750 resultados para Preocupação - Anxiety
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This research evaluated (a) the correlation between math anxiety, math attitudes, and achievement in math and (b) comparison among these variables in terms of gender among grade 9 students in a high school located in southern Ontario. Data were compiled from participant responses to the Attitudes Toward Math Inventory (ATMI) and the Math Anxiety Rating Scale for Adolescents (MARS-A), and achievement data were gathered from participants’ grade 9 academic math course marks and the EQAO Grade 9 Assessment of Mathematics. Nonparametric tests were conducted to determine whether there were relationships between the variables and to explore whether gender differences in anxiety, attitudes, and achievement existed for this sample. Results indicated that math anxiety was not related to math achievement but was a strong correlate of attitudes toward math. A strong positive relationship was found between math attitudes and achievement in math. Specifically, self-confidence in math, enjoyment of math, value of math, and motivation were all positive correlates of achievement in math. Also, results for gender comparisons were nonsignificant, indicating that gender differences in math anxiety, math attitudes, and math achievement scores were not prevalent in this group of grade 9 students. Therefore, attitudes toward math were considered to be a stronger predictor of performance than math anxiety or gender for this group.
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Men struggle with body image concerns particularly related to the desire to be muscular. In women, social-evaluative body image threats have been linked to increased shame and cortisol responses, consistent with social self-preservation theory (SSPT), but no research has investigated these responses in men. Men (n = 66) were randomly assigned to either a social-evaluative threat (SET) or non-social-evaluative threat (N-SET) condition. Participants provided saliva samples and completed body shame, body dissatisfaction and social physique anxiety measures prior to and following their condition, during which anthropometric and strength measures were assessed. Results indicated men in the SET condition had higher body shame, social physique anxiety, and body dissatisfaction and had higher levels of cortisol than men in the N-SET condition post-social-evaluative threat. These findings, consistent with SSPT, suggest that social-evaluative body image threats may lead to increased body shame and social physique anxiety, greater body dissatisfaction and higher cortisol levels.
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Question : Cette thèse comporte deux articles portant sur l’étude d’expressions faciales émotionnelles. Le processus de développement d’une nouvelle banque de stimuli émotionnels fait l’objet du premier article, alors que le deuxième article utilise cette banque pour étudier l’effet de l’anxiété de trait sur la reconnaissance des expressions statiques. Méthodes : Un total de 1088 clips émotionnels (34 acteurs X 8 émotions X 4 exemplaire) ont été alignés spatialement et temporellement de sorte que les yeux et le nez de chaque acteur occupent le même endroit dans toutes les vidéos. Les vidéos sont toutes d’une durée de 500ms et contiennent l’Apex de l’expression. La banque d’expressions statiques fut créée à partir de la dernière image des clips. Les stimuli ont été soumis à un processus de validation rigoureux. Dans la deuxième étude, les expressions statiques sont utilisées conjointement avec la méthode Bubbles dans le but d’étudier la reconnaissance des émotions chez des participants anxieux. Résultats : Dans la première étude, les meilleurs stimuli ont été sélectionnés [2 (statique & dynamique) X 8 (expressions) X 10 (acteurs)] et forment la banque d’expressions STOIC. Dans la deuxième étude, il est démontré que les individus présentant de l'anxiété de trait utilisent préférentiellement les basses fréquences spatiales de la région buccale du visage et ont une meilleure reconnaissance des expressions de peur. Discussion : La banque d’expressions faciales STOIC comporte des caractéristiques uniques qui font qu’elle se démarque des autres. Elle peut être téléchargée gratuitement, elle contient des vidéos naturelles et tous les stimuli ont été alignés, ce qui fait d’elle un outil de choix pour la communauté scientifique et les cliniciens. Les stimuli statiques de STOIC furent utilisés pour franchir une première étape dans la recherche sur la perception des émotions chez des individus présentant de l’anxiété de trait. Nous croyons que l’utilisation des basses fréquences est à la base des meilleures performances de ces individus, et que l’utilisation de ce type d’information visuelle désambigüise les expressions de peur et de surprise. Nous pensons également que c’est la névrose (chevauchement entre l'anxiété et la dépression), et non l’anxiété même qui est associée à de meilleures performances en reconnaissance d’expressions faciales de la peur. L’utilisation d’instruments mesurant ce concept devrait être envisagée dans de futures études.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Le contrôle psychologique parental est un facteur de risque réputé pour les problèmes intériorisés des enfants (p. ex., Affrunti & Ginsburg, 2011; McLeod, Wood & Weisz, 2007). Selon la Théorie de l'auto-détermination, le contrôle psychologique mène aux problèmes intériorisés (Ryan, Deci, Grolnick, & La Guardia, 2006) car il brime le besoin fondamental d'autonomie. En effet, recevoir de la pression afin de penser, se comporter et se sentir d’une certaine façon (Ryan, 1982) semble favoriser une régulation trop rigide et surcontrôlée (Ryan et al., 2006). Suite aux travaux de Soenens et Vansteenkiste (2010), la distinction conceptuelle entre deux formes de contrôle psychologique, soit manifestes (p. ex., les menaces, forcer physiquement) et dissimulées (p. ex., la surprotection, le marchandage), ont été utilisées pour évaluer le style parental (Étude 1) et les pratiques disciplinaires (Étude 2). Le contrôle psychologique parental et le soutien de l'autonomie (Étude 2) ont été mesurés durant la petite enfance puisque (1) les problèmes intériorisés émergent tôt, (2) le développement du sentiment d'autonomie est central au cours de cette période, et (3) attire probablement plus de contrôle psychologique parental. Avec ses deux articles, la présente thèse vise à clarifier la façon dont le contrôle psychologique manifeste et dissimulé est lié au développement précoce de problèmes intériorisés. L'étude 1 est une étude populationnelle examinant l'impact relatif du style parental sur des trajectoires développementales d'anxiété (N = 2 120 enfants; de 2,5 à 8 ans) avec de nombreux facteurs de risque potentiels provenant de l'enfant, de la mère et de la famille, tous mesurés au cours de la petite enfance. Les résultats ont montré qu'en plus de la timidité des enfants, de la dépression maternelle et du dysfonctionnement familial, le contrôle psychologique manifeste (c.-à-d., coercitif) et dissimulé (c.-à-d., la surprotection) augmentent le risque, pour les enfants, de suivre une trajectoire d'anxiété élevée. Une interaction entre la dépression maternelle et le contrôle dissimulé a été trouvée, ce qui indique que la surprotection augmente l'anxiété des enfants seulement lorsque la dépression maternelle est élevée. Enfin, le contrôle dissimulé prédit également l'anxiété telle que rapportée par les enseignants de deuxième année. Le deuxième article est une étude observationnelle qui examine comment l'autorégulation (AR) des bambins est liée au développement précoce des symptômes intériorisés, tout en explorant comment les pratiques disciplinaires parentales (contrôle et soutien de l'autonomie) y sont associées. Les pratiques parentales ont été codifiées lors d'une requête de rangement à 2 ans (contexte "Do", N = 102), tandis que l'AR des bambins a été codifiée à la fois durant la tâche de rangement ("Do") et durant une tâche d'interdiction (ne pas toucher à des jouets attrayants; contexte «Don't » ), à 2 ans puis à 3 ans. Les symptômes d'anxiété / dépression des enfants ont été évalués par leurs parents à 4,5 ans. Les résultats ont révélé que l'AR aux interdictions à 3 ans diminue la probabilité des enfants à manifester des taux élevés de symptômes d'anxiété / dépression. Les analyses ont aussi révélé que le parentage soutenant l'autonomie était lié à l'AR des enfants aux requêtes, un an plus tard. En revanche, le contrôle psychologique manifeste et dissimulé ont eu des effets délétères sur l'AR. Enfin, seul le contrôle dissimulé a augmenté les probabilités de présenter des niveaux plus élevés de problèmes intériorisés et ce, au-delà de l’effet protecteur de l'AR des bambins. Des résultats mitigés sont issus de cette thèse concernant les effets respectifs des deux formes de contrôle sur les problèmes intériorisés, dépendamment de l'informateur (mère c. enseignant) et de la méthodologie (questionnaires c. données observationnelles). Toutefois, le contrôle psychologique dissimulé était lié à ce problème affectif dans les deux études. Enfin, le soutien à l'autonomie s’est révélé être un facteur de protection potentiel et mériterait d'être étudié davantage.
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La psychopathie est un désordre de la personnalité caractérisé par des traits de comportement, tels qu’un manque d’empathie, du narcissisme, une estime de soi élevée, etc. Souvent, ces traits sont considérés comme indésirables. Ces caractéristiques se manifestent chez l’homme et la femme, autant dans la population criminelle que non-criminelle. L’étude de la psychopathie et la relation entre celle-ci et d’autres désordres mentaux représente un domaine relativement novateur de la psychologie. Des études démontrent une forte corrélation négative entre la psychopathie et l'anxiété, et entre la psychopathie et la dépression. Au total, 92 étudiants actuels ou ayant récemment graduées, au niveau du baccalauréat, de la maîtrise, et du doctorat ont été recrutés pour participer à cette étude. Ces participants ont complété quatre questionnaires standardisées qui évaluent leur niveau de psychopathie, d’anxiété et de dépression. Les évaluations utilisées sont le « Levenson’s Self-Report Psychopathy scale », le « Childhood and Adolescent Taxon Self-Report », le « Beck Depression Inventory », et le « Beck Anxiety Inventory ». Les résultats suggèrent l'existence d'une forte corrélation positive entre la dépression et la psychopathie, entre l'anxiété et la psychopathie, et entre l'anxiété et la dépression. Des variables additionnelles, tels que le sexe et l’éducation antérieure, contribuent aussi de façon significatives à ce modèle. Les résultats sont analysés tout en considérant des études antérieures et l’importance de la comorbidité psychopathique dans la recherche à venir.
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Interactive guided learning material for clinical year students; core concepts on anxiety
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Here we report the effects of subchronic 3, 4-Methylenedioximethamphetamine (MDMA) on the elevated plus-maze, a widely used animal model of anxiety. Rats exposed to a mild chronic stress (MCS) protocol received intracerebroventricular microinjections of the selective serotonin reuptake inhibitor (SSRI) – fluoxetine (2.0ug/ul) or 3, 4-Methylenedioximethamphetamine (MDMA, 2.0ug/ul) for seven days. On the eighth day rats were tested in the elevated plus-maze. Our results showed that sub-chronic MDMA interacted with MCS leading to a decrease in anxiety-related behaviors including: percentage of open arms entries (F[2,26]=4.00; P=0.031), time spent in the open arms (F[2,26]=3.656; P=0.040) and time spent in the open arms extremities (F[2,26]=5.842; P=0.008). These results suggest a potential effect of MDMA in the reversion of the emotional significance of aversive stimuli.
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Objective: to present the effectiveness of pulmonary rehabilitation programs in the treatmentof a patient with asthma, this is the case of a young Caucasian girl —17 years old— with severe asthma diagnosis, with symptoms since she was eight years old, 10th grade student. Method: She was referred to the program of Pulmonary Rehabilitation after three hospitalizations during the last year due to asthmatic crises, dyspnoea in activities of daily living, and intolerance to physical exercise. In the initial evaluation, a patient with non-controlled asthma was found; she was receiving short-acting medication admitting that she was not complying with regular use and with a prescribed dose of the pharmacological treatment and that she ignored the importance of this commitment for optimal evolution. The patient expressed concern about the progressive deterioration at her respiratory and functional level during the last year and her fear and anxiety for not being able to breathe during activities befitting her age. Results: One month after receiving bronchodilators and long-acting steroids permanently and complying with recommendations about regular use and adequate inhalatory technique, the patient was included in a three-times a-week program of pulmonary rehabilitation during eight weeks for upper and lower extremity endurance and resistance training. Conclusion: This intervention showed significant changes in the patient at functional level and a greater social participation.
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