1000 resultados para [JEL:G33] Économie financière - Finances et direction des entreprises - Liquidation et faillite
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Rapport de recherche présenté à la Faculté des arts et des sciences en vue de l'obtention du grade de Maîtrise en sciences économiques.
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Cette recherche présente les résultats d'une étude portant sur les éléments de la performance à l'exportation de vingt-trois entreprises tunisiennes de confection, appréhendées par le niveau et la croissance de leurs ventes à l'exportation. Ce travail part de l'hypothèse que cette performance dépend d'une série de facteurs dont certains sont internes à la firme et d'autres appartiennent à son environnement externe. Un modèle, reliant plus de 74 variables indépendantes aux deux critères de la performance (le niveau des exportations et la croissance de celles-ci), a été élaboré. Il a permis de cerner l'influence de plusieurs variables inhérentes à la firme et à son preneur de décision sur les mesures de la performance. Il a pu également déceler l'impact d'un certain nombre de variables attitudinales et de perception sur la performance export. La collecte des données a eu lieu en Tunisie durant l'été 1990. Les résultats de l'étude montrent que des critères comme l'âge du preneur de décision, l'ancienneté de l'entreprise et l'expérience internationale de cette dernière affectent aussi bien le niveau que la croissance des exportations. La perception de l'activité d'exportation influe davantage sur la croissance que sur le niveau des exportations. Le choix de la stratégie marketing à l'export affecte considérablement le succès de celle-ci à l'échelle internationale. Les données recueillies traduisent également des divergences de profils entre les exportateurs performants et les exportateurs non-performants. La recherche autorise, par ailleurs, une meilleure compréhension des spécificités de la branche de la confection tunisienne. En dépit des difficultés rencontrées, la confection de cette thèse fut, pour nous, un travail passionnant. Nous invitons le lecteur, à venir partager notre intérêt et espérons pouvoir lui transmettre notre enthousiasme.
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Poussée par une croissance économique rapide ces trente dernières années, la demande chinoise en matières premières a considérablement augmenté au cours de cette période. Premier importateur mondial de nombreux minerais depuis le début du XXIe siècle, la Chine, qui n’est pas un État côtier de l’Arctique, semble attentive au potentiel économique de la région, et notamment en ce qui a trait à l’exploitation des gisements miniers. Avec l’ouverture relative des accès maritimes à travers les passages arctiques, les entreprises chinoises seraient en mesure d’effectuer des économies sur les coûts de transport et pourraient plus aisément accéder aux gisements miniers du Groenland et de l’Arctique canadien. La montée en puissance de l’économie chinoise, qui s’est concrétisée depuis le début du siècle, son affirmation politique sur la scène mondiale, et sa diplomatie des ressources perçue comme agressive a contribué à développer une perception négative de la Chine au sein des opinions publiques canadiennes, danoises, groenlandaises, et islandaises. Dans un contexte de débats et d’inquiétudes sur les questions de souveraineté dans l’Arctique, les presses canadiennes, groenlandaises et danoises ont contribué à construire, dans leurs opinions publiques respectives ces dernières années, une certaine sinophobie face aux investissements directs à l’étranger chinois, qui débutent réellement en 2005. Par exemple, un sondage mené en 2015 par l’Asia Pacific Foundation of Canada faisait ressortir que près de 76% de la population canadienne était hostile à l’acquisition d’entreprises canadiennes par des entreprises chinoises, tous secteurs confondus. Au Groenland, la perspective d’opérations minières dirigées par des entreprises chinoises a provoqué l’ire des médias danois et groenlandais. Alors que certains dénoncent une stratégie géopolitique chinoise plus large dans cette région du monde, d’autres mettent l’accent sur les implications de la venue de nombreux travailleurs chinois, de même que sur les questions d’une Chine cherchant à assurer un accès à long terme aux ressources de la région, prétextant que le Groenland serait une région d’investissement majeur pour les entreprises chinoises. La Chine, par l’entremise de ses entreprises, chercherait-elle à faire main basse sur les ressources minières de l’Arctique ? L’Arctique canadien, le Groenland et le Grand Nord québécois sont-ils des territoires d’investissements majeurs pour les entreprises chinoises ? Comment les facteurs qui déterminent les choix des entreprises chinoises se sont-ils traduits dans l’Arctique ? Dans le cadre de cette recherche, trente-six entreprises et organes du gouvernement ont été consultés. Les résultats de l’enquête soulignent que ces territoires ne sont pas des régions où les entreprises chinoises investissent d’importantes sommes, mais demeurent attractifs en raison de la stabilité politique et du climat compétitif des affaires qui y règnent, ainsi que pour la qualité des ressources physiques qu’on y retrouve. Cependant, les acteurs chinois soulignent d’importants défis tels que le déficit en matière d’infrastructures maritimes et de communication dans l’Arctique, le manque d’informations sur les opportunités d’affaires, c’est le cas des projets disponibles au Groenland notamment, et les acteurs chinois soulignent également leur manque d’expérience à l’international, de même que le coût et la disponibilité de la main-d’oeuvre comme des défis importants pour les entreprises chinoises. En somme, les investissements des entreprises chinoises dans des projets miniers dans l’Arctique canadien et au Groenland s’insèrent, certes, dans les stratégies globales des entreprises chinoises qui visent à diversifier et sécuriser leurs sources d’approvisionnements. En revanche, s’il apparaît que les territoires arctiques ne sont pas des régions d’investissements majeurs pour les entreprises chinoises dans le secteur extractif, les acteurs chinois sondés raisonnent, de manière générale, selon une logique de marché et recherchent donc, pour la plupart, à assurer la rentabilité de leur entreprise par la réalisation de gains. Outre les fluctuations des prix des matières premières sur les marchés mondiaux qui affectent grandement les opérations minières globales, de nombreux facteurs dans l’Arctique tels que l’éloignement, les conditions météorologiques extrêmes, et le manque d’infrastructures augmentent considérablement le coût de faire des affaires dans le secteur minier dans l’Arctique, qui demeure un marché niche.
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Collection : Association pour la protection légale des travailleurs, section française ; 17
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Collection : Association pour la protection légale des travailleurs, section française ; 18
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Rapport de recherche
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