889 resultados para ATTENTION DEFICIT
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La présente étude vise à examiner d’une part le lien entre les pratiques éducatives rapportées par la mère et celles perçues par son adolescent ayant un trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) et examiner le lien avec l’adoption de comportements à risque chez l’adolescent (délinquance et association aux pairs déviants). Cinq pratiques éducatives ont été étudiées de manière distincte, soit l’engagement parental, les pratiques positives, la discipline inconstante, la faible supervision ainsi que la punition corporelle. Chacune d’entre elles a été mesurée par la mère, son adolescent et une variable de désaccord a ensuite été créée. L’échantillon est composé de 32 dyades mère-adolescent ayant participé cinq ans auparavant au programme Ces Années Incroyables. Les adolescents ont tous un diagnostic de TDAH et sont âgés entre 10 ans et 15 ans. Les résultats démontrent une absence de corrélation entre chacune des pratiques éducatives rapportées par la mère et celles perçues par l’adolescent. La mère tend à avoir une perception plus positive des pratiques éducatives que son adolescent. Les résultats démontrent aussi que la perception de l’adolescent sur les pratiques éducatives est associée à la compréhension des comportements à risque. Finalement, la perception de l’adolescent s’est avérée être un facteur aggravant de la relation entre l’ampleur du désaccord mère adolescent et l’association aux pairs déviants. La discussion explique ces résultats et aborde les importantes implications cliniques.
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Cette thèse a pour but de mieux comprendre le recours aux médicaments psychotropes chez les enfants hébergés en Centre jeunesse, une population qui compte parmi les plus médicalisées. Afin d’y parvenir, les caractéristiques sociodémographiques, anamnestiques et psychopathologiques des enfants placés qui reçoivent des psychopharmacoprescriptions ont été analysées. L’échantillon se compose de 101 enfants de 6 à 12 ans placés en foyer de groupe ou centre de réadaptation, dont 71 recevant des médicaments psychotropes. Les données ont été obtenues par le biais de questionnaires remplis par les éducateurs, par une entrevue semi-structurée réalisée auprès des enfants et une analyse du dossier. Sur le plan de la structure, cet ouvrage comprend une introduction, quatre articles et une conclusion. Le premier article comporte une recension des écrits sur l’usage de la psychopharmacothérapie chez les jeunes placés dans les services de la protection de la jeunesse. Il a été constaté que les taux de prescriptions peuvent varier entre 13% et 77%, selon le type de placement et les régions à l’étude. La symptomatologie des enfants placés qui reçoivent des médicaments psychotropes est caractérisée par des problèmes extériorisés et des troubles psychotiques. Les corrélats du recours à la prescription concernent à la fois la sévérité du tableau clinique, mais aussi le type et l’instabilité du placement, l’âge et le sexe de l’enfant ainsi que la formation des intervenants. Enfin, les écrits recensés font état de l’influence des neurosciences dans les milieux médicaux sur les décisions de prescrire. Le deuxième article présente la prévalence des psychopharmacoprescriptions chez les enfants de 6 à 12 ans placés hors d’un milieu familial. Les résultats indiquent que 70,3% des jeunes reçoivent au moins une prescription, le plus souvent signées par des médecins spécialistes. La plupart se composent de psychostimulants et d’antipsychotiques atypiques, prescrits pour des troubles de l’attention avec hyperactivité. Le troisième article cherche à préciser les caractéristiques sociodémographiques et anamnestiques des enfants placés qui prennent des médicaments psychotropes. Les résultats indiquent que les sujets médicamentés et non médicamentés ont vécu des stresseurs psychosociaux similaires. Par contre, les enfants placés qui reçoivent une psychopharmacothérapie ont été retirés de leur milieu familial à un plus jeune âge. Le quatrième article consiste à cibler leur portrait psychopathologique et à connaître leur niveau de fonctionnement global. Il s’intéresse également aux connaissances et aux perceptions des éducateurs sur la psychopharmacothérapie. Les résultats révèlent que les enfants médicamentés ont plus souvent un diagnostic de trouble mental inscrit à leur dossier. Selon les éducateurs, ils présentent davantage de problèmes extériorisés et intériorisés. À partir de données autorévélées, aucune distinction ne peut être établie entre les sujets, puisque les uns et les autres rapportent un niveau comparable de symptômes et de signes diagnostiques. Enfin, les symptômes de stress post-traumatique et l’opinion favorable des éducateurs sur la psychopharmacothérapie constituent des prédicteurs significatifs de la probabilité de recourir à un traitement médicamenteux. En conclusion, l’apport des résultats de cette recherche est analysé à la lumière des études antérieures. Les retombées cliniques sont discutées et des pistes de recherche futures sont suggérées. .
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À ce jour, plusieurs études se sont penchées sur l’influence des comportements problématiques des enfants présentant un trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) sur les pratiques parentales (Chronis-Tuscano et al., 2008), mais peu de recherches se sont intéressées à la relation entre ce que pensent les parents et la façon dont ils se comportent avec leur enfant (Rudy & Grusec, 2006). L’objectif principal de cette thèse est d’étudier la relation entre les cognitions sociales des parents, les pratiques parentales et les caractéristiques comportementales de l’enfant présentant un TDAH. Une première étude examine la relation entre les cognitions sociales des parents (attributions causales, sentiment d’auto-efficacité parental (SAEP)), les caractéristiques comportementales de l’enfant (sous-type TDAH, symptômes concomitants) en lien avec les pratiques parentales utilisées. Cent dix familles dont l’enfant a un TDAH ont participé à l’étude. Les résultats indiquent que plus les parents ont un SAEP élevé, plus ils rapportent employer une discipline appropriée, une discipline verbale positive, des félicitations/récompenses et moins ils rapportent utiliser une discipline sévère/inconstante ou la punition physique. Les résultats montrent également que l’attribution des comportements de désobéissance de l’enfant soit à l’effort important du parent, soit au manque d’effort de l’enfant joue un rôle prédicteur en regard respectivement de l’utilisation d’une discipline verbale positive ou de l’utilisation d’une discipline sévère et inconstante par le parent. Par ailleurs, le fait de percevoir des symptômes d’opposition chez l’enfant TDAH prédit l’utilisation d’une discipline appropriée et d’une discipline verbale positive. Enfin, la présence de symptômes concomitants au TDAH prédit l’utilisation d’une discipline sévère et inconstante. L’objectif de la seconde étude est d’examiner le rôle des cognitions sociales des parents d’enfant ayant un TDAH en lien avec les pratiques parentales utilisées après leur participation à deux types d’intervention (programme d’entraînement aux habiletés parentales (PEHP) ou soutien téléphonique (ST)) comparativement à un groupe contrôle (GC). Les résultats suggèrent que dans certains cas, le SAEP ou les attributions causales prédisent différemment les pratiques parentales selon que les parents ont ou non participé à une intervention, mais il est prématuré de conclure que les cognitions sociales des parents d’enfant TDAH sont des modérateurs du changement des pratiques parentales. Les implications méthodologiques, conceptuelles et cliniques de ces deux études sont discutées.
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Le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) est une condition qui touche un nombre important d’enfants d’âge scolaire. Plusieurs d’entre eux sont également atteints d’un trouble concomitant, qu’il soit de nature anxieuse ou agressive. Les manifestations comportementales qui en découlent, ainsi que les conséquences qui y sont associées, ont une influence sur l’enfant, mais également sur son parent. Certaines études suggèrent que ces conditions sont associées chez les parents à un niveau de stress élevé, à un sentiment d’auto-efficacité (SAE) plus faible, à plus de symptômes dépressifs et à une satisfaction conjugale plus faible. D’autres résultats rapportent le contraire. Pourquoi ces résultats sont-il divergents? Cette étude a pour but, en premier lieu, d’examiner, dans un échantillon québécois de 110 parents d’enfants atteints de TDA/H, si les caractéristiques du TDA/H des enfants (sous-type de TDA/H et présence d’un trouble concomitant) influencent les caractéristiques personnelles de leur parent (stress parental, SAE, symptômes dépressifs et satisfaction conjugale). En deuxième lieu, nous examinerons si l’attachement adulte est lié à ces quatre caractéristiques personnelles parentales et s’il modère le lien entre les caractéristiques du TDA/H de l’enfant et celles du parent. Les résultats indiquent que le profil diagnostique de l’enfant est lié aux symptômes dépressifs des parents et que la présence d’un trouble concomitant chez l’enfant est liée à la satisfaction conjugale parentale. De plus, un effet d’interaction est observé entre le profil diagnostique et la présence d’un trouble concomitant chez l’enfant sur le niveau de stress du parent. Les résultats démontrent également un effet significatif du style d’attachement adulte sur le sentiment d’auto-efficacité des parents, les parents avec un attachement sécure-autonome ayant un sentiment d’auto-efficacité plus élevé que ceux avec un attachement de type insécure-ambivalent. Aucun effet modérateur de l’attachement adulte sur la relation entre les caractéristiques du TDA/H de l’enfant et les caractéristiques personnelles de son parent n’est observé.
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Le TDAH persiste jusqu’à l’âge adulte dans la majorité des cas. Les jeunes ayant un TDAH sont plus à risque de sous-performance et de décrochage scolaires. Ils présentent également des déficits organisationnels, tel qu’une difficulté à planifier et compléter leurs devoirs. Sans interventions appropriées, ils sont à risque de difficultés importantes au secondaire. La présente étude vise à évaluer l’effet d’une intervention multimodale, Projet TRANSITION, sur l’engagement et le rendement scolaires des jeunes ayant un TDAH. L’échantillon était composé de 47 familles, réparties aléatoirement entre un groupe participant à l’intervention et un groupe contrôle. A la fin de secondaire 1, les jeunes ayant participé ou non à l’intervention ne se distinguent pas quant à la qualité de leur engagement scolaire (cognitif, affectif, comportemental). À la fin du secondaire 1, il n’y a pas de différence significative entre les groupes au niveau des difficultés en lecture ou mathématiques rapportées par le jeune ou le parent, de l’écart à la moyenne de la classe selon le bulletin, et du rendement scolaire par rapport aux autres élèves de leur classe rapporté par le jeune. Cependant, les parents perçoivent que les jeunes ayant participé à l’intervention présentent un meilleur rendement scolaire par rapport aux autres élèves de leur classe en comparaison aux jeunes du groupe contrôle.
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Au Québec, le trouble du déficit de l’attention/hyperactivité (TDA/H) est celui qui requiert le plus grand nombre de consultations en pédopsychiatrie (50 % à 75 %). À ce jour, l’intervention multimodale (traitement pharmacologique, programme d’entraînement aux habiletés parentales (PEHP) et programme d’intervention cognitive comportementale (PICC) auprès des enfants ayant un TDA/H) a obtenu de bons résultats à long terme. Dans cette étude, nous avons évalué les changements dans le fonctionnement familial suite à un PEHP. La conception de ce PEHP repose sur les deux approches : l’approche systémique familiale de Calgary (Wright & Leahey, 2013) et l’approche de solution collaborative et proactive (Greene, 2014). Le Family Assessment Device (FAD; Epstein, Baldwin, et Bishop, 1983), version courte, a été utilisé pour mesurer le fonctionnement général (FG) de la famille. La collecte de données a été réalisée auprès de deux groupes (groupe participant et groupe témoin) et à deux temps de mesure (avant et après le PEHP). L’échantillon contient 28 familles participantes et 18 familles témoins. L’analyse de variance à mesures répétées (ANOVA) a été utilisée pour tester l’effet des variables indépendantes (Temps et Intervention) sur la variable dépendante (FG). Les résultats indiquent que les parents qui participent à un PEHP perçoivent un fonctionnement familial général amélioré par rapport au groupe témoin. L’interprétation des changements à la suite du PEHP donne des pistes d’intervention infirmières à ces familles afin d’éviter les impacts de ce trouble sur le fonctionnement familial à long terme.
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Cette étude vise à examiner la relation entre les pratiques parentales utilisées durant la période de l'enfance et les dimensions principales du du trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH) à l'adolescence, soit l’inattention, l’hyperactivité et l’impulsivité. Les pratiques spécifiques parentales (engagement, pratiques parentales appropriée, supervision, punitions corporelles, discipline appropriée, discipline sévère et incohérente, discipline verbale positive, félicitations et récompenses, et les attentes claires) et les aspects du fonctionnement familial (communication, résolution de problèmes, rôles dans la famille, sensibilité affective, engagement affectif, contrôle comportemental) ont été examinés par rapport à l'inattention et d'hyperactivité. Trente-six enfants de 6 à 9 ans et leurs parents ont participé à une étude longitudinale de 5 ans. Il y a un manque d'études longitudinales dans ce domaine et cette étude vise à combler cette lacune. Les résultats ne montrent pas de résultats significatifs dans la relation entre les pratiques parentales utilisées dans l'enfance et les symptômes principaux de l'hyperactivité et l'inattention à l'adolescence. Les études futures devraient se concentrer sur la relation entre la psychopathologie parentale et les principaux symptômes du TDAH de l'enfance à l'adolescence, ainsi que l'impact des pratiques parentales sur ces principaux symptômes.
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Resumen tomado de la publicaci??n. Resumen tambi??n en ingl??s
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Introducción: El trastorno por déficit de atención e hiperactividad (TDAH) ha sido ampliamente estudiado, sin poderse establecer con certeza su etiología, se ha observado una mayor frecuencia del trastorno en niños con familiares afectados, sugiriendo un componente familiar y genético en la enfermedad. Objetivo principal: Determinar la asociación entre la presencia de síntomas de TDAH en niños escolares de cinco instituciones educativas de Bogotá y el antecedente de síntomas de TDAH en sus padres utilizando el Cuestionario Wender Utah. Metodología: Estudio de casos y controles seleccionados de 5 instituciones participantes, de acuerdo con los criterios DSM-IV para TDAH , escala BASC para padres y maestros y escala WISC-IV1 para descartar déficit cognitivo. A los padres se les aplicó un cuestionario de Wender-Utah para identificar de manera retrospectiva síntomas de TDAH en su infancia Resultados: De 202 niños disponibles, 117 fueron casos y 85 controles. El subtipo combinado fue el más en los casos (52,2%). No relación entre el antecedente paterno y el TDAH en niños fueron encontradas, pero si con el antecedentes materno y la presencia de TDAH con un OR de 2.36 y un IC 95% (1.05 a 5.36) p=0,02. Discusión: A pesar de que el TDAH se ha asociado a un componente familiar, otros factores podrían estar involucrados en la génesis del trastorno. Palabras clave: Trastorno por déficit de atención, hiperactividad, Impulsividad, Inatención, DSM IV, Wender Utah, conducta.
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Introducción: El TDAH tiene un componente genético importante; el gen de transportador de Dopamina (DAT1) se ha asociado con susceptibilidad al TDAH y con sus endofenotipos. El VNTR de 40pb en la región 3’UTR aumenta la expresión del DAT1. En Colombia no hay ningún estudio previo que indique evidencia de la asociación genética entre TDAH y el gen DAT1. Objetivo: Determinar asociación entre el VNTR del DAT1 y el fenotipo y/o endofenotipos del TDAH. Métodos: Se seleccionaron 73 pacientes con TDAH y 75 controles, se valoró en los casos inteligencia y funciones ejecutivas. Mediante (PCR) se amplificó el VNTR DAT1. Se establecieron estadísticos genético poblacionales, análisis de asociación y de regresión logística entre las pruebas neuropsicológicas y genotipo. Resultado: El polimorfismo del DAT1 no mostró asociación con TDAH, ni con alteraciones en las funciones ejecutivas. El genotipo 10/10 del VNTR DAT1 se encontró asociado con el índice de velocidad de procesamiento (p <0,05). En el subgrupo hiperactividad hubo asociación con algunas subpruebas de flexibilidad cognitiva, número de respuestas correctas, total de errores, número de respuestas perseverativas (p ≤ 0.01). En el subgrupo mixto se asoció con índice de comprensión verbal (p <0,05). Conclusiones: No hubo asociación entre el polimorfismo VNTR (DAT1) y el fenotipo de TDAH. Se encontraron asociaciones entre genotipo y algunos test de flexibilidad cognitiva e índice de comprensión verbal. Se establecieron los estadísticos genético poblacionales de este polimorfismo para la población analizada, el cual corresponde al primer reporte de una muestra de nuestro país.
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El neurofeedback es una técnica no invasiva en la que se pretende corregir, mediante condicionamiento operante, ondas cerebrales que se encuentren alteradas en el electroencefalograma. Desde 1967, se han conducido numerosas investigaciones relacionadas con los efectos de la técnica en el tratamiento de alteraciones psicológicas. Sin embargo, a la fecha no existen revisiones sistemáticas que reúnan los temas que serán aquí tratados. El aporte de este trabajo es la revisión de 56 artículos, publicados entre los años 1995 y 2013 y la evaluación metodológica de 29 estudios incluidos en la revisión. La búsqueda fue acotada a la efectividad del neurofeedback en el tratamiento de depresión, ansiedad, trastorno obsesivo compulsivo (TOC), ira y fibromialgia. Los hallazgos demuestran que el neurofeedback ha tenido resultados positivos en el tratamiento de estos trastornos, sin embargo, es una técnica que aún está en desarrollo, con unas bases teóricas no muy bien establecidas y cuyos resultados necesitan de diseños metodológicamente más sólidos que ratifiquen su validez.
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La perforación del apéndice es una complicación temprana de la apendicitis aguda, demoras en el diagnóstico o tratamiento incrementan la tasa de perforación. Se desconoce si la perforación dl apéndice es un reflejo de inequidades sociales. Se pretendió determinar la asociación de la apendicitis aguda perforada en adultos y la equidad en acceso a salud. Estudio tipo cohorte retrospectivo documental, de historias clínicas de pacientes con apendicitis aguda; el análisis se realizó con Stata 11.1 y Epi-info. Los resultados se presentaron en tablas y figuras. Se incluyeron 540 casos (292 hombre y 248 mujeres), el grupo de edad que aporto más datos fue el de 18 a 49 años (391 pacientes); el tiempo medio de síntomas a consulta fue de 37,45 horas, y de 5,3 horas para el paso a cirugía desde el ingreso, fueron solicitadas 76 ecografías y 53 tomografías, 50 interconsultas a urología y 10 a ginecología hasta el diagnostico. El grupo de mayores de 49 años, el estrato socioeconómico tres y la tomografía fueron factores de riesgo independientes para perforación del apéndice. El análisis multivariado mostró asociación lineal entre el estrato socioeconómico y tiempo de síntomas al ingreso, tiempo para paso a cirugía, solicitud de ayudas diagnósticas e interconsultas, con buena significación estadística. La apendicitis aguda perforada en adultos, podría ser un indicador de inequidad en salud. Se requiere de estudios multi-céntricos, con mayor tiempo de evaluación y muestra para demostrar si el apéndice perforado es un trazador de inequidades en salud en Colombia.
Social skills of children with different disabilities: Assessment and implications for interventions
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This study characterizes the differences and similarities in the repertoire of social skills of children from 12 different categories of special educational needs: autism, hearing impairment, mild intellectual disabilities, moderate intellectual disabilities, visual impairment, phonological disorder, learning disabilities, giftedness and talent, externalizing behavior problems, internalizing behavior problems, internalizing and externalizing behavior problems and attention deficit hyperactivity disorder. Teachers of 120 students in regular and special schools, aged between 6 and 14 years old, from four Brazilian states, responded to the Social Skills Rating System. Children with ADHD, autism, internalizing and externalizing behavior problems and externalizing behavior problems presented comparatively lower frequency of social skills. The intervention needs of each evaluated category are discussed.
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El objetivo del presente estudio descriptivo-comparativo fue comparar el desempeño en funciones ejecutivas de escolares entre ocho y trece años con trastorno por déficit de atención e hiperactividad (TDAH), trastorno del cálculo (TC), TDAH+TC y controles normales. Los diagnósticos se confirmaron a través de una entrevista clínica semiestructurada, un cuestionario clínico de déficit atencional y pruebas de cálculo matemático. Se encontraron diferencias estadísticamente significativas entre los grupos en atención visual y auditiva, fluidez verbal fonémica, flexibilidad cognitiva, organización y planeación. Los resultados indican, de manera similar que investigaciones anteriores, que los escolares con TDAH+TC presentan mayores déficits en funciones ejecutivas que los niños normales.
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En 2007, un grupo de especialistas en salud mental y neurociencias elaboró la Declaración de México para el trastorno por déficit de atención e hiperactividad (TDAH), en la que se integra la información científica sobre el padecimiento. En 2009, durante el III Consenso Latinoamericano para el TDAH, se elaboró la Declaración de Cartagena para el TDAH; en ella, se actualiza la información científica y se promueven acciones contra el estigma del TDAH en la sociedad y en las escuelas. Previamente, se elaboró un borrador que fue evaluado por los participantes durante el Consenso y revisado posteriormente por veintiséis especialistas de diez países de la región. En este documento se enlistan veintisiete puntos de la declaración sobre los aspectos clínicos, epidemiológicos y terapéuticos basados en la evidencia científica para el TDAH, y se enumeran diferentes aspectos contra el estigma en la sociedad y en las escuelas. La Declaración de Cartagena para el TDAH constituye el segundo llamado que los miembros de la Liga Latinoamericana para el Estudio del TDAH (LILAPETDAH) realizan de forma organizada y multinacional para la difusión de las manifestaciones clínicas y terapéuticas, y para la promoción de estrategias gremiales y sociales orientadas a la disminución del estigma de este padecimiento.