505 resultados para Ovulation
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In the field, mosquitoes characteristically feed on sugars soon after emergence and intermittently during their adult lives. Sugar meals are commonly derived from plant nectar and homopteran honeydew, and without them, adults can only survive for a few days on larval reserves. In addition to sugar, females of most species rely on blood for the initiation and maintenance of egg development; thus their reproductive success depends to some extent on the availability of blood hosts. Males, on the other hand, feed exclusively on sugars. Consequently, their sexual maturation and reproductive success is largely dependent upon access to sugar sources. Plant nectar and homopteran honeydew are the two main sugar sources utilized by mosquitoes in the wild. Previous laboratory studies had shown that differences between nectar sources can affect the survivorship and biting frequency of disease vectoring mosquitoes. However, little is known on how sugar composition influence the reproductive processes in male mosquitoes. Male mosquitoes transfer accessory gland proteins and other hormones to their mates along with sperm during mating. In the female, these seminal fluid constituents exert their influence on reproductive genes that control ovulation and vitellogenesis. The present study tests the hypothesis that the mates of males consuming different sugar meals will exhibit varying levels of induction of vitellogenin (a gene which regulates the expression of egg yolk precursor proteins). Real-time quantitative RT-PCR was used to investigate how each sugar meal indirectly influences vitellogenin mRNA abundance in female Anopheles stephensi following mating. Results indicate that mates of nectar-fed males exhibit 2-fold greater change in vitellogenin expression than the mates of honeydew-fed males. However, this response did not occur in non-blood fed controls. These findings suggest that the stimulatory effect of mating on vitellogenesis in blood meal-reliant (i.e. anautogenous) mosquitoes may only be synergistic in nature. The present study also sought to compare the potential fitness costs of mating incurred by females that do not necessarily require a blood meal to initiate a reproductive cycle (i.e., exhibit autogeny). Females of the facultatively autogenous mosquito, Culex molestus were allowed to mate with males sustained on either nectar or honedyew. Mean lifetime fecundity and survivorship of females under the two different mating regimes were then recorded. Additionally, one-dimensional gel electrophoresis was used to verify the transfer of male accessory gland proteins to the sperm storage organs of females during mating.While there was no significant difference in survival between the test treatments, the mates of nectar-fed males produced 11% more eggs on average than mates of honeydew-fed males. However, additional data are needed to justify the extrapolation of these findings to natural settings. These findings prompt further investigation as the differences caused by diet variation in males may be reflected across other life history traits such as mating frequency and insemination capacity.
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Les Wnts représentent une famille de glycoprotéines de signalisation qui sont connues pour les nombreux rôles qu'ils jouent durant le développement embryonnaire et dans la cancerogénèse. Plusieurs Wnts, leurs récepteurs (Fzd) et d'autres composants des voies de signalisation des Wnt sont exprimés dans l’ovaire postnatal, et il a été démontré que l’expression de certains de ces gènes est régulée pendant le développement et l'ovulation/luteinization folliculaires. Toutefois, leurs rôles physiologiques dans l’ovaire demeurent mal définis. Pour étudier le rôle de WNT4 dans le développement folliculaire, nous avons entrepris d’identifier ses cibles transcriptionnels dans les cellules de la granulosa. Pour ce faire, nous avons employé la souris Catnbflox(ex3)/flox(ex3), chez laquelle une activation constitutive de la voie de Wnt/β-catenin a lieu suite à l’action de la recombinare Cre. Des cellules de la granulosa de ces souris ont été mises en culture et infectées avec un adenovirus pour causer la surexpression de WNT4 ou l’expression de Cre. L’ARN a alors été extrait de ces cellules et analysé par micro-puce. Les résultats ont démontré qu’une forte proportion des gènes induits par WNT4 étaient des gènes impliqués dans la réponse cellulaire au stress. Presque tous gènes induits par WNT4 ont également été induits par Cre, indiquant que WNT4 signale via la voie Wnt/β-catenin dans ces cellules. Nos résultats suggèrent donc que WNT4 favorise la survie des follicules par l’induction de gènes de réponse au stress dans les cellules de la granulosa, augmentant ainsi la résistance cellulaire à l'apoptose.
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Studies were funded by Colegio de Postgraduados, México. CONACyT, México. SRE, México. Ministère de l’Éducation du Québec, University of Montreal and an Operating Grant to B.D. Murphy from the Canadian Institutes of Health Research.
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Contrairement à d’autres groupes animaux, chez les primates, la hiérarchie de dominance ne détermine pas systématiquement le succès reproductif des mâles. Afin de comprendre pourquoi, j’ai étudié les stratégies de reproduction des mâles et des femelles dans un groupe de macaques rhésus de la population semi-libre de Cayo Santiago (Porto Rico), collectant des données comportementales, hormonales et génétiques pendant deux saisons de reproduction. Les résultats se résument en cinq points. 1. Les nouveaux mâles qui ont immigré dans le groupe d’étude occupaient tous les rangs les plus subordonnés de la hiérarchie de dominance et ont monté en rang suite au départ de mâles plus dominants. Ainsi, l’acquisition d’un rang supérieur s’est faite passivement, en absence de conflits. Par conséquent, les mâles dominants étaient généralement d’âge mature et avaient résidé plus longtemps dans le groupe que les mâles subordonnés. 2. L’accès des mâles aux femelles est en accord avec le « modèle de la priorité d’accès » selon lequel le nombre de femelles simultanément en œstrus détermine le rang de dominance du mâle le plus subordonné qui peut avoir accès à une femelle (p. ex. le mâle de rang 4 s’il y a quatre femelles en œstrus). Bien que les mâles dominants aient eu plus de partenaires et aient monopolisé les femelles de qualité supérieure (dominance, parité, âge) pendant leur période ovulatoire (identifiée grâce au profil hormonal de la progestérone), le rang de dominance n’a pas déterminé le succès reproductif, les mâles intermédiaires ayant engendré significativement plus de rejetons que prédit. Il est possible que ces jeunes adultes aient produit un éjaculat de meilleure qualité que les mâles dominants d’âge mature, leur donnant un avantage au niveau de la compétition spermatique. 3. Les mâles dominants préféraient les femelles dominantes, mais cette préférence n’était pas réciproque, ces femelles coopérant plutôt avec les mâles intermédiaires, plus jeunes et moins familiers (c.-à-d. courte durée de résidence). Au contraire, les femelles subordonnées ont coopéré avec les mâles dominants. La préférence des femelles pour les mâles non familiers pourrait être liée à l’attrait pour un nouveau bagage génétique. 4. L’intensité de la couleur de la peau du visage des femelles pendant le cycle ovarien était corrélée au moment de la phase ovulatoire, une information susceptible d’être utilisée par les mâles pour maximiser leur probabilité de fécondation. 5. Les femelles retiraient des bénéfices directs de leurs liaisons sexuelles. En effet, les femelles en liaison sexuelle bénéficiaient d’un niveau de tolérance plus élevé de la part de leur partenaire mâle lorsqu’elles étaient à proximité d’une source de nourriture défendable, comparativement aux autres femelles. En somme, bien que les mâles dominants aient bénéficié d’une priorité d’accès aux femelles fertiles, cela s’est avéré insuffisant pour leur garantir la fécondation de ces femelles parce que celles-ci avaient plusieurs partenaires sexuels. Il semble que l’âge et la durée de résidence des mâles, corrélats de leur mode d’acquisition du rang, aient confondu l’effet du rang de dominance.
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La régulation transcriptionnelle des gènes est un processus indispensable sans lequel la diversité phénotypique des cellules ainsi que l’adaptation à leur environnement serait inexistant. L’identification des éléments de régulation dans le génome est d’une importance capitale afin de comprendre les mécanismes gouvernant l’expression des gènes spécifiques à un type cellulaire donné. Ainsi, suite au pic de LH, le follicule ovarien entre dans un programme intensif de différentiation cellulaire, orchestré par des modifications majeures du profile transcriptionnel des cellules de granulosa, déclenchant ultimement l’ovulation et la lutéinisation, processus indispensables à la fertilité femelle. L’hypothèse supportée par cette étude stipule qu’une réorganisation de la structure chromatinienne survient aux régions régulatrices d’une panoplie de gènes dans les heures suivant le pic de LH et qu’en isolant et identifiant ces régions, il serait possible de retrouver des éléments essentiels aux processus d’ovulation et de lutéinisation. Ainsi, en utilisant un protocole standard de superovulation chez la souris, les éléments de régulation se modifiant 4h suivant l’administration de hCG ont été isolés et identifiés dans les cellules de granulosa en utilisant la méthode FAIRE (Formaldehyde-Assisted Isolation of Regulatory Elements) combinée à un séquençage haut débit. Cette étude a démontré que suite au stimulus ovulatoire, les cellules de granulosa subissent une reprogrammation majeure des éléments de régulation, qui est corrélée avec une modification drastique de leurs fonctions biologiques. De plus, cette étude a mis en évidence une association majoritaire des éléments de régulation à des régions intergéniques distales et à des introns, indiquant que ces régions ont une importance capitale dans la régulation transcriptionnelle dans les cellules de granulosa. Cette étude a également permis d’identifier une panoplie de régulateurs transcriptionnels reconnus pour être essentiels à la fonction ovarienne, ainsi que leur sites de liaison dans le génome, démontrant que la méthode FAIRE est une méthode assez puissante pour permettre la prédiction d’événements moléculaires précis ayant un sens physiologique réel.
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Le récepteur nucléaire Nr5a2, également connu sous le nom de liver receptor homolog-1 (Lrh-1), est exprimé au niveau de l’ovaire chez la souris, exclusivement dans les cellules lutéales et de la granulosa. La perturbation de Nr5a2, spécifique aux cellules de la granulosa chez la souris à partir des follicules primaires dans la trajectoire du développement folliculaire a démontré que Nr5a2 est un régulateur clé de l’ovulation et de la fertilité chez la femelle. Notre hypothèse veut que Nr5a2 régule les évènements péri- et post-ovulatoires dans une séquence temporelle lors de la folliculogénèse. Afin d'étudier l’implication de Nr5a2 lors de l’ovulation et de la lutéinisation à différents stades du développement folliculaire, nous avons généré deux modèles de souris knockout spécifiques aux cellules de la granulosa pour Nr5a2: 1) Nr5a2Amhr2-/-, avec une réduction de Nr5a2 à partir des follicules primaires et subséquents; 2) Nr5a2Cyp19-/-, avec une réduction de Nr5a2 débutant au stade antral de développement en progressant. L’absence de Nr5a2 à partir des follicules antraux a résulté en une infertilité chez les femelles Nr5a2Cyp19-/-, de même qu’en des structures non-fonctionnelles similaires aux structures lutéales au niveau des ovaires, en une réduction des niveaux de progestérone synthétisée ainsi qu’en un échec dans le support d’une pseudo-gestation. La synthèse de progestérone a été entravée suite à l’absence de Nr5a2 par l’entremise d’une régulation à la baisse des gènes reliés au transport du cholestérol, Scarb1, StAR et Ldlr, démontré par qPCR. Les complexes cumulus-oocytes des femelles Nr5a2Cyp19-/- immatures super-stimulées ont subi une expansion in vivo, mais l’ovulation a été perturbée, possiblement par une régulation à la baisse du gène du récepteur de la progestérone (Pgr). Un essai d’expansion du cumulus in vitro a démontré une expansion défectueuse du cumulus chez les Nr5a2Amhr2-/-, associée à un dérèglement de la protéine des jonctions communicantes (Gja1; Cx43). Cependant, l’expansion du cumulus chez les Nr5a2Cyp19-/- n’a pas été autant affectée. Des résultats obtenus par qPCR ont démontré une régulation à la baisse dans l’expression des gènes Areg, Ereg, Btc et Tnfaip6 chez les deux modèles de cellules ovariennes knockout à 2h et 4h post hCG. Nous avons observé que 85% des oocytes, chez les deux génotypes mutants, peuvent subir une rupture de la vésicule germinative, confirmant leur capacité de maturation in vivo. La technique d’injection intra-cytoplasmique de spermatozoïdes a prouvé que les oocytes des deux génotypes mutants sont fertilisables et que 70% des embryons résultants ont poursuivi leur développement vers le stade de blastocyste, et ce, indépendamment du génotype. En conclusion, Nr5a2 régule la fertilité chez les femelles tout au long du processus du développement folliculaire. Il a été démontré que Nr5a2 est essentiel à la lutéinisation et que sa perturbation dans les cellules somatiques ovariennes ne compromet pas la capacité des oocytes à être fertilisés. En vue d’ensemble, nous avons fourni une investigation inédite et complète, utilisant de multiples modèles et techniques afin de déterminer les mécanismes par lesquels Nr5a2 régule les importants processus que sont l’expansion du cumulus, l’ovulation ainsi que la formation du corps jaune.
Expression et effets des WNTs sur l’expansion du cumulus et la maturation de l’ovocyte chez la vache
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Les WNTs sont une famille de glycoprotéines qui, secrétées dans le milieu extracellulaire, jouent un rôle important dans l’embryogenèse. Chez l’adulte, leur dérégulation va entrainer diverses affections incluant des troubles du développement accompagnés ou non de malformations mais aussi des cancers. Au niveau de l’ovaire, le rôle des WNTs demeure peu défini même si des études chez l’humain et la souris prouvent l’implication de certains membres de cette famille dans le développement ovarien ainsi que dans les processus de maturation folliculaire et d’ovulation. Dans ce contexte, nous avons voulu évaluer l’expression de quelques membres de la famille des WNTs (-2, -2b, -4, -5a et -5b) durant l’expansion des cellules du cumulus et évaluer l’effet de certains d’entre eux sur le COC ainsi que la maturation de l’ovocyte chez la vache. Les COCs bovins étaient placés dans une solution de maturation in vitro pendant 0, 6, 12 et 22h et les niveaux d’ARNm mesurés par PCR en temps réel. L’abondance de l’ARNm pour WNT-2b était significativement plus élevée après 6h de maturation comparée aux COCs immatures (à 0h), alors que l’ARNm codant pour WNT-2, -4, -5a et -5b n’augmentait qu’en fin de culture. L’addition d’EGF provoquait l’expansion du COC et la progression de l’ovocyte vers la métaphase II (MII) comme nous l’espérions mais, à notre grande surprise, l’ajout de WNT-2b au milieu de maturation provoquait également l’expansion du COC (82% et 69% pour EGF et WNT-2b respectivement) et la progression de l’ovocyte vers le stade MII (62% et 56% EGF et WNT-2b respectivement). La combinaison d’EGF et WNT-2b n’a pas produit de meilleurs résultats. Notre étude met en lumière l’implication des WNTs dans la maturation du COC chez la vache. Leurs voies d’activation restent toutefois à déterminer.
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From the point of view of rational exploitation and proper management of the fishery resources as well as for the development of intensive aquaculture of fishes through selective breeding, brood stock development, domestication and genetic improvement, a sound knowledge of reproductive biology and physiology of the candidate species is of great importance. In recent times, a wealth of information on maturity, spawning habits, spawning periodicity, spawning season, size at maturity and fecundity of commercially important fishes has been generated. Gametogenesis involves the transformation of Primordial germ cells in the gonads into specialised cells or gametes, namely ova in the female and sperms in male, through a series of complex morphological and cytological events. The formation of male gamete is known as spermatogenesis. In the female, the primary growth phase involving the formation of primary oocyte from oogonia is known as oogenesis, which would be followed by the secondary growth phase, in which considerable increase in the size of the oocyte occurs, due mainly to accumulation of yolk. This process is known as vitellogenesis, which would be followed by final maturation and ovulation of the ova. In the present work, basic aspects of maturation and spawning, salient features of gametogenesis and associated biochemical changes occurring during these processes in an important cultivable fish, Sillago sihama belonging to the family Sillaginidae have been investigated.
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La anticoncepción de emergencia a nivel mundial no ha mostrado el impacto esperado en disminuir la tasa de embarazo no deseados. El uso de nuevos medicamentos como los antiinflamatorios no esteroideos (AINES), al alterar el proceso ovulatorio, como una opción para la anticoncepción de emergencia, podría mejorar este resultado. Objetivo: Realizar una revisión sistemática de la literatura para determinar la efectividad de los AINES en alterar el proceso de la ovulación y posible uso en la anticoncepción de emergencia. Materiales y métodos: Se realizó una búsqueda sistemática y ampliada ensayos clínicos acerca de la efectividad de los AINES en la inhibición o retardo de la ovulación. Resultados: En total se encontraron 59 artículos, de los cuales siete cumplieron con los criterios de elegibilidad. Se evaluaron diferentes tipos de inhibidores de la Cicloxigenasa-COX (selectivos y no selectivos), encontrando tasas entre 75% hasta del 100% en la disrupción de la ovulación en las mujeres que recibieron COX-2 selectivos y un gradiente dosis-respuesta. Conclusiones: Los resultados de esta revisión sistemática de la literatura sugieren la efectividad de los AINES (específicamente los COX-2 selectivos) en la alteración de la ovulación y su potencial uso como medicamento para la anticoncepción de emergencia. Se requieren más ensayos clínicos con mayores tamaños de muestra que evalúen esta opción terapéutica.
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Many aspects of early embryonic development in the horse are unusual or unique; this is of scientific interest and, in some cases, considerable practical significance. During early development the number of different cell types increases rapidly and the organization of these increasingly differentiated cells becomes increasingly intricate as a result of various inter-related processes that occur step-wise or simultaneously in different parts of the conceptus (i.e., the embryo proper and its associated membranes and fluid). Equine conceptus development is of practical interest for many reasons. Most significantly, following a high rate of successful fertilization (71-96%) (Ball, 1988), as many as 30-40% of developing embryos fail to survive beyond the first two weeks of gestation (Ball, 1988), the time at which gastrulation begins. Indeed, despite considerable progress in the development of treatments for common causes of sub-fertility and of assisted reproductive techniques to enhance reproductive efficiency, the need to monitor and rebreed mares that lose a pregnancy or the failure to produce a foal, remain sources of considerable economic loss to the equine breeding industry. Of course, the potential causes of early embryonic death are numerous and varied (e.g. persistent mating induced endometritis, endometrial gland insufficiency, cervical incompetence, corpus luteum (CL) failure, chromosomal, genetic and other unknown factors (LeBlanc, 2004). However, the problem is especially acute in aged mares with a history of poor fertility in which the incidence of embryonic loss between days 2 and 14 after ovulation has been reported to reach 62-73%, and in which embryonic death is due primarily to embryonic defects rather than to uterine pathology (Ball et al., 1989; Carnevale & Ginther, 1995; Ball, 2000).
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O comportamento do consumidor é um dominio que resulta da confluência de múltiplos saberes e que recorre a diversas metodologias. A partir do conceito de mudança ovulatória e de alguns achados recentes, que sugerem diferenças no comportamento de compra e nas preferências da mulher, nas diferentes fases do ciclo menstrual – em particular, fase ovulatória e fase luteínica – foram enunciadas as seguintes previsões: na fase ovulatória, a mulher preferirá adquirir produtos relacionados com beleza feminina, e, na fase luteínica, preferirá apresentar um padrão de tomada de decisão híbrido, onde items relacionados ou não com beleza feminina mostrarão uma igualdade de estatuto nas preferências de compra. Participaram neste estudo 653 mulheres, com idades compreendidas entre os 18 e os 77 anos (média= 33,79; dp= 10, 92), em diferentes fases do ciclo menstrual, com e sem administração de anovulatórias e menopáusicas. Os resultados do questionário sobre preferências de compra, demonstraram que a mulher evidencia diferente comportamento de compra durante o ciclo menstrual, sendo mais impulsiva e com preferências hibridas, na fase luteínica, para diminuir as emoções negativas, e, mercê da mudança ovulatória, prefere comprar items relacionados com beleza feminina, para incrementar a sua atractibilidade. Dois conceitos são propostos: ciclicidade impulsiva/ terapêutica (no caso da fase luteínica) e de ciclicidade evolutivamente utilitária (no caso da fase ovulatória).
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The hypothesis that dairy cows partially suckling their calves would ovulate following removal of calves when restored to positive energy balance by a short-term increase in supplementation was investigated in 65 crossbred cows. Five treatments (T1, T2, T3, T4, and T5) that differed in the amount of total concentrate fed from calving to week 24 were involved. Calves were allowed to suck residual milk to 12 weeks of age. Energy balance was estimated by measuring intake, milk yield and organic matter digestibility. The occurrence of ovulation was determined by the analysis of milk progesterone (P4) concentration. Four groups that were receiving additional supplementation were restored to positive energy balance, while the control group (T I) remained in negative energy balance. The percentage of cows ovulating was 36%, 58%, 92%, 90% and 60% for T1, T2, T3, T4 and T5, respectively (P = 0.026). Comparison of the timing of ovulation for combined results from T1+T2 and T3+T4+T5 estimated mean time to fail to ovulate as 110 +/- 9.0 and 87 +/- 7.6 days, respectively (p = 0.023). The percentage of the cows showing oestrus was 9%, 8%, 33%, 40% and 40% for T1, T2, T3, T4 and T5, respectively (P = 0.197). Short-term increases in supplementation are unlikely to be an attractive means of reducing calving intervals.
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This study investigated the ovarian function, metabolic profiles and fertility in first lactation Holstein-Friesian dairy cows (mean 305 day milk yield: 7417 +/- 191 kg, n = 37). Reproductive profiles obtained from milk progesterone analysis were categorized into normal (n = 17) and four abnormal profiles (delayed ovulation, DOV1, n = 9; DOV2, n = 2; persistent corpus luteum, PCL1, n = 6; PCL2, n = 4; 1: immediately post-calving, 2: subsequent cycles). Fifty-five percent of cows had abnormal profiles with half of these being categorized as DOV1. Fertility of DOV1 and DOV2 cows was reduced whereas PCL1 and PCL2 cows had similar reproductive competence to normal profile cows. DOV1 animals had higher milk energy values, lower energy balances, lower dry matter intakes (DMI) and greater body weight and body condition score (BCS) losses post-calving than normal profile animals. DOV1 animals also had lower insulin-like growth factor-I (IGF-I) and higher betahydroxybutyrate (BHB) concentrations and tended to have the lower insulin and glucose concentrations in the pre-service period than normal profile cows. All PCL animals had vulval discharges postpartum. Despite this, the DMI, body weight and BCS changes, IGF-I concentrations and fertility of PCL1 animals was similar to normal profile cows. In conclusion, the high prevalence of delayed ovulation post-calving (DOV1) in primiparous high yielding cows lasted long enough (71 +/- 8.3 days) to have a detrimental impact on fertility and was associated with significant physiological changes. This study did not establish any detrimental effects of PCL profiles on fertility or production parameters. (C) 2002 Elsevier Science Inc. All rights reserved.
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The aim of this study was to determine whether any differences in the GH-IGF-I axis in juvenile calves were predictive of fertility problems as adult cows. Endogenous metabolic hormone profiles before and after feeding and the response to a GH-releasing factor (GRF) challenge were measured in prepubertal (6 month) dairy calves. These metabolic parameters were subsequently related to physical characteristics at puberty and to ovarian function during the first lactation. Milk progesterone analysis was used to categorize the animals into those with normal progesterone profiles following calving (n = 17) and those that developed delayed ovulation (DOV1, n = 9) or persistent corpus luteum (PCL1, n = 6) profiles. There were associations between prepubertal GH parameters, glucose and non-esterified fatty acid (NEFA) concentrations and the body condition score at which the animals attained puberty. The calves which subsequently developed DOV1 profiles as cows tended to have a higher GH pulse amplitude during fasting than normal profile animals, they did not show the anticipated decrease in circulating glucose concentrations following a post-prandial rise in insulin and they also had the lowest IGF-I concentrations. The calves that later developed PCL1 had a significantly larger GH pulse amplitude and pulse area than normal profile animals in the fed period and had the highest IGF-I concentrations. There were no differences in prepubertal insulin or NEFA concentrations or in the GH response to a GRF challenge between the different progesterone profile categories. Plasma IGF-I concentrations in prepubertal animals were positively correlated with their post-calving concentrations, whereas glucose concentrations had a negative correlation between these time-periods. These results suggested that the different juvenile endocrine profiles of the DOV1 cows may predispose them to a higher rate of tissue mobilization during lactation and a consequent reduction in fertility, while altered GH and IGF-I levels in PCL1 cows may later contribute to the maintenance of the persistent corpus luteum. Therefore metabolic differences in prepubertal calves were later reflected by altered reproductive function during the first lactation.
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This experiment addresses the long-term effect of active immunization of goats against a recombinant ovine inhibin alpha subunit (roIHN-alpha). In late anestrus 100 mu g of roINH-alpha was administered to 40 pluriparous Boer goat does, followed, 4 weeks later, by a booster injection. Weekly blood samples were drawn to monitor the inhibin binding capacity with the aid of a radio-tracer binding assay. From the onset until 48 h after the end of each estrus, follicular development and ovulation rate were monitored at 24 h intervals by transrectal ultrasonography. Beginning in August and continuing into January, does were mated at every other estrus, and submitted to transcervical embryo collection. Seven months after the first immunization, the does were mated again and permitted to carry to term. All immunized does produced inhibin antibodies, an elevated titre being first detected 2 weeks after primary immunization. Maximum titres were reached after 6 weeks, i.e. 2 weeks after the booster injection. Thereafter, in the course of the following 32 weeks, the titre subsided gradually. The does started cycling by mid-August. At that stage the average number of follicles more than 4 mm in diameter, ovulations and total embryos and ova recovered were 14.7 (+/- 2.3), 5.3 (+/- 0.7) and 4.4 (+/- 1.0), respectively. A steady decline followed and in January the corresponding means were: 5.2 (+/- 0.6) follicles, 3.1 (+/- 0.6) ovulations and 1.2 (+/- 0.4) embryos and ova recovered. When mated toward the end of the breeding season, 85% of the does became pregnant to the first mating and 73% went to term. Healthy kids were born, the average litter size being 2.2 (+/- 0.1). In conclusion, immunization of goats against a recombinant inhibin alpha-subunit proved to be a practicable means of producing embryos for transfer purposes. After about half a year, when the inhibin antibody titre has subsided, it is possible to return the does to the breeding flock without risking complications with normal breeding activity. (c) 2009 Elsevier Inc. All rights reserved.