924 resultados para female reproductive tract


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Verrucous carcinoma of the vulva is a rare lesion (1). Affecting essentially postmenopausal women, this lesion is a distinct and particular entity in vulval carcinoma classification and its scalability is uncertain and unpredictable. Here, we present a case concerning a 48-year-old patient, without follow-up after a condyloma acuminate of the vulva (large left lip). The origin of this case will be discussed in this article. The treatment decided was only surgical. A review of literature shows the rarity of this lesion of the female genital tract.

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Chez la femme, la majorité des cas d’infection au VIH sont acquis lors de relations hétérosexuelles. Cependant, très peu d’informations sont disponibles concernant l’immunité locale naturelle du tractus génital féminin, les facteurs influençant la susceptibilité à l’infection au VIH dans ce compartiment, ainsi que la réponse immunitaire de la muqueuse enclenchée après l’infection. Le but de notre projet est donc d’étudier certains facteurs pouvant être impliqués dans la susceptibilité à l’infection au VIH, afin de mieux comprendre l’immunité du tractus génital féminin. Nous avons, dans un premier temps, analysé le rôle du polymorphisme des gènes HLA-G et HLA-E sur la susceptibilité au VIH dans une population de femmes zimbabwéennes. La présence de l’allèle HLA-G*0105N, en combinaison avec le génotype HLA-EG/HLA-EG, était associée avec une diminution du risque d’infection. Puis, dans une étude cas-contrôle de travailleuses du sexe (TS) du Bénin, nous avons mesuré l’expression de HLA-G soluble au niveau du plasma. Nous avons observé une différence significative dans l’expression de HLA-G soluble, celle-ci étant plus faible dans le groupe des TS VIH positives comparé aux groupes de TS VIH négatives et de femmes VIH négatives de la population générale. Nous avons aussi analysé l’expression de cytokines et chimiokines dans le sérum et le tractus génital des participantes de l’étude du Bénin. Nous avons constaté que chez les TS VIH positives il y avait une expression plus élevée des chimiokines MPC-3, IP-10 et MIG dans le tractus génital et le sérum comparativement aux deux autres groupes. Les patrons d’expression des cytokines variaient selon les compartiments : le niveau de TNF-α et IFN-γ était plus élevé dans le tractus génital des TS VIH positives, alors que le niveau d’IL-2, d’IL-10 et de TNF-α était plus faible dans le sang des TS VIH positives, comparativement aux deux autres groupes. Ainsi, au niveau du tractus génital des femmes VIH positives, il semble y avoir une activation chronique du système immunitaire dans le but de favoriser la dissémination/perpétuation du virus. Les patrons d’expression différents entre le milieu systémique et génital nous montrent que l’immunité présente dans un compartiment n’est pas nécessairement le reflet de l’autre. Nous avons aussi observé une augmentation significative des niveaux d’IL-4, de MIP-1α, de MIP-1β et de MCP-1 dans le sérum des TS VIH négatives. Ces personnes, hautement exposées mais non infectées, semblent démontrer une plus grande capacité à enclencher une réponse immunitaire précoce pour empêcher la dissémination du virus. Notre étude a donc permis d’acquérir de nouvelles connaissances sur l’immunité du tractus génital féminin en relation avec l’infection au VIH.

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Contrairement à d’autres groupes animaux, chez les primates, la hiérarchie de dominance ne détermine pas systématiquement le succès reproductif des mâles. Afin de comprendre pourquoi, j’ai étudié les stratégies de reproduction des mâles et des femelles dans un groupe de macaques rhésus de la population semi-libre de Cayo Santiago (Porto Rico), collectant des données comportementales, hormonales et génétiques pendant deux saisons de reproduction. Les résultats se résument en cinq points. 1. Les nouveaux mâles qui ont immigré dans le groupe d’étude occupaient tous les rangs les plus subordonnés de la hiérarchie de dominance et ont monté en rang suite au départ de mâles plus dominants. Ainsi, l’acquisition d’un rang supérieur s’est faite passivement, en absence de conflits. Par conséquent, les mâles dominants étaient généralement d’âge mature et avaient résidé plus longtemps dans le groupe que les mâles subordonnés. 2. L’accès des mâles aux femelles est en accord avec le « modèle de la priorité d’accès » selon lequel le nombre de femelles simultanément en œstrus détermine le rang de dominance du mâle le plus subordonné qui peut avoir accès à une femelle (p. ex. le mâle de rang 4 s’il y a quatre femelles en œstrus). Bien que les mâles dominants aient eu plus de partenaires et aient monopolisé les femelles de qualité supérieure (dominance, parité, âge) pendant leur période ovulatoire (identifiée grâce au profil hormonal de la progestérone), le rang de dominance n’a pas déterminé le succès reproductif, les mâles intermédiaires ayant engendré significativement plus de rejetons que prédit. Il est possible que ces jeunes adultes aient produit un éjaculat de meilleure qualité que les mâles dominants d’âge mature, leur donnant un avantage au niveau de la compétition spermatique. 3. Les mâles dominants préféraient les femelles dominantes, mais cette préférence n’était pas réciproque, ces femelles coopérant plutôt avec les mâles intermédiaires, plus jeunes et moins familiers (c.-à-d. courte durée de résidence). Au contraire, les femelles subordonnées ont coopéré avec les mâles dominants. La préférence des femelles pour les mâles non familiers pourrait être liée à l’attrait pour un nouveau bagage génétique. 4. L’intensité de la couleur de la peau du visage des femelles pendant le cycle ovarien était corrélée au moment de la phase ovulatoire, une information susceptible d’être utilisée par les mâles pour maximiser leur probabilité de fécondation. 5. Les femelles retiraient des bénéfices directs de leurs liaisons sexuelles. En effet, les femelles en liaison sexuelle bénéficiaient d’un niveau de tolérance plus élevé de la part de leur partenaire mâle lorsqu’elles étaient à proximité d’une source de nourriture défendable, comparativement aux autres femelles. En somme, bien que les mâles dominants aient bénéficié d’une priorité d’accès aux femelles fertiles, cela s’est avéré insuffisant pour leur garantir la fécondation de ces femelles parce que celles-ci avaient plusieurs partenaires sexuels. Il semble que l’âge et la durée de résidence des mâles, corrélats de leur mode d’acquisition du rang, aient confondu l’effet du rang de dominance.

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La reproduction est un pilier majeur de la productivité des fermes laitières. Dans ce contexte, il est pertinent d’identifier à l’avance les animaux à risque d’avoir des performances en reproduction sous-optimales, surtout si un traitement efficace est disponible pour améliorer ces performances. Les endométrites clinique et subclinique sont des conditions définies selon leur impact sur les performances en reproduction subséquentes et donc, des outils très intéressants de surveillance de la santé utérine. Le premier objectif de cette étude était de déterminer simultanément des seuils diagnostiques pour les endométrites clinique (diagnostiquée par le Metricheck) et subclinique (diagnostiquée par la cytologie endométriale ou par l’estérase leucocytaire) selon leur impact sur les performances en reproduction à la première saillie. L’écoulement vaginal purulent a été identifié comme seuil pour l’endométrite clinique, alors que les seuils identifiés pour l’endométrite subclinique ont été un pourcentage de polymorphonucléaires de 6% à la cytologie et une « forte quantité de leucocytes » à l’estérase leucocytaire. Le second objectif de l’étude était d’évaluer l’effet d’un traitement intra-utérin de céphapirine sur les performances à la première saillie des animaux sains et atteints d’endométrite. Aucun effet du traitement n’a été observé chez les vaches saines ou atteintes d’endométrite clinique, alors qu’une tendance à l’amélioration des performances a été associée au traitement chez celles atteintes d’endométrite subclinique. L’anovulation post-partum prolongée pourrait altérer l’efficacité du traitement de céphapirine, surtout chez les vaches atteintes d’endométrite clinique.

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Introduction : Aujourd’hui, 35,3 millions de personnes vivent avec le virus de l’immunodéficience humaine (VIH)-1 dans le monde ; l’Afrique subsaharienne concentre 70% des nouvelles infections et les femmes en représentent plus de la moitié. Le mode de transmission du VIH le plus répandu est par voie mucosale génitale suite à des relations sexuelles. Le tractus génital féminin (TGF) possède un milieu immunitaire complexe qui doit contrer l’invasion par des pathogènes tout en maintenant la tolérance/contrôle de la flore normale vaginale étant sous la pression de procréation sous influence des hormones sexuelles. De plus, les mécanismes favorisant ou prévenant l’infection du TGF par le VIH ne sont pas précisément identifiés. Hypothèse : Le contexte inflammatoire mucosal génital et la résultante de dialogues intercellulaires tel qu’entre les cellules épithéliales génitales (CEG) et les cellules dendritiques myéloïdes (mDC), qui sont des premières à rencontrer le virus aux portes d’entrée mucosales, modulent l’activité des lymphocytes qui est déterminante dans le type de réponse immunitaire élaborée par l’hôte. Méthodologie : Des spécimens provenant d’une cohorte de travailleuses du sexe (TS) recrutées à Cotonou au Bénin en Afrique subsaharienne ont été analysés. Nous avons caractérisé le milieu mucosal génital féminin hautement exposé au VIH de TS séronégatives (highly exposed seronegative; HESN) en comparaison avec celui de TS séropositives. Brièvement, les liquides cervicaux-vaginaux ont été déterminés par des techniques de multiplexes/Luminex ou par ELISA et le milieu cellulaire a été décrit suite à des analyses de cytométrie en flux (phénotypage et tri cellulaire). Résultats : Nous avons observé la présence augmentée d’un facteur soluble antiviral, immunomodulateur et antiprolifératif sécrété dans le TGF des TS HESN qui est l’interféron (IFN)-α. La présence augmentée de cette cytokine suggère l’existence possible de connexions intercellulaires clés qui pourraient mener à une régulation homéostatique du compartiment immunitaire génital permettant de contrôler l’infection par le VIH-1. En étudiant l’expression de molécules impliquées dans les voies de signalisation associées à la production d’IFN-α dans les CEG et les cellules myéloïdes du TGF, nous avons pu mettre en évidence l’existence d’un microenvironnement présentant un profil «tolérogénique/régulateur» dans le TGF des TS HESN. Conclusion : Nos observations nous ont permis d’élucider certaines hypothèses sur un potentiel mécanisme d’immunité naturelle protecteur chez les TS HESN. De plus, nous sommes des premiers à décrire une population myéloïde présentant des caractéristiques de DC «tolérogéniques» de par leur expression d’interleukine (IL)-10, de human leukocyte antigen (HLA)-G et de immunoglobulin-like transcript (ILT)-4 dans le TGF de TS HESN. Cette étude aura des implications majeures dans le développement de stratégies d’interventions préventives afin de moduler des conditions inflammatoires préexistantes ainsi établissant une défense mucosale rapide et durable contre le VIH-1.

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Chez les plantes à fleurs, l’ovaire est l’organe reproducteur femelle et il interagit de façon importante avec les gamètes mâles durant la croissance, le guidage, la réception et la rupture du tube pollinique ainsi que la fusion des gamètes. Le processus débute lorsque de nombreux gènes de l’ovule sont activés à longue distance lors de la réception du pollen sur le stigmate. Afin d’explorer les signaux provenant de l’ovule ayant un impact important sur les interactions pollen–pistil, particulièrement les molécules sécrétées impliquées dans la signalisation espècespécifique, l’expression génique des ovules sous forme d’ARNm ainsi et la sécrétion protéique ont été étudiées chez Solanum chacoense, une espèce diploïde de pomme de terre sauvage. S. chacoense a subi beaucoup d’hybridation interspécifique avec d’autres espèces sympathiques de solanacées, facilitant ainsi grandement l’étude des interactions pollen–ovule de façon espècespécifique ainsi que leur évolution. Dans ce projet, des ovules provenant de trois conditions différentes ont été comparés: des ovules matures de type sauvage, des ovules légèrement immatures, récoltés deux jours avant l’anthèse et des ovules provenant du mutant frk1 pour lesquels le sac embryonnaire est absent. Un séquençage d’ARN à haut débit a d’abord été effectué sur les ovules de type sauvage de S. chacoense afin de générer un assemblage de référence comprenant 33852 séquences codantes. D’autres séquençages ont été effectués sur les trois conditions d’ovules et sur les feuilles afin de faire une analyse d’expression différentielle des gènes. En comparaison avec les ovules de type sauvage, 818 gènes sont réprimés dans les ovules du mutant frk1. Un sous-groupe de 284 gènes, étaient également sous-exprimés dans les ovules légèrement immatures, suggérant un rôle spécifique dans les stades tardifs de la maturation du sac embryonnaire (stade de développent FG6 à FG7) ainsi que du guidage du tube pollinique, puisque ni les ovules du mutant frk1 ni ceux légèrement immatures ne sont capables d’attirer les tubes polliniques lors d’essais de croissance semi in vivo. De plus, 21% de ces gènes sont des peptides riches en cystéines (CRPs). En utilisant un transcriptome assemblé de novo provenant de deux proches parents de S. chacoense, S. gandarillasii et S. tarijense, une analyse d’orthologie a été effectuée sur ces CRPs, révélant une grande variabilité et une évolution rapide chez les solanacées. De nouveaux motifs de cystéine uniques à cette famille ont également été découverts. En comparant avec des études similaires chez Arabidopsis, le sac embryonnaire de S. chacoense montre un transcriptome fortement divergent, particulièrement en en ce qui a trait à la catégorisation fonctionnelle des gènes et de la similarité entre les gènes orthologues. De plus,même si la glycosylation n’est pas requise lors du guidage mycropylaire du tube pollinique chez Arabidopsis, Torenia ou le maïs, des extraits d’ovules glycosylés de S. chacoense sont capables d’augmenter la capacité de guidage de 18%. Cette étude est donc la première à montrer une corrélation entre glycosylation et le guidage du tube pollinique par l’ovule. En complément à l’approche transcriptomique, une approche protéomique portant sur les protéine sécrétées par l’ovule (le secrétome) a été utilisée afin d’identifier des protéines impliquées dans l’interaction entre ovule et tube pollinique. Des exsudats d’ovules matures (capables d’attirer le tube pollinique) et d’ovules immatures (incapables d’attirer le tube pollinique) ont été récoltés en utilisant une nouvelle méthode d’extraction par gravité permettant de réduire efficacement les contaminants cytosoliques à moins de 1% de l’échantillon. Un total de 305 protéines sécrétées par les ovules (OSPs) ont été identifiées par spectrométrie de masse, parmi lesquelles 58% étaient spécifiques aux ovules lorsque comparées avec des données de protéines sécrétées par des tissus végétatifs. De plus, la sécrétion de 128 OSPs est augmentée dans les ovules matures par rapport aux ovules immatures. Ces 128 protéines sont donc considérées en tant que candidates potentiellement impliquées dans la maturation tardive de l’ovule et dans le guidage du tube pollinique. Cette étude a également montré que la maturation du sac embryonnaire du stade FG6 au stade FG7 influence le niveau de sécrétion de 44% du sécrétome total de l’ovule. De façon surprenante, la grande majorité (83%) de ces protéines n’est pas régulée au niveau de l’ARN, soulignant ainsi l’importance de cette approche dans l’étude du guidage du tube pollinique comme complément essentiel aux études transcriptomiques. Parmi tous les signaux sécrétés par l’ovule et reliés au guidage, obtenus à partir des approches transcriptomiques et protéomiques décrites ci-haut, nous avons spécifiquement évalué l’implication des CRPs dans le guidage du tube pollinique par l’ovule chez S. chacoense, vu l’implication de ce type de protéine dans les interactions pollen-pistil et le guidage du tube pollinique chez d’autres espèces. Au total, 28 CRPs étaient présentes dans les ovules capables d’attirer le tube pollinique tout en étant absentes dans les ovules incapables de l’attirer, et ce, soit au niveau de l’ARNm et/ou au niveau du sécrétome. De celles-ci, 17 CRPs ont été exprimées dans un système bactérien et purifiées en quantité suffisante pour tester le guidage. Alors que des exsudats d’ovules ont été utilisés avec succès pour attirer par chimiotactisme le tube pollinique, les candidats exprimés dans les bactéries n’ont quant à eux pas été capables d’attirer les tubes polliniques. Comme l’utilisation de systèmes d’expression hétérologue eucaryote peut permettre un meilleur repliement et une plus grande activité des protéines, les candidats restants seront de nouveau exprimés, cette fois dans un système de levure ainsi que dans un système végétal pour produire les peptides sécrétés. Ceux-ci seront ensuite utilisés lors d’essais fonctionnels pour évaluer leur capacité à guider les tubes polliniques et ainsi isoler les attractants chimiques responsable du guidage du tube pollinique chez les solanacées comme S. chacoense.

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Während der Spermatogenese wird das Element Zink an die Sulfhydrylreste der Cysteine in den Mantelfaserproteinen der Spermienflagellen gebunden. So kann in den noch unreifen Mantelfasern die ungerichtete Ausbildung von Disulfidbrücken verhindert werden. Im Zuge der Spermatozoenreifung während der Nebenhodenpassage wird dieses Zink androgenabhängig zu einem hohen Prozentsatz wieder eliminiert. Die nun gerichtete Ausbildung von Disulfidbrücken ermöglicht die Versteifung der Mantelfasern. Diese Rigidität stellt die Voraussetzung zur progressiven Motilität dar, ohne die eine Fertilisierung der Eizelle im weiblichen Genitaltrakt nicht möglich ist. Da eine negative Korrelation zwischen dem Zinkgehalt von Flagellen und ihrer Motilität besteht (Henkel et al., 1999), hat die Zinkeliminierung während der Nebenhodenpassage eine entscheidende Bedeutung in der Entwicklung der Spermatozoen. Die vorliegende Arbeit untersucht die Mechanismen der epididymalen Zinkeliminierung sowie die an diesem Prozess beteiligten Komponenten und den Verbleib des eliminierten Zinks am System des Bullen, der Ratte und des Menschen. Mittels proteinchemischer Verfahren kann im bovinen System ein zinkbindendes 60 kDa-Protein als Albumin identifiziert werden. Ein 80 kDa-Protein mit zinkbindenden Eigenschaften bleibt unidentifiziert. Die Zinkbindungskapazität der fraktionierten Proteine ist dabei im Caput epididymidis am stärksten ausgeprägt. Atomabsorptionsspektralphotometrische Untersuchungen zeigen die höchsten flagellären Zinkwerte in den Spermien des Rete testis und eine Abnahme des Zinkgehalts zwischen Nebenhodenkopf und -körper. Durch Autometallographie kann eine epitheliale Zinkresorption im Nebenhodenschwanz nachgewiesen werden. Dort erfolgt auch die basale Anreicherung des Zinks. Am Zinkstoffwechsel scheint auch der Macrophage Migration Inhibitory Factor (MIF) beteiligt zu sein. Dieser ist ein Zytokin mit Oxidoreduktasecharakter und kommt unter anderem im Nebenhodenepithel sowie in den Vesikeln des Nebenhoden-Fluids der Ratte vor. MIF zeigt in den hier durchgeführten Untersuchungen sowohl in systemhomologer, als auch in rekombinanter Form in vitro eine Zink-eliminierende Wirkung auf Rattenspermatozoen des Caputs und der Cauda epididymidis und hat somit möglicherweise Einfluss auf den Reifungsprozess der Spermien im Nebenhoden. Lit.: Henkel R, Bittner J, Weber R, Hüther F, Miska W (1999). Relevance of zinc in human sperm flagella and its relation to motility. Fertil Steril 71: 1138-1143

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Introducción: La infección por un tipo de Virus del Papiloma Humano de alto riesgo (VPH-AR), es el factor principal en el desarrollo de Cáncer de Cérvix (CC). La carga viral puede modular esta asociación, por lo que resulta importante su cuantificación y el establecimiento de su relación con lesiones precursoras de CC. Metodología: 60 mujeres con lesiones escamosas intraepiteliales (LEI) y 120 mujeres sin LEI, confirmadas por colposcopia, fueron incluidas en el estudio. Se determinó la carga viral de 6 tipos de VPH-AR, mediante PCR en tiempo real. Se estimaron OR crudos y ajustados para evaluar la asociación entre la carga viral de cada tipo y las lesiones cervicales. Resultados: 93.22% de mujeres con LEI y 91.23% de mujeres negativas, fueron positivas para al menos un tipo de VPH. VPH-18 y VPH-16 fueron los tipos más prevalentes, junto con VPH-31 en mujeres sin LEI. No se encontraron diferencias estadísticamente significativas de las cargas virales entre éstos dos grupos, aunque se observó un mayor carga viral en lesiones para algunos tipos virales. Una mayor frecuencia de lesiones se asoció a infecciones con carga baja de VPH-16 (ORa: 3.53; IC95%: 1.16 – 10.74), en comparación a mujeres con carga alta de VPH-16, (ORa: 2.63; IC95%: 1.09 – 6.36). En infecciones por VPH-31, la presencia de carga viral alta, se asoció con una menor frecuencia de lesiones (ORa: 0.34; IC95%: 0.15 – 0.78). Conclusiones: La prevalencia tipo-específica de VPH se corresponde con las reportadas a nivel mundial. La asociación entre la carga viral del VPH y la frecuencia de LEI es tipo específica y podría depender de la duración de la infección, altas cargas relacionadas con infecciones transitorias, y bajas cargas con persistentes. Este trabajo contribuye al entendimiento del efecto de la carga viral en la historia natural del CC; sin embargo, estudios prospectivos son necesarios para confirmar estos resultados.

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L'objectiu d'aquesta tesi doctoral ha estat estudiar a nivell taxonòmic i ecofisiològic les espècies de la família Faucheaceae (Rhodymeniales, Rhodophyta) presents a la península Ibèrica i a les illes Balears: Fauchea repens (C. Agardh) Montagne i Bory in Montagne, Gloiocladia furcata (C. Agardh) J. Agardh i Gloiocladia microspora (Bornet ex Rodríguez y Femenías) Sánchez i Rodríguez-Prieto, comb. nov. L'estudi taxonòmic es va realitzar a partir de mostres recol·lectades al llarg de la costa de la península Ibérica i de les illes Balears, amb la revisió dels exemplars conservats en els herbaris de diferents universitats espanyoles i dels exemplars tipus localitzats a l'herbari de C. Agardh i al de J.J. Rodríguez y Femenías. Així doncs, amb aquest treball es van completar les dades ja existents quant a la morfologia, l'estructura vegetativa i els tetrasporòfits de les tres espècies i es van aportar dades inèdites pel què fa a les estructures reproductores masculines de Fauchea repens, les estructures reproductores femenines i estadis de postfertilització de F. repens, G. furcata i G. microspora comb. nov. Paral·lelament es va detallar la corologia, l'hàbitat i la fenologia de les tres espècies. De l'estudi de F. repens i G. furcata, espècies tipus dels seus gèneres i, en el cas de la primera també de la família, es proposa una correcció de la descripció original de la família Faucheaceae I.M. Strachan, G.W. Saunders & Kraft, així com una nova combinació Gloiocladia microspora comb. nov. per l'espècie anomenada fins aquest estudi Fauchea microspora Bornet ex Rodríguez y Femenías. S'aporta també una iconografia original de dibuixos i fotografies, i una clau de determinació dels tàxons estudiats. Quant a l'estudi ecofisiològic, es van realitzar una sèrie d'experiments de laboratori per tal de determinar els requeriments de llum, temperatura i fotoperíode per el creixement i supervivència de les tres espècies. Així doncs, es van aportar dades inèdites pel què fa al cultiu in vitro de Fauchea repens, Gloiocladia furcata i Gloiocladia microspora comb. nov., que ens van permetre explicar la distribució batimètrica i geogràfica de les tres espècies.

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Measuring pollinator performance has become increasingly important with emerging needs for risk assessment in conservation and sustainable agriculture that require multi-year and multi-site comparisons across studies. However, comparing pollinator performance across studies is difficult because of the diversity of concepts and disparate methods in use. Our review of the literature shows many unresolved ambiguities. Two different assessment concepts predominate: the first estimates stigmatic pollen deposition and the underlying pollinator behaviour parameters, while the second estimates the pollinator’s contribution to plant reproductive success, for example in terms of seed set. Both concepts include a number of parameters combined in diverse ways and named under a diversity of synonyms and homonyms. However, these concepts are overlapping because pollen deposition success is the most frequently used proxy for assessing the pollinator’s contribution to plant reproductive success. We analyse the diverse concepts and methods in the context of a new proposed conceptual framework with a modular approach based on pollen deposition, visit frequency, and contribution to seed set relative to the plant’s maximum female reproductive potential. A system of equations is proposed to optimize the balance between idealised theoretical concepts and practical operational methods. Our framework permits comparisons over a range of floral phenotypes, and spatial and temporal scales, because scaling up is based on the same fundamental unit of analysis, the single visit.

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Phthalates are industrial additives widely used as plasticizers. In addition to deleterious effects on male genital development, population studies have documented correlations between phthalates exposure and impacts on reproductive tract development and on the metabolic syndrome in male adults. In this work we investigated potential mechanisms underlying the impact of DEHP on adult mouse liver in vivo. A parallel analysis of hepatic transcript and metabolic profiles from adult mice exposed to varying DEHP doses was performed. Hepatic genes modulated by DEHP are predominantly PPARalpha targets. However, the induction of prototypic cytochrome P450 genes strongly supports the activation of additional NR pathways, including Constitutive Androstane Receptor (CAR). Integration of transcriptomic and metabonomic profiles revealed a correlation between the impacts of DEHP on genes and metabolites related to heme synthesis and to the Rev-erbalpha pathway that senses endogenous heme level. We further confirmed the combined impact of DEHP on the hepatic expression of Alas1, a critical enzyme in heme synthesis and on the expression of Rev-erbalpha target genes involved in the cellular clock and in energy metabolism. This work shows that DEHP interferes with hepatic CAR and Rev-erbalpha pathways which are both involved in the control of metabolism. The identification of these new hepatic pathways targeted by DEHP could contribute to metabolic and endocrine disruption associated with phthalate exposure. Gene expression profiles performed on microdissected testis territories displayed a differential responsiveness to DEHP. Altogether, this suggests that impacts of DEHP on adult organs, including testis, could be documented and deserve further investigations.

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Internal bacterial communities of synanthropic mites Acarus siro, Dermatophagoides farinae, Lepidoglyphus destructor, and Tyrophagus putrescentiae (Acari: Astigmata) were analyzed by culturing and culture-independent approaches from specimens obtained from laboratory colonies. Homogenates of surface-sterilized mites were used for cultivation on non-selective agar and DNA extraction. Isolated bacteria were identified by sequencing of the 16S rRNA gene. PCR amplified 16S rRNA genes were analyzed by terminal restriction fragment length polymorphism analysis (T-RFLP) and cloning sequencing. Fluorescence in situ hybridization using universal bacterial probes was used for direct bacterial localization. T-RFLP analysis of 16S rRNA gene revealed distinct species-specific bacterial communities. The results were further confirmed by cloning and sequencing (284 clones). L. destructor and D. farinae showed more diverse communities then A. siro and T. putrescentiae. In the cultivated part of the community, the mean CFUs from four mite species ranged from 5.2 × 102 to 1.4 × 103 per mite. D. farinae had significantly higher CFUs than the other species. Bacteria were located in the digestive and reproductive tract, parenchymatical tissue, and in bacteriocytes. Among the clones, Bartonella-like bacteria occurring in A. siro and T. putresecentiae represented a distinct group related to Bartonellaceae and to Bartonella-like symbionts of ants. The clones of high similarity to Xenorhabdus cabanillasii were found in L. destructor and D. farinae, and one clone related to Photorhabdus temperata in A. siro. Members of Sphingobacteriales cloned from D. farinae and A. siro clustered with the sequences of “Candidatus Cardinium hertigii” and as a separate novel cluster.

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Mechanisms and consequences of the effects of estrogen on the brain have been studied both at the fundamental level and with therapeutic applications in mind. Estrogenic hormones binding in particular neurons in a limbic-hypothalamic system and their effects on the electrophysiology and molecular biology of medial hypothalamic neurons were central in establishing the first circuit for a mammalian behavior, the female-typical mating behavior, lordosis. Notably, the ability of estradiol to facilitate transcription from six genes whose products are important for lordosis behavior proved that hormones can turn on genes in specific neurons at specific times, with sensible behavioral consequences. The use of a gene knockout for estrogen receptor alpha (ERalpha) revealed that homozygous mutant females simply would not do lordosis behavior and instead were extremely aggressive, thus identifying a specific gene as essential for a mammalian social behavior. In dramatic contrast, ERbeta knockout females can exhibit normal lordosis behavior. With the understanding, in considerable mechanistic detail, of how the behavior is produced, now we are also studying brain mechanisms for the biologically adaptive influences which constrain reproductive behavior. With respect to cold temperatures and other environmental or metabolic circumstances which are not consistent with successful reproduction, we are interested in thyroid hormone effects in the brain. Competitive relations between two types of transcription factors - thyroid hormone receptors and estrogen receptors have the potential of subserving the blocking effects of inappropriate environmental circumstances on female reproductive behaviors. TRs can compete with ERalpha both for DNA binding to consensus and physiological EREs and for nuclear coactivators. In the presence of both TRs and ERs, in transfection studies, thyroid hormone coadministration can reduce estrogen-stimulated transcription. These competitive relations apparently have behavioral consequences, as thyroid hormones will reduce lordosis, and a TRbeta gene knockout will increase it. In sum, we not only know several genes that participate in the selective control of this sex behavior, but also, for two genes, we know the causal routes. Estrogenic hormones are also the foci of widespread attention for their potential therapeutic effects improving, for example, certain aspects of mood and cognition. The former has an efficient animal analog, demonstrated by the positive effects of estrogen in the Porsolt forced swim test. The latter almost certainly depends upon trophic actions of estrogen on several fundamental features of nerve cell survival and growth. The hypothesis is raised that the synaptic effects of estrogens are secondary to the trophic actions of this type of hormone in the nucleus and nerve cell body.

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Scrotal circumference data from 47,605 Nellore young bulls, measured at around 18 mo of age (SC18), were analyzed simultaneously with 27,924 heifer pregnancy (HP) and 80,831 stayability (STAY) records to estimate their additive genetic relationships. Additionally, the possibility that economically relevant traits measured directly in females could replace SC18 as a selection criterion was verified. Heifer pregnancy was defined as the observation that a heifer conceived and remained pregnant, which was assessed by rectal palpation at 60 d. Females were exposed to sires for the first time at about 14 mo of age (between 11 and 16 mo). Stayability was defined as whether or not a cow calved every year up to 5 yr of age, when the opportunity to breed was provided. A Bayesian linear-threshold-threshold analysis via Gibbs sampler was used to estimate the variance and covariance components of the multitrait model. Heritability estimates were 0.42 +/- 0.01, 0.53 +/- 0.03, and 0.10 +/- 0.01, for SC18, HP, and STAY, respectively. The genetic correlation estimates were 0.29 +/- 0.05, 0.19 +/- 0.05, and 0.64 +/- 0.07 between SC18 and HP, SC18 and STAY, and HP and STAY, respectively. The residual correlation estimate between HP and STAY was -0.08 +/- 0.03. The heritability values indicate the existence of considerable genetic variance for SC18 and HP traits. However, genetic correlations between SC18 and the female reproductive traits analyzed in the present study can only be considered moderate. The small residual correlation between HP and STAY suggests that environmental effects common to both traits are not major. The large heritability estimate for HP and the high genetic correlation between HP and STAY obtained in the present study confirm that EPD for HP can be used to select bulls for the production of precocious, fertile, and long-lived daughters. Moreover, SC18 could be incorporated in multitrait analysis to improve the prediction accuracy for HP genetic merit of young bulls.

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Potamotrygonocestus Brooks & Thorson, 1976 is currently represented by six recognised species of tetraphyllidean cestodes inhabiting Neotropical freshwater stingrays. Potamotrygonid stingrays examined to date have included only a single specimen of Plesiotrygon iwamae. Only one species of tetraphyllidean, Potamotrygonocestus chaoi Marques, Brooks & Araujo, 2003, has been described from this host, and this description was based on limited material. New efforts to document the diversity in this host species resulted in the collection of eight additional specimens of P. iwamae, one of these from the upper Rio Solimoes, at Sao Paulo de Olivenca Amazonas during September, 2003, and seven from the Baia do Marajo, Para, during November, 2003. The specimen from the upper Solimoees was found to be infected with P. chaoi. Voucher material from this stingray was used for the redescription of this cestode, which is characterized by strobila 8.78-22.83 mm long and a great number of proglottides, 58-93; the new material provided strobilar length and proglottis counts for complete worms. Potamotrygonocestus marajoara n. sp. is the second species of this genus reported from Plesiotrygon iwamae, although it appears to be restricted to the lower Amazon. This new species resembles P. chaoi in possessing filitriches and blade-like spinitriches on the scolex, cephalic peduncle and cirrus, but differs from other species of the genus in the number of testes, which is 44 on average per proglottis, and by having apical sucker measuring 95-175 mu m in length. Additional data on the distribution and morphology of the microtriches and a detailed description of the female reproductive system are also provided in this study.