963 resultados para Dairy products.


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Les Indigènes canadiens vivent une rapide transition nutritionnelle marquée par une consommation accrue des produits commercialisés au dépit des aliments traditionnels. Ce mémoire cherche à identifier les patrons alimentaires associés à une meilleure alimentation des femmes autochtones vivant dans les réserves en Colombie Britannique. L’échantillon (n=493) a été sélectionné de l’étude ‘First Nations Food, Nutrition, and Environment Study’. L’étude a utilisé des rappels alimentaires de 24 heures. Pour identifier les patrons alimentaires, un indice de qualité alimentaire (QA) basé sur 10 éléments nutritionnels (fibre alimentaire, gras totaux/saturés, folate, magnésium, calcium, fer, vitamines A, C, D) a permis de classifier les sujets en trois groupes (tertiles). Ces groupes ont été comparés sur leur consommation de 25 groupes alimentaires (GAs) en employant des tests statistiques non-paramétriques (Kruskal-Wallis et ANCOVA). Une analyse discriminante (AD) a confirmé les GAs associés à la QA. La QA des sujets était globalement faible car aucun rappel n’a rencontré les consommations recommandées pour tous les 10 éléments nutritionnels. L'AD a confirmé que les GAs associés de façon significative à la QA étaient ‘légumes et produits végétaux’, ‘fruits’, ‘aliments traditionnels’, ‘produits laitiers faibles en gras’, ‘soupes et bouillons’, et ‘autres viandes commercialisées’ (coefficients standardisés= 0,324; 0,295; 0,292; 0,282; 0,157; -0.189 respectivement). Le pourcentage de classifications correctes était 83.8%. Nos résultats appuient la promotion des choix alimentaires recommandés par le « Guide Alimentaire Canadien- Premières Nations, Inuits, et Métis ». Une consommation accrue de légumes, fruits, produits laitiers faibles en gras, et aliments traditionnels caractérise les meilleurs patrons alimentaires.

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La prévalence de l’excès de poids (EP) est en pleine croissance à travers le monde. Au Canada, elle serait de 59,1% dans la population générale, dont 23,1% d’obésité et 36,0% d’embonpoint. Ces pourcentages sont encore plus élevés dans la population autochtone, en plus d’une forte prévalence d’insécurité alimentaire (IA) et une alimentation en transition vers de moins en moins de nourritures traditionnelles, et de plus en plus de nourritures commerciales de faible densité nutritionnelle. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande des initiatives pour documenter le statut sanitaire de cette population afin d’orienter les actions pouvant prévenir les conséquences négatives sur la santé. Notre étude visait donc à décrire les phénomènes de l’EP et de l’IA chez les Premières Nations (PN) adultes de 19 ans et plus, vivant sur les réserves en Colombie-Britannique (CB). Cet échantillon est en effet le premier d’un projet de 10 ans dénommé « First Nations Food, Nutrition and Environment Study » ou (FNFNES), visant à documenter l’état nutritionnel et l’exposition à certains contaminants chez les PN vivant au sud du 60ème parallèle au Canada. Plus particulièrement, cette thèse cherche à associer trois dimensions de la santé, soit l’EP, la qualité de l’alimentation (QA) et l’IA. Nous avons voulu en effet vérifier dans le contexte des PN de la CB: 1) si une QA inadéquate serait associée à un risque plus élevé d’EP; 2) si l’IA des ménages serait associée à une qualité inadéquate de l’alimentation; et 3) si la QA et l’IA expliqueraient ensemble la présence d’EP. A l’issue des analyses (univariées, bivariées, MANOVA et régressions logistiques) de nos données transversales colligées en 2008/2009, les prévalences respectives chez les femmes (n = 493) et les hommes (n = 356) adultes étaient de 44,8% et 35,4% pour l’obésité, de 31,6% et 41,3% pour l’embonpoint, soit un total de 76,4% et 76,7% d’EP. Elles étaient de 39,3% et de 34,8% pour l’IA. Seuls 42,4% des femmes et 43,8% des hommes avaient un accès suffisant aux aliments traditionnels. Après ajustement pour les variables sociodémographiques et du mode de vie, les résultats des analyses multivariées ont montré ii que bien que les prévalences d’EP et d’IA soient assez similaires dans les deux sexes, les processus reliant l’EP, la QA et l’IA seraient différents. En effet, chez les femmes, l’EP serait expliqué par une QA compromise par des apports énergétiques relativement élevés (RC = 2,26; IC: 1,13 - 4,52), la consommation fréquente des boissons gazeuses (pour l’embonpoint, RC = 2,70; IC: 1,11 - 6,56 et pour l’obésité, RC = 2,53; IC: 1,05 - 6,09), en synergie avec l’inactivité physique (RC = 0,52; IC: 0,28 – 0,98 pour le groupe à activité modérée, et RC = 0,36; IC: 0,18 – 0,72 pour le groupe le plus actif), tandis que les produits céréaliers (RC = 0,35; IC: 0,16 - 0,75) et le lait et substituts (RC = 0,40; IC: 0,16 - 0,95) joueraient un rôle protecteur contre l’EP. D’autre part, l’IA des ménages influencerait la QA (à travers les gras saturés, p = 0,02) mais lorsque les trois variables sont étudiées ensemble, seules des dimensions de la QA apparaissent associées à l’EP. Par contre chez les hommes, le seul facteur alimentaire associé à l’EP est le pain blanc mais dans un rôle protecteur (pour l’embonpoint, RC = 0,38; IC: 0,18 - 0,76 et pour l’obésité, RC = 0,36; IC: 0,16 - 0,80); de même, lorsque les trois variables sont étudiées ensemble, l’IA joue un rôle protecteur de l’EP, dans un contexte de tabagisme relativement élevé et également protecteur, ce qui n’expliquerait pas la forte prévalence d’EP observée chez les hommes PN vivant sur les réserves de la CB. Des études plus approfondies et sur des échantillons plus grands seraient nécessaires pour mieux cerner la nature des relations mais d’ores et déjà, notre travail suggère que des effets positifs sur l’EP peuvent être attendus des politiques et programmes visant à réduire la consommation des boissons gazeuses et l’inactivité physique, et à encourager la consommation des produits céréaliers et de lait et substituts chez les femmes. Quant aux hommes, les conclusions de notre étude ne nous permettent pas encore de formuler des recommandations précises. Alors, les comportements santé recommandés aux femmes devraient être généralisés aux hommes en attendant les conclusions d’autres études.

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Les antibiotiques sont fréquemment utilisés dans l’alimentation de la volaille afin de prévenir certaines maladies, dont l’entérite nécrotique, ce qui occasionne l’émergence de souches bactériennes résistantes aux antibiotiques. Une alternative prometteuse est l’utilisation de peptides antimicrobiens (AMPs) comme suppléments alimentaires, tels les AMPs provenant des produits laitiers. L’objectif du projet était de développer une méthode de production d’extraits peptidiques à partir de coproduits de la transformation alimentaire (babeurre, lactoferrine, isolat de protéines de pois), afin de tester si ces extraits peptidiques possédaient une activité antimicrobienne sur les pathogènes spécifiques aviaires suivants : Salmonella Enteritidis, Salmonella Typhimurium, Escherichia coli et Staphylococcus aureus. Les protéines ont été mises en suspension dans l’eau (5% p/p) et hydrolysées par la pepsine, 6 heures, pH de 2.5. Les peptides furent récupérés par ultrafiltration (< 10 kDa), puis fractionnés selon leur charge nette : totaux, cationiques, anioniques et non liés. L’effet antimicrobien a été évalué surmicroplaques, par la survie bactérienne en présence de concentrations croissantes d’extraits peptidiques. Les extraits cationiques de babeurre ont démontré une efficacité à une concentration inférieure ou égale à 5 mg/mL; perte de 3 log pour Escherichia coli O78 :H80. En comparaison, la lactoferrine cationique a été efficace à une concentration inférieure ou égale à 0.6 mg/mL; perte de 6 log pour E. coli O78 :H80. Les extraits peptidiques du pois ont démontré une efficacité faible. Cette méthode s’avère prometteuse pour le développement d’une alternative ou d’un complément pour la réduction de l’utilisation des antibiotiques dans l’alimentation de la volaille.

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Problématique : L'allergie au lait de vache (ALV) est reconnue comme une condition transitoire qui disparaît chez la majorité des enfants avant l’âge de 3-5 ans, mais des données récentes révèlent une persistance de l’ALV. Les enfants souffrant d’une ALV sont à risque d’apports insuffisants en calcium et en vitamine D, deux nutriments impliqués dans la santé osseuse. Une première étude transversale portant sur la santé osseuse d’enfants prépubères ALV a observé que la densité osseuse (DMO) lombaire était significativement inférieure à celle d’enfants sans allergie au lait de vache (SALV). Objectifs : Sur la base de ces résultats, nous désirons documenter l’évolution longitudinale de la santé osseuse, du statut en vitamine D, des apports en calcium et en vitamine D et de l’adhérence à la supplémentation des enfants ALV (n=36) et de comparer ces données aux enfants SALV (n=19). Résultats : Le gain annualisé de la DMO lombaire est similaire entre les enfants ALV et SALV. Bien qu’il n’y ait pas de différence significative entre les deux groupes, la DMO lombaire des enfants ALV demeure cependant inférieure à celle des témoins. Qui plus est, le score-Z de la DMO du corps entier tend à être inférieur chez les enfants-cas comparé aux témoins. Au suivi, la concentration de 25OHD et le taux d’insuffisance en vitamine D sont similaires entre les deux groupes tout comme les apports en calcium et en vitamine D. Davantage d’enfants ALV prennent un supplément de calcium au suivi comparativement au temps initial (42% vs. 49%, p<0,05), mais le taux d’adhérence à la supplémentation a diminué à 4 jours/semaine. Conclusion : Une évaluation plus précoce ainsi qu’une prise en charge de la santé osseuse des enfants ALV pourraient être indiquées afin de modifier l’évolution naturelle de leur santé osseuse. Les résultats justifient aussi le suivi étroit des apports en calcium et vitamine D par une nutritionniste et la nécessité d'intégrer la supplémentation dans le plan de traitement de ces enfants et d’assurer une surveillance de l’adhérence à la supplémentation.

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Este proyecto hace parte de un convenio entre la Gobernación de Cundinamarca y la Universidad del Rosario para desarrollar el proyecto Municipio Saludable como Polo de Desarrollo Local en tres municipios de Cundinamarca: Machetá, Sesquilé y Mesitas de El Colegio. Dicho programa tiene cuatro ejes, de los cuales la Facultad de Administración desarrolla el primer eje que se relaciona con la Generación de empleo e Ingresos. La investigación, objeto de estudio se llevó a cabo en el municipio de Machetá, donde se trabajó el tema lácteo con pequeños productores y se desarrolló el módulo de marco lógico, en el que se llevaron a cabo las siguientes actividades: a) Contacto con la comunidad, visitas periódicas al Municipio. b) Elaboración y aplicación de encuestas a funcionarios de la Alcaldía, vendedores de plaza y productores. c) Procesamiento y análisis de resultados. d) Construcción de árbol de problemas con la comunidad, e) Construcción de árbol de objetivos. f) Socialización con la comunidad. g) Elaboración de estrategias. h) Conclusiones y recomendaciones. Para mejorar las condiciones de vida de los pequeños productores de leche se recomienda la organización de una cooperativa u otro tipo de asociación que les permita ofertar un producto con cantidades, con la calidad que requieren las empresas procesadoras o entrar en un proceso mas elaborado que implica el montaje de un tanque de enfriamiento con capacidad mínima de 3.000 litros/diarios y /o procesar la leche para producir quesos y otros productos derivados de leche. Obtener esto, estabilizaría precios, ingresos y les daría poder de negociación que es algo con lo que no cuentan actualmente los pequeños productores.

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Esta investigación pretende a partir de un estudio de la estructura, comportamiento y cadena de valor del sector lácteo colombiano, identificar las dinámicas, características y variables claves para transformar el modelo actual bajo el cual se desarrollan sus actividades y lograr que éste se convierta en un sector competitivo a nivel internacional. Para ello, se realizará un diagnóstico de dos países líderes mundiales en producción y exportación de lácteos, a partir de los cuales se pretende hacer una identificación de las mejores prácticas que los han llevado a obtener tal liderazgo y estudiar su adaptación al caso colombiano. Finalmente, se identificará el problema central que ha impedido al sector alcanzar los niveles de importancia de los principales jugadores en el mercado mundial y mediante la metodología del marco lógico se establecerá la agenda estratégica que llevará al sector a ser un sector de clase mundial.

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El proyecto de investigación parte de la dinámica del modelo de distribución tercerizada para una compañía de consumo masivo en Colombia, especializada en lácteos, que para este estudio se ha denominado “Lactosa”. Mediante datos de panel con estudio de caso, se construyen dos modelos de demanda por categoría de producto y distribuidor y mediante simulación estocástica, se identifican las variables relevantes que inciden sus estructuras de costos. El problema se modela a partir del estado de resultados por cada uno de los cuatro distribuidores analizados en la región central del país. Se analiza la estructura de costos y el comportamiento de ventas dado un margen (%) de distribución logístico, en función de las variables independientes relevantes, y referidas al negocio, al mercado y al entorno macroeconómico, descritas en el objeto de estudio. Entre otros hallazgos, se destacan brechas notorias en los costos de distribución y costos en la fuerza de ventas, pese a la homogeneidad de segmentos. Identifica generadores de valor y costos de mayor dispersión individual y sugiere uniones estratégicas de algunos grupos de distribuidores. La modelación con datos de panel, identifica las variables relevantes de gestión que inciden sobre el volumen de ventas por categoría y distribuidor, que focaliza los esfuerzos de la dirección. Se recomienda disminuir brechas y promover desde el productor estrategias focalizadas a la estandarización de procesos internos de los distribuidores; promover y replicar los modelos de análisis, sin pretender remplazar conocimiento de expertos. La construcción de escenarios fortalece de manera conjunta y segura la posición competitiva de la compañía y sus distribuidores.

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As tetraciclinas são compostos antibacterianos utilizados em bovinos de leite para tratamento de doenças infecciosas, como a mastite, mas também como aditivos em ração animal. O uso das tetraciclinas pode conduzir à presença de resíduos destes fármacos no leite, principalmente se não forem utilizados de acordo com as indicações, nem respeitado o período mínimo de eliminação dos antibióticos pelo leite. A presença de resíduos de antibióticos no leite interfere no processo industrial dos seus derivados, podendo inviabilizar a produção destes e, consequentemente, causar igualmente prejuízos económicos, como por exemplo, pela inibição de fermentos lácticos que são culturas de microorganismos utilizados na produção de iogurtes, queijos e outros produtos lácteos. Os resíduos de antibióticos no leite de consumo podem representar riscos à saúde humana, podendo causar reacções alérgicas em indivíduos sensíveis ou ter um efeito adverso na flora intestinal humana, prejudicando a sua acção protectora local, além de propiciar a selecção de populações bacterianas resistentes.(Denobile & Nascimento, 2004)

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Foods derived from animals are an important source of nutrients in the diet; for example, milk and meat together provide about 60 and 55% of the dietary intake of Ca and protein respectively in the UK. However, certain aspects of some animal-derived foods, particularly their fat and saturated fatty acid (SFA) contents, have led to concerns that these foods substantially contribute to the risk of CVD, the metabolic syndrome and other chronic diseases. In most parts of Europe dairy products are the greatest single dietary source of SFA. The fatty acid composition of various animal-derived foods is, however, not constant and can, in many cases, be enhanced by animal nutrition. In particular, milk fat with reduced concentrations of the C12-16 SFA and an increased concentration of 18:1 MUFA is achievable, although enrichment with very-long-chain n-3 PUFA is much less efficient. However, there is now evidence that some animal-derived foods (notably milk products) contain compounds that may actively promote long-term health, and research is urgently required to fully characterise the benefits associated with the consumption of these compounds and to understand how the levels in natural foods can be enhanced. It is also vital that the beneficial effects are not inadvertently destroyed in the process of reducing the concentrations of SFA. In the future the role of animal nutrition in creating foods closer to the optimum composition for long-term human health is likely to become increasingly important, but production of such foods on a scale that will substantially affect national diets will require political and financial incentives and great changes in the animal production industry.

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Despite the acknowledged benefits of reducing SFA intake few countries within the EU meet recognised targets. Milk and dairy products represent the single largest source of dietary SFA in most countries, yet epidemiological evidence indicates that milk has cardioprotective properties such that simply reducing consumption of dairy foods to meet SFA targets may not be a sound public health approach. The present paper explores the options for replacing some of the SFA in milk fat with cis-MUFA through alteration of the diet of the dairy cow, and the evidence that such changes can improve the indicators for CHD and CVD in general for the consumer. In addition, the outcome of such changes on risk factors for CHD and CVD at the population level is examined in the light of a modelling exercise involving data for eleven EU member states. Given the current and projected costs of health care, the results indicate that urgent consideration should be given to such a strategy.

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Despite the acknowledged benefits of reducing SFA intake few countries within the EU meet recognised targets. Milk and dairy products represent the single largest source of dietary SFA in most countries, yet epidemiological evidence indicates that milk has cardioprotective properties such that simply reducing consumption of dairy foods to meet SFA targets may not be a sound public health approach. The present paper explores the options for replacing some of the SFA in milk fat with cis-MUFA through alteration of the diet of the dairy cow, and the evidence that such changes can improve the indicators for CHD and CVD in general for the consumer. In addition, the outcome of such changes on risk factors for CHD and CVD at the population level is examined in the light of a modelling exercise involving data for eleven EU member states. Given the current and projected costs of health care, the results indicate that urgent consideration should be given to such a strategy.

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Epidemiological evidence based on both case–control and prospective cohort studies points to an overall positive relationship between consumption of milk/dairy products and the risk of developing prostate cancer. There are inconsistencies in the data, but taken together, the increased relative risk does not seem to be high. A number of mechanisms have been proposed to account for the relationship, with most attention being focused on the involvement of calcium/vitamin D, insulin-like growth factor-1 and oestrogens, although it is unlikely that a single factor in milk is implicated. In any event, any added risk of prostate cancer from increased milk consumption has to be set alongside other evidence, which shows that increased milk consumption can provide substantially reduced risk of coronary heart disease, stroke and colorectal cancer, particularly because cardiovascular disease accounts for vastly more deaths than prostate cancer (although the latter is of course restricted to men).

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The member countries of the World Health Organization (WHO) have recently endorsed its global strategy on diet, physical activity and health. The strategy emphasises the need to limit the consumption of saturated fats and trans-fatty acids, salt and sugars, and to increase consumption of fruits and vegetables in order to combat the growing burden of non-communicable diseases. This paper attempts a broad quantitative assessment of the consumption impacts of these norms in OECD countries using a mathematical programming approach. We find that adherence to the WHO norms would involve a significant decrease in the consumption of vegetable oils (30%), dairy products (28%), sugar (24%), animal fats (30%) and meat (pig meat, 13.5%, mutton and goat 14.5%) and a significant increase in the human consumption of cereals (31%), fruits (25%) and vegetables (21%). (c) 2005 Elsevier Ltd. All rights reserved.

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There has been increasing interest in health benefits of conjugated linoleic acid (CLA) based on findings with laboratory animals. Some human studies have also suggested health benefits of CLA, but because of the mixes used these could not be readily associated with a particular isomer of CLA. A recent study examined the separate effects of near-pure cis-9,trans-11 CLA (c9,t11 CLA) or trans-10,cis-12 CLA (t10,c12 CLA) on health-related outcomes in healthy young males. The CLA isomers were provided in capsules and at three doses (up to about 2.5 g/day) each for 8 weeks. Both c9,t11 and t10,c12 CLA were incorporated in a dose–response fashion into blood lipids and cells. At the doses and durations used, neither isomer of CLA affected bodyweight, body mass index or body composition, insulin sensitivity, immune function or markers of inflammation. However, at the doses and durations used, c9,t11 and t10,c12 CLA had opposing effects on blood lipid concentrations. Altered dairy cow-feeding practices were used to produce c9,t11 CLA-rich milk and, from this ultra heat-treated milk, cheese and butter were produced. The milk and the dairy products made from it had ninefold higher contents of c9,t11 CLA, higher contents of n-3 fatty acids and lower contents of total fat and of saturated fatty acids. They also contained much higher contents of trans-vaccenic acid (tVA). The modified dairy products were used in a 6-week controlled dietary intervention study in healthy middle-aged males. c9,t11 CLA and tVA were incorporated from dairy products into blood lipids and cells. Consumption of the CLA-rich (and tVA-rich) dairy products did not affect bodyweight or body mass index, insulin sensitivity or inflammatory markers. However, there were some detrimental effects on blood lipids. These effects may be due to tVA rather than to c9,t11 CLA, as they are consistent with the effects of trans fatty acids and not consistent with the effects of c9,t11 CLA identified in the earlier study with c9,t11 CLA in capsules.

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Obesity is sweeping the westernized world at a rate which far outstrips human genomic evolution, highlighting the importance of the obesogenic environment. Diet is an important component of this obesogenic environment, with certain diets (high fat, high refined carbohydrates and sugar) predisposing to overweight. On the other hand, there are also foods shown to protect against obesity and the diseases of obesity, including whole plant foods, dairy products, dietary fibre and functional foods like probiotics, prebiotics and phytochemicals. Interestingly, many of these foods mediate their health-promoting activities through the gut microbiota. The human gut microbiota itself has recently been identified as a contributory factor in this obesogenic environment, with differences observed between lean and obese. Evidence from human studies indicates that important groups of fermentative bacteria differ in abundance between lean and obese. Recently it has been suggested that anomalous microbiota composition in infancy can predispose to overweight in later life, highlighting the important role of optimal microbiota successional development, and that – as observed in laboratory animals – the gut microbiota may contribute to the aetiology of obesity. In this review we will introduce the gut microbiota, describe its interactions with major dietary components and the host, and then go on to discuss evidence indicating that the gut microbiota may contribute to the obesogenic environment. Finally, we will explore possible strategies for modulating the composition and activity of the human gut microbiota which may impact on obesity or the metabolic diseases associated with obesity. (Nutritional Therapy & Metabolism 2009; 27: 113-33)