945 resultados para virus transmission
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La transmission mère-enfant du VIH-1 (TME) représente le principal mode d’infection chez l’enfant et se produit durant la grossesse (in utero, IU), l’accouchement (intrapartum, IP) ou l’allaitement (postpartum, PP). Les mécanismes qui sous-tendent le passage du VIH-1 à travers le placenta et les muqueuses intestinales du nouveau-né sont encore très peu décrits. « Dendritic cell-specific ICAM-grabbing non-integrin » (DC-SIGN) et son homologue DC-SIGN « related » (DC-SIGNR) sont des récepteurs d’antigènes exprimés au niveau du placenta et capables de capter et de transmettre le VIH-1 aux cellules adjacentes. Ils pourraient donc participer au passage trans placentaire du VIH-1 et le polymorphisme génétique affectant l’expression ou modifiant l’interaction avec le virus aurait une influence sur la TME du VIH-1. Afin d’explorer cette hypothèse, nous avons procédé à une analyse exhaustive du polymorphisme de DC-SIGN et DC-SIGNR dans la population du Zimbabwe. Par la suite, nous avons déterminé l’association entre le polymorphisme de DC-SIGN et DC-SIGNR et la TME du VIH-1 dans une cohorte d’enfants nés de mères VIH-positives à Harare, au Zimbabwe. Enfin, nous avons défini l’impact fonctionnel des mutations associées. Les enfants homozygotes pour les haplotypes H1 et H3 dans le gène de DC-SIGNR sont 4 à 6 fois plus à risque de contracter le VIH-1 par voie IU et IP. H1 et H3 contiennent la mutation du promoteur p-198A et la mutation de l’intron 2, int2-180A, et des études fonctionnelles nous ont permis de démontrer que p-198A diminue l’activité transcriptionnelle du promoteur de DC-SIGNR et l’expression des transcrits d’ARNm dans le placenta, alors que int2-180A modifie le répertoire d’isoformes de DC-SIGNR vers une proportion diminuée d’isoformes membranaires. Les enfants porteurs des haplotypes H4 et H6 de DC-SIGN sont 2 à 6 fois plus à risque de contracter le VIH-1 par voie IU. Ces haplotypes contiennent deux mutations du promoteur (p-336T/C et p-201C/A) et quatre mutations codant pour un changement d’acide aminé dans l’exon 4 (R198Q, E214D, R221Q ou L242V) associées à un risque augmenté de transmission IU, IP et PP du VIH-1. Des études fonctionnelles ont démontré que les mutations du promoteur diminuent l’expression de DC-SIGN dans les macrophages placentaires. Toutefois, l’exposition IU au VIH-1 module le niveau d’expression de DC-SIGN, résultant en des niveaux d’expression similaires entre les macrophages des porteurs des allèles sauvages et mutés. Les mutations de l’exon 4 augmentent l’affinité de DC-SIGN pour le VIH-1 et sa capacité à capturer et à transmettre le virus aux lymphocytes T, favorisant possiblement la dissémination du VIH-1 à travers le placenta. L’association entre les mutations de DC-SIGN et la transmission IP et PP du VIH-1 suggèrent qu’il aurait aussi un rôle à jouer dans les muqueuses intestinales de l’enfant. Notre étude démontre pour la première fois l’implication de DC-SIGN et DC-SIGNR dans la TME du VIH-1. L’augmentation des capacités de capture et de transmission de DC-SIGN résulte en une susceptibilité accrue de l’enfant à l’infection au VIH-1 et concorde avec un rôle dans la dissémination transplacentaire. Toutefois, la diminution préférentielle des transcrits membranaires de DC-SIGNR au placenta augmente la TME du VIH-1 et laisse croire à son implication via un autre mécanisme. Ces mécanismes pourraient aussi s’appliquer à d’autres pathogènes reconnus par DC-SIGN et DC-SIGNR et transmis de la mère à l’enfant.
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Nous sommes quotidiennement envahis pour d’innombrables messages électroniques non sollicités, qu’il s’agisse d’annonces publicitaires, de virus ou encore de ce qu’on appelle désormais les métavirus. Ces derniers sont des canulars transmis aux internautes leur suggérant de poser tel ou tel geste, lequel causera des dommages plus ou moins importants au système de l’utilisateur. L’auteur se penche sur la problématique que suscitent ces métavirus au niveau de la responsabilité civile de leurs émetteurs. Il en vient à la conclusion que ce régime, bien qu’applicable en théorie, demeure mal adapté au problème notamment au niveau de la preuve des éléments de la responsabilité civile. Il faut d’abord établir la capacité de discernement (ou l’incapacité) de l’émetteur, la connaissance ou non de cet état par le destinataire et la preuve d’un comportement fautif de la part de l’émetteur voire même des deux parties. Reste à savoir quelle aurait été l’attitude raisonnable dans la situation. À noter que la victime pourrait être trouvée partiellement responsable pour ses propres dommages. Reste alors à prouver le lien de causalité entre l’acte et le dommage ce qui, compte tenu de la situation factuelle, peut s’avérer une tâche ardue. L’auteur conclut que l’opportunité d’un tel recours est très discutable puisque les coûts sont disproportionnés aux dommages et car les chances pour qu’un juge retienne la responsabilité de celui qui a envoyé le métavirus sont assez faibles. La meilleure solution, ajoute-t-il, reste la prudence.
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L’histoire naturelle et la progression des infections au VPH (virus du papillome humain) sont bien décrites. Cependant, la dynamique de transmission reste faiblement documentée. Une meilleure compréhension de la dynamique de transmission ainsi que de ses facteurs de risque permettrait d’optimiser les stratégies de prévention afin de réduire la prévalence de ces infections dans la population par la vaccination et les méthodes contraceptives. Notre étude vise à déterminer si la charge virale des infections au VPH influence leur transmission entre les partenaires sexuels. Pour ce faire, l’association entre la charge virale au niveau des organes génitaux et la concordance spécifique de type des infections prévalentes au VPH a été évaluée pour 250 couples hétérosexuels récemment formés. Les charges virales de VPH16 (r = 0.30), de VPH18 (r = 0.50) et de VPH51 (r = 0.19) étaient significativement corrélées (p < 0.05) entre les deux partenaires sexuels, contrairement à celles de VPH31 (r = 0.08) et de VPH42 (r = -0.1). Lorsqu’ajusté en fonction de l’âge des participants, une charge virale élevée augmentait significativement le taux de détection du même type chez le partenaire pour les types 16, 31 et 51. Ainsi, dans les couples hétérosexuels récemment formés, des charges virales élevées sont associées à une détection accrue du même type chez le partenaire sexuel.
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Objectif : Étudier l'association entre l’utilisation de contraceptifs hormonaux et le risque d'acquisition du VIH-1 chez les femmes au Malawi, en Afrique du Sud, en Zambie et au Zimbabwe. Devis : Analyses secondaires de 2887 femmes âgées de 17-55 ans ayant participé à l’étude HPTN 035, une étude de phase II/IIb sur l’efficacité de deux gels microbicides pour prévenir la transmission du VIH chez les femmes à risque. Méthodes : L'association entre l'utilisation de contraceptifs hormonaux et le risque d'acquisition du VIH-1 a été évaluée en utilisant des modèles de Cox. Des risques relatifs sont estimés où le groupe de référence est celui des femmes qui n’utilisent pas de contraceptifs hormonaux. De plus, un modèle multivarié de Cox est utilisé afin de contrôler pour les facteurs potentiellement confondants. Résultats : Les contraceptifs injectables ont été utilisés par 52,1% des femmes, alors que les contraceptifs oraux ont été utilisés par 20,7% de celles-ci. Pendant l'étude, il y a eu 192 séroconversions. L'incidence observée du VIH était de 2,28; 4,19 et 4,69 pour 100 personne-années pour les contraceptifs oraux, injectables et non hormonaux, respectivement. Lors de l’analyse multivariée, nous n'avons trouvé aucune association significative entre l’usage des contraceptifs hormonaux et l’acquisition du VIH-1. Le risque relatif ajusté (RRa) pour les contraceptifs oraux est de 0,573 (IC de 95% : [0,31-1,06]) et 0,981 (IC de 95% : [0,69 ; 1,39]) pour les contraceptifs injectables. Conclusions : Bien que cette étude ne démontre pas d’association entre l’usage des contraceptifs hormonaux et le VIH-1, nous concluons toutefois que ces méthodes de contraception ne protègent pas contre le VIH-1, et il est ainsi recommandé aux femmes utilisant des hormones contraceptives de toujours utiliser le condom pour prévenir l'infection au VIH-1.
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In 2007, an H3N2 influenza A virus was isolated from Canadian mink. This virus was found to be phylogenetically related to a triple reassortant influenza virus which emerged in Canadian swine in 2005, but it is antigenically distinct. The transmission of the virus from swine to mink seems to have occurred following the feeding of animals with a ration composed of uncooked meat by-products of swine obtained from slaughterhouse facilities. Serological analyses suggest that the mink influenza virus does not circulate in the swine population. Presently, the prevalence of influenza virus in Canadian farmed and wild mink populations is unknown. The natural occurrence of influenza virus infection in mink with the presence of clinical signs is a rare event that deserves to be reported.
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Introduction. Le VIH-1 évolue en fonction de la réponse immunitaire spécifique de l’hôte. La pression sélective exercée par la réponse immunitaire VIH-spécifique de l’hôte entraine l’évolution des gènes viraux et à terme détermine l’évolution de la maladie. Cette évolution du virus à l’échelle d’un individu façonne également l’évolution du virus à l’échelle de la population et détermine le devenir de l’épidémie. Le VIH utilise les corécepteurs d’entrée CCR5 (virus R5) et CXCR4 (virus X4) afin d’infecter la cellule cible, et l’évolution du tropisme du virus de R5 vers X4, appelé switch du tropisme, est associé à la progression de la maladie. Les virus R5 sont rencontrés en début d’infection tandis que les virus X4 apparaissent en fin de maladie chez un certain de nombre de patients et sont considérés comme plus virulents. La pression sélective immunitaire exercée sur le gène de l’enveloppe (env) peut donc entrainer l’évolution du tropisme du VIH. La grossesse est un état immunitaire particulier considéré comme étant principalement caractérisé par un biais Th2 nécessaire à l’établissement de la tolérance materno-fétale. Le switch de tropisme de R5 vers X4 en grossesse n’a jamais été documenté, de même que l’évolution des déterminants du tropisme à l’échelle de la population. Hypothèses. Les changements immunitaires associés à l’initiation et la progression de la grossesse engendrent des changements dans la pression immunitaire exercée sur l’enveloppe et peuvent favoriser le switch du tropisme. L’évolution du tropisme du VIH-1 peut être observé à l’échelle de la population au même titre que l’évolution de l’enveloppe virale. Objectifs. Analyser l’évolution du tropisme et décrire la pression sélective sur l’enveloppe des femmes enceintes infectées par le VIH-1. Analyser l’évolution des déterminants du tropisme à l’échelle de la population. Méthodes. Nous avons dans un premier temps analysé l’évolution des déterminants du tropisme et déterminé le génotype et phénotype du VIH-1 chez 19 femmes enceintes issues de la cohorte du centre maternel et infantile sur le SIDA de l’hôpital Sainte-Justine (CMIS). Nous avons ensuite caractérisé et comparé la pression sélective exercée sur env, par une méthode bayésienne, chez 31 femmes enceinte et 29 femmes non-enceintes. Enfin, nous avons analysé et comparé des déterminants du tropisme entre des séquences d’enveloppe contemporaines et anciennes, issues des bases de données du NCBI. Résultats. Nos résultats montrent la présence de virus X4 chez la moitié de notre cohorte, et un switch de tropisme de R5 vers X4 chez 5/19 sujets. Les séquences des femmes enceintes présentaient des taux de substitutions plus élevées que celles des femmes non-enceintes. La pression sélective dans la région C2 était plus faible chez les femmes enceintes que chez les femmes non-enceintes, et différait dans 4 positions entre ces 2 groupes. Cette sélection diminuait au cours de la grossesse chez les patientes traitées. Enfin, une accumulation de mutations X4 a été observée dans les séquences R5 contemporaines par rapport aux séquences R5 anciennes. Conclusion. Les changements immunitaires associés à la grossesse semblent induire des modifications subtiles dans la pression sélective exercée sur env, suffisant à influencer l’évolution du tropisme de R5 vers X4. Un switch du tropisme à l’échelle de la population impliquerait une épidémie évoluant vers une plus grande virulence du virus. Nos résultats sont d’importance en ce qui concerne la prophylaxie antirétrovirale pour la santé de la mère et la prévention de la transmission mère-enfant du VIH-1. Ils sont aussi importants concernant l’avenir de la thérapie antirétrovirale dans le contexte d’une épidémie évoluant vers une plus grande virulence
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To demonstrate pathological changes due to white spot virus infection in Fenneropenaeus indicus, a batch of hatchery bred quarantined animals was experimentally infected with the virus. Organs such as gills, foregut, mid-gut, hindgut, nerve, eye, heart, ovary and integument were examined by light and electron microscopy. Histopathological analyses revealed changes hitherto not reported in F. indicus such as lesions to the internal folding of gut resulted in syncytial mass sloughed off into lumen, thickening of hepatopancreatic connective tissue with vacuolization of tubules and necrosis of rectal pads in hindgut. Virus replication was seen in the crystalline tract region of the compound eye and eosinophilic granules infiltrated from its base. In the gill arch, dilation and disintegration of median blood vessel was observed. In the nervous tissues, encapsulation and subsequent atrophy of hypertrophied nuclei of the neurosecretory cells were found. Transmission electron microscopy showed viral replication and morphogenesis in cells of infected tissue. De novo formed vesicles covered the capsid forming a bilayered envelop opened at one end inside the virogenic stroma. Circular vesicles containing nuclear material was found fused with the envelop. Subsequent thickening of the envelop resulted in the fully formed virus. In this study, a correlation was observed between the stages of viral multiplication and the corresponding pathological changes in the cells during the WSV infection. Accordingly, gill and foregut tissues were found highly infected during the onset of clinical signs itself, and are proposed to be used as the tissues for routine disease diagnosis.
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We provide experimental evidence of a replication enhancer element (REE) within the capsid gene of tick-borne encephalitis virus (TBEV, genus Flavivirus). Thermodynamic and phylogenetic analyses predicted that the REE folds as a long stable stem–loop (designated SL6), conserved among all tick-borne flaviviruses (TBFV). Homologous sequences and potential base pairing were found in the corresponding regions of mosquito-borne flaviviruses, but not in more genetically distant flaviviruses. To investigate the role of SL6, nucleotide substitutions were introduced which changed a conserved hexanucleotide motif, the conformation of the terminal loop and the base-paired dsRNA stacking. Substitutions were made within a TBEV reverse genetic system and recovered mutants were compared for plaque morphology, single-step replication kinetics and cytopathic effect. The greatest phenotypic changes were observed in mutants with a destabilized stem. Point mutations in the conserved hexanucleotide motif of the terminal loop caused moderate virus attenuation. However, all mutants eventually reached the titre of wild-type virus late post-infection. Thus, although not essential for growth in tissue culture, the SL6 REE acts to up-regulate virus replication. We hypothesize that this modulatory role may be important for TBEV survival in nature, where the virus circulates by non-viraemic transmission between infected and non-infected ticks, during co-feeding on local rodents.
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BACKGROUND: We examined the role of aerosol transmission of influenza in an acute ward setting. METHODS: We investigated a seasonal influenza A outbreak that occurred in our general medical ward (with open bay ward layout) in 2008. Clinical and epidemiological information was collected in real time during the outbreak. Spatiotemporal analysis was performed to estimate the infection risk among patients. Airflow measurements were conducted, and concentrations of hypothetical virus-laden aerosols at different ward locations were estimated using computational fluid dynamics modeling. RESULTS: Nine inpatients were infected with an identical strain of influenza A/H3N2 virus. With reference to the index patient's location, the attack rate was 20.0% and 22.2% in the "same" and "adjacent" bays, respectively, but 0% in the "distant" bay (P = .04). Temporally, the risk of being infected was highest on the day when noninvasive ventilation was used in the index patient; multivariate logistic regression revealed an odds ratio of 14.9 (95% confidence interval, 1.7-131.3; P = .015). A simultaneous, directional indoor airflow blown from the "same" bay toward the "adjacent" bay was found; it was inadvertently created by an unopposed air jet from a separate air purifier placed next to the index patient's bed. Computational fluid dynamics modeling revealed that the dispersal pattern of aerosols originated from the index patient coincided with the bed locations of affected patients. CONCLUSIONS: Our findings suggest a possible role of aerosol transmission of influenza in an acute ward setting. Source and engineering controls, such as avoiding aerosol generation and improving ventilation design, may warrant consideration to prevent nosocomial outbreaks.
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Cacao swollen shoot virus (CSSV) causes the Cacao swollen shoot virus disease (CSSVD) and significantly reduces production in West African cacao. This study characterised the current status of the disease in the major cacao growing States in Nigeria and attempted a clarification on the manner of CSSV transmission. Two separate field surveys and sample collections were conducted in Nigeria in summer 2012 and spring 2013. PCR-based screening of cacao leaf samples and subsequent DNA sequencing showed that the disease continues to persist in Ondo and Oyo States and in new cacao sites in Abia, Akwa Ibom, Cross River and Edo States. Mealybug samples collected were identified using a robust approach involving environmental scanning electron microscopy, histology and DNA barcoding, which highlighted the importance of integrative taxonomy in the study. The results show that the genus Planococcus (Planococcus citri (Risso) and/or Planococcus minor (Maskell)) was the most abundant vector (73.5%) at the sites examined followed by Formicococcus njalensis (Laing) (19.0 %). In a laboratory study, the feeding behaviour of Pl. citri, Pseudococcus longispinus (Targioni-Tozzetti) and Pseudococcus viburni (Signoret) on cacao were investigated using electrical penetration graph (EPG) analysis. EPG waveforms reflecting intercellular stylet penetration (C), extracellular salivation (E1e), salivation in sieve elements (E1), phloem ingestion (E2), derailed stylet mechanics (F), xylem ingestion (G) and non-probing phase (Np) were analysed. Individual mealybugs exhibited marked variation within species and significantly differed (p ≤ .05) between species for E1e and E1. PCR-based assessments of the retention time for CSSV in viruliferous Pl. citri, Ps. longispinus and Ps. viburni fed on a non-cacao diet showed that CSSV was still detectable after 144 hours. These unusually long durations for a pathogen currently classified as a semi-persistent virus have implications for the design of non-malvaceous barrier crops currently being considered for the protection of new cacao plantings.
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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A necrose da haste da soja é causada por um vírus do gênero Carlavirus transmitido pela mosca branca Bemisia tabaci, também infectante de feijão e identificado como Cowpea mild mottle virus (CpMMV). Neste trabalho foram realizados testes para determinação do número de moscas-brancas B. tabaci biótipo B necessários para transmissão do vírus em feijoeiro e soja. Na sequência foram realizados dois outros testes, com 10 insetos por planta. Avaliaram-se períodos de acesso à aquisição (PAA) de 'Jalo' para 'Jalo', e o efeito de períodos de acesso à inoculação (PAI). Foram visualmente constatados sintomas típicos do carlavírus como mosaico, clareamento de nervuras, necrose sistêmica e redução de crescimento. Houve transmissão do vírus para 'BT-2' de feijão e 'BRS-132' de soja com apenas um inseto por planta, sendo mais eficaz nesta última espécie. A taxa de transmissão do vírus foi maior com o aumento do número de insetos por planta. E o PAA foi determinado após 15' de tempo para aquisição, e o PAI com 5 min e aumentando os períodos de acesso a aquisição e inoculação aumentou-se a taxa de transmissão.
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The transmission of influenza in health care settings is a major threat to patients, especially those with severe diseases. The attitude of health care workers (HCWs) may influence the transmission of countless infections. The current study aimed to quantify knowledge and identify attitudes of HCWs involved in intensive care units (ICUs) regarding the risk of nosocomial influenza transmission. A questionnaire was applied through interviews to HCWs who worked in one of the five ICUs from a teaching hospital. Questions about influenza were deliberately dispersed among others that assessed several infectious agents. Forty-two HCWs were interviewed: nine physicians, ten nurses and 23 nursing technicians or auxiliaries. Among the 42 HCWs, 98% were aware of the potential transmission of influenza virus in the ICUs, but only 31% would indicate droplet precautions for patients with suspected infection. Moreover, only 31% of them had been vaccinated against influenza in the last campaign (2008). Nursing technicians or auxiliaries were more likely to have been vaccinated, both by univariate and multivariable analysis. When asked about absenteeism, only 10% of the study subjects stated that they would not go to work if they had an influenza-like illness. Those findings suggest that, in non-pandemic periods, influenza control in hospitals requires strategies that combine continuous education with changes in organizational culture.
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Hepatitis C is transmitted primarily parenterally by contaminated blood and is often associated with: intravenous drug abuse, invasive procedures, blood transfusions, acupuncture, tattooing, and alcohol and tobacco use. This study aimed to quantify and evaluate the risk factors among blood donors, volunteer blood donors and replacement individuals, infected or not by the C virus. The main transmission routes of C virus were identified in 55 men and 25 women (GI) monitored by the Ambulatory Unit of the Department of Tropical Diseases, Botucatu Medical School, and in 24 men and 26 women (GII), all active blood donors at the Bauru State Hospital Transfusional Agency. Both groups were similar in: tobacco and alcohol consumption, sexual behavior, tattooing and illicit drug use. The duration of alcohol and tobacco consumption and blood transfusions in GI were longer, whereas the option for steady partners, condom use, disposable materials and piercings were predominant in GII. In conclusion, the risk factors for hepatitis C demonstrate the necessity of health policies that act on the primary and secondary prevention levels (respectively, reduction of infection incidence and hepatopathy risk).