268 resultados para plasminogen
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BACKGROUND: To assess the differences across continental regions in terms of stroke imaging obtained for making acute revascularization therapy decisions, and to identify obstacles to participating in randomized trials involving multimodal imaging. METHODS: STroke Imaging Repository (STIR) and Virtual International Stroke Trials Archive (VISTA)-Imaging circulated an online survey through its website, through the websites of national professional societies from multiple countries as well as through email distribution lists from STIR and the above mentioned societies. RESULTS: We received responses from 223 centers (2 from Africa, 38 from Asia, 10 from Australia, 101 from Europe, 4 from Middle East, 55 from North America, 13 from South America). In combination, the sites surveyed administered acute revascularization therapy to a total of 25,326 acute stroke patients in 2012. Seventy-three percent of these patients received intravenous (i.v.) tissue plasminogen activator (tPA), and 27%, endovascular therapy. Vascular imaging was routinely obtained in 79% (152/193) of sites for endovascular therapy decisions, and also as part of standard IV tPA treatment decisions at 46% (92/198) of sites. Modality, availability and use of acute vascular and perfusion imaging before revascularization varied substantially between geographical areas. The main obstacles to participate in randomized trials involving multimodal imaging included: mainly insufficient research support and staff (50%, 79/158) and infrequent use of multimodal imaging (27%, 43/158) . CONCLUSION: There were significant variations among sites and geographical areas in terms of stroke imaging work-up used tomake decisions both for intravenous and endovascular revascularization. Clinical trials using advanced imaging as a selection tool for acute revascularization therapy should address the need for additional resources and technical support, and take into consideration the lack of routine use of such techniques in trial planning.
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Plusieurs expériences et études cliniques ont démontré que l’activation du système rénine-angiotensine (RAS) peut induire l’hypertension, un facteur de risque majeur pour les maladies cardiovasculaires et rénales. L’angiotensinogène (Agt) est l’unique substrat du RAS. Cependant, il n’a pas encore été démontré si l’activation du RAS intrarénal peut à elle seule induire des dommages rénaux, indépendamment de l’hypertension systémique, et ainsi jouer un rôle prépondérant dans la progression de la néphropathie diabétique. Afin d’explorer le rôle du RAS intrarénal dans les dommages rénaux, un diabète a été induit par l’injection de streptozotocin chez des souris transgéniques (Tg) surexprimant l’Agt de rat dans les cellules des tubules proximaux du rein (RPTC). Les souris Tg diabétiques ont été traitées soit avec des inhibiteurs du RAS (perindopril et losartan), de l’insuline ou une combinaison des deux pour 4 semaines avant d’être euthanasiées. Pour une autre étude, des souris Tg non-diabétiques ont été traitées soit avec des inhibiteurs du RAS, l’hydralazine (vasodilatateur) ou l’apocynine (inhibiteur de la NADPH oxydase) pour une période de 8 semaines avant l’euthanasie. Des souris non-Tg ont été utilisées comme contrôles. Des cellules immortalisées de tubule proximal de rat (IRPTC) transfectées de manière stable avec un plasmide contenant l’Agt ou un plasmide contrôle ont été employées comme modèle in vitro. Nos résultats ont démontré que les souris Tg présentaient une augmentation significative de la pression systolique, l’albuminurie, l’apoptose des RPTC et l’expression de gènes pro-apoptotiques par rapport aux souris non-Tg. Les mêmes changements ont été observés chez les souris Tg diabétiques par rapport aux souris non-Tg diabétiques. L’insuline et/ou les inhibiteurs du RAS ont permis d’atténuer ces changements, sauf l’hypertension qui n’était réduite que par les inhibiteurs du RAS. Chez les IRPTC transfectées avec l’Agt in vitro, les hautes concentrations de glucose augmentent l’apoptose et l’activité de la caspase-3 par rapport aux cellules contrôles et l’insuline et/ou les inhibiteurs du RAS empêchent ces augmentations. En plus des changements physiologiques, les RPTC des souris Tg présentent aussi une augmentation significative de la production des espèces réactive de l’oxygène (ROS) et de l’activité de la NADPH oxydase, ainsi qu’une augmentation de l’expression du facteur de croissance transformant-beta 1 (TGF-β1), de l’inhibiteur activateur du plasminogène de type 1 (PAI-1), des protéines de la matrice extracellulaire, du collagène de type IV et de la sousunité p47 de la NADPH oxydase. Le traitement des souris Tg avec l’apocynine et le perindopril a permis d’améliorer tous ces changements, sauf l’hypertension qui n’était pas corrigée par l’apocynine. D’autre part, l’hydralazine a prévenu l’hypertension, sans modifier l’albuminurie, l’apoptose des RPTC ou l’expression des gènes pro-apoptotiques. Ces résultats montrent bien que l’activation du RAS intrarénal et l’hyperglycémie agissent de concert pour induire l’albuminurie et l’apoptose des RPTC, indépendamment de l’hypertension systémique. La génération des ROS via l’activation de la NADPH oxydase induit en partie l’action du RAS intrarénal sur l’apoptose des RPTC, la fibrose tubulo-interstitielle et l’albuminurie chez les souris Tg. D’autre part, une expérience en cours a tenté d’encore mieux délimiter les effets de l’activation du RAS intrarénal, tout en éliminant la néphrotoxicité du STZ. Pour cette étude, les souris Tg surexprimant l’Agt de rat dans leurs RPTC ont été croisées aux souris Ins2Akita, un modèle spontané de diabète de type I, afin de générer des souris Akita-rAgt-Tg. Les résultats préliminaires indiquent que le RAS intrarénal est activé dans les souris Akita et que la combinaison avec l’hyperglycémie induit du stress du réticulum endoplasmique (ER) dans les RPTC in vivo. Le stress du ER contribue à l’apoptose des RPTC observée dans le diabète, à tout le moins dans le modèle Akita. Le traitement avec des inhibiteurs du RAS permet d’atténuer certains des dommanges rénaux observés dans les souris Akita-rAgt-Tg.
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La Sclérose en plaques (SEP) est une maladie auto-immune inflammatoire démyélinisante du système nerveux central (SNC), lors de laquelle des cellules inflammatoires du sang périphérique infiltrent le SNC pour y causer des dommages cellulaires. Dans ces réactions neuroinflammatoires, les cellules immunitaires traversent le système vasculaire du SNC, la barrière hémo-encéphalique (BHE), pour avoir accès au SNC et s’y accumuler. La BHE est donc la première entité que rencontrent les cellules inflammatoires du sang lors de leur migration au cerveau. Ceci lui confère un potentiel thérapeutique important pour influencer l’infiltration de cellules du sang vers le cerveau, et ainsi limiter les réactions neuroinflammatoires. En effet, les interactions entre les cellules immunitaires et les parois vasculaires sont encore mal comprises, car elles sont nombreuses et complexes. Différents mécanismes pouvant influencer la perméabilité de la BHE aux cellules immunitaires ont été décrits, et représentent aujourd’hui des cibles potentielles pour le contrôle des réactions neuro-immunes. Cette thèse a pour objectif de décrire de nouveaux mécanismes moléculaires opérant au niveau de la BHE qui interviennent dans les réactions neuroinflammatoires et qui ont un potentiel thérapeutique pour influencer les interactions neuro-immunologiques. Ce travail de doctorat est séparé en trois sections. La première section décrit la caractérisation du rôle de l’angiotensine II dans la régulation de la perméabilité de la BHE. La seconde section identifie et caractérise la fonction d’une nouvelle molécule d’adhérence de la BHE, ALCAM, dans la transmigration de cellules inflammatoires du sang vers le SNC. La troisième section traite des propriétés sécrétoires de la BHE et du rôle de la chimiokine MCP-1 dans les interactions entre la BHE et les cellules souches. Dans un premier temps, nous démontrons l’importance de l’angiotensinogène (AGT) dans la régulation de la perméabilité de la BHE. L’AGT est sécrété par les astrocytes et métabolisé en angiotensine II pour pouvoir agir au niveau des CE de la BHE à travers le récepteur à l’angiotensine II, AT1 et AT2. Au niveau de la BHE, l’angiotensine II entraîne la phosphorylation et l’enrichissement de l’occludine au sein de radeaux lipidiques, un phénomène associé à l’augmentation de l’étanchéité de la BHE. De plus, dans les lésions de SEP, on retrouve une diminution de l’expression de l’AGT et de l’occludine. Ceci est relié à nos observations in vitro, qui démontrent que des cytokines pro-inflammatoires limitent la sécrétion de l’AGT. Cette étude élucide un nouveau mécanisme par lequel les astrocytes influencent et augmentent l’étanchéité de la BHE, et implique une dysfonction de ce mécanisme dans les lésions de la SEP où s’accumulent les cellules inflammatoires. Dans un deuxième temps, les techniques établies dans la première section ont été utilisées afin d’identifier les protéines de la BHE qui s’accumulent dans les radeaux lipidiques. En utilisant une technique de protéomique nous avons identifié ALCAM (Activated Leukocyte Cell Adhesion Molecule) comme une protéine membranaire exprimée par les CE de la BHE. ALCAM se comporte comme une molécule d’adhérence typique. En effet, ALCAM permet la liaison entre les cellules du sang et la paroi vasculaire, via des interactions homotypiques (ALCAM-ALCAM pour les monocytes) ou hétérotypiques (ALCAM-CD6 pour les lymphocytes). Les cytokines inflammatoires augmentent le niveau d’expression d’ALCAM par la BHE, ce qui permet un recrutement local de cellules inflammatoires. Enfin, l’inhibition des interactions ALCAM-ALCAM et ALCAM-CD6 limite la transmigration des cellules inflammatoires (monocytes et cellules T CD4+) à travers la BHE in vitro et in vivo dans un modèle murin de la SEP. Cette deuxième partie identifie ALCAM comme une cible potentielle pour influencer la transmigration de cellules inflammatoires vers le cerveau. Dans un troisième temps, nous avons pu démontrer l’importance des propriétés sécrétoires spécifiques à la BHE dans les interactions avec les cellules souches neurales (CSN). Les CSN représentent un potentiel thérapeutique unique pour les maladies du SNC dans lesquelles la régénération cellulaire est limitée, comme dans la SEP. Des facteurs qui limitent l’utilisation thérapeutique des CSN sont le mode d’administration et leur maturation en cellules neurales ou gliales. Bien que la route d’administration préférée pour les CSN soit la voie intrathécale, l’injection intraveineuse représente la voie d’administration la plus facile et la moins invasive. Dans ce contexte, il est important de comprendre les interactions possibles entre les cellules souches et la paroi vasculaire du SNC qui sera responsable de leur recrutement dans le parenchyme cérébral. En collaborant avec des chercheurs de la Belgique spécialisés en CSN, nos travaux nous ont permis de confirmer, in vitro, que les cellules souches neurales humaines migrent à travers les CE humaines de la BHE avant d’entamer leur différenciation en cellules du SNC. Suite à la migration à travers les cellules de la BHE les CSN se différencient spontanément en neurones, en astrocytes et en oligodendrocytes. Ces effets sont notés préférentiellement avec les cellules de la BHE par rapport aux CE non cérébrales. Ces propriétés spécifiques aux cellules de la BHE dépendent de la chimiokine MCP-1/CCL2 sécrétée par ces dernières. Ainsi, cette dernière partie suggère que la BHE n’est pas un obstacle à la migration de CSN vers le SNC. De plus, la chimiokine MCP-1 est identifiée comme un facteur sécrété par la BHE qui permet l’accumulation et la différentiation préférentielle de cellules souches neurales dans l’espace sous-endothélial. Ces trois études démontrent l’importance de la BHE dans la migration des cellules inflammatoires et des CSN vers le SNC et indiquent que de multiples mécanismes moléculaires contribuent au dérèglement de l’homéostasie du SNC dans les réactions neuro-immunes. En utilisant des modèles in vitro, in situ et in vivo, nous avons identifié trois nouveaux mécanismes qui permettent d’influencer les interactions entre les cellules du sang et la BHE. L’identification de ces mécanismes permet non seulement une meilleure compréhension de la pathophysiologie des réactions neuroinflammatoires du SNC et des maladies qui y sont associées, mais suggère également des cibles thérapeutiques potentielles pour influencer l’infiltration des cellules du sang vers le cerveau
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En la Enfermedad Coronaria (EC) existen factores genéticos, socioculturales, medioambientales y raciales adicionales a los factores de riesgo cardiovascular mayores que podrían influir en su presentación. Se desconoce el impacto de la raza en la severidad de la enfermedad coronaria en los pacientes extranjeros que son enviados a nuestro Servicio. Objetivos: Comparar la severidad de la EC multivaso en una población de pacientes de las Antillas y Nacionales, pareados por la escala Framingham. Metodología: Realizamos un estudio de corte transversal, comparando pacientes colombianos contra pacientes provenientes de las Antillas holandesas con similares factores de riesgo según escala de Framingham, catalogándolos por grupos de riesgo bajo, intermedio, alto y muy alto. Todos con EC severa multivaso documentada por angiografía coronaria desde enero del 2009 hasta Junio de 2011. Se excluyeron pacientes con antecedentes de intervención percutánea o quirúrgica previa. Resultados: Ingresaron 115 pacientes internacionales y 115 pacientes nacionales. La relación hombres/mujeres 3:1. La proporción de grupos de riesgo fue de bajo riesgo 2.5%, intermedio 15%, alto 19.3%, y muy alto 63.4%. El Syntax Score en pacientes nacionales fue 14.3+/-7.4 y en internacionales 22.2+/-10.5 p: 0.002. Conclusiones: En pacientes provenientes de las Antillas Holandesas, valorados en nuestra institución, se observó una mayor severidad de la enfermedad coronaria comparada con una población nacional con factores de riesgo similares. Estos hallazgos sugieren la influencia de la raza y factores genéticos en la severidad y extensión de la EC
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Introducción. El ataque cerebrovascular (ACV) ocupa el primer lugar en frecuencia entre todas las enfermedades neurológicas de la vida adulta, y el tercer lugar como causa más frecuente de muerte. Se aprobó para el manejo agudo, la terapia con activador del plasminógeno tisular recombinante (t-PA) en las primeras 4,5 horas después del inicio de los síntomas, demostrando mayor sobrevida y menos niveles de discapacidad. Sin embargo solo el 5-10% de pacientes reciben este manejo. Por estas razones es necesario conocer que factores se asocian con la no intervención terapéutica. Objetivo. Describir los factores asociados con la no trombolisis en pacientes con ataque cerebrovascular en un hospital de IV nivel en Bogotá, Colombia. Métodos. Estudio analítico de corte transversal, en un centro de cuarto nivel en Bogotá entre enero de 2009 y enero de 2011. Resultados. Se encontraron 178 pacientes en un promedio de edad de 65,9 años (DE± 10 años) con una relación hombre-mujer 1:1, la principal causa de no trombolisis fue la ventana mayor a 4.5 horas, 33,7% (n=60), 26,4% por cambios en imágenes diagnosticas, y 14% por puntajes leves o severos en las escala National Institute of Health Stroke Scale (NIHSS), historia quirúrgica 7.3% y laboratorios 4.5%. El tiempo promedio de atención fue 23 minutos (DE ± 21 min) para la activación del código de ACV, 39 minutos para valoración por neurología (DE ± 25 min), 46 minutos (DE ± 19,1 min) para toma de paraclínicos, 66 minutos para toma de imágenes y 97 minutos para trombolisis (DE ± 21min, DE ± 17 min, respectivamente). Se realizó trombolisis en 17 pacientes, 9,6%. No se encontró asociación significativa entre cultura de organización con trombolisis ni de tiempos de atención con trombolisis. Conclusiones. La principal razón de no trombolisis, fue la ventana mayor a 4.5 horas, no se encontró relación entre cultura de organización institucional con trombolisis. El tiempo promedio de trombolisis fue de 90 minutos. Deben instaurarse medidas para reducir el tiempo de llegada al hospital, y los tiempos de atención en urgencias. Deben realizarse nuevas evaluaciones del código ACV posterior a las estrategias de mejoría.
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Objetivo: presentar el estado del arte de las investigaciones que, hasta el momento, relacionan el polimorfismo genético del paciente con la evolución de la sepsis, como herramienta diagnóstica y un nuevo enfoque terapéutico de esta condición. Los conceptos actuales basados en investigaciones sostienen que el polimorfismo genético del individuo es relevante en la evolución de la enfermedad y en la respuesta efectiva al tratamiento del paciente en estado crítico, en especial con sepsis bacteriana y choque séptico. Materiales y métodos: se revisó literatura indexada que relaciona los factores genéticos con la evolución de algunas enfermedades del paciente en estado crítico. Resultados: las características particulares de la enfermedad estarían influenciadas por el acervo genético del paciente, condicionando en gran medida la respuesta patofisiológica. Se ha evidenciado la susceptibilidad genética de algunos individuos a desarrollar infección; estos individuos con un tratamiento similar no evolucionan de igual forma, desencadenándose una sepsis bacteriana grave y choque séptico. El polimorfismo en los genes que codifican por el factor de necrosis tumoral -α (TNF-α) las interlucinas- 1 (IL-1), IL-6, IL-10, el factor soluble CD-14, los receptores similares a Toll y el inhibidor tipo 1 del activador del plasminógeno estaría asociado con el desarrollo de sepsis grave y choque séptico, en particular las mutaciones TNF-α 308 G/A, PAI-1 4G/4G, IL-6 174 G/C. Conclusiones: el conocimiento de la susceptibilidad genética, los factores de riesgo y el buen funcionamiento del sistema inmune de cada persona ayudan a reducir y compensar las complicaciones de la sepsis bacteriana. Es claro que el tratamiento oportuno individualizado en los pacientes con sepsis se asocia con disminución de la mortalidad y con reducción en el deterioro de la respuesta inflamatoria.
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Se realizó un estudio genético – poblacional en dos grupos etarios de población colombiana con la finalidad de evaluar las diferencias genéticas relacionadas con el polimorfismo MTHFR 677CT en busca de eventos genéticos que soporten la persistencia de este polimorfismo en la especie humana debido que este ha sido asociado con múltiples enfermedades. De esta manera se genotipificaron los individuos, se analizaron los genotipos, frecuencias alélicas y se realizaron diferentes pruebas genéticas-poblacionales. Contrario a lo observado en poblaciones Colombianas revisadas se identificó la ausencia del Equilibrio Hardy-Weinberg en el grupo de los niños y estructuras poblacionales entre los adultos lo que sugiere diferentes historias demográficas y culturales entre estos dos grupos poblacionales al tiempo, lo que soporta la hipótesis de un evento de selección sobre el polimorfismo en nuestra población. De igual manera nuestros datos fueron analizados junto con estudios previos a nivel nacional y mundial lo cual sustenta que el posible evento selectivo es debido a que el aporte de ácido fólico se ha incrementado durante las últimas dos décadas como consecuencia de las campañas de fortificación de las harinas y suplementación a las embarazadas con ácido fólico, por lo tanto aquí se propone un modelo de selección que se ajusta a los datos encontrados en este trabajo se establece una relación entre los patrones nutricionales de la especie humana a través de la historia que explica las diferencias en frecuencias de este polimorfismo a nivel espacial y temporal.
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Los gliomas malignos representan una de las formas más agresivas de los tumores del sistema nervioso central (SNC). De acuerdo con la clasificación de los tumores cerebrales de la Organización Mundial de la Salud (OMS), los astrocitomas han sido categorizados en cuatro grados, determinados por la patología subyacente. Es así como los gliomas malignos (o de alto grado) incluyen el glioma anaplásico (grado III) así como el glioblastoma multiforme (GBM, grado IV),estos últimos los más agresivos con el peor pronóstico (1). El manejo terapéutico de los tumores del SNC se basa en la cirugía, la radioterapia y la quimioterapia, dependiendo de las características del tumor, el estadio clínico y la edad (2),(3), sin embargo ninguno de los tratamientos estándar es completamente seguro y compatible con una calidad de vida aceptable (3), (4). En general, la quimioterapia es la primera opción en los tumores diseminados, como el glioblastoma invasivo y el meduloblastoma de alto riesgo o con metástasis múltiple, pero el pronóstico en estos pacientes es muy pobre (2),(3). Solamente nuevas terapias dirigidas (2) como las terapias anti-angiogénicas (4); o terapias génicas muestran un beneficio real en grupos limitados de pacientes con defectos moleculares específicos conocidos (4). De este modo, se hace necesario el desarrollo de nuevas terapias farmacológicas para atacar los tumores cerebrales. Frente a las terapias los gliomas malignos son con frecuencia quimioresistentes, y esta resistencia parece depender de al menos dos mecanismos: en primer lugar, la pobre penetración de muchas drogas anticáncer a través de la barrera hematoencefálica (BBB: Blood Brain Barrier), la barrera del fluido sangre-cerebroespinal (BCSFB: Blood-cerebrospinal fluid barrier) y la barrera sangre-tumor (BTB: blood-tumor barrier). Dicha resistencia se debe a la interacción de la droga con varios transportadores o bombas de eflujo de droga ABC (ABC: ATP-binding cassette) que se sobre expresan en las células endoteliales o epiteliales de estas barreras. En segundo lugar, estos transportadores de eflujo de drogas ABC propios de las células tumorales confieren un fenotipo conocido como resistencia a multidrogas (MDR: multidrug resistance), el cual es característico de varios tumores sólidos. Este fenotipo también está presente en los tumores del SNC y su papel en gliomas es objeto de investigación (5). Por consiguiente el suministro de medicamentos a través de la BBB es uno de los problemas vitales en los tratamientos de terapia dirigida. Estudios recientes han demostrado que algunas moléculas pequeñas utilizadas en estas terapias son sustratos de la glicoproteína P (Pgp: P-gycoprotein), así como también de otras bombas de eflujo como las proteínas relacionadas con la resistencia a multidrogas (MRPs: multidrug resistance-related proteins (MRPs) o la proteína relacionada con cáncer de seno (BCRP: breast-cancer resistance related protein)) que no permiten que las drogas de este tipo alcancen el tumor (1). Un sustrato de Pgp y BCRP es la DOXOrubicina (DOXO), un fármaco utilizado en la terapia anti cáncer, el cual es muy eficaz para atacar las células del tumor cerebral in vitro, pero con un uso clínico limitado por la poca entrega a través de la barrera hematoencefálica (BBB) y por la resistencia propia de los tumores. Por otra parte las células de BBB y las células del tumor cerebral tienen también proteínas superficiales, como el receptor de la lipoproteína de baja densidad (LDLR), que podría utilizarse como blanco terapéutico en BBB y tumores cerebrales. Es asi como la importancia de este estudio se basa en la generación de estrategias terapéuticas que promuevan el paso de las drogas a través de la barrera hematoencefalica y tumoral, y a su vez, se reconozcan mecanismos celulares que induzcan el incremento en la expresión de los transportadores ABC, de manera que puedan ser utilizados como blancos terapéuticos.Este estudio demostró que el uso de una nueva estrategia basada en el “Caballo de Troya”, donde se combina la droga DOXOrubicina, la cual es introducida dentro de un liposoma, salvaguarda la droga de manera que se evita su reconocimiento por parte de los transportadores ABC tanto de la BBB como de las células del tumor. La construcción del liposoma permitió utilizar el receptor LDLR de las células asegurando la entrada a través de la BBB y hacia las células tumorales a través de un proceso de endocitosis. Este mecanismo fue asociado al uso de estatinas o drogas anticolesterol las cuales favorecieron la expresión de LDLR y disminuyeron la actividad de los transportadores ABC por nitración de los mismos, incrementando la eficiencia de nuestro Caballo de Troya. Por consiguiente demostramos que el uso de una nueva estrategia o formulación denominada ApolipoDOXO más el uso de estatinas favorece la administración de fármacos a través de la BBB, venciendo la resistencia del tumor y reduciendo los efectos colaterales dosis dependiente de la DOXOrubicina. Además esta estrategia del "Caballo de Troya", es un nuevo enfoque terapéutico que puede ser considerado como una nueva estrategia para aumentar la eficacia de diferentes fármacos en varios tumores cerebrales y garantiza una alta eficiencia incluso en un medio hipóxico,característico de las células cancerosas, donde la expresión del transportador Pgp se vió aumentada. Teniendo en cuenta la relación entre algunas vías de señalización reconocidas como moduladores de la actividad de Pgp, este estudio presenta no solo la estrategia del Caballo de Troya, sino también otra propuesta terapéutica relacionada con el uso de Temozolomide más DOXOrubicina. Esta estrategia demostró que el temozolomide logra penetrar la BBB por que interviene en la via de señalización de la Wnt/GSK3/β-catenina, la cual modula la expresión del transportador Pgp. Se demostró que el TMZ disminuye la proteína y el mRNA de Wnt3 permitiendo plantear la hipótesis de que la droga al disminuir la transcripción del gen Wnt3 en células de BBB, incrementa la activación de la vía fosforilando la β-catenina y conduciendo a disminuir la β-catenina nuclear y por tanto su unión al promotor del gen mdr1. Con base en los resultados este estudio permitió el reconocimiento de tres mecanismos básicos relacionados con la expresión de los transportadores ABC y asociados a las estrategias empleadas: el primero fue el uso de las estatinas, el cual condujo a la nitración de los transportadores disminuyendo su actividad por la via del factor de transcripción NFκB; el segundo a partir del uso del temozolomide, el cual metila el gen de Wnt3 reduciendo la actividad de la via de señalización de la la β-catenina, disminuyendo la expresión del transportador Pgp. El tercero consistió en la determinación de la relación entre el eje RhoA/RhoA quinasa como un modulador de la via (no canónica) GSK3/β-catenina. Se demostró que la proteína quinasa RhoA promovió la activación de la proteína PTB1, la cual al fosforilar a GSK3 indujo la fosforilación de la β-catenina, lo cual dio lugar a su destrucción por el proteosoma, evitando su unión al promotor del gen mdr1 y por tanto reduciendo su expresión. En conclusión las estrategias propuestas en este trabajo incrementaron la citotoxicidad de las células tumorales al aumentar la permeabilidad no solo de la barrera hematoencefálica, sino también de la propia barrera tumoral. Igualmente, la estrategia del “Caballo de Troya” podría ser útil para la terapia de otras enfermedades asociadas al sistema nervioso central. Por otra parte estos estudios indican que el reconocimiento de mecanismos asociados a la expresión de los transportadores ABC podría constituir una herramienta clave en el desarrollo de nuevas terapias anticáncer.
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The International Citicoline Trial in acUte Stroke is a sequential phase III study of the use of the drug citicoline in the treatment of acute ischaemic stroke, which was initiated in 2006 in 56 treatment centres. The primary objective of the trial is to demonstrate improved recovery of patients randomized to citicoline relative to those randomized to placebo after 12 weeks of follow-up. The primary analysis will take the form of a global test combining the dichotomized results of assessments on three well-established scales: the Barthel Index, the modified Rankin scale and the National Institutes of Health Stroke Scale. This approach was previously used in the analysis of the influential National Institute of Neurological Disorders and Stroke trial of recombinant tissue plasminogen activator in stroke. The purpose of this paper is to describe how this trial was designed, and in particular how the simultaneous objectives of taking into account three assessment scales, performing a series of interim analyses and conducting treatment allocation and adjusting the analyses to account for prognostic factors, including more than 50 treatment centres, were addressed. Copyright (C) 2008 John Wiley & Sons, Ltd.
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The aim of the present study was to compare the response of a range of atherogenic and thrombogenic risk markers to two dietary levels of saturated fatty acid (SFA) substitution with monounsaturated fatty acids (MUFA) in students living in a university hall of residence. Although the benefits of such diets have been reported for plasma lipoproteins in high-risk groups, more needs to be known about effects of more modest SFA-MUFA substitutions over the long term and in young healthy adults. In a parallel design over 16 weeks, fifty-one healthy young subjects were randomised to one of two diets: (1) a moderate-MUFA diet in which 16 g dietary SFA/100 g total fatty acids were substituted with MUFA (n 25); (2) a high-MUFA diet in which 33 g dietary SFA/100 g total fatty acids were substituted with MUFA (n 26). All subjects followed an 8-week run-in diet (reference diet), with a fatty acid composition close to the UK average values. There were no differences in plasma lipid responses between the two diets over 16 weeks of the study with similar reductions in total cholesterol (P<0.001) and LDL-cholesterol (P<0.01) in both groups; a small but significant reduction in HDL-cholesterol was also observed in both groups (P<0.01). Platelet responses to ADP (P<0.01) and arachidonic acid (P<0.05) differed with time on the two diets; at 16 weeks, platelet aggregatory response to ADP was significantly lower on the high-MUFA than the moderate-MUFA (P<0.01) diet; ADP responses were also significantly lower within this group at 8 (P< 0.05) and 16 (P< 0.01) weeks compared with baseline. There were no differences in fasting factor VII activity (factors VIII and VIIag), fibrinogen concentration or tissue-type plasminogen activator activity between the diets. There were no differences in postprandial factor VIII responses to a standard meal (area under the curve) between the diets after 16 weeks, but postprandial factor VIII response was lower than on the high-MUFA diet compared with baseline (P<0.01). In conclusion, a high-MUFA diet sustains potentially beneficial effects on platelet aggregation and postprandial activation of factor VII. Moderate or high substitution of MUFA for SFA achieves similar reductions in fasting blood lipids in young healthy subjects.
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Dietary alpha-linolenic acid (ALA) can be converted to long-chain (n-3) PUFA in humans and may potentially reproduce the beneficial effects of eicosapentaenoic (EPA) and docosahexaenoic (DHA) acids on risk factors for coronary heart disease (CHID). This study compared the effects of increased intakes of ALA with those of dietary EPA and DHA on blood coagulation and fibrinolytic factors in fasting subjects. A placebo-controlled, parallel study was conducted in 150 moderately hyperlipidemic subjects, age 25-72 y. Subjects were randomly assigned to one of five interventions and consumed a total intake of 0.8 or 1.7g/d EPA+DHA, 4.5 or 9.5g/d ALA or control (linoleic acid; LA) for 6 mo. Fatty acids were incorporated into 25 g of fat spread, which replaced the subject's normal spread and three capsules. Long-term supplementation with either dietary EPA+DHA or estimated biologically equivalent amounts of ALA did not affect factors VIIa, VIIc, VIIag, XIIa, XIIag, fibrinogen concentrations, plasminogen activator inhibitor-1 or tissue plasminogen activator activity compared with the control. (n-3) PUFA of plant or marine origin do not differ from one another or from LA in their effect on a range of blood coagulation and fibrinolytic factors.
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There is emerging evidence to show that high levels of NEFA contribute to endothelial dysfunction and impaired insulin sensitivity. However, the impact of NEFA composition remains unclear. A total of ten healthy men consumed test drinks containing 50 g of palm stearin (rich in SFA) or high-oleic sunflower oil (rich in MUFA) on separate occasions; a third day included no fat as a control. The fats were emulsified into chocolate drinks and given as a bolus (approximately 10 g fat) at baseline followed by smaller amounts (approximately 3 g fat) every 30 min throughout the 6 h study day. An intravenous heparin infusion was initiated 2 h after the bolus, which resulted in a three- to fourfold increase in circulating NEFA level from baseline. Mean arterial stiffness as measured by digital volume pulse was higher during the consumption of SFA (P,0·001) but not MUFA (P¼0·089) compared with the control. Overall insulin and gastric inhibitory peptide response was greater during the consumption of both fats compared with the control (P,0·001); there was a second insulin peak in response to MUFA unlike SFA. Consumption of SFA resulted in higher levels of soluble intercellular adhesion molecule-1 (sI-CAM) at 330 min than that of MUFA or control (P#0·048). There was no effect of the test drinks on glucose, total nitrite, plasminogen activator inhibitor-1 or endothelin-1 concentrations. The present study indicates a potential negative impact of elevated NEFA derived from the consumption of SFA on arterial stiffness and sI-CAM levels. More studies are needed to fully investigate the impact of NEFA composition on risk factors for CVD.
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Obesity is a key factor in the development of the metabolic syndrome (MetS), which is associated with increased cardiometabolic risk. We investigated whether obesity classification by body mass index (BMI) and body fat percentage (BF%) influences cardiometabolic profile and dietary responsiveness in 486 MetS subjects (LIPGENE dietary intervention study). Anthropometric measures, markers of inflammation and glucose metabolism, lipid profiles, adhesion molecules and haemostatic factors were determined at baseline and after 12 weeks of 4 dietary interventions (high saturated fat (SFA), high monounsaturated fat (MUFA) and 2 low fat high complex carbohydrate (LFHCC) diets, 1 supplemented with long chain n-3 polyunsaturated fatty acids (LC n-3 PUFAs)). 39% and 87% of subjects classified as normal and overweight by BMI were obese according to their BF%. Individuals classified as obese by BMI (± 30 kg/m2) and BF% (± 25% (men) and ± 35% (women)) (OO, n = 284) had larger waist and hip measurements, higher BMI and were heavier (P < 0.001) than those classified as non-obese by BMI but obese by BF% (NOO, n = 92). OO individuals displayed a more pro-inflammatory (higher C reactive protein (CRP) and leptin), pro-thrombotic (higher plasminogen activator inhibitor-1 (PAI-1)), pro-atherogenic (higher leptin/adiponectin ratio) and more insulin resistant (higher HOMA-IR) metabolic profile relative to the NOO group (P < 0.001). Interestingly, tumour necrosis factor alpha (TNF-α) concentrations were lower post-intervention in NOO individuals compared to OO subjects (P < 0.001). In conclusion, assessing BF% and BMI as part of a metabotype may help identify individuals at greater cardiometabolic risk than BMI alone.
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BACKGROUND: Dextran-40 is effective in reducing postoperative Doppler-detectable embolization in patients undergoing carotid endarterectomy (CEA). Dextrans are thought to have antithrombotic and antiplatelet effects. The mode of action is unclear. In rats, dextran blocks uptake of tissue plasminogen activator (tPA) by mannose-binding receptors. Because this would have the effect of enhancing endogenous fibrinolysis, we explored this effect of dextran-40 on fibrinolysis in man. METHODS: Twenty patients undergoing endovascular stenting for abdominal aortic aneurysm were randomized to receive 100 mL of 10% dextran-40 or saline, over 1 hour, during their operation in addition to heparin. Blood samples were taken preoperatively, intraoperatively (immediately after operative procedure), and 24 hours postoperatively. Thrombi were formed in a Chandler loop and used to assess endogenous fibrinolysis over 24 hours, measured as the fall in thrombus weight, and the release of fluorescently labelled fibrinogen from the thrombus. Plasma samples were analyzed for markers of fibrinolysis; plasmin-antiplasmin (PAP), PAI-1, and t-PA, and for functional von Willebrand factor (vWF). Platelet response to thrombin and other agonists was measured by flow cytometry. RESULTS: Thrombi formed ex vivo from the intraoperative blood samples from the dextran-treated patients exhibited significantly greater fibrinolysis vs preoperative samples, seen both as a significantly greater percentage reduction in thrombus weight (from 34.7% to 70.6% reduction) and as an 175% increase in the release of fluorescence (P < .05). Fibrinolysis returned to baseline levels the next day. No change was seen in the saline-treated group. Plasma levels of PAP and PAI-1 increased significantly postoperatively in the dextran-treated group vs the saline group (P < .05). The postoperative level of functional VWF was significantly lower in the dextran-treated group vs controls. A specific reduction occurred in the platelet response to thrombin, but not to other agonists, in the intraoperative samples from the dextran-treated group (11.1% vs 37.1%; P = .022), which was not seen in the controls. CONCLUSIONS: These data are consistent with a rise in plasmin due to dextran blockade of tPA uptake in vivo, leading to enhanced fibrinolysis, cleavage of vWF and of the platelet protease-activated receptor-1 (PAR-1) thrombin receptor. This suggests that dextran exerts a combined therapeutic effect, enhancing endogenous fibrinolysis, whilst also reducing platelet adhesion to vWF and platelet activation by thrombin. The proven antithrombotic efficacy of low-dose dextran in carotid surgery may be applicable to wider therapeutic use.
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AIM: 25-hydroxyvitamin D (25OHD) concentrations have been shown to be associated with major clinical outcomes, with a suggestion that individual risk may vary according to common genetic differences in the vitamin D receptor (VDR) gene. Hence, we tested for the interactions between two previously studied VDR polymorphisms and 25OHD on metabolic and cardiovascular disease-related outcomes in a large population-based study. METHODS: Interactions between two previously studied VDR polymorphisms (rs7968585 and rs2239179) and 25OHD concentrations on metabolic and cardiovascular disease-related outcomes such as obesity- (body mass index, waist circumference, waist-hip ratio (WHR)), cardiovascular- (systolic and diastolic blood pressure), lipid- (high- and low-density lipoprotein, triglycerides, total cholesterol), inflammatory- (C-reactive protein, fibrinogen, insulin growth factor-1, tissue plasminogen activator) and diabetes- (glycated haemoglobin) related markers were examined in the 1958 British Birth cohort (n up to 5160). Interactions between each SNP and 25OHD concentrations were assessed using linear regression and the likelihood ratio test. RESULTS: After Bonferroni correction, none of the interactions reached statistical significance except for the interaction between the VDR SNP rs2239179 and 25OHD concentrations on waist-hip ratio (WHR) (P=0.03). For every 1nmol/L higher 25OHD concentrations, the association with WHR was stronger among those with two major alleles (-4.0%, P=6.26e-24) compared to those with either one or no major alleles (-2.3%, P≤8.201e-07, for both) of the VDR SNP rs2239179. CONCLUSION: We found no evidence for VDR polymorphisms acting as major modifiers of the association between 25OHD concentrations and cardio-metabolic risk. Interaction between VDR SNP rs2239179 and 25OHD on WHR warrants further confirmation.