité, en permettant un dosage plus précis de la warfarine pour assurer un meilleur suivi des patients. Dans le futur, d’autres polymorphismes génétiques dans ces gènes pourraient être évalués pour optimiser davantage la personnalisation du traitement.
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- Réalisé au centre de recherche de l'hospital du Sacré-Coeur de Montréal. - Programme conjoint entre Université de Montréal et École Polytechnique de Montréal.
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La disfunción tiroidea tiene un impacto ya demostrado en el sistema cardiovascular. No se ha establecido si existe alguna asociación entre el hipotiroidismo y la presencia de complicaciones cardiovasculares como falla cardiaca, angina postinfarto, arritmias y muerte, en el contexto de un síndrome coronario agudo. Objetivo: Determinar la asociación entre la disfunción tiroidea (hipotiroidismo clínico y subclínico) y la presencia de complicaciones cardiovasculares (falla cardiaca, arritmias, angina postinfarto y muerte) en pacientes con síndrome coronario agudo que ingresaron a la Unidad de Cuidado Coronario de la Fundación Cardioinfantil (UCC FCI). Materiales y métodos: Estudio analítico de cohorte, donde se evaluó la cohorte expuesta (129 pacientes) y no expuesta (258 pacientes) que ingresaron a la UCC de la FCI, con diagnóstico de síndrome coronario agudo (Angina inestable, IAM SEST o IAM CEST) entre el periodo de enero de 2009 y marzo de 2010. Se evaluaron las asociaciones mediante el riesgo relativo e intervalo de confianza y la prueba de chi cuadrado. En el análisis multivariado se utilizó el modelo de regresión logística incondicional. Resultados: Se estudiaron en total 387 pacientes, 258 eutiroideos y 129 pacientes con disfunción tiroidea (hipotiroismo clínico e hipotiroidismo subclínico). La distribución según el sexo en la cohorte de expuestos y no expuestos fue de 67% vs 66.3% y de mujeres 31% vs 33.7%. El desenlace más frecuente en el grupo de pacientes expuestos fue falla cardiaca (13%). Se evidenció que los pacientes con hipotiroidismo clínico o subclínico tienen el doble de riesgo de presentar falla cardiaca (RR=2.2 IC 95%:1.1-4.3) y 3 veces más riesgo de presentar fibrilación auricular (RR=4 IC 95%:1.2213.0). No hubo diferencias estadísticamente significativas en los demás desenlaces. El análisis multivariado mostró que el hipotiroidismo es un factor de riesgo suficiente para producir falla cardiaca y fibrilación auricular. Conclusiones: El hipotiroidismo clínico y subclínico aumentan el riesgo de desarrollar falla cardiaca y fibrilación auricular en pacientes con síndrome coronario agudo.
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Objetivo: determinar la asociación entre la disfunción tiroidea (hipotiroidismo clínico y subclínico) y la presencia de complicaciones cardiovasculares (falla cardiaca, arritmias, angina postinfarto y muerte) en pacientes con síndrome coronario agudo que ingresaron a la Unidad de Cuidado Coronario de un hospital de cuarto nivel en la ciudad de Bogotá, Colombia. Materiales y métodos: estudio analítico de cohorte prospectiva, donde se evaluó la cohorte expuesta (129 pacientes) y no expuesta (258 pacientes) que ingresaron a la UCC del hospital de cuarto nivel, con diagnóstico de síndrome coronario agudo: Angina inestable, IAM SEST (Infarto agudo del miocardio sin elevación del ST) o IAM CEST (Infarto agudo del miocardio con elevación del ST) entre el periodo de enero de 2009 y marzo de 2010. Se evaluaron las asociaciones mediante el riesgo relativo e intervalo de confianza y la prueba de chi cuadrado. En el análisis multivariado se utilizó el modelo de regresión logística incondicional. Resultados: Se estudiaron en total 387 pacientes, 258 eutiroideos y 129 pacientes con disfunción tiroidea (hipotiroidismo clínico e hipotiroidismo subclínico). La distribución según el sexo en la cohorte de expuestos y no expuestos fue de 67% vs 66.3% y de mujeres 31% vs 33.7%. El desenlace más frecuente en el grupo de pacientes expuestos fue falla cardiaca (13%). Se evidenció que los pacientes con hipotiroidismo clínico o subclínico tienen el doble de riesgo de presentar falla cardiaca (RR=2.2 IC 95%:1.1-4.3) y 3 veces más riesgo de presentar fibrilación auricular (RR=4 IC 95%:1.2213.0). No hubo diferencias estadísticamente significativas en los demás desenlaces. El análisis multivariado mostró que el hipotiroidismo es un factor de riesgo suficiente para producir falla cardiaca y fibrilación auricular. Conclusiones: El hipotiroidismo clínico y subclínico aumentan el riesgo de desarrollar falla cardiaca y fibrilación auricular en pacientes con síndrome coronario agudo.
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La posible asociación entre el desarrollo de fibrilación auricular (FA) con la presencia de cardiopatía chagásica en una población portadora de dispositivos cardiacos de estimulación no está descrita. Se presenta un estudio de tipo cohorte retrospectivo realizado en la FCI que recopila las principales características clínicas de una población de pacientes con cardiopatía de variada etiología y portadores de dispositivos cardiacos buscando evaluar la incidencia de FA en presencia de cardiomiopatía de origen chagásico y no chagásico. A la fecha no se cuenta con una base de datos institucional ni regional que contenga las variables analizadas. Durante los 5 meses que duró la construcción de la base de datos se incluyeron 99 sujetos de investigación. Se implantaron 42 marcapasos bicamerales, 39 cardiodesfibriladores bicamerales, 6 dispositivos correspondientes cardiodesfibrilador con función de resincronización cardiaca, 2 resincronizadores cardiacos sin función de cardiodesfibrilador y 7 cardiodesfibriladores unicamerales. De los 99 sujetos recolectados se presentaron 8 desenlaces (FA de novo) y de esos solamente 1 pertenece al grupo de pacientes con cardiomiopatía chagásica. Este número reducido de desenlaces no permitió desarrollar un modelo de regresión de Cox y ni otros tipos de análisis estadísticos planteados en el protocolo inicial debido al bajo número de casos y pobre poder estadístico. Esta dificultad es inherente a la naturaleza del problema a estudiar y al corto tiempo de seguimiento. Por lo anterior no se puede establecer si existe una relación entre la presencia de serología positiva para infección por T. Cruzi y la presencia de FA de novo.
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Introducción: la contaminación atmosférica no solo tiene efectos sobre el sistema respiratorio sino también sobre el cardiovascular. El objetivo de este estudio es generar evidencia que permita establecer una asociación entre el infarto agudo del miocardio y la concentración de PM10 en el ambiente como un estudio preliminar para un grupo de pacientes en Bogotá. Metodología: la asociación entre la concentración del material particulado (en este caso PM10 medido en la estación más cercana del lugar reportado por el paciente) y el infarto agudo del miocardio se estableció utilizando el diseño case crossover. Se utilizó información de las historias clínicas de los pacientes con infarto agudo del miocardio que ingresaron al Servicio de Urgencias de la FSFB, y las concentraciones de PM10 medido en la estación más cercana al lugar de inicio de los síntomas de síndrome coronario agudo, reportado por el paciente. Resultados: se encontró que la asociación entre la concentración de PM10 y el diagnóstico de infarto agudo del miocardio es estadísticamente significativa teniendo en cuenta tres momentos de control: 2 horas antes del evento, 24 horas antes del evento y 48 horas antes del evento. Discusión: este estudio sugiere que las altas concentraciones de material particulado en el ambiente son un factor de riesgo para el desarrollo de infarto agudo del miocardio especialmente en personas con enfermedad coronaria subyacente. Con esta investigación se demuestra la importancia de generar acciones que disminuyan la contaminación de la ciudad y de esta forma proteger la salud de las personas.
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Determinar la incidencia de fibrilación auricular en las primeras 72 horas del post operatorio en pacientes llevados a revascularización miocárdica utilizando dos técnicas de anestésia una convencional (AC) con anestésicos inhalados y opioides y otra con dexmedetomidina (AD.). cohorte retrospectivo, en donde se seleccionarán dos grupos de estudio, un grupo de expuestos, pacientes llevados a revascularización miocárdica con utilización técnica anestésica convencional y un grupo de no expuestos pacientes llevados a revascularización miocárdica con uso de dexmedetomidina como técnica de anestesia; A estos grupos se les hizo seguimiento por 72 horas para determinar la presencia de fibrilación auricular y la terapéutica instaurada.
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Introducción: El Aislamiento de Venas Pulmonares (AVP) es un procedimiento de alto costo al cual son sometidos pacientes con riesgo cardiovascular elevado. Requiere un alto grado de especialización en el personal médico y paramédico que lo ejecuta, con curvas de aprendizaje que sobrepasan los dos años de formación académica y entrenamiento específico. Metodología: Se realizó un estudio de cohorte retrospectivo, donde se incluyeron 88 sujetos sometidos al procedimiento en el lapso comprendido entre el 1º de enero y el 31 de diciembre de 2013, con el objetivo de evaluar su proceso de atención en el Centro Internacional de Arritmias ‘Andrea Natale’ de la FCI – Instituto de Cardiología. Se realizó análisis de regresión lineal y logística múltiple. Resultados: Se encontró que en el 97,73%% de los pacientes el diagnóstico principal era algún tipo de Fibrilación Auricular (FA); a su vez, la comorbilidad más frecuente fue HTA en el 30,68% y ningún paciente presentaba enfermedad coronaria, no hubo diferencias significativas por sexo. La complicación peri operatoria tuvo una incidencia del 3,41%, el 22,73% requirió ingreso a UCI con un promedio de días estancia 0,25+0,51. El 98,86% de la población estudiada recibió educación pos procedimiento acerca de sus cuidados y signos de alarma. Los factores encontrados en el estudio que afectan la duración del procedimiento y la estancia hospitalaria son las interconsultas pre procedimiento, el manejo médico de la cardiomiopatía de base y el uso de anti agregantes plaquetarios pre procedimiento; los cuales, son puntos por mejorar previo al ingreso o programación del paciente para ser llevado a AVP. Discusión: Como recomendaciones específicas se destacan: La necesidad de incluir en el protocolo de preparación para ablación de venas pulmonares la realización de interconsultas a las especialidades requeridas, antes de su ingreso para la realización del procedimiento. Es importante que el paciente que lo amerite haga parte de un programa de falla cardiaca previamente al procedimiento
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Introducción y objetivos: El conocimiento de la anatomía de las venas pulmonares y de la aurícula izquierda es fundamental para la planeación y prevención de posibles complicaciones durante la ablación de las venas pulmonares, procedimiento realizado para el manejo de la fibrilación auricular. Este estudio pretende caracterizar la anatomía (tamaño y forma) de las venas pulmonares y determinar las variantes anatómicas más comunes de las mismas. Métodos: Se analizaron 277 estudios de angioresonancia tridimensional y tomografía computarizada realizados previo al procedimiento de aislamiento de venas pulmonares. Se evaluaron los diámetros de la aurícula izquierda, de los ostia de las venas pulmonares y se determinaron la presencia de venas pulmonares comunes, accesorias y ramificaciones tempranas. Resultados: 75% de nuestros pacientes presentaron la anatomía normal de dos venas pulmonares derechas y dos izquierdas. En un 10,1% de los casos se encontraron venas supernumerarias y en un 11,2% se encontró un tronco común. En un 61% de los pacientes se encontraron ramas ostiales, las cuales en un 39,4% de los casos se presentaron en la vena pulmonar inferior derecha. Conclusiones: La evaluación de la morfología de la aurícula derecha y las venas pulmonares por medio de angioresonancia o tomografía computarizada, es necesaria para la realización de ablación por radiofrecuencia dada la alta frecuencia de variantes anatómicas y presencia de ramas ostiales.
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Introducción: A partir de la década de los cincuenta el manejo de la enfermedad valvular presenta cambios significativos cuando se incorporan los reemplazos valvulares tanto mecánicos como biológicos dentro de las opciones de tratamiento quirúrgico (1). Las válvulas biológicas se desarrollaron como una alternativa que buscaba evitar los problemas relacionados con la anticoagulación y con la idea de utilizar un tejido que se comportara hemodinámicamente como el nativo. Este estudio está enfocado en establecer la sobrevida global y la libertad de reoperación de la válvula de los pacientes sometidos a reemplazo valvular aórtico y mitral biológicos en la Fundación Cardioinfantil - IC a 1, 3, 5 y 10 años. Materiales y métodos: Estudio de cohorte retrospectiva de supervivencia de pacientes sometidos a reemplazo valvular aórtico y/o mitral biológico intervenidos en la Fundación Cardioinfantil entre 2005 y 2013. Resultados: Se obtuvieron 919 pacientes incluidos en el análisis general y 876 (95,3%) pacientes con seguimiento efectivo para el análisis de sobrevida. La edad promedio fue 64años. La sobrevida a 1, 3, 5 y 10 años fue 95%,90%,85% y 69% respectivamente. El seguimiento efectivo para el desenlace reoperación fue del 55% y se encontró una libertad de reoperación del 99%, 96%, 93% y 81% a los 1, 3, 5 y 10 años. No hubo diferencias significativas entre la localización de la válvula ni en el tipo de válvula aortica empleada. Conclusiones: La sobrevida de los pacientes que son llevados a reemplazo valvular biológico en este estudio es comparable a grandes cohortes internacionales. La sobrevida de los pacientes llevados a reemplazo valvular con prótesis biológicas en posición mitral y aortica fue similar a 1, 3, 5 y 10 años.
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Orientação: Ana Mirco
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Purpose of review: To provide an overview of the key earlier intervention studies with marine omega-3 fatty acids and to review and comment on recent studies reporting on mortality outcomes and on selected underlying mechanisms of action. Recent findings: Studies relating marine omega-3 fatty acid status to current or future outcomes continue to indicate benefits, for example, on incident heart failure, congestive heart failure, acute coronary syndrome, and all-cause mortality. New mechanistic insights into the actions of marine omega-3 fatty acids have been gained. Three fairly large secondary prevention trials have not confirmed the previously reported benefit of marine omega-3 fatty acids towards mortality in survivors of myocardial infarction. Studies of marine omega-3 fatty acids in atrial fibrillation and in cardiac surgery-induced atrial fibrillation have produced inconsistent findings and meta-analyses demonstrate no benefit. A study confirmed that marine omega-3 fatty acids reduce the inflammatory burden with advanced atherosclerotic plaques, so inducing greater stability. Summary: Recent studies of marine omega-3 fatty acids on morbidity of, and mortality from, coronary and cardiovascular disease have produced mixed findings. These studies raise new issues to be addressed in future research.
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Background: Physical activity is of benefit for primary prevention of cardiovascular diseases, but it appears to increase the risk for atrial fibrillation. We aimed to study a cohort of patients following a first stroke in individuals with previous high physical activity, compare them to the general population with respect to recurrent stroke and death, and relate these to atrial fibrillation. Methods and results: From the participants of the Vasaloppet, the world's largest ski-race, and matched individuals from the general population (n=708 604), we identified 5964 patients hospitalized with a first-time stroke between 1994 and 2010. Individuals with severe diseases were excluded. One half percent of skiers and 1% of nonskiers were hospitalized due to stroke. The incidence rate was 8.3 per 100 person-years among skiers and 11.1 among nonskiers. The hazard ratio (HR) for recurrent stroke or death between the 2 groups was 0.76 (95% CI 0.67 to 0.86). The result was consistent in subgroups. The HR for death was 0.66 (95% CI 0.56 to 0.78) and for recurrent stroke 0.82 (95% CI 0.70 to 0.96). After adjustment for smoking and socioeconomic factors, the HR for death was consistent at 0.70 (95% CI 0.56 to 0.87) while the HR for recurrent stroke was not statistically significant. Outcomes for skiers with atrial fibrillation tended to show a lower risk than for nonskiers. Conclusions: This large cohort study supports the hypothesis that patients with a stroke and with prior regular physical activity have a lower risk of death, while their risk for recurrent stroke is similar to that of nonskiers. The skiers had a higher incidence of atrial fibrillation, but still no increased risk of recurring stroke.
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Tachycardia-induced cardiomyopathy (TIC) is an important cause of heart failure as it is potentially reversible after ventricular rate control. A 66-year-old hypertensive woman presented with a 15-day history of tachycardia, dyspnoea and oedema. ECG revealed atrial fibrillation with ventricular frequency of 130 beats per minute (bpm). Echocardiogram showed dilated left ventricle (LV) with 0.39 ejection fraction. Angiography revealed non-obstructed coronary arteries. Heart rate and cardiac failure were controlled with amiodarone, digoxine, captopril, metoprolol and furosemide. During follow-up, despite drug dose optimisation, the patient kept complaining of tachycardia and dyspnoea with a ventricular rate between 108 and 120 bpm. Medical staff suspected she was not taking her medicines properly. Two months later, the patient was asymptomatic and had converted to sinus rhythm (heart rate of 76 bpm). Echocardiogram showed normal LV size and function. Patient 's diagnosis was TIC. Although rare, TIC should be considered in all cases of systolic dysfunction associated with tachyarrhythmia. Copyright 2012 BMJ Publishing Group. All rights reserved.