815 resultados para Older Women, Coping, Domestic Violence
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Exploratory and descriptive study based on quantitative and qualitative methods that analyze the phenomenon of violence against adolescents based on gender and generational categories. The data source was reports of violence from the Curitiba Protection Network from 2010 to 2012 and semi-structured interviews with 16 sheltered adolescents. Quantitative data were analyzed using SPSS software version 20.0 and the qualitative data were subjected to content analysis. The adolescents were victims of violence in the household and outside of the family environment, as victims or viewers of violence. The violence was experienced at home, mostly toward girls, with marked overtones of gender violence. More than indicating the magnitude of the issue, this study can give information to help qualify the assistance given to victimized people and address how to face this issue.
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OBJECTIVE: To collect data on the consultation frequency and demographic profile of victims of violence attending an emergency department (ED) in Switzerland. METHODS: We undertook screening of all admitted adult patients (>16 years) in the ED of the CHUV, Lausanne, Switzerland, over a 1 month period, using a modified version of the Partner Violence Screen questionnaire. Exclusionary criteria were: life threatening injury (National Advisory Committee on Aeronautics score > or =4), or inability to understand or speak French, to give oral informed consent, or to be questioned without a family member or accompanying person being present. Data were collected on history of physical and/or psychological violence during the previous 12 months, the type of violence experienced by the patient, and if violence was the reason for the current consultation. Sociodemographic data were obtained from the registration documents. RESULTS: The final sample consisted of 1602 patients (participation rate of 77.2%), with a refusal rate of 1.1%. Violence during the past 12 months was reported by 11.4% of patients. Of the total sample, 25% stated that violence was the reason for the current consultation; of these, 95% of patients were confirmed as victims of violence by the ED physicians. Patients reporting violence were more likely to be young and separated from their partner. Men were more likely to be victims of public violence and women more commonly victims of domestic violence. CONCLUSIONS: Based on this monthly prevalence rate, we estimate that over 3000 adults affected by violence consult our ED per annum. This underlines the importance of the problem and the need to address it. Health services organisations should establish measures to improve quality of care for victims. Guidelines and educational programmes for nurses and physicians should be developed in order to enhance providers' skills and basic knowledge of all types of violence, how to recognise and interact appropriately with victims, and where to refer these patients for follow up care in their local networks.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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L’exposition à la violence conjugale est une forme répandue de mauvais traitement psychologique envers l’enfant dont les conséquences néfastes sont maintenant bien connues. Les enfants ne sont pas tous affectés de la même manière par la violence conjugale et peuvent présenter différents profils d’adaptation. Des recherches de plus en plus nombreuses suggèrent l’importance de variables médiatrices qui permettent d’établir le lien entre l’exposition à la violence conjugale et l’adaptation de l’enfant. Toutefois, peu d’études permettent encore de préciser les relations entre ces variables, ni de connaître la pertinence de ces variables pour un profil d’adaptation particulier. Cette thèse, comprenant deux études empiriques, visait deux objectifs principaux. La première étude avait pour objectif d’examiner les liens entre le point de vue de l’enfant sur la violence conjugale et sur ses relations familiales, deux facteurs reconnus comme des médiateurs entre la violence conjugale et l’adaptation de l’enfant. Il était prévu que le point de vue de l’enfant sur la violence, pouvant se refléter par le blâme que l’enfant s’attribue pour la violence, sa perception de menace et sa peur d’être abandonné par ses parents, prédit son point de vue sur ses relations familiales, étudié sous l’angle de la parentification et des conflits de loyauté de l’enfant. Cette étude a été menée auprès de 79 enfants âgés de 8 à 12 ans et vivant avec leur mère dans un refuge pour femmes violentées. Les résultats révèlent que le blâme et la peur d’abandon prédisent la parentification et que la peur d’abandon prédit aussi les conflits de loyauté. L’objectif de la deuxième étude était de dégager des profils d’adaptation parmi les enfants exposés à la violence conjugale et d’identifier les facteurs qui leur sont associés. Ces facteurs renvoient à l’expérience de violence de l’enfant, à son point de vue sur la violence, à la qualité de la relation mère-enfant et à la parentification. Cette étude a été menée auprès de 116 enfants âgés entre 8 et 12 ans vivant en maison d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale ou fréquentant d’autres organismes offrant des services aux familles confrontées à la violence conjugale. Les résultats révèlent la présence de quatre profils d’adaptation : troubles extériorisés seulement, troubles intériorisés seulement, troubles à la fois extériorisés et intériorisés et absence de problème apparent. Ces quatre profils se distinguent selon la présence d’abus physique envers l’enfant, la qualité de la relation mère-enfant, le point de vue de l’enfant sur la violence et le degré de parentification de l’enfant. Les résultats sont discutés en fonction de l’apport respectif des parents et de l’enfant dans le développement de la parentification et des conflits de loyauté chez l’enfant exposé à la violence conjugale. La discussion souligne également la variabilité des manifestations de la détresse des enfants exposés à la violence conjugale. Les facteurs associés aux différents profils d’adaptation laissent entrevoir les besoins des enfants appartenant à un profil particulier et permettent de suggérer des liens entre ces facteurs.
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La relation mère-enfant est une variable déterminante de l’adaptation de l’enfant exposé à la violence conjugale. Toutefois, les rares études qui analysent simultanément le point de vue de la mère et celui de l’enfant au sujet de la qualité de leur relation révèlent peu de liens entre eux. La présente étude vise à identifier les variables associées à l’écart dans l’évaluation que la mère et l’enfant victimes de violence conjugale font de la qualité de leur relation. Au total, 117 mères victimes de violence conjugale et leur enfant âgé entre 8 et 12 ans ont participé à l’étude. Conformément aux hypothèses, plusieurs variables déjà liées à la qualité de la relation mère-enfant en contexte de violence conjugale sont associées aux différences de points de vue. C’est le cas pour les troubles extériorisés de l’enfant, son degré de parentification, la détresse de la mère et les troubles intériorisés de l’enfant. En revanche, l’intensité de la violence conjugale, la présence d’abus physique et le sexe de l’enfant ne prédisent pas de manière significative les écarts de point de vue entre la mère et l’enfant. La discussion montre l’intérêt de prendre en compte non seulement le point de vue de la mère et celui de l’enfant à propos de leur relation mais également leurs écarts de point de vue et les facteurs qui y contribuent.
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La présente étude s’imbrique dans une recherche plus large, réalisée par Damant, Oxman-Martinez, Lapierre, Tutty, Ursel, Jampton et Thiara (CRSH, 2009) ayant comme titre « Mothering in the context of domestic violence in Canada and the United Kingdom: A focus on Aboriginal, Black and Minority Ethnic women ». Dans le cadre de la présente recherche, nous effectuerons une analyse secondaire de certaines entrevues effectuées dans le cadre de la recherche de Damant et al., nous penchant plus spécifiquement sur la violence post-séparation, vécue par ces femmes. Nous baserons l’analyse des données sur sept de leurs entrevues semi-structurées. La sélection de ces sept entrevues a été effectuée par la chercheure principale. Bien qu’aucune question n’explorait le thème de la violence conjugale post-séparation, certaines femmes ont quand même abordé celui-ci. Nous en ferons état dans la présente recherche.
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En s’inscrivant dans la perspective du féminisme intersectionnelle et en mobilisant des méthodes mixtes, cette recherche tente de mieux comprendre la violence domestique envers les femmes au Mexique, à la fois à travers une analyse du discours des féministes mexicaines et d’une analyse statistique multidimensionnelle de données d’enquête identifiant les facteurs institutionnels, économiques et socioculturels associés au risque de vivre de la violence domestique. Cette thèse se démarque des réflexions féministes traditionnelles faites au Mexique puisqu’elle approche les rapports de genre en lien avec d’autres systèmes d’oppression et de subordination, fondés notamment sur les rapports de classe et l’ethnicité. Ainsi, elle appréhende la violence faite aux femmes en lien avec le patriarcat, sans réduire ce dernier à quelques indicateurs sociodémographiques et comportementaux mesurés au niveau individuel, mais en tenant compte du contexte d’inégalité de genre au niveau régional. Ce faisant, la recherche tente de réconcilier les deux grandes perspectives théoriques qui expliquent la violence conjugale, soit les approches de la violence familiale (qui s’attardent à des facteurs au niveau microsocial) et les approches féministes (qui mettent l’accent sur la structure patriarcale, c’est-à-dire le contexte plus large des inégalités de genre). Les résultats des entretiens réalisés avec des féministes représentant les trois branches du féminisme mexicain (féminisme hégémonique, populaire et autochtone) ont révélé les fractures existantes à l’intérieur du mouvement féministe au Mexique (antagonisme entre l’institutionnalisation et l’autonomie du mouvement féministe). De façon générale, l’analyse des entretiens a montré que l’engagement des féministes envers la cause des femmes est en accord avec les «idéaux types» des trois branches du féminisme mexicain. Les féministes hégémoniques mettent surtout l’accent sur la structure patriarcale de la société mexicaine et sur les inégalités de genre lorsqu’il s’agit de trouver des causes à la violence faite aux femmes. Pour les féministes du secteur populaire, la violence faite aux femmes s’explique autant par les inégalités de genre, que par les effets du système économique capitaliste. Le discours des femmes autochtones semble, quant à lui, tenir davantage compte de l’articulation des rapports de genre, des rapports ethniques, ainsi que des rapports socio-économiques. Néanmoins, nous constatons que les féministes de la branche hégémonique et populaire semblent de plus en plus sensibles à l’entrecroisement de systèmes de domination et d’oppression. Par ailleurs, l’analyse multiniveau effectuée à partir des données de l’Enquête nationale portant sur la dynamique des relations dans les ménages (2006), a révélé plusieurs résultats importants qui méritent d’être soulignés. D’abord on constate que les différences de prévalence des violences entre les municipalités mexicaines sont en grande partie expliquées par leur composition sociale, c’est-à-dire par des caractéristiques des femmes et de leur couple (niveau micro), plutôt que par des différences entre le niveau des inégalités de genre dans les municipalités mexicaines mesurées par l’ISDH (Indice Sexospécifique du Développement Humain). Les résultats des analyses montrent que les femmes autochtones ont en général des taux de violences moins élevés que les femmes métisses (groupe majoritaire). Enfin, en ce qui a trait à la relation entre le contexte d’inégalité de genre et la violence conjugale, les résultats suggèrent que plus l’ISDH d’une municipalité est élevée, plus il y a de femmes qui subissent les formes de violences. Cela va à l’encontre des postulats habituels des théories féministes et suggèrent que les progrès récents de la situation de la femme en matière de santé, d’éducation et de revenu n’ont pas bouleversé les rapports de genre encore très patriarcales qui continuent à privilégier la suprématie des hommes (Casique, 2004).
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This thesis is an attempt to explore the problems faced by Indian Women and to examine the ways in which the human rights of women could be better protected in the light of international movements with special reference to national legislation and judicial decisions.The evolution of human rights from early period to Universal Declaration of Human Rights, 1948 is traced in the first chapter. The second chapter deals with the evolution of human rights in India. The evolution of fundamental rights and directive principles and the role played by the Indian Judiciary in enforcing the human rights enumerated in various international instruments dealing with human rights are also dealt with in this chapter. The rights guaranteed to women under the various international documents have been dealt with in the third chapter.It is noticed that the international documents have had their impact in India leading to creation of machinery for protection of human rights. Organised violations of women's rights such as prostitution, devadasi system, domestic violence, sexual harassment at workplaces, the evil of dowry, female infanticide etc. have been analysed in the light of existing laws and decisional jurisprudence in the fourth chapter. The fifth chapter analyses the decisions and consensus that emerged from the world conferences on women and their impact on the Indian Society and Judiciary. The constitutional provisions and legislative provisions protecting the rights of women have been critically examined in the sixth chapter. Chapter seven deals with various mechanisms evolved to protect the human rights of women. The eighth chapter contains conclusions and suggestions.
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En este estudio se realizó una encuesta con el fin de evidenciar el conocimiento y la práctica de la Educación Sexual en adolescentes que acudieron al servicio de consulta externa de Medicina General en dos Instituciones Prestadoras de Servicios de Salud (IPS) de la ciudad de Bogotá, una de régimen contributivo y otra de régimen subsidiado. Se realizó un estudio observacional, descriptivo, de corte transversal, a 100 adolescentes, mujeres y hombres, a través de la aplicación de un instrumento prediseñado con un contenido de 17 preguntas donde se indagó acerca de: planificación familiar, conducta sexual, educación sexual, embarazo adolescente y conductas de riesgo en adolescentes. En relación al régimen de aseguramiento en salud que tenían los adolescentes, las diferencias encontradas en sus respuestas fueron a nivel de: educación sexual recibida, acceso a los servicios de planificación familiar de las Empresas Promotoras de Salud (EPS), presencia de embarazo adolescente y consumo de alcohol asociado a la práctica de relaciones sexuales. Tras el análisis de la información obtenida con la aplicación de la encuesta, se concluye que es indispensable crear en las instituciones educativas públicas y privadas de la ciudad de Bogotá, una nueva herramienta metodológica a través de la cual se realice promoción de la salud y refuerzo de prácticas protectoras en educación sexual para adolescentes, pues persiste desconocimiento de la misma.
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Although there are signs of decline, homicides and traffic-related injuries and deaths in Brazil account for almost two-thirds of all deaths from external causes. In 2007, the homicide rate was 26.8 per 100 000 people and traffic-related mortality was 23.5 per 100 000. Domestic violence might not lead to as many deaths, but its share of violence-related morbidity is large. These are important public health problems that lead to enormous individual and collective costs. Young, black, and poor men are the main victims and perpetrators of community violence, whereas poor black women and children are the main victims of domestic violence. Regional differentials are also substantial. Besides the sociocultural determinants, much of the violence in Brazil has been associated with the misuse of alcohol and illicit drugs, and the wide availability of firearms. The high traffic-related morbidity and mortality in Brazil have been linked to the chosen model for the transport system that has given priority to roads and private-car use without offering adequate infrastructure. The system is often poorly equipped to deal with violations of traffic rules. In response to the major problems of violence and injuries, Brazil has greatly advanced in terms of legislation and action plans. The main challenge is to assess these advances to identify, extend, integrate, and continue the successful ones.
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Pedagogues in the borderland of their social task: dealing with family law proceedings, threats and violence Drawing upon an explorative study of family law proceedings from a school perspective, the aim of this paper is to examine the school staff’s strategies for solving or coping with problematic situations in this context. Gendered conflicts between adults and violence are extreme cases for pedagogues in school and preschool. How do the staff cope with their own and the children’s vulnerability? Based upon interviews with 22 informants, the staff’s strategies are outlined and discussed in relation to organizational and professional circumstances and intersecting social relations of power. An analytical construction of six types of proactive and reactive strategies, ranging from distance keeping to normalization of own exposure, is utilized in the analysis. Findings suggest that the staff’s strategies to handle challenging events in this context vary with the parent’s gender, class position and ethnicity. Further, it is argued that creating a sense of safety and promoting learning among the children may be obstructed by lack of support from the school’s organization, demands on staff to perform customer oriented attitudes towards parents and lack of clarity concerning the limits of the social task. Conflicts between the organization and profession on the one hand and the educational and the social task on the other hand, are thus illuminated. In conclusion, a further aim of this article is to contribute to broader discussions on men’s violence against women and children – in families as well as in workplaces and in the intersection between these two areas.
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During the latest decade Somali-born women with experiences of long-lasting war followed by migration have increasingly encountered Swedish maternity care, where antenatal care midwives are assigned to ask questions about exposure to violence. The overall aim in this thesis was to gain deeper understanding of Somali-born women’s wellbeing and needs during the parallel transitions of migration to Sweden and childbearing, focusing on maternity healthcare encounters and violence. Data were obtained from medical records (paper I), qualitative interviews with Somali-born women (II, III) and Swedish antenatal care midwives (IV). Descriptive statistics and thematic analysis were used. Compared to pregnancies of Swedish-born women, Somali-born women’s pregnancies demonstrated later booking and less visits to antenatal care, more maternal morbidity but less psychiatric treatment, less medical pain relief during delivery and more emergency caesarean sections and small-for-gestational-age infants (I). Political violence with broken societal structures before migration contributed to up-rootedness, limited healthcare and absent state-based support to women subjected to violence, which reinforced reliance on social networks, own endurance and faith in Somalia (II). After migration, sources of wellbeing were a pragmatic “moving-on” approach including faith and motherhood, combined with social coherence. Lawful rights for women were appreciated but could concurrently risk creating power tensions in partner relationships. Generally, the Somali-born women associated the midwife more with providing medical care than with overall wellbeing or concerns about violence, but new societal resources were parallel incorporated with known resources (III). Midwives strived for woman-centered approaches beyond ethnicity and culture in care encounters, with language, social gaps and divergent views on violence as potential barriers in violence inquiry. Somali-born women’s strength and contentment were highlighted, and ongoing violence seldom encountered according to the midwives experiences (IV). Pragmatism including “moving on” combined with support from family and social networks, indicate capability to cope with violence and migration-related stress. However, this must be balanced against potential unspoken needs at individual level in care encounters.With trustful relationships, optimized interaction and networking with local Somali communities and across professions, the antenatal midwife can have a “bridging-function” in balancing between dual societies and contribute to healthy transitions in the new society.
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Objetivos: A proporção de ocorrência de alcoolismo em homens e mulheres tem uma variação de 14:1 até 2:1, mostrando a necessidade de estudos específicos para a população feminina. O objetivo deste estudo foi analisar o perfil e a evolução de alcoolistas, segundo gênero e gravidade da dependência. Métodos: Realizou-se um estudo longitudinal retrospectivo de 114 homens e 57 mulheres alcoolistas (CID-10), inscritos no ambulatório da Faculdade de Medicina de Botucatu, no período de 1990-1994 e avaliados até julho de 1997. Utilizou-se um questionário semi-estruturado, e, para avaliação da gravidade do alcoolismo, o Short Alcohol Dependence Data. Resultados/Conclusões: Os principais resultados mostraram que a estrutura familiar estava comprometida com: relacionamento difícil para 55,6% das mulheres e 65,7% dos homens; violência familiar em 74,1% das mulheres e 61,1% dos homens. As mulheres iniciaram a ingestão mais tarde que os homens (p=0,01), em geral com seus cônjuges (p=0,00). Não houve diferença de evolução no tratamento entre os gêneros. Os principais fatores associados à melhor resposta ao tratamento, independentemente do sexo, foram: nível de gravidade de dependência do álcool (dependentes leves e moderados apresentaram 5,59 vezes mais chances de melhorar do que os dependentes graves); ser praticante de alguma religião (2,3 vezes mais chances de melhora do que os pacientes que não eram praticantes); e tempo de seguimento no programa, negativamente correlacionado a chances de melhora (0,68 vezes menos chances de melhora que aqueles que permaneceram por tempo menor em tratamento).
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Objective. To estimate physical violence between intimate partners and to examine the association between violence and sociodemographic variables, use of alcohol, and other related factors.Method. This epidemiologic survey included a stratified probabilistic sample representative of the population from the city of São Paulo in economic and educational terms. The Gender, Alcohol and Culture: An International Study (GENACIS) questionnaire was employed. The sampling unit was the home, where all individuals older than 18 years were candidates for interview. The final sample included 1 631 people. Statistical analysis employed the Rao Scott test and logistic regression.Results. The response rate was 74.5%. Most participants were female (58.8%), younger than 40 years of age (52%), or had 5 to 12 years of schooling. of the overall group, 5.4% reported having been victims of physical violence by an intimate partner and 5.4% declared having been aggressors of intimate partners in the past 2 years. Most men declared that none of those involved had ingested alcohol at the moment of aggression. Most women reported that nobody or only the man had drunk. Being a victim or an aggressor was associated with younger age and having a heavy-drinking partner. Women suffered more serious aggression, requiring medical care, and expressed more anger and disgust at aggression than men.Conclusions. The results underscore the importance of the association between alcohol use and risk of aggression between intimate partners, and may contribute to the design of public policies aimed to control this situation.
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)