758 resultados para Type 1 Diabetes


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AIMS/HYPOTHESIS Plasminogen activator inhibitor-1 (PAI-1) has been regarded as the main antifibrinolytic protein in diabetes, but recent work indicates that complement C3 (C3), an inflammatory protein, directly compromises fibrinolysis in type 1 diabetes. The aim of the current project was to investigate associations between C3 and fibrinolysis in a large cohort of individuals with type 2 diabetes. METHODS Plasma levels of C3, C-reactive protein (CRP), PAI-1 and fibrinogen were analysed by ELISA in 837 patients enrolled in the Edinburgh Type 2 Diabetes Study. Fibrin clot lysis was analysed using a validated turbidimetric assay. RESULTS Clot lysis time correlated with C3 and PAI-1 plasma levels (r = 0.24, p < 0.001 and r = 0.22, p < 0.001, respectively). In a multivariable regression model involving age, sex, BMI, C3, PAI-1, CRP and fibrinogen, and using log-transformed data as appropriate, C3 was associated with clot lysis time (regression coefficient 0.227 [95% CI 0.161, 0.292], p < 0.001), as was PAI-1 (regression coefficient 0.033 [95% CI 0.020, 0.064], p < 0.05) but not fibrinogen (regression coefficient 0.003 [95% CI -0.046, 0.051], p = 0.92) or CRP (regression coefficient 0.024 [95% CI -0.008, 0.056], p = 0.14). No correlation was demonstrated between plasma levels of C3 and PAI-1 (r = -0.03, p = 0.44), consistent with previous observations that the two proteins affect different pathways in the fibrinolytic system. CONCLUSIONS/INTERPRETATION Similarly to PAI-1, C3 plasma levels are independently associated with fibrin clot lysis in individuals with type 2 diabetes. Therefore, future studies should analyse C3 plasma levels as a surrogate marker of fibrinolysis potential in this population.

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Background: Individuals with type 1 diabetes (T1D) have to count the carbohydrates (CHOs) of their meal to estimate the prandial insulin dose needed to compensate for the meal’s effect on blood glucose levels. CHO counting is very challenging but also crucial, since an error of 20 grams can substantially impair postprandial control. Method: The GoCARB system is a smartphone application designed to support T1D patients with CHO counting of nonpacked foods. In a typical scenario, the user places a reference card next to the dish and acquires 2 images with his/her smartphone. From these images, the plate is detected and the different food items on the plate are automatically segmented and recognized, while their 3D shape is reconstructed. Finally, the food volumes are calculated and the CHO content is estimated by combining the previous results and using the USDA nutritional database. Results: To evaluate the proposed system, a set of 24 multi-food dishes was used. For each dish, 3 pairs of images were taken and for each pair, the system was applied 4 times. The mean absolute percentage error in CHO estimation was 10 ± 12%, which led to a mean absolute error of 6 ± 8 CHO grams for normal-sized dishes. Conclusion: The laboratory experiments demonstrated the feasibility of the GoCARB prototype system since the error was below the initial goal of 20 grams. However, further improvements and evaluation are needed prior launching a system able to meet the inter- and intracultural eating habits.

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Smartphone-App zur Kohlenhydratberechnung Neue Technologien wie Blutzuckersensoren und moderne Insulinpumpen prägten die Therapie des Typ-1-Diabetes (T1D) in den letzten Jahren in wesentlichem Ausmaß. Smartphones sind aufgrund ihrer rasanten technischen Entwicklung eine weitere Plattform für Applikationen zur Therapieunterstützung bei T1D. GoCARB Hierbei handelt es sich um ein zur Kohlenhydratberechnung entwickeltes System für Personen mit T1D. Die Basis für Endanwender stellt ein Smartphone mit Kamera dar. Zur Berechnung werden 2 mit dem Smartphone aus verschiedenen Winkeln aufgenommene Fotografien einer auf einem Teller angerichteten Mahlzeit benötigt. Zusätzlich ist eine neben dem Teller platzierte Referenzkarte erforderlich. Die Grundlage für die Kohlenhydratberechnung ist ein Computer-Vision-gestütztes Programm, das die Mahlzeiten aufgrund ihrer Farbe und Textur erkennt. Das Volumen der Mahlzeit wird mit Hilfe eines dreidimensional errechneten Modells bestimmt. Durch das Erkennen der Art der Mahlzeiten sowie deren Volumen kann GoCARB den Kohlenhydratanteil unter Einbeziehung von Nährwerttabellen berechnen. Für die Entwicklung des Systems wurde eine Bilddatenbank von mehr als 5000 Mahlzeiten erstellt und genutzt. Resümee Das GoCARB-System befindet sich aktuell in klinischer Evaluierung und ist noch nicht für Patienten verfügbar.

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Les patients diabétiques de type 1 (DT1) ont avantage à avoir un bon contrôle glycémique pour réduire les effets négatifs à court et long terme d’un mauvais contrôle glycémique sur leur santé. Pour contrôler leur glycémie, ils doivent prendre de l’insuline, mais il est aussi recommandé qu’ils aient de bonnes habitudes de vie comme une nutrition appropriée et une pratique adéquate d’activité physique. Par contre, les patients DT1 ne suivent généralement pas les recommandations en activité physique et une partie du problème vient de leurs barrières personnelles à un style de vie actif, telle la peur des hypoglycémies. L’utilisation de la pompe comme traitement à l’insuline aide à mieux contrôler la glycémie, plus précisément l’hémoglobine glyquée, que les injections d’insuline, et le dispositif est de plus en plus prescrit chez les enfants et adolescents. Par contre, son impact sur la pratique des activités sédentaire et physique n’est pas encore bien connu. L’objectif de la présente étude est donc de révéler le profil d’activité physique complet, incluant les barrières à l’exercice et les habitudes de vie des parents, des enfants et adolescents DT1, selon leur type de traitement à l’insuline (pompe ou injections). L’étude a été conduite à la clinique d’endocrinologie du Centre hospitalier universitaire de Sainte-Justine (Montréal, Canada). Un questionnaire auto-administré a été complété par 188 patients DT1 âgés de 6 à 17 ans et un de leurs parents. Soixante pourcent des patients étaient des utilisateurs de la pompe à insuline. Il n’y avait pas de différence significative pour aucune des composantes du profil d’activité physique, des habitudes sédentaires et des barrières à l’exercice entre les patients DT1 utilisant les injections et ceux utilisant la pompe. La peur de faire des hypoglycémies était la barrière à l’activité physique principale pour les deux groupes de traitement. Les adolescents dont les parents pratiquaient une plus grande variété d’activités physiques faisaient plus d’activité physique d’intensité moyenne à élevée et passaient moins de temps devant les écrans. En conclusion, le type de traitement n’était pas associé à un style de vie plus sain chez les patients pédiatriques DT1, mais un profil d’activité physique parental varié était le facteur principal d’intérêt pour des habitudes de vie plus saines chez les adolescents DT1.

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Les patients diabétiques de type 1 (DT1) ont avantage à avoir un bon contrôle glycémique pour réduire les effets négatifs à court et long terme d’un mauvais contrôle glycémique sur leur santé. Pour contrôler leur glycémie, ils doivent prendre de l’insuline, mais il est aussi recommandé qu’ils aient de bonnes habitudes de vie comme une nutrition appropriée et une pratique adéquate d’activité physique. Par contre, les patients DT1 ne suivent généralement pas les recommandations en activité physique et une partie du problème vient de leurs barrières personnelles à un style de vie actif, telle la peur des hypoglycémies. L’utilisation de la pompe comme traitement à l’insuline aide à mieux contrôler la glycémie, plus précisément l’hémoglobine glyquée, que les injections d’insuline, et le dispositif est de plus en plus prescrit chez les enfants et adolescents. Par contre, son impact sur la pratique des activités sédentaire et physique n’est pas encore bien connu. L’objectif de la présente étude est donc de révéler le profil d’activité physique complet, incluant les barrières à l’exercice et les habitudes de vie des parents, des enfants et adolescents DT1, selon leur type de traitement à l’insuline (pompe ou injections). L’étude a été conduite à la clinique d’endocrinologie du Centre hospitalier universitaire de Sainte-Justine (Montréal, Canada). Un questionnaire auto-administré a été complété par 188 patients DT1 âgés de 6 à 17 ans et un de leurs parents. Soixante pourcent des patients étaient des utilisateurs de la pompe à insuline. Il n’y avait pas de différence significative pour aucune des composantes du profil d’activité physique, des habitudes sédentaires et des barrières à l’exercice entre les patients DT1 utilisant les injections et ceux utilisant la pompe. La peur de faire des hypoglycémies était la barrière à l’activité physique principale pour les deux groupes de traitement. Les adolescents dont les parents pratiquaient une plus grande variété d’activités physiques faisaient plus d’activité physique d’intensité moyenne à élevée et passaient moins de temps devant les écrans. En conclusion, le type de traitement n’était pas associé à un style de vie plus sain chez les patients pédiatriques DT1, mais un profil d’activité physique parental varié était le facteur principal d’intérêt pour des habitudes de vie plus saines chez les adolescents DT1.

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Background: Diabetic children and their families experience high level stress because of daily insulin injection. Objectives: This study was conducted to investigate the impact of an interactive computer game on behavioral distress due to insulin injection among diabetic children. Patients and Methods: In this clinical trial, thirty children (3-12 years) with type 1 diabetes who needed daily insulin injection were recruited and allocated randomly into two groups. Children in intervention groups received an interactive computer game and asked to play at home for a week. No special intervention was done for control group. The behavioral distress of groups was assessed before, during and after the intervention by Observational Scale of Behavioral Distress–Revised (OSBD-R). Results: Repeated measure ANOVA test showed no significantly difference of OSBD-R over time for control group (P = 0.08), but this changes is signification in the study group (P = 0.001). Comparison mean score of distress were significantly different between two groups (P = 0.03). Conclusions: According to the findings, playing interactive computer game can decrease behavioral distress induced by insulin injection in type 1 diabetic children. It seems this game can be beneficial to be used alongside other interventions.

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Les patients atteints de diabète de type 1 (DbT1) semblent sur-traiter leurs hypoglycémies par rapport aux recommandations des Lignes directrices Canadiennes en diabète. Objectifs : 1) Décrire les habitudes des patients DbT1 pour le traitement des hypoglycémies et estimer les impacts sur le profil de risque cardio-métabolique et 2) explorer les excursions glycémiques suite à un traitement d’hypoglycémie qui respecte les recommandations. Méthodologie (analyses secondaires) : Objectif 1 : 121 patients DbT1 ont complété un journal alimentaire et de glycémies de 48 h. Des variables cardio-métaboliques ont été mesurées et un questionnaire sur la peur des hypoglycémies a été complété. Objectif 2 : 57 patients DbT1 ont complété les bras contrôles de notre programme sur le pancréas artificiel (traitement des hypoglycémies standardisé). Les valeurs de glycémie étaient disponibles aux 5 minutes. Résultats : Projet 1 : Les patients ont fait en moyenne 1,45 hypoglycémies/jour et 73% sur-traitaient avec une consommation moyenne de glucides de 32 ± 24 g. Ce sur-traitement est associé avec un plus jeune âge et une peur des hypoglycémies plus importante, mais pas avec un profil de risque cardio-métabolique plus défavorable. Projet 2 : Dans 20% des cas, traiter une hypoglycémie avec 15 g de glucides était efficace pour ramener la glycémie ≥ 4,0 mmol/L en 15 minutes, le temps moyen étant de 24 ± 12 minutes. La proportion d’insuline basale, le temps depuis le dernier repas et la pratique d’activité physique sont les éléments qui semblent avoir le plus d’impact sur l’efficacité du traitement. Conclusion : L’éducation entourant le traitement des hypoglycémies a besoin d’être renforcée et d’autres études sont nécessaires afin de valider les recommandations.

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Les patients atteints de diabète de type 1 (DbT1) semblent sur-traiter leurs hypoglycémies par rapport aux recommandations des Lignes directrices Canadiennes en diabète. Objectifs : 1) Décrire les habitudes des patients DbT1 pour le traitement des hypoglycémies et estimer les impacts sur le profil de risque cardio-métabolique et 2) explorer les excursions glycémiques suite à un traitement d’hypoglycémie qui respecte les recommandations. Méthodologie (analyses secondaires) : Objectif 1 : 121 patients DbT1 ont complété un journal alimentaire et de glycémies de 48 h. Des variables cardio-métaboliques ont été mesurées et un questionnaire sur la peur des hypoglycémies a été complété. Objectif 2 : 57 patients DbT1 ont complété les bras contrôles de notre programme sur le pancréas artificiel (traitement des hypoglycémies standardisé). Les valeurs de glycémie étaient disponibles aux 5 minutes. Résultats : Projet 1 : Les patients ont fait en moyenne 1,45 hypoglycémies/jour et 73% sur-traitaient avec une consommation moyenne de glucides de 32 ± 24 g. Ce sur-traitement est associé avec un plus jeune âge et une peur des hypoglycémies plus importante, mais pas avec un profil de risque cardio-métabolique plus défavorable. Projet 2 : Dans 20% des cas, traiter une hypoglycémie avec 15 g de glucides était efficace pour ramener la glycémie ≥ 4,0 mmol/L en 15 minutes, le temps moyen étant de 24 ± 12 minutes. La proportion d’insuline basale, le temps depuis le dernier repas et la pratique d’activité physique sont les éléments qui semblent avoir le plus d’impact sur l’efficacité du traitement. Conclusion : L’éducation entourant le traitement des hypoglycémies a besoin d’être renforcée et d’autres études sont nécessaires afin de valider les recommandations.

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Background: An evaluation of patients' preferences is necessary to understand the demand for different insulin delivery systems. The aim of this study was to investigate the association between socioeconomic status (SES) and patients' preferences and willingness to pay (WTP) for various attributes of insulin administration for diabetes management. Methods: We conducted a discrete choice experiment (DCE) to determine patients' preferences and their WTP for hypothetical insulin treatments. Both self-reported annual household income and education completed were used to explore differences in treatment preferences and WTP for different attributes of treatment across different levels of SES. Results: The DCE questionnaire was successfully completed by 274 patients. Overall, glucose control was the most valued attribute by all socioeconomic groups, while route of insulin delivery was not as important. Patients with higher incomes were willing to pay significantly more for better glucose control and to avoid adverse events compared to lower income groups. In addition, they were willing to pay more for an oral short-acting insulin ($Can 71.65 [95% confidence interval, $40.68, $102.62]) compared to the low income group ($Can 9.85 [95% confidence interval, 14.86, 34.56; P < 0.01]). Conversely, there were no differences in preferences when the sample was stratified by level of education. Conclusions: This study revealed that preferences and WTP for insulin therapy are influenced by income but not by level of education. Specifically, the higher the income, the greater desire for an oral insulin delivery system, whereas an inhaled route becomes less important for patients.

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AIMS/HYPOTHESIS: The molecular mechanisms of obesity-related insulin resistance are incompletely understood. Macrophages accumulate in adipose tissue of obese individuals. In obesity, monocyte chemoattractant protein-1 (MCP-1), a key chemokine in the process of macrophage accumulation, is overexpressed in adipose tissue. MCP-1 is an insulin-responsive gene that continues to respond to exogenous insulin in insulin-resistant adipocytes and mice. MCP-1 decreases insulin-stimulated glucose uptake into adipocytes. The A-2518G polymorphism in the distal regulatory region of MCP-1 may regulate gene expression. The aim of this study was to investigate the impact of this gene polymorphism on insulin resistance. METHODS: We genotyped the Ludwigshafen Risk and Cardiovascular Health (LURIC) cohort ( n=3307). Insulin resistance, estimated by homeostasis model assessment, and Type 2 diabetes were diagnosed in 803 and 635 patients respectively. RESULTS: Univariate analysis revealed that plasma MCP-1 levels were significantly and positively correlated with WHR ( p=0.011), insulin resistance ( p=0.0097) and diabetes ( p<0.0001). Presence of the MCP-1 G-2518 allele was associated with decreased plasma MCP-1 ( p=0.017), a decreased prevalence of insulin resistance (odds ratio [OR]=0.82, 95% CI: 0.70-0.97, p=0.021) and a decreased prevalence of diabetes (OR=0.80, 95% CI: 0.67-0.96, p=0.014). In multivariate analysis, the G allele retained statistical significance as a negative predictor of insulin resistance (OR=0.78, 95% CI: 0.65-0.93, p=0.0060) and diabetes (OR=0.80, 95% CI: 0.66-0.96, p=0.018). CONCLUSIONS/INTERPRETATION: In a large cohort of Caucasians, the MCP-1 G-2518 gene variant was significantly and negatively correlated with plasma MCP-1 levels and the prevalence of insulin resistance and Type 2 diabetes. These results add to recent evidence supporting a role for MCP-1 in pathologies associated with hyperinsulinaemia.

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Type 2 diabetes is a polygenic and genetically heterogeneous disease . The age of onset of the disease is usually late and environmental factors may be required to induce the complete diabetic phenotype. Susceptibility genes for diabetes have not yet been identified. Islet-brain-1 (IB1, encoded by MAPK8IP1), a novel DNA-binding transactivator of the glucose transporter GLUT2 (encoded by SLC2A2), is the homologue of the c-Jun amino-terminal kinase-interacting protein-1 (JIP-1; refs 2-5). We evaluated the role of IBi in beta-cells by expression of a MAPK8IP1 antisense RNA in a stable insulinoma beta-cell line. A 38% decrease in IB1 protein content resulted in a 49% and a 41% reduction in SLC2A2 and INS (encoding insulin) mRNA expression, respectively. In addition, we detected MAPK8IP1 transcripts and IBi protein in human pancreatic islets. These data establish MAPK8IP1 as a candidate gene for human diabetes. Sibpair analyses performed on i49 multiplex French families with type 2 diabetes excluded MAPK8IP1 as a major diabetogenic locus. We did, however, identify in one family a missense mutation located in the coding region of MAPK8IP1 (559N) that segregated with diabetes. In vitro, this mutation was associated with an inability of IB1 to prevent apoptosis induced by MAPK/ERK kinase kinase 1 (MEKK1) and a reduced ability to counteract the inhibitory action of the activated c-JUN amino-terminal kinase (JNK) pathway on INS transcriptional activity. Identification of this novel non-maturity onset diabetes of the young (MODY) form of diabetes demonstrates that IB1 is a key regulator of 3-cell function.

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L'insuline, produite par les cellules β du pancréas, joue un rôle central dans le contrôle de la glycémie. Un manque d'insuline entraine le diabète de type 2, une maladie répandue au stade d'épidémie au niveau mondial. L'augmentation du nombre de personnes obèses est une des causes principales du développement de la maladie. Avec l'obésité les tissus tels que le foie, le muscle, et le tissu adipeux deviennent résistants à l'insuline. En général, cette résistance est équilibrée par une augmentation de la sécrétion d'insuline. De ce fait, un grand nombre d'individus obèses ne deviennent pas diabétiques. Lorsque les cellules β ne produisent plus suffisamment d'insuline, alors le diabète se développe. Dans l'obésité, les cellules graisseuses sont résistantes à l'insuline et relâchent des lipides et autres produits qui affectent le bon fonctionnement et la vie des cellules β. «c-Jun Ν terminal Kinase» (JNK) est une enzyme qui joue un rôle important dans la résistance de l'insuline des cellules graisseuses. Cette même en2yme contribue aussi au déclin de la cellule β dans les conditions diabétogènes, et représente ainsi une cible thérapeutique potentielle du diabète. L'objectif de cette thèse a été de comprendre le mécanisme conduisant à l'activité de JNK dans les adipocytes et cellules β, dans l'obésité et le diabète de type 2. Nous montrons que les variations de JNK sont la conséquence de taux anormaux de JIP-1/EB1, une protéine qui a été impliquée dans certaines formes génétiques de diabète de type 2. En outre nous décrivons le mécanisme responsable des anomalies de JIP1/IB1 dans les adipocytes et cellules β. La restauration des taux de JIP-1/EB1 dans les deux types cellulaires pourrait être un objectif des thérapeutiques antidiabétiques actuelles et futures. - Le nombre d'individus touchés par le diabète de type 2 atteint aujourd'hui des proportions épidémiques à l'échelle mondiale. L'augmentation de la prévalence de l'obésité est la cause principale du développement de la maladie, qui, en général, survient suite à une perte de la sensibilité à l'insuline des tissus périphériques. Dans un grand nombre des cas, l'insulino-résistance est compensée par une augmentation de la sécrétion de l'insuline par les cellules β pancréatiques. Le diabète apparaît lorsque l'insuline n'est plus produite en quantité suffisante pour contrecarrer la résistance à l'insuline des tissus. Le défaut de production de l'insuline résulte du dysfonctionnement et de la réduction massive des cellules β. Les acides gras libres non estérifiés, en particulier le palmitate, provenant d'une alimentation riche en lipides et libérés par les adipocytes insulino-résistants contribuent au déclin de la cellule β en activant la voie de signalisation «cJun N-terminal kinase» (JNK). L'activation de JNK contribue aussi à la résistance à l'insuline des adipocytes dans l'obésité, soulignant ainsi l'importance de cette voie de signalisation dans la pathophysiologie du diabète. L'objectif de cette thèse a été de comprendre les mécanismes qui régulent JNK dans les cellules β et les adipocytes. Nous montrons que l'activation de JNK dans ces deux types cellulaires est la conséquence de la variation des taux de «JNK interacting protein 1» appelé aussi «islet brain 1» (JEP-1/ 15; 14;\1;), une protéine qui attache les kinases de la signalisation de JNK et dont des variations génétiques ont été associées avec le diabète de type 2. Dans les cellules β cultivées avec du palmitate, ainsi que dans les adipocytes dans l'obésité, l'expression de JEP-l/BBl est modifiée. Les modulations de l'expression de JEP-1/ 15; 14;\1; sont réalisées par le facteur de transcription «inducible cAMP early repressor» (ICER). L'expression d'ICER dans les adipocytes est diminuée dans l'obésité, et corrèle avec l'augmentation des niveaux de JEP-1/IB1. A l'inverse, le niveau d'expression d'ICER est augmenté dans les cellules β cultivées avec du palmitate, et cette augmentation perturbe le bon fonctionnement des cellules en réduisant les niveaux de JEP-l/IBl. Comme le palmitate, les particules pro-athérogéniques LDL-cholesterol oxydés, sont élevées chez les personnes obèses et diabétiques et sont délétères aux cellules β. Ces particules modifiées activent JNK dans les cellules β en diminuant l'expression de JIP-1/IB1 via ICER. Tous ces résultats montrent que le dérèglement de l'expression de JIP-l/EBl par ICER joue un rôle central dans l'activation de JNK dans les adipocytes et cellules β en souffrance dans l'obésité et le diabète de type 2. La restauration appropriée des niveaux de JEPl/IBl et d'ICER pourrait être considérée comme un objectif pour mesurer l'efficacité des traitements antidiabétiques actuels et futurs. - Type 2 diabetes has reached epidemic proportions worldwide, and poses a major socio-economic burden on developed and developing societies. The disease is often accompanied by obesity, and arises when β-cells produce insufficient insulin to meet the increased hormone demand, caused by insulin resistance. In obesity, enlargement of adipocytes contribute to their dysfunction, which is characterized by the abnormal release of some bioactive products such as non-esterified free fatty acids (NEF As). Chronic plasma elevation of NEF As elicits β-cell dysfunction and death, thereby, representing a key feature for development of diabetes in obesity (diabesity). Palmitate is the most abundant circulating NEF As in obesity, which triggers adipocytes and β-cell dysfunction. The effects of palmitate rely on the induction of the cJun N-terminal kinase (JNK) pathway. Activation of JNK promotes both β-cells dysfunction and insulin resistance in adipocytes. This thesis was undertaken to investigate the mechanisms accounting for the induction of the JNK pathway caused by palmitate. JNK is regulated by the scaffold protein JNK interacting protein-1, also called islet brain 1 (JIP-1/IB1). The levels of JDM/IB1 are critical for glucose homeostasis, as genetic variations within the gene were associated with diabetes. We found that activation of JNK in both, β-cells exposed to palmitate, and in adipocytes of obese mice, results from variations in the expression of JIP-l/EBl. Modifications in the JIP-1/IB1 levels were the consequence of abnormal expression of the inducible cAMP early repressor (ICER) in the two cell types. In addition, our data show that this repressor plays a key role in abnormal production of adipocyte hormones and β-cell dysfunction evoked by the pro-atherogenic oxidized LDL. Taken together, this study proposes that fine-tuning of appropriate levels of JIP-l/EBl, and ICER could circumvent β-cell failure, adipocyte dysfunction, and thereby, development of diabesity.

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AIMS/HYPOTHESIS: Soluble tumor necrosis factor receptors 1 and 2 (sTNFR1 and sTNFR2) contribute to experimental diabetic kidney disease, a condition with substantially increased cardiovascular risk when present in patients. Therefore, we aimed to explore the levels of sTNFRs, and their association with prevalent kidney disease, incident cardiovascular disease, and risk of mortality independently of baseline kidney function and microalbuminuria in a cohort of patients with type 2 diabetes. In pre-defined secondary analyses we also investigated whether the sTNFRs predict adverse outcome in the absence of diabetic kidney disease. METHODS: The CARDIPP study, a cohort study of 607 diabetes patients [mean age 61 years, 44 % women, 45 cardiovascular events (fatal/non-fatal myocardial infarction or stroke) and 44 deaths during follow-up (mean 7.6 years)] was used. RESULTS: Higher sTNFR1 and sTNFR2 were associated with higher odds of prevalent kidney disease [odd ratio (OR) per standard deviation (SD) increase 1.60, 95 % confidence interval (CI) 1.32-1.93, p < 0.001 and OR 1.54, 95 % CI 1.21-1.97, p = 0.001, respectively]. In Cox regression models adjusting for age, sex, glomerular filtration rate and urinary albumin/creatinine ratio, higher sTNFR1 and sTNFR2 predicted incident cardiovascular events [hazard ratio (HR) per SD increase, 1.66, 95 % CI 1.29-2.174, p < 0.001 and HR 1.47, 95 % CI 1.13-1.91, p = 0.004, respectively]. Results were similar in separate models with adjustments for inflammatory markers, HbA1c, or established cardiovascular risk factors, or when participants with diabetic kidney disease at baseline were excluded (p < 0.01 for all). Both sTNFRs were associated with mortality. CONCLUSIONS/INTERPRETATIONS: Higher circulating sTNFR1 and sTNFR2 are associated with diabetic kidney disease, and predicts incident cardiovascular disease and mortality independently of microalbuminuria and kidney function, even in those without kidney disease. Our findings support the clinical utility of sTNFRs as prognostic markers in type 2 diabetes.