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Women’s contribution to abstract art in the interwar period is a subject that, to date, has received very little attention. In this article we deal with the untold story of the participation of women artists in Abstraction-Création, the foremost international group dedicated to abstract art in the 1930s. Founded in Paris in 1931, the group took on the work of two previous collectives to become a platform for the dissemination and promotion of abstract art and consisted of around a hundred members. Twelve of these were women, whose writings and works were published in the group’s annual magazine, abstraction creátion art non figuratif (1932-1936), and who participated in a number of the group’s exhibitions. Compared to what had occurred in previous groups, the participation of women, although reduced in number, was comparable to that of the male artists and being members of the group had a generally positive impact on the women’s careers. However, all this came at the expense of relinquishing any gender specificity in their work and the public presentation of it, and demonstrates that the normalization of women’s contributions to the avant-garde could only be brought about alongside a questioning of the more dogmatic views of modernity.

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Dieser Aufsatz analysiert die Darstellung der apokalyptischen Bilder in zwei frühen Werken von Ernst Jünger mit dem Ziel, ihre Ähnlichkeiten und Unterschiede zu den biblischen Apokalypse-Darstellungen zu zeigen. Untersucht werden das Kriegstagebuch 1914/1918 Ernst Jüngers, ein bislang noch unveröffentlichtes Werk des Autors, und In Stahlgewitten, das aus einer literarischen Reinterpretation der Kriegserlebnisse Ernst Jüngers, die im Kriegstagebuch aufgezeichnet wurden, beruht. Alle direkten oder indirekten Erwähnungen der Apokalypse in den untersuchten Werken beziehen sich lediglich auf die Dimension der Zerstörung, da der Autor vor allem die psychische Stärke seines Helden, der in solchen apokalyptischen Szenarien einen ständigen und erfolgreichen Kampf gegen den Tod führte, hervorheben wollte.

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Das Ziel dieser Arbeit ist es, ein Konzept für eine Darstellung der Personennamendatei(PND) in den Sprachen Resource Description Framework (RDF), Resource DescriptionFramework Schema Language (RDFS) und Web Ontology Language (OWL) zu entwickeln. Der Prämisse des Semantic Web folgend, Daten sowohl in menschenverständlicher als auch in maschinell verarbeitbarer Form darzustellen und abzulegen, wird eine Struktur für Personendaten geschaffen. Dabei wird von der bestehenden Daten- und Struktursituation im Pica-Format ausgegangen. Die Erweiterbarkeit und Anpassbarkeit des Modells im Hinblick auf zukünftige, im Moment gegebenenfalls noch nicht absehbare Anwendungen und Strukurveränderungen, muss aber darüber hinaus gewährleistet sein. Die Modellierung orientiert sich an bestehenden Standards wie Dublin Core, Friend Of A Friend (FOAF), Functional Requirements for Bibliographic Records (FRBR), Functional Requirements for Authority Data (FRAD) und Resource Description and Access (RDA).

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Cette mémoire est une analyse du subtexte immanent dans le roman « 1979 » (2001) de Christian Kracht, auteur suisse, qui est le plus connu pour son début « Faserland » (1995). Ces oeuvres sont situées dans le mouvement de la littérature Pop allemande des années 1990 et en résultent en même temps. Dans ce contexte, le climat socio-politique après la réunification, notamment le Literaturstreit, jouera un rôle important dans mon interprétation comme fond de la poésie de Kracht. J’exposerai les difficultés que le discours de la littérature Pop porte en ce qui concerne l’œuvre de cet auteur, qui, même s’il est vu en général comme fondateur de ce genre littéraire en Allemagne, ne considère pas ses textes comme littérature Pop dans ses déclarations notoirement problématiques. Je devrais objecter que Kracht est en combat avec la littérature Pop d’une façon stylistique et pas rarement ironique, ce qui traverse la définition étroite dominante. Il fait cela en adoptant sur l’un côté le trait le plus signifiant du genre, à savoir le caractère superficiel extrêmement descriptif et en transmettant sur l’autre côté un message moral profond, ce qui rend impossible la classification de ses textes comme Pop, signifiant seulement le divertissement ou l’archivisme de Moritz Bassler. En fait, la fréquence de signifiants de Pop dans les textes de Kracht créent par leur arrangement un réseau de sens qui, dans le paradigme post- moderne, peut être décrit le mieux avec le terme « rhizome » de Gilles Deleuze et Félix Guattari. En faisant ça, Kracht suit une autre tradition qui traverse les limites de la littérature Pop, comme il se sert de la décadence, de l’esthétisme et du symbolisme du fin-du-siècle d’un Hugo von Hofmannsthal, d’un Stefan George et d’un Joris-Karl Huysmans avec leurs pointes de mise en garde contre les déficits du modernisme, du libéralisme et du capitalisme, d’une façon nommée « fondamentalisme esthétique » par le sociologiste Stefan Breuer. Cette recherche se référera aux interprétations originales des textes source, aux évaluations de littérature d’accompagnement, à savoir des manuels scolaires en critique littéraire, en sociologie et en histoire allemande, aux comptes rendu, dissertations et entrevues et aux textes philosophiques. Cette mémoire est écrit en allemand.

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À l'aide des tout derniers modèles narratologiques développés entre autres par Ansgar Nünning, nous nous penchons sur l'oeuvre d'Eveline Hasler, une voix phare de la littérature alémanique contemporaine. À partir d’un corpus de six romans, nous examinons de façon systématique sa poétique du roman historique au regard 1) des techniques narratives, 2) de la marginalité de ses personnages en société, 3) de la conception de l’Histoire, 4) de l'image critique qu'elle présente de la Suisse. Il en ressort un portrait très nuancé de l'oeuvre de Hasler, puisqu’elle allie un récit principalement réaliste, plutôt traditionnel, mais aussi inspiré du langage cinématographique, à des passages métahistoriographiques postmodernes, où une narratrice assimilable à l’auteure fait part au « je » de ses réflexions sur l'Histoire. Même si ces brefs passages relativement rares rappellent sans contredit la posture de l’historien, ils s’inscrivent toutefois dans la fiction, laquelle actualise le passé dans la perspective historique d’un lecteur contemporain. De fait, l’œuvre de Hasler se présente comme un jeu habile avec la liberté poétique et le souci de véracité historique, ce à quoi concourt l’imbrication de documents originaux en italique dans le roman. Par ailleurs, la question de la marginalité en société joue un rôle prépondérant chez Hasler, car tous ses personnages principaux sont autant de marginaux, de Außenseiter. Cette problématique montre entre autres les limites de l’Aufklärung, étant donné que ses tenants, les adversaires des marginaux, se targuent le plus souvent d’être motivés par la pensée éclairante pour mieux la pervertir. Il en résulte la mise à l’écart des individus dérangeants — la prétendue sorcière, le géant et les femmes qui remettent en cause l’organisation patriarcale. Or, certains marginaux de Hasler parviennent à s’arracher un espace de liberté dans la marge, au prix de leurs racines helvétiques. Ainsi, ces marginaux peinent à s’inscrire dans l’Histoire dite officielle, ce que Hasler tente de rectifier en leur redonnant une voix. Sur le plan individuel, la plupart d’entre eux expérimentent une évolution circulaire, puisqu’ils ne parviennent pas à sortir de la marge (sauf peut-être Henry Dunant). Cette impression de tourner en rond s’oppose à une conception de l’Histoire humaine qui se déroule en continuum, puisque les exclusions d’hier préfigurent celles d’aujourd’hui. Au-delà de cette mesure humaine du temps, l’horizon temporel de la nature s’inscrit pour sa part dans la permanence. Ainsi, Hasler développe une conception historique qui varie selon des points de vue coexistants. Cet amalgame est le plus souvent marqué par un certain pessimisme, comme le dénote la vie d’Emily Kempin associée au mythe d’Icare. Finalement, tous les acteurs historiques de Hasler appartiennent au contexte helvétique et en présentent une image assez rétrograde, laquelle se dévoile non seulement à travers la fictionnalisation des lieux, mais aussi par des références à trois symboles nationaux : les Alpes, le réduit helvétique et la légende de Guillaume Tell. Hasler fait le procès de ces mythes, associés à la liberté et à la sauvegarde de ce « peuple de bergers », en montrant que la Suisse n’apporte pas de solution originale aux défis de l’Occident.

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Souvent laissée pour contre par les théoriciens, longtemps associée à la littérature populaire, la littérature fantastique a su depuis se tailler une place parmi les grands genres de la littérature. Depuis le milieu du XXe siècle, les chercheurs et le public découvrent ou redécouvrent un genre qui a toujours fait parti du paysage littéraire. Une œuvre majeure contribuera à la redécouverte scientifique du genre : Écrite en 1970 l’œuvre de Tzvetan Todorov Introduction à la littérature fantastique donne tant au néophyte qu’au chercheur un ouvrage qui trouve encore des échos aujourd’hui. Sa définition du fantastique, son approche du rôle du narrateur et du lecteur sont une référence, un point de départ et surtout un incontournable pour ceux et celles qui désirent comprendre et apprendre le fantastique. Dans ce mémoire, nous nous concentrerons particulièrement sur le rôle et la problématique du narrateur dans l’œuvre de deux représentants majeurs de la littérature fantastique de langue allemande du début du XXe siècle : Leo Perutz (1882-1957) et Alexander Lernet-Holenia (1897-1976). Le narrateur semble jouer un rôle prédominant dans la littérature fantastique. En effet, par son discours souvent présenté au « je », il semble créer une dynamique très particulière : il manipule son propre discours, il agit sur le lecteur en étant narrateur et personnage dans le récit, il crée une tension entre les différentes couches narratives par son état instable. Bref, il semble contribuer à l’apparition du fantastique dans le texte et également provoquer une certaine hésitation chez le lecteur. Le texte joue également un rôle : Leo Perutz produit un modèle de texte qui semble marquer aussi son collègue Alexander Lernet-Holenia. La structure presque mathématique des textes de Perutz rappelle que le fantastique peut jouer même à l’intérieur de paramètres rigides avec l’ordre et le chaos, les frontières entre le réel et le rêve. Nous étudierons des œuvres de Leo Perutz et d’Alexander Lernet-Holenia qui ont été publiées entre 1915 et 1937. Les théories qui serviront à appuyer mon travail sont tirées entre autre des études de Tzvetan Todorov et Uwe Durst sur la littérature fantastique et de Gérard Genette sur le narrateur.

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Ce mémoire analyse la réception de l’auteur autrichien Thomas Bernhard (1931-1989) au regard des scandales qui ont marqué sa carrière. Tantôt identifié comme l’imprécateur de l’Autriche, tantôt comme écrivain exceptionnel, il aura remis en question le rôle de son pays dans le national-socialisme et multiplié les attaques ad hominem. Il aura tenu un rôle ambigu dans l’espace public. Tout en insistant sur le caractère fictif de ses œuvres, il se mettait en scène de façon provocatrice dans le discours public ainsi que dans sa fiction. Ce mémoire s’intéresse au fonctionnement du scandale en tant qu’événement social complexe ayant lieu dans l’espace public. Les chercheurs s’entendent pour considérer le scandale comme un trouble ou une irritation résultant d’une transgression, apparente ou avérée. Il s’agit en outre d’un phénomène intégré dans l’ordre social et géré par les médias, caractérisé par l’actualisation des valeurs morales. Dans la présente étude, il est postulé que le capital symbolique (cf. Bourdieu) joue un rôle d’a priori et de catalyseur dans les scandales. Une accumulation initiale de capital symbolique assure une visibilité médiatique automatique. Le capital d’identité de Thomas Bernhard – soit la personnalisation du capital symbolique – est hybride et complexe, de sorte qu’il est difficilement appréciable. La difficile appréciation du capital de l’auteur se traduit par l’incertitude des journalistes et du public quant à son message : réactions dispro-portionnées, critique du particulier perçue comme mise en cause de l’universel. Toute dé-claration, toute œuvre de Bernhard est assujettie à ses prestations « scandaleuses » antérieu-res. Ce mémoire insiste sur le caractère autoréférentiel du scandale et s’intéresse aux actes de langage performatifs (cf. John L. Austin). Le corpus comporte des romans de Bernhard, leurs recensions, des articles de quotidiens, des lettres de lecteurs, des documents juridiques ainsi que la correspondance entre Bernhard et Siegfried Unseld.

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La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU).

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Die Dissertation beschäftigt sich aus interdisziplinärer (musikwissenschaftlicher, literaturwissenschaftlicher und theologischer) Sicht mit den Biographien Brechts und Weills und ihrem bekanntesten gemeinsamen Werk, der Dreigroschenoper. Im ersten Teil werden anhand von Selbstäußerungen in Briefen und Tagebüchern die Biographien beider Künstler mit Blick auf Spuren von religiöser Biographie, Frömmigkeit und argumentativer Auseinandersetzung mit ihrer jeweiligen Heimatreligion – für Brecht das Christentum und für Weill das Judentum – untersucht. Die in der Forschung pauschal gehaltene These von einer intensiven religiösen Sozialisation beider Künstler ist zwar gerechtfertigt und vor allem für Brecht bekannt, stellt aber nur einen Ausgangspunkt für differenziertere Untersuchungen dar. Dazu gehört es religiöse Existenz als bedeutenden und künstlerisch wirksamen Bestandteil von Persönlichkeitsentwicklung zu verstehen. Religiöse Existenz darf nicht, wie es fast durchgängig in der Forschung zu Brecht und Weill geschieht, auf eine affirmative Grundhaltung begrenzt werden, auch dürfen nicht christliche und jüdische Sozialisation gleichgesetzt werden. Daher sind auch die in der Arbeit gewonnenen exemplarischen Einblicke in Glaubensvorstellungen und Lebenspraxis von Juden und Christen im ausgehenden Kaiserreich und in der Weimarer Republik von besonderer Bedeutung. Auch reicht die bloße Feststellung einer intensiven religiösen Sozialisation nicht aus um wirklich zu beschreiben, was sie jeweils – etwa die Schabbatpraxis im Hause Weill oder Brechts Zweifel am Christentum während der Krankheit seines Vaters – bedeuten und bewirken kann. Mit der in der Dissertation vorgenommenen differenzierten Sichtung von Biographie wird weder die „Moderation“ der eigenen Biographie durch die Künstler außer Acht gelassen noch das künstlerische Werk der Biographie untergeordnet. Es wird vielmehr in der Verknüpfung der mehrdimensionalen Bezugssysteme das geschichtliche und damit auch das biographische Werden eines Werkes gleichzeitig als Charakteristikum seiner Ästhetik verstanden. Für die religiöse Dimension der Dreigroschenoper gilt ähnliches wie für die Sicht auf die religiösen Sozialisationen. Einige der offensichtlichen Anspielungen auf religiöse Kontexte gelten als bekannt. Dabei werden aber Tiefendimensionen und Ambivalenzen vernachlässigt, welche bei der Verwendung der zumeist biblischen Spuren mitschwingen und die auch für die Künstler mitschwingen konnten (Buch Rut, Passion Jesu etc.). An diesem Punkt setzt die Untersuchung im zweiten Teil der Arbeit ein, welche die versteckten, verdeckten oder nur oberflächlich untersuchten Spuren religiöser Konnotation in der Dreigroschenoper ermittelt und wieder verständlich macht. Brecht war nicht Theologe und schon gar nicht Exeget war, er war aber als Literat und als christlich sozialisierter Künstler in der Lage, kontextuelle Zusammenhänge, innerbiblische Verweise und Leerstellen biblischer Texte zu erkennen. Daher ist es für die Interpretation der Dreigroschenoper auch wesentlich, biblische Hintergründe und ausgewählte theologische Erkenntnisse heranzuziehen. Durch den Rückgriff auf Biblisches und damit auf jüdische und christliche Tradition wird nicht nur die Komplexität der Dreigroschenoper verdeutlicht, sondern gleichsam rückwirkend die Komplexität biblischer Theologie sichtbar. Der Komponist darf bei diesem künstlerischen Verarbeitungsprozess religiöser Kontexte nicht verdrängt werden. Die Frage nach religiös semantisierbarer Musik ist trotz aller Schwierigkeiten notwendig. Der Blick auf Weills Biographie, sein Aufwachsen im Hause eines jüdischen Kantors, seine Kenntnis der Synagogalmusik, seine künstlerische Verbundenheit mit Gustav Mahler, seine Kenntnis von Orgelmusik, Chorälen und den bachschen Passion und seine Selbstreflexion über sich als Künstler, der Jude war, fordert in dieser Hinsicht eine differenzierte und funktionale Sicht auf religiöse Semantik in der Musik. In der Dreigroschenoper spiegeln sich Säkularisierungsprozesse wider, doch bleibt trotz dieser Prozesse ein Bewusstsein für die religiösen Traditions- und Erklärungsmuster erhalten. Dieses gilt es wieder zu erschließen, da es untrennbar zum Werk, zur Werkästhetik und damit zu seinem Verständnis gehört. Die Dreigroschenoper verdeutlicht darüber hinaus, dass die religiöse Dimension noch in der Distanzierung bedeutsam bleibt. Auch daran wird erkennbar, wie sehr eine Gesellschaft von Voraussetzungen lebt, die sie nicht selbst hergestellt hat. Die Dreigroschenoper kann somit heute auch zu einem Lehrstück für kulturelle Codes werden.

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Die Arbeit befasst sich mit der Entstehung und den wirtschaftlichen Konsequenzen des deutsch-österreichischen Vermögensvertrages. Die Diskussionen über den Staatsvertrag und der ungelöste Komplex des deutschen Eigentums, der kompliziert und höchst sensibel war, prägte wie kein zweites Thema die deutsch-österreichischen Beziehungen. Dieser Komplex schwebte wie ein Damoklesschwert über den deutsch-österreichischen Beziehungen und wurde erst 1957 mit dem Abschluss des Vermögensvertrages gelöst. Die Alliierten verlangten 1952 in dem Überleitungsvertrag, ein Vorweganerkenntnis aller Bestimmungen die das deutsche Eigentum betreffen sollten. Die Bundesregierung stimmte der niedergelegten Hinnahmeklausel zu. Der Blankoscheck wurde mit dem Abschluss des österreichischen Staatsvertrages im Jahr 1955 eingelöst. Dabei wurde keine Rücksicht genommen, ob es sich um redlich erworbenes Eigentum natürlicher Personen handelte. Die Behandlung des Deutschen Eigentums im Staatsvertrag enttäuschte in der Bundesrepublik und brachte Spannungen in das Verhältnis beider Staaten. Aus dieser Sicht mussten Lösungswege gefunden werden, die die Deutschen nicht vor den Kopf stoßen und die aber auch nicht die Bestimmungen des Staatsvertrages verletzten. Das Ziel war, den natürlichen Personen ihr Privateigentum im größtmöglichen Umfang zurück zugegeben und den juristischen Personen die Möglichkeit zu erteilen, sich mit ihren österreichischen Wirtschaftspartnern vernünftig auseinanderzusetzen. Der Vermögensvertrag regelte die Rückgabe von 95 Prozent des so genannten deutschen Eigentums natürlicher Personen im Wert von 500 bis 600 Millionen DM und klärte die Übertragung des laut Staatsvertragsgesetz an Österreich gefallenen sog. kleinen deutschen Eigentums bis zu einer Wertgrenze von 260.000 Schilling an die ehemaligen deutschen Eigentümer beziehungsweise deren Rechtsnachfolger. Die deutsch-österreichischen Verhandlungen waren äußerst schwierig und langwierig, galt es doch, gleichzeitig die Verpflichtungen Österreichs durch den Staatsvertrag und die Privateigentumsrechte der Deutschen zu respektieren. Der Vermögensvertrag stellte unter Wahrung des österreichischen Staatsvertrages einen Kompromiss dar, wodurch nicht alle in der Bundesrepublik Deutschland wie in Österreich Betroffenen befriedigt werden konnten. Aufgrund der Tatsache, dass nach Kriegsende die wirtschaftlichen und rechtlichen Beziehungen abrupt zwischen beiden Staaten gelöst werden mussten, stellt der deutsch-österreichische Vermögensvertrag mit der Regelung des kleinen deutschen Eigentums und seiner fast vollen Befriedigung österreichischer Forderungen gegen Deutsche ein wohlgelungenes Werk dar, das den Weg für eine gedeihlichere deutsch-österreichische Zusammenarbeit sowohl auf wirtschaftlichem als auch auf politischen Gebiet ebnete. Eine völlige Wiederherstellung des Eigentums natürlicher Personen war durch die Bindungen der beiden Staaten durch Verträge mit den Alliierten, Deutschland durch das Londoner Schuldenabkommen und Österreich durch den Staatsvertrag nicht möglich.

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Der Berliner Professor Eduard Wechssler ist einer der wichtigsten und Vertreter der romanistischen „Kultur- und Wesenskunde“ Frankreichs in der Zeit von 1914 bis 1933. Die vorliegende Untersuchung rekonstruiert seine Biographie und Bibliographie und stellt sie in den politischen, intellektuellengeschichtlichen, bildungspolitischen und disziplingeschichtlichen Zusammenhang der Epoche. Sie fragt außerdem nach den Vorstellungen von Frankreich, die Wechssler verbreitete, nach dem Ziel seiner Bemühungen, das „Wesen des Deutschen und des Franzosen“ zu beschreiben und – unabdingbar – nach seiner tatsächlichen Beziehung zum Nationalsozialismus. Das umfassendste Werk Wechsslers, „Esprit und Geist“ (1927), eine Anleitung für Lehrer und Studenten und wichtigster Ausdruck der „Wesenskunde“, findet besondere Beachtung. Sein deklariertes Hauptziel war es, den Nachbarn und durch ihn wiederum sich selbst besser kennen zu lernen, um den Krieg, wenn auch verspätet, wenigstens auf anderem Niveau, doch noch zu gewinnen. „Esprit und Geist“ dient in dieser Studie als Grundlage für die Beschreibung von Genese und Entwicklung der Ideen Wechsslers durch sein schriftliches Gesamtwerk hindurch. Aufschlussreich sind in diesem Zusammenhang auch die Reaktionen auf dieses Buch, z.B. von Henri Lichtenberger, Félix Bertaux, Victor Klemperer, Benedetto Croce, Hermann Platz, Fritz Schalk u.a. Eine ausführliche Darstellung der „Conférences françaises“, zu denen Wechssler zwischen 1926 und 1934 französische Schriftsteller und Philosophen ans Romanische Seminar der Universität Berlin einlud, um den Studenten und sonstigen Interessierten das „junge Frankreich“ nahe zu bringen, zeigt die Bedeutung dieser Veranstaltung im Rahmen des kulturellen Austausches zur Zeit der Weimarer Republik. Abschließend findet Wechsslers Tätigkeit als Leiter des Instituts für Portugal und Brasilien zwischen 1936 und 1939 Erwähnung, das offiziell die Aufgabe hatte, die kulturellen Beziehungen zwischen Portugal und Brasilien auf der einen und Deutschland auf der anderen Seite zu pflegen.

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Der liberale Theologe Arthur Titius (1864 – 1936) wirkte an entscheidenden Wegmarken des deutschen Protestantismus und der politischen Entwicklung in Deutschland zwischen 1895 und 1936 gestaltend und orientierend mit. Durch sein herausragendes ökumenisches Engagement wurde er auch außerhalb Deutschlands geschätzt. Er stammte aus einer bürgerlichen Familie in Sendsberg bei Königsberg und studierte dort und in Berlin. Dort trat er in engen Kontakt mit Julius Kaftan und Bernhard Weiss. Von 1895 bis 1906 war er Professor für Neues Testament an der Universität Kiel, wo er mit Otto Baumgarten zusammenarbeitete. 1906 wurde er auf einen systematischen Lehrstuhl an die Fakultät in Göttingen berufen. Von 1921 bis 1934 war er Lehrstuhlinhaber an der Universität Berlin. Mit seiner intensiven Beschäftigung mit naturwissenschaftlichen Themen konnte sich diese Arbeit leider nicht befassen. Er war verheiratet mit Emma Brandstetter, die Ehe blieb kinderlos. Titius war von 1910 bis 1921 Herausgeber der „Theologischen Literaturzeitung“. Nach der ökumenischen Versammlung in Stockholm im Jahr 1925 wurde er einer der Herausgeber der internationalen sozialwissenschaftlichen Zeitschrift „Stockholm“. Mit Georg Wobbermin begründete er die Zeitschrift „Studien zur systematischen Theologie“. In den neunziger Jahren des 19. Jahrhunderts engagierte er sich stark im Evangelisch-sozialen Kongress auf der Seite der „Jungen“ trotz kaiserlicher und kirchlicher Kritik an sozialpolitischen Aktivitäten. Er diente dem Kongress in leitender Position bis in die Zeit des Nationalsozialismus. Mit Friedrich Naumann gehörte er zu den Gründungsmitgliedern des politisch orientierten National-sozialen Vereins. Während Naumann immer stärker auf eine christliche Begründung seiner Sozialpolitik verzichtete, arbeitete Titius in einem umfassenden neutestamentlichen Werk an einer zeitgemäßen Interpretation des Begriffs der Seligkeit, um Intellektuelle und Arbeitermassen wieder zum Glauben und in die Kirche zurückzuführen. Trotz seiner durchaus nationalen Einstellung trat er während des Ersten Weltkrieg sehr bald versöhnlich auf. Nach dem Zusammenbruch von Kaiserreich und Summepiskopat kämpfte Titius für eine demokratische Erneuerung der Kirche. Er gründete den Volkskirchenbund, um in der unübersichtlichen politischen Lage politisch einwirken zu können und arbeitete an Verfassungsfragen mit. Auf dem ersten Deutschen Evangelischen Kirchentag rechnete er als einer der beiden Hauptredner mit dem Krieg und aller rückwärtsgewandten Verherrlichung militärischer Größe ab. Er trat für Abrüstung, Versöhnung und den Völkerbund ein, wofür er dort niedergezischt wurde. Dennoch wurde er praktisch als einziger Liberaler Mitglied im Deutschen Evangelischen Kirchenausschuss. Sein Amt endete 1935. Anfang der zwanziger Jahre sah er in der beginnenden ökumenischen Zusammenarbeit eine Möglichkeit, die staatlichen Bemühungen um einen friedlichen Ausgleich zwischen den Völkern durch eine kirchliche Kooperation zu unterstützen. Darum arbeitete er engagiert in der ökumenischen Bewegung mit. Leidenschaftlich setzte er sich 1925 auf der Stockholmer Konferenz für ein internationales sozialwissenschaftliches Institut als permanente Einrichtung der ökumenischen Bewegung und für die Zeitschrift „Stockholm“ ein, die dem Austausch sozialpolitischer Ideen dienen sollte. Mit dem Nationalsozialismus und Vertretern des Deutschen Glaubens setzte er sich Anfang der dreißiger Jahre sehr kritisch auseinander. Er erwartete verheerende Folgen, wenn der Faschismus, wie er den Nationalsozialismus ausdrücklich nannte, zum Gestaltungsprinzip des Staates würde. Bei der Konferenz des Ökumenischen Rates für Praktisches Christentum auf der dänischen Insel Fanö 1934 verteidigte Titius aber die Situation in Deutschland gegenüber kritischen Anfragen aus dem Ausland. Im weiteren Verlauf des Jahres versuchte er den deutschen Kirchenkonflikt durch ein Treffen von Vertretern der Hauptrichtungen vor allem aus den Arbeitsorganisationen zu überwinden. Allerdings blieb dieser Versuch ohne Erfolg. Nach dem Herbst 1934 wird auch seine theologische Position allmählich aufgeweicht. In den Schriften, die noch bis zu seinem Tod erschienen, kam er schließlich 1935 zu der Auffassung, dass die Rasse für alles geschichtliche und geistige Leben von erheblicher Bedeutung sei, eine Auffassung, die er 1933 und 1934 noch klar abgelehnt hatte.

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WIR SIND WIEDER WER konnte es in den fünfziger Jahren in Kassel heißen. Kassel war aber nicht nur eine Metropole der fünfziger Jahre, nein, sie ist auch heute noch eine Metropole der Fünfziger-Jahre-Architektur. Die wichtigen Impulse und Theorien für die deutsche Architektur der fünfziger Jahre werden, neben den Erfahrungen durch Reisen der Architekten ins umliegende Ausland, vor allem durch die Architekturzeitschriften verbreitet, aber natürlich liegt es auch vielfach an den Baumaterialien, die vorhanden sind, wie gebaut wird. Der Stahlbetonskelettbau, verkleidet mit Naturstein oder verputzt, wird zunächst die führende Bauweise. Die dadurch entstehenden Raster oder Rahmen werden auch dort aufgegriffen, wo sie nicht zwingend entstehen, und sind somit ein typisches Merkmal der Repräsentationsarchitektur der fünfziger Jahre. Accessoires, gefordert durch die gesellschaftlichen Einflüsse, werden im und am Bau in Form von Einrichtungsgegenständen, Treppen, transluzenten Wänden und Kunst-am-Bau bedient. Der bereits von dem niederländischen Architekten Oud fünfzehn Jahre zuvor geprägte Stilbegriff `poetischer Funktionalismus´ beschreibt nicht nur das Werk, sondern eben auch die Intention der Architekten der damaligen Zeit, den Aufbruch in eine helle, leichte und demokratische Zukunft sichtbar zu machen. Die säkulare Repräsentationsarchitektur ist in Kassel daher eindeutig ortstypisch und der bislang empfundene Pluralismus keine Unentschlossenheit, sondern eben die prägende Eigenart dieses Stils. Anhand von über 70 detailliert beschriebenen Gebäuden werden die aufgestellten Thesen und Schlussfolgerungen dargelegt. 14 Architektenportraits, eine, die Repräsentationsgebäude in Kassel im internationalen Vergleich darstellende Tabelle und 220, zum großen Teil selbstangefertigte Abbildungen runden neben einem großen Übersichtsplan diese Arbeit ab.

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Die vorliegende Arbeit beschäftigt sich mit dem Werk des französischen Philosophen Gilles Deleuze (1925-1995), indem sie dessen vielfältig-pluralistisches, in mancher Hinsicht sogar heterogenes Denken in einen Zusammenhang mit vitalistischen Philosophien der ersten Hälfte des 20. Jahrhunderts stellt (an erster Stelle Henri Bergson, aber auch Hans Driesch und Jakob von Uexküll), um auf diese Weise – durch Vergleiche und Gegenüberstellungen - zu verdeutlichen, dass und inwiefern der Vitalismus in der Version von Deleuze unter dem Eindruck der Entwicklung der Biologie seit Darwin (für die hier besonders die wissenschaftsphilosophischen Überlegungen der französischen Molekularbiologen François Jacob und Jacques Monod herangezogen werden) nicht mehr in erster Linie naturphilosophisch verstanden werden kann, sondern experimentell. Das, womit hier gedanklich experimentiert wird, sind Intensitäten. Und Intensität – so wird dargelegt – ist der Schlüsselbegriff zum Verständnis von Deleuzes’ erstem philosophischen Hauptwerk „Differenz und Wiederholung“. Im Zeichen eines Denkens der Intensitäten versucht Deleuze etablierte Dualismen wie die von Natur (physis) und Kunst (techné), Mensch und Tier, Individualität und Allgemeinheit zu unterlaufen. Weil dieser Versuch sich selbst als ein – wie es in dem von Deleuze gemeinsam mit dem Psychiater Félix Guattari verfassten Buch „Tausend Plateaus“ heißt - Vorstoß in "eine Welt aus formlosen, gegenstandslosen und gesichtslosen Schnelligkeiten und Langsamkeiten" versteht, stellt sich mit der Frage nach den lebenspraktischen Aspekten dieses grenzüberschreitenden und Freiräume eröffnenden Vorhabens auch die nach den damit verbundenen Risiken und Nebenwirkungen. Zur Konkretisierung werden Beispiele aus der modernen Literatur (die Verzeitlichung des Denkens bei Marcel Proust, aber auch die existentielle Sprachskepsis Antonin Artauds), der bildenden Kunst (die Deformationskunst in der Malerei Francis Bacons) und der Moral- bzw. moralkritischen Philosophie (der Stoizismus als eine Art Kunst der Selbstverteidigung, Nietzsches Umwertung aller Werte als eine Kunst der Selbstüberbietung) erörtert. Was in diesen Praktiken stattfindet und zum Ausdruck gebracht wird, sind Zerreißproben, d. h. radikale Belastungen oder Erprobungen von Vermögen wie Sinnlichkeit, Einbildungskraft, Denken, weshalb diese Versuche mit Deleuze, der sich hier von den stilpsychologischen Untersuchungen des Kunsthistorikers Wilhelm Worringer hat inspirieren lassen, als Spielarten eines nichtorganischen Lebens zu verstehen sind. Sich darauf in einem ständigen Wechsel von Annäherung und Distanzierung einzulassen, macht das ausgeprägte Pathos der Philosophie aus, auf das man im Denken von Gilles Deleuze trifft.