162 resultados para Magie rituelle
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Leipzig, Univ., Diss., 1897
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Livr. [44] without t.p. and preliminary commentaries.
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With: Geschichte der Stadt Babylon / H. Winckler. Leipzig : Hinrichs, 1904 -- Sanherib / O. Weber. Leipzig : Hinrichs, 1905 -- Magie und Zauberei im alten Ägypten / A. Wiedemann. Leipzig : Hinrichs, 1905.
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Forms second part of the author's: Geschichte des neueren Occultismus.
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Includes index.
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Plates printed on both sides.
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Mode of access: Internet.
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adesp. fr. 700 Kn.-Sn. podría proceder de Andrómeda de Eurípides y no de una Níobe. Los siguientes elementos de los frs. (a) y (b) pueden responder a lo que se conoce de la tragedia de Eurípides: (a) la semejanza con una estatua; (b) la novia de Hades; (c) el silencio del personaje; (d) la colaboración con las Moiras; (e) el contraste entre la fortuna regia y la desgracia y el sufrimiento de los padres. No es, por tanto, necesario modificar el texto recibido para eliminar μάγους πάγας y la referencia a las trampas mágicas en el v. 5, que cuadra bien con Medusa y Perseo.
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El concurso de transformación mágica, esquema narrativo difundido en la tradición popular, se presenta en dos variantes principales: los hechiceros que compiten pueden metamorfosearse en varios seres o crear esos seres por medios mágicos. En cualquier caso el concursante ganador da a luz criaturas más fuertes que superan las de su oponente. La segunda variante fue preferida en el antiguo Cercano Oriente (Sumeria, Egipto, Israel). La primera se puede encontrar en algunos mitos griegos sobre cambiadores de forma (por ejemplo, Zeus y Némesis). El mismo esquema narrativo puede haber influido en un episodio de la Novela de Alejandro (1.36-38), en el que Darío envía regalos simbólicos a Alejandro y los dos monarcas enemigos ofrecen contrastantes explicaciones de ellos. Esta historia griega racionaliza el concurso de cuento de hadas, transfiriendo las fantásticas hazañas de creaciones milagrosas a un plano secundario pero realista de metáfora lingüística.
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Este trabajo pretende explorar la dimensión ritual en los Textos de las Pirámides, el corpus de literatura religiosa extensa más antiguo de la humanidad. La naturaleza variada de sus componentes textuales ha impedido que los egiptólogos comprendan en profundidad las complejidades de la colección y los contextos originales en los que estos textos (ritos) aparecieron. La aplicación de la teoría del ritual, principalmente la aproximación de la sintaxis ritual, ofrece a los investigadores un marco excelente de análisis e interpretación del corpus, su estructura y función. Sujeto a las reglas de la sintaxis ritual es posible exponer los múltiples niveles de significado en el corpus para la resurrección y salvación del difunto.
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L'État est une organisation qui revendique et réussit généralement à faire respecter un monopole ultime de la force sur un territoire donné. Un tel monopole se traduit par l’imposition de sanctions à quiconque utilise la force sans une permission spécifique ou générale du monopoleur. Certes, il y a des conditions d'existence de l’État que cette définition ne saisit pas -une certaine reconnaissance de sa légitimité, par exemple-; elle ne réussit pas la tâche difficile de formuler des conditions suffisantes de l'existence de l’État. Mais elle se rapproche suffisamment de l’acception ordinaire du terme et elle nous servira assez bien pour que l'on s’en satisfasse. La revendication et l'exercice habituel d’un monopole ultime de la force constituent certainement, à tout le moins, des conditions nécessaires de l’existence de l'État. En plus de sa compatibilité avec ce que l'usage général perçoit comme le plus petit commun dénominateur, l'expérience historique ou la nature de l'État, cette définition offre l'avantage important de ne rien présumer de la question de l'État, de son fonctionnement de sa finalité, de son utilité et de sa moralité, bref de sa justification. C'est une pétition de principe trop courante que d'inclure dans la définition de l'État les fondements de sa justification. Tel qu’il est vécu, l’État, et surtout l'État démocratique moderne, ressemble fort à un rituel, un ensemble d'actions, de gestes et d'incantations que l’on répète sans effet et dont la véritable valeur réside dans leur répétition même. On chante l’hymne national; on vote tous les deux , quatre ou sept ans; les projets de loi présentés par la majorité parlementaire sont votés en première, deuxième et troisième lecture; on répète que l'État c'est nous. Ces rites ne sont pas nécessairement inoffensifs : les dieux ont toujours aimé les sacrifices. Mais l'une des fonctions sociales du rite, suggère Kenneth Boulding, est de contrer la frustration agressive que les problèmes insolubles engendrent chez les hommes, en leur fournissant un placebo pour solution. Ainsi agiraient les rituels sociaux , la magie, les cérémonies religieuses et les techniques comptables mêmes. Ajoutons le rituel étatique, qui répond au problème redoutable de légitimer une organisation qui prétend employer la force pour imposer l'harmonie. […]
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Depuis longtemps, deux thèmes reviennent avec insistance dans mes réflexions et doivent sans doute prendre racine dans la plus lointaine curiosité infantile: “comment naît-on à la vie psychique, d’où viennent les processus créateurs”. Il s’agit pour l’une et l’autre question d’aller fouiller dans les histoires, la mienne, celle de mes patients, celle aussi du patrimoine pour tenter d’affronter l’énigme des origines à jamais insaisissable. Je pense à certaines situations cliniques d’analyse avec des patients considérés comme états limites qui présentent parfois de grands bouleversements économiques, source d’ébranlement identitaire. Ils sont alors au plus près de ces questions existentielles et ils les traversent avec effroi sur le divan, en ma présence. Ces questions nous mènent avec difficultés au plus authentique de l’être et à la création dans une atmosphère de violence et de destruction. Je retrouve ces thèmes dans mes lectures, derrière le divan et je tente d’y percevoir les forces vives et impitoyables aux origines de la vie psychique et jusque dans l’économie des processus créateurs. Elles sont de nature autoconservatrice et pulsionnelle d’une violence excessive destructrice et constructrice. C’est ainsi que j’entends, je regarde, je sens se déployer sur différentes scènes du livre ou de la clinique, les accents incisifs de la cruauté qui suivent un mouvement de la confusion identitaire jusqu’aux variations chatoyantes de la bisexualité. Il y a dans cette trajectoire qui mène le sujet à l’altérité, tout le jeu des échanges et des lieux de passage, l’enjeu des espaces intimes et privés ou communs et partagés; il y a aussi des histoires de frontières et d’inquiétante étrangeté. Un fil rouge n’a cessé de relier ces espaces hétérogènes; il leur permet de coexister et de se mélanger pour que les processus de transmission s’y développent; c’est le champ du transitionnel (D. Winnicott). Cet espace est intermédiaire entre l’intérieur et l’extérieur, entre le familier et l’étranger, le Soi et l’autre, le présent et l’absent, le “déjà mort” et “le pas encore né”, l’entre-deux paradoxal soit ni l’un ni l’autre et les deux à la fois. C’est dans l’alchimie de cet espace incertain aux frontières poreuses, à l’intérieur du sujet, de la famille, sur une aire de jeu et au fil des pages, qu’opère la magie des processus identificatoires, de la construction de l’être tout au long de sa vie.