289 resultados para Misa-Ceremonial


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Purpose The aim of this thesis1 is to analyse theoretically how institutionalisation of competitive tendering2, governance and budgetary policies cannot be taken for granted to lead to accountability among institutional actors3. The nature of an institutionalised management accounting policy, its relevance as a source of power in organisational decision making, and in negotiating inter-organisational relationships, are also analysed. Practical motivation The practical motivation of the thesis is to show how practitioners and policy makers can institutionalise changes which improve the power of management accounting and control systems4 as a mechanism of accountability among institutional actors and in negotiating relationships with other organisations. Theoretical motivation and conceptual approach The theoretical motivation of the thesis is to extend the institutional framework of management accounting change proposed by Burns and Scapens (2000) by using the theories of critical realism, communicative action, negotiated order and the framework of circuits of power. The Burns and Scapens framework needs further theorisation to analyse the relationship between the institutionalisation of management accounting and accountability; and the relevance of management accounting information in negotiating in inter-organisational relationships. Methodology and field studies Field research took place in public and not-for-profit health care organisations and a municipality in Finland from 2008 to 2013. Data were gathered by document analysis, interviews, participation in meetings and observations. Findings The findings are explained in four different essays that show that institutionalisation of competitive tendering, governance and budgetary policies cannot be taken for granted to lead to accountability among institutional actors. The ways by which institutional actors think and act can be influenced by other institutional mechanisms, such as inter-organisational circuits of power and intraorganisational governance policies, independent of the institutional change process. The relevance of institutionalised management accounting policies in negotiating relationships between two or more organisations depends on processes and contexts through which institutional actors use management accounting information as a tool of communication, mutual understanding and power. Research limitations / implications The theoretical framework used can be applied validly in other studies. The empirical findings cannot be generalised directly to other organisations than the organisations analysed. Practical implications Competitive tendering and budgetary policies can be institutionalised to shape actions of institutional actors within an organisation. To lead to accountability, practitioners and policy makers should implement governance policies that increase the use of management accounting information in institutional actors’ thinking, actions and responsibility for their actions. To reach a negotiated order between organisations, institutionalised management accounting policies should be used as one of the tools of communication aiming to reach mutual agreement among institutional actors.

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Contient : 1 à 4 Rangs et préséances ; 1 « Memoire pour les rangs des princes et grands » ; 2 « Discours des rangs et preseances de France. Année 1605 » ; 3 « Du differend qui, en l'an 1434, survint au concile de Basle pour la preseance entre les ducz de Bourgongne et de Bretaigne » ; 4 « Preseance entre les ambassadeurs de France et d'Espagne, à Rome, lors de la canonisation de S. Ignace, en aoust 1609 » ; 5 « Extrait de l'Histoire du roy Philippe III par LOUIS CABRERA de Cordoue, historiographe de Castille, lib. V, cap. 13, imprimée à Madrid », en « 1619 » ; 6 « Diverses ceremonies observées aux entrées, sacres des roys, enterremens et autres, et l'ordre de chacun officier de la couronne » ; 7 à 9 Cérémonies ; 7 « Creation de l'office de grand maistre des ceremonies par le roy HENRY III, en janvier 1585, pour le Sr de Rhodes, Guillaume Pot, prevost et maistre des ceremonies » des « deux ordres » du roi ; 8 « Don fait par le roy HENRY [IV] au Sr de Rodes, filz du deffunt Sr de Rhodes, de l'office de grand maistre des ceremonies, en juin 1603 » ; 9 « Don fait par le roy LOUIS XIII à François Pot, sieur de Rhodes, de l'office de deffunt Guillaume Pot, sieur de Rhodes, son pere, en febvrier 1616 » ; 10 et 11 Rangs et préséances ; 10 « Ordonnance du roy CHARLES IX, par laquelle il declare que les officiers de la couronne precederont les ducz, marquis et comtes creez depuis le trespas de son pere le roy Henry II. A Moullins, le 18 mars 1566 » ; 11 « Lettres patentes du roy HENRY III pour la preseance des officiers de la couronne sur les ducz et pairs non princes du sang, à la reserve des quatre maisons de Longueville, Savoye, Lorraine et Mantoue. En l'an 1582 » ; 12 « Habitz royaux et pieces de la royauté » ; 13 « Maistres des ceremonies et prevost de l'ordre » ; 14 « Fault faire advertir ceux qui s'ensuit (sic) d'avoir la robbe longue et chapperon sur l'espaulle... ». Ordre pour une audience d'ambassadeurs ; 15 à 19 Rangs et préséances ; 15 « Reiglement fait par le roy [LOUIS XIII] pour le rang et sceances des princes enfans naturels des roys et de ceux issus des maisons souveraines estrangeres... Fontainebleau, le 15 septembre 1629 » ; 16 « Declaration du roy LOUIS [XIII], que l'arrest du 15 septembre 1629, touchant les rangs des princes autres que du sang de France, ne porte aucun prejudice au rang, preeminence et dignité de M. le duc de Longueville,... Fontainebleau, le 20 octobre 1629 » ; 17 « Declaration du roy CHARLES IX, par laquelle il recongnoist Mre Leonor d'Orleans, duc de Longueville, pour prince du sang, veult que luy et ses enfans masles soyent reputez pour telz et ayent le premier lieu apres les autres princes du sang. Duretal, decembre 1571 » ; 18 « L'ordre qui sera observé jeudy que le roy donnera audience aux ambassadeurs » ; 19 « Memoire touchant la preseance entre evesques et parlemens » ; 20 à 50 Cérémonies ; 20 « Ceremonie observée quand le roy se communie » ; 21 « Ceremonies observées le jour du jeudy saint, au lavement des piedz des pauvres » ; 22 « Ceremonie observée quand le roy touche les malades des escrouelles » ; 23 « Forme que l'on observe pour servir le roy, lorsqu'il est au lit malade » ; 24 « Ceremonie qui s'observe lorsque le roy donne le bonnet à un cardinal » ; 25 « Ceremonie observée par la royne mere [Marie de Médicis], en donnant le bonnet à M. le cardinal de Berulle, le mardy 26 octobre 1627, à Paris » ; 26 « Ceremonies observées à la canonisation de S. Jaques d'Alcala, celebrée en l'eglise de S. Pierre, le 2 juillet 1588 » ; 27 « Ceremonies observées à la canonisation de S. Charles Boromée, le 1 novembre 1618 » ; 28 « Les ceremonies observées à la solemnisation de la paix faite en l'eglise N. D. de Paris, le 21 juin 1598 » ; 29 « Tiré du ceremonial de la chambre des comptes. La paix. Ce jourd'huy 12 juing 1598, Mrs ayans esté advertis du Te Deum que l'on alloit dire en l'eglise de N. D.... » ; 30 « Ceremonies de la confederation entre les royaumes de Hongrie et de Boheme et les provinces incorporées et haulte et basse Austriche, le 25 avril 1620, à Prague » ; 31 « Extrait des lettres de M. DE STE CATHERINE, agent de France » en Allemagne. « Du 6 may 1610 » ; 32 « Ceremonie observée à la procession generalle faite par le roy pour implorer l'ayde de Dieu contre les heretiques. Du mercredy 29 septembre 1568 » ; 33 « Ordre que le roy veult estre gardé et observé en la procession generalle que S. M. entend faire dimanche prochain 26 de ce mois... Fait à Paris, le 23 octobre 1614 » ; 34 « Discours des entreveues. Les roys et princes font quelquefois non seulement des entrées dans les villes de leurs royaumes... » ; 35 « Entreveues du roy Louis XII et de Philippe, archiduc d'Austriche, pere des empereurs Charles V et Ferdinand. A Blois, l'an 1501 » ; 36 Même sujet. Extrait de JEAN D'AUTON ; 37 « Seance du roy Louis XII et du roy Ferdinand d'Arragon, à la messe qu'ils ouirent ensemble à Savonne, le jour de la feste S. Pierre et S. Paul, le 29 juin 1507, celebrée par le cardinal Ste Praxedde, lors legat en Lombardie » ; 38 « Sacre et couronnement du roy Louis XI. L'an 1461, le 14 jour d'aoust, entra Louis, roy de France... » ; 39 « L'ordre tenu au couronnement du roy Jean d'Albret et Catherine de Navarre. Au nom du Seigneur tout puissant, le Pere, le Fils et le S. Esprit, trois personnes en une essence... en tesmoignage de verité, requis de ce faire... ». 1494 ; 40 « L'ordre du sacre et couronnement du roy Henry III pour roy de Polongne. Apres avoir fait son entrée à Cracovie... » ; 41 « L'ordre qui s'observe au sacre et couronnement des roys de Polongne... In primis enim convocantur primores et consiliarii regni... ». En latin ; 42 « Ceremonies observées au sacre et couronnement du roy Henry IV, à Chartres. 1594. Sa Majesté se desirant conformer aux louables coustumes de plusieurs roys, ses predecesseurs... » ; 43 « C'est l'ordre et les rangs que le roy veut estre tenus au sacre et couronnement de la royne. Faict à Paris, le 16 avril 1610 » ; 44 « Les ceremonies du sacre et couronnement du tres chrestien roy de France et de Navarre Louis XIII. Bien qu'en France les roys sont couronnez... Voilà tout ce qui s'est passé de plus remarquable en cette année » ; 45 « Lettres du roy LOUIS XIII à la chambre, pour la resjouissance de son sacre. Tiré du cerimonial de la chambre des comptes. Ce jourd'huy, 22 octobre 1610... » ; 46 « Fonctions de la dame d'honneur au sacre des roynes. Mme de Guiercheville a de la naissance... » ; 47 « L'ordre et façon des Carintiens au couronnement de leurs princes. En ceste province de Carintie, il y a une grande plaine... » ; 48 « Chambre de parade pour le baptesme des enfans de France. La chambre de parade de Monsieur doibt estre tapissée... » ; 49 « Memoire de ce qui s'est passé au baptesme de M. le prince de Piémont, où a esté envoyée Mme de Carnavalet pour representer la personne de la royne mere du roy. Pour satisfaire au commandement que la royne mere du roy a fait au Sr de Storis,... » ; 50 Pièce imprimée de 16 pages, portant pour titre : « L'ordre et triumphe du baptesme de tres hault et tres puissant prince Mgr Loys, second filz de France, duc d'Orleans, faict à S. Germain en Laye, le XIX jour du moys de may M.D.XLIX »

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In a special visit to Canada, Captain Michael Mellish of Guernsey - O. B. E. Secretary, A. D. C. to the Lieutenant-Governor, and great nephew of Isaac Brock - donates a photo album containing photographs of a number of Isaac Brock related items to the university in June of 1965. He also brings several of the artifacts themselves to show to the university. The item Capt. Mellish is holding here is a ceremonial wooden tomahawk presented to General Sir Isaac Brock by the native chief Tecumseh. Pictured here from left to right are: Capt. Mellish and Dr. Gibson.

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La ville préhispanique de Cantona, située dans la vallée d’Oriental dans l’état de Puebla au Mexique, atteignit sa première apogée culturelle entre 150 av. J.C. et 600/650 A.D. Durant cette période, des complexes cérémoniaux comprenant des groupes de pyramides-temples et des terrains de jeu de balle furent construits. Ces installations servirent au déroulement de nombreux rites au cours desquels les victimes de sacrifices étaient décapitées, démembrées, décharnées, écorchées, bouillies, brûlées et, dans certains cas, consommées. D’autres traitements du corps humain comportent l’inhumation d’individus en position assise et repliés sur eux-mêmes. Pour mieux comprendre le traitement mortuaire rituel des corps humains à Cantona, les découvertes faites sur place sont comparées aux données datant de la même époque obtenues dans trois régions voisines : la vallée de Mexico, Puebla-Tlaxcala et le golfe du Mexique. A partir de ces renseignements, on peut en déduire que la majorité des découvertes faites à Cantona sont les restes des dépouilles et offrandes provenant de rites destinés à la communication avec les dieux et à l’obtention de la fertilité, tandis que les dépouilles des individus en position assise appartiennent à des prêtres ou à des personnages religieux.

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Le site archéologique de Las Mercedes est situé sur le versant atlantique du Costa Rica. Ce site monumental est considéré comme le haut lieu d'une société hiérarchisée ayant une organisation sociopolitique complexe. Las Mercedes semble avoir été un centre administratif et cérémoniel dont l'apogée se situe entre 1000 et 1500 ans de notre ère. Notre mémoire porte sur la documentation d'assemblages céramiques extraits de contextes archéologiques stratigraphiques provenant notamment de deux monticules architecturaux. Notre projet se veut une contribution à une meilleure connaissance de Las Mercedes, selon une perspective diachronique d'affiliation culturelle et de séquences d'occupation. Les datations radiométriques provenant de l'assise des monticules convergent aux alentours de l'an 1000 de notre ère. D'autre part, les assemblages céramiques correspondant aux styles culturels El Bosque (500 avant notre ère à 500 de notre ère), La Selva (500-1000) et La Cabana (1000-1500) représentant une séquence temporelle d'environ deux millénaires. La présente étude vise à comprendre ce phénomène à l'aide des données provenant de l'intervention archéologique conduite, en 2005, conjointement par le Museo Nacional du Costa Rica et l'Université de Montréal. Les assemblages sont décrits selon des attributs technologiques, morphologiques et stylistiques en vue d'en faire une étude comparative et interprétative. Les résultats de notre recherche suggèrent qu'indépendamment des contextes archéologiques, les assemblages ont un composition hétérogène formée des trois styles culturels. Par ailleurs, le modèle présente un certain caractère homogène. Ainsi, les assemblages se composent de façon récurrente de 12% de céramique El Bosque, 55 % La Selva et 33 % La Cabana. Une interprétation parcellaire peut être soutirée de ce mélange céramique. L'amalgame des styles culturels témoignent que Las Mercedes a connu une longue occupation, toutefois les résultats ne permettent pas de confirmer ou d'infirmer nos hypothèses de travail.

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L’expression idéologique du pouvoir impérial romain au IVe siècle apr. J.-C. fut profondément marquée par les contextes religieux, culturel et littéraire dans lesquels elle s’inséra et dans lesquels coexistèrent deux religions et donc deux systèmes différents de pensée et de représentation du monde, soit le paganisme, religion traditionnelle de l’État romain, et le christianisme, religion émergente qui s’imposa de plus en plus dans l’Empire, notamment à partir du règne de Constantin. Cette trame de fond, loin de signifier à cette époque la fin totale du paganisme – comme il a longtemps été admis – au profit de la religion chrétienne qui entretint, grâce au support impérial, une relation nouvelle avec le pouvoir politique, modela de nouveaux critères d’exercice du pouvoir et des conceptions de l’idéal impérial qui s’exprimèrent dans les discours d’éloge destinés à l’empereur. Miroir du prince et moyen de communication entre ce dernier et l’élite, les éloges d’Ambroise de Milan et de Symmaque s’insérèrent dans le débat politique de leur temps en élaborant un archétype de l’empereur et en déterminant ses devoirs. Pour mesurer toute l’ampleur de la symbolique véhiculée dans de tels discours, il importe, pour le IVe siècle, de considérer la mentalité des auteurs, chrétiens et païens, d’où émanaient les éloges – ou encore les critiques – de la personne impériale. Ce mémoire propose ainsi d’analyser l’idéologie du pouvoir impérial selon les discours chrétien et païen, à travers les éloges d’Ambroise et de Symmaque, afin de relever les points de rencontre, d’influence ou de divergence entre ces représentations du monde et, plus spécifiquement, du pouvoir impérial, qui ont longtemps été considérées comme totalement opposées et incompatibles.

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La musique est étroitement liée à la pratique liturgique des Grecs de l’Antiquité. Un scrupuleux examen des sources confirme l’omniprésence de l’aulos au sein du sacrifice sanglant, un fait qui semble ne pas s’accorder avec certains propos anciens dépréciateurs de l’instrument. Grâce aux sources textuelles et surtout iconographiques, on constate que l’importance attribuée au rôle de la musique, et plus spécialement de l’aulos, dans le sacrifice varie d’une étape rituelle à l’autre. Certaines actions cérémonielles, comme la procession, s’accomplissent au son de la musique, alors que d’autres, comme l’immolation, semblent en être dépourvues. Puis, en observant quelques représentations de sacrifices humains, on remarque que la musique est abordée différemment en fonction du contexte et de la nature du rituel sacrificiel dans lequel elle s’insère. Ainsi, la façon dont on traite la musique dans les sources peut fournir des indices quant aux principes idéologiques relatifs aux différents rituels.

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Este libro busca comprender la forma en que se crearon y transformaron identidades alimenticias en el Nuevo Reino de Granada, durante los siglos XVI y XVII. Para ello toma como punto de partida dos ejes centrales: las concepciones sobre la abundancia y las formas en las que el comercio hispánico modificó los panoramas alimenticios de los indígenas y de los españoles. Es un trabajo de Historia de la Alimentación que, dentro de su análisis, toma en cuenta las estructuras del gusto, los sistemas productivos, las concepciones simbólicas de la comida y el poder, porque, acorde con los trabajos que se han venido desarrollando en esta área de la disciplina, asume el principio de que no se puede entender la alimentación y su estudio como un elemento accesorio o curioso de la experiencia humana, sino como un punto nuclear que artícula el entramado social y cultural. Uno de los aportes de este libro es la forma en que logra mostrar cómo se articularon las realidades y posibilidades locales con las aspiraciones imperiales, en un proceso de adaptación que manifestó un conjunto de variables, ricamente analizadas.

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Idea de acercar el rito a la educación, en una dimensión más ontológica, a la educación. Se estudia la actitud ritual del niño en experiencias guiadas en el aula y en la vida cotidiana normal. Como axioma de trabajo, se considera el siguiente principio: el niño se entrega por entero en lo que hace, cuando esta acción obedece a su espontaneidad, concepto reiterado en la literatura pedagógica y psicológica. Cuando así es, se afirma con Bergson que la realidad no es una cosa, sino una acción, un ímpetu; el niño cuando juega es el acto. Sus acciones toman un carácter ceremonial, no repetitivo y único, inefable para el espectador, para aquel que lo contempla jugar.

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Conocimiento del rol social de la mujer en cada una de sus etapas vitales, para investigar la influencia educativa que representaba en su cultura y aquella de la que era beneficiaria. Recopilar información sobre las costumbres, moral y hábitos culturales en general y educativos en particular de los habitantes méxicas, centrándola en la figura de la mujer. Reconocer las formas de transmisión educativa utilizada por el pueblo nahuatl, así como los tratados educativos, morales, ideológicos y culturales dados a las jóvenes aztecas, relacionándolos con sus homólogos masculinos. Estudiar los Huehueelatolli como forma organizada de la transmisión educativa en el seno familiar, para el conocimiento de las costumbres sociales femeninas. Conocer las instituciones educativas estatales dedicadas a la formación femenina y su utilidad para el desarrollo personal y social de la mujer. Fuentes primarias: crónicas de diversos autores religiosos, entre los que destacan Fray Diego Durán, Fray José de Acosta, Fray Toribio de Benavente y Bernardino de sahún. Fuentes secundarias: obras de autores actuales que han sacado a la luz aspectos importantes sobre la educación de México. La investigación plantea las siguientes hipótesis: 1.- Importancia que representa la mujer mexicana para el desarrollo social, y las formas en que se manifestaba todo ello. 2.- Existencia de otras formas de transmisión de valores y cultura del pueblo a los jóvenes méxicas y más específicamente a las mujeres que a través de la educación familiar. Analizar cómo se manifestaban y organizaban la transmisión de textos orales literarios como son los Huehueelatolli para el logro de los fines propuestos. 3.- Analizar la organización y planificación de las instituciones educativas estatales para el desarrollo educativo de la mujer en función de las necesidades sociales o como medio de transmisión religiosa. 4.- A través de la educación femenina se llegaba a la consecución de objetivos económicos, políticos, religiosos el Estado, junto a propósitos de asentamiento y establecimiento de normas y pautas sociales. 5.- El colectivo femenino llegaba, después de su formación, al conocimiento de la historia, política, religión del pueblo más allá de donde socialmente se manifestaba. 6.- Existencia de una estructuración educativa femenina meditada planificada para el desarrollo social la consecución de objetivos políticos, económicos y culturales del pueblo méxicano. Revisión bibliográfica. Utilización del método histórico para realizar la investigación. Análisis bibliográfico y análisis de contenido. La investigación se inicia trazando el marco contextual histórico en donde se desarrollan los acontecimientos analizados, estableciendo a la mujer mexicana como sujeto y agente de la educación; se realiza una descripción física de la misma y una diferenciación de las mujeres según el pensamiento económico y social de su cultura. Se analizan las funciones sociales que realizaban y dentro de éstas, el papel que representaban en una forma de vida tan arraigada para los méxicas como era la guerra, analizando las aportaciones que realizaban y el planteamiento político realizado desde los altos mandatarios. El siguiente punto está dedicado a la familia como ámbito privilegiado para la ecuación, prestando especial atención en el papel que desarrolla la mujer en ésta; se recogen los acontecimientos más relevantes para la mujer como son el complejo ritual del matrimonio realizado en esta sociedad y el nacimiento y crianza de los hijos, done se recoge todo el ceremonial que realizaban desde el momento en que conocían la noticia de un nuevo embarazo hasta las formalidades del parto y los rituales de iniciación en su religión politeísta. Se aborda el tema de la educación llevada a cabo en la familia, haciendo referencia a los Huehueelatolli o pláticas de ancianos, como instrumento básico de la formación familiar y como recopilación de contenidos a desarrollar por la familia, realizando una reflexión sobre la importancia que suponía para la formación social y moral de la mujer. El siguiente apartado está dedicado a la educación estatal, recogiendo los métodos estructurados con los que es realizada y enumerando los objetivos que persigue. Se recoge información sobre las dos instituciones fundamentales de formación para los jóvenes aztecas, como son el Telpochcalli y el Calmecac, así como la aportación de una visión diferente de los centros educativos femeninos y de la importancia de los mismos para la formación de las mujeres. Destacar la importancia de las Crónicas de Indias como medio de conocimiento del pueblo azteca y como herramienta de trabajo para seguir profundizando en el estudio de aspectos aún no abordados. En el estudio de la mujer mexicana han favorecido el conocimiento global en los diferentes aspectos vitales y de aquellos otros en los que la educación formal e informal es relevante; formal en referencia a aquella educación transmitida a través de relaciones sociales mediante ejemplos, sin la existencia de planificación. La civilización méxica debido a características políticas llegó a desarrollarse en un período de tiempo pequeño, desde una tribu errante, dependiente de otras más poderosas a las que estaba obligada a rendir tributos, hasta una compleja sociedad con un complejo organigrama político, social y económico establecido que les permitió dominar un amplio territorio. Se estableció un sistema de valores y actitudes en el pueblo a través de planteamientos religiosos muy rigurosos, de la creación de una nueva historia del pasado, mediante la eliminación de todos los episodios humillantes y no deseados, ayudándose de una educación establecida y mediada para que se fuesen perpetuando esos valores y transmitiéndose a las jóvenes generaciones. Esta situación permitió la creación de una conciencia nacional de grandeza y orgullo, para la cual se esforzaban todos los ciudadanos; esta conciencia nacional les permitió el desarrollo como civilización, en la que todos participaron en una educación informal por la que se establecían y perpetuaban un conjunto de costumbres y normas sociales. Las cualidades personales de los miembros de la sociedad eran encauzadas a través del reconocimiento y el refuerzo del resto de la población; aquellas cualidades no deseables por la sociedad eran rechazadas o censuradas. Las normas sociales y morales reconocidas eran una forma de educar a la mujer para su función social y permitían fijar en ésta unas cualidades positivas. Se establecieron un conjunto de rituales para cada momento relevante de la vida azteca, tales como el matrimonio, el nacimiento; se mezclaban normas sociales y morales. La ecuación doméstica de la mujer sirvió como forma de entrenamiento en las funciones sociales de la misma y en el moldeamiento de su carácter. El trabajo en el hogar fue una de las funciones más reconocidas de la mujer. El menor número de etapas evolutivas de la mujer respecto al hombre, producía una maduración más rápida, asumiendo funciones sociales precozmente. El estado tenía interés en la formación de la mujer, con fines acomodados a su programa político manteniendo dos tipos de centros educativos los Ichpochcalli y el Calmecac, los cuales presentaban diferentes mentores, fines y dedicaciones. Esta formación estaba relacionada con la ofrecida al colectivo masculino, a pesar de las diferencias funcionales de ambos colectivos en la sociedad, los objetivos y elementos de enseñanza eran comunes.

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Establecer la variedad de factores que influyen en la religiosidad de las hijas menores. Explica la dinámica del comportamiento y la responsabilidad de la hija menor ante una obligación como es la misa del domingo, analiza la religiosidad diferencial de las hijas menores y las relaciones con el ser trascendente. 1) la educación religiosa en estas edades depende de la que se haya dado antes. 2) La primera educación deja huellas, por eso es muy importante no dar nociones erróneas. 3) La idea religiosa debe estar firme en las hijas menores para evitar las influencias adversas. 4) Enseñarles que lo bello, grande y difícil es obra de Dios. 5) Inculcarles que la vida religiosa está basada en esfuerzo cotidiano, cada día debe empezar de nuevo. 6) El sentido de responsabilidad religiosa debe brotar en la hija menor. 7) Dar siempre normas positivas, pero especialmente con ejemplos. Los buenos consejos tienen una influencia grande en las hijas menores. 8) Hay que procurar que recen tanto la oración individual como la colectiva. 9) El sentido religioso para que sea verdadero debe obrar conforme a la manera de pensar. La adolescencia es el verdadero momento para formar una religiosidad consciente, ya que el hombre seguirá aquel camino, de cual no se apartará ni en los días de su ancianidad.