217 resultados para Wisconsin Employment Relations Commission


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This paper engages with the varieties of capitalism literature to investigate the employee representation and consultation approaches of liberal market economy multinational companies (MNCs), specifically Australian, British and US MNCs operating in Australia. While the literature would suggest commonality amongst these MNCs, the paper considers whether the evidence points to similarity or variation amongst liberal market headquartered MNCs. The findings contribute to filling a recognized empirical gap on MNC employment relations practice in Australia and to a better understanding of within category varieties of capitalism similarity and variation. Drawing on survey data from MNCs operating in Australia, the results demonstrated that UK-owned MNCs were the least likely to report collective structures of employee representation. Moreover, it was found that Australian MNCs were the most likely to engage in collective forms of employee representation and made less use of direct consultative mechanisms relative to their British and US counterparts. In spite of the concerted individualization of the employment relations domain over previous decades, Australian MNCs appear to have upheld more long-standing national institutional arrangements with respect to engaging with employees on a collective basis. This varies from British and US MNC approaches which denotes that our results display within category deviation in the variety of capitalism liberal market economy typology. Just as Hall and Soskice described their seminal work on liberal market economy (LME) and coordinated market economy (CME) categories as a “work-in-progress” (2001: 2), we too suggest that Australia’s evolution in the LME category, and more specifically its industrial relations system development, and the consequences for employment relations practices of its domestic MNCs, may be a work-in-progress.

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This paper considers a large matched employee–employer data set to estimate a model of organizational commitment. In particular, it focuses on the role of firm size and management formality to explain organizational commitment in British small and medium-sized enterprises (SMEs) with high and low levels of employee satisfaction. It is shown that size ‘in itself’ can explain differences in organizational commitment, and that organizational commitment tends to be higher in organizations with high employee satisfaction compared with organizations of similar size with low employee satisfaction. Crucially, the results suggest that formal human resource (HR) practices can be used as important tools to increase commitment and thus, potentially, effort and performance within underperforming SMEs with low employee satisfaction. However, formal HR practices commonly used by large firms may be unnecessary in SMEs which benefit from high employee satisfaction and positive employment relations within a context of informality.

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This research considers cross-national diffusion of international human resource management (IHRM) ideas and practices by applying an emergent frame of sociological conceptualisation – ‘social institutionalism’ (SI). We look at cultural filters to patterns of diffusion, assimilation and adoption of IHRM, using Romania as a case study. The paper considers the former Communist system of employment relations, suggesting that through institutionalisation former ways of thinking continued to influence definitions and practice of people management in post-Communist Eastern Europe. The paper provides a new perspective on HRM by discussing the value of SI as a general model for understanding cross-cultural receptivity to HR ideas, sensitising the HR practitioner and academic to institutionalised culture as a historical legacy influencing receptivity to international management ideas.

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[français] L’objectif de cette recherche est d’analyser l’organisation interne d’une firme de sondage sous l’angle des sphères du milieu de travail telles qu’identifiées par Bélanger, Giles et Murray (2004), soient : la gestion de la production, l’organisation du travail et la relation à l’emploi. Plus spécifiquement, nous chercherons à savoir comment se comporte la firme enquêtée face à la gestion de la flexibilité organisationnelle et quel est l’impact de celle-ci sur les trois sphères du travail. L’analyse utilise la méthodologie de l’étude de cas et fait appel à divers types de matériaux : des observations ponctuelles, des entrevues informelles et les bases de données administratives ainsi que les rapports d’évaluation des entrevues téléphoniques effectuées par les intervieweurs. De même, l’analyse des résultats utilise à la fois des méthodes plus classiques telles que les corrélations ainsi que des représentations graphiques et des analyses qualitatives. L’analyse permet de repérer une logique de fonctionnement à l’œuvre dans les différentes sphères de l’emploi : l’importante standardisation des processus de travail (dans le champ de la gestion de la production), la réduction des marges de manœuvre (dans le champ de l’organisation du travail) et la non reconnaissance de l’expertise des intervieweurs (dans le champ de la relation à l’emploi). Les contradictions repérées dans l’analyse, entre les sphères de l’emploi et les objectifs de flexibilité, montrent que les structures mises en place bloquent, dans une certaine mesure, la capacité d’initiative et d’adaptation que la flexibilité exige. La recherche a montré que ce qu’on demande aux intervieweurs est à la fois le reflet des exigences de la flexibilité, tel que constaté dans ce mémoire, mais aussi, des exigences sociales face à la méthodologie de sondage. Tout porte à déduire que celles-ci peuvent engendrer un plafonnement de la performance des employés. Mots-clés : centres d’appels, intervieweurs, firmes de sondage, flexibilité organisationnelle, gestion de la production, organisation du travail, relation à l’emploi, travail émotionnel.

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Les relations de travail et d'emploi sont devenues des enjeux importants en Chine. La Chine a ratifié 25 conventions internationales du travail et a travaillé en étroite collaboration avec l'OIT pour améliorer la sécurité et la santé au travail. Malgré ces efforts, la Chine est souvent critiquée pour des violations du travail. Face à ces problèmes, un système législatif d'administration de travail a été développé au niveau national. Mais l’application de ces règlements demeure problématique.. En particulier, les difficultés rencontrées par les inspecteurs du travail dans l'application de ces lois constituent un élément clé du problème. Notre mémoire s'intéresse essentiellement au rôle de l'inspecteur du travail dans l'administration publique de la sécurité du travail en Chine. Ces fonctionnaires jouent un rôle important et peuvent parfois exercer leur discrétion en tant qu'acteurs de première ligne, faisant d'eux de vrais décideurs politiques. Par conséquent, la compréhension de leur rôle et de leur discrétion dans l'application des normes du travail en Chine est cruciale. Notre mémoire est centré sur une étude de cas qualitative d'un bureau d'inspection du travail dans la région de Beijing. Dans le cadre de notre recherche nous avons examiné le rôle des inspecteurs du travail au moyen d’entretiens semi-structurés, d’une recherche documentaire ainsi qu’à l’occasion d’une brève observation des inspecteurs sur lors de la visite d’un lieu de travail. Les résultats démontrent que la définition du pouvoir discrétionnaire des inspecteurs du travail de première ligne en Chine est un enjeu très complexe. L’étude de cas permet cependant d’élaborer un cadre permettant l’identification des facteurs critiques déterminants pour l'évaluation et la compréhension de la nature du pouvoir discrétionnaire de l'inspecteur du travail en application de la loi.

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In den bundesweit rund 670 anerkannten Werkstätten für behinderte Menschen (WfbM) arbeiten aktuell über 290 000 Menschen mit Behinderung. Rund ein Viertel dieser Einrichtungen bieten auch landwirtschaftliche oder gartenbauliche Arbeitsplätze (`Grüne WfbM´). Die UN-Behindertenrechtskonvention fordert u. a. eine inklusive Teilhabe der Menschen mit Behinderung am Arbeitsleben in Form von Zugangsmöglichkeiten zu sozialversicherungspflichtiger Beschäftigung auf dem allgemeinen Arbeitsmarkt. Gleichzeitig können arbeitswirtschaftlich immer mehr landwirtschaftliche Betriebe aufgrund wachsender Betriebsgrößen nicht mehr allein durch die Unternehmerfamilie geführt werden. Neben der Zuhilfenahme von Dienstleistungsanbietern ist die Suche nach Fremdarbeitskräften zwangsläufig. Neben dem Bedarf an qualifiziertem Fachpersonal werden auch Arbeitskräfte für einfachere, tägliche Routinearbeiten gesucht. Die vorliegende Arbeit begleitet wissenschaftlich ein vom Bundesministerium für Ernährung, Landwirtschaft und Verbraucherschutz gefördertes bundesweites Modellvorhaben zur Vernetzung `Grüner WfbM´ mit landwirtschaftlichen Betrieben. Forschungsleitende Fragestellungen sind die betrieblichen Interessen und Voraussetzungen aus Sicht der landwirtschaftlichen Betriebe für die Beschäftigung von Menschen mit Behinderung sowie für bilaterale Kooperationen mit diesen Einrichtungen. Anhand von 44 Betriebsinterviews und unter Anwendung einer qualitativen, rechnerbasierten Fallstudienanalyse zeigen die Ergebnisse eine Vielzahl von Möglichkeiten wirtschaftlich tragfähiger Beschäftigung behinderter Menschen auch in Kernproduktionsprozessen. Unabdingbar dafür sind angepasste Sozialtugenden und ausreichende Arbeitsmotivation auf Arbeitnehmerseite sowie eine offen-innovative und sozial geprägte Grundeinstellung auf Betriebsleitungsseite. Betriebe wünschen sich dauerhafte und verlässliche Arbeitsverhältnisse. Praktika oder gar Experimente kommen für sie eher nicht in Frage. Weniger als 10% aller `Grünen WfbM´ kooperieren bilateral mit umliegenden Betrieben. Dort wo keine Kontakte bestehen, sind Vorbehalte seitens der Landwirte hinsichtlich Wettbewerbsverzerrungen durch vermeintliche Sozialsubventionierung bzw. im Wettbewerb um Ressourcen (z.B. Land) gegenüber den Einrichtungen anzutreffen. Kooperationen fördern gegenseitiges Verständnis und sind so auch idealer `Türöffner´ für Beschäftigungsverhältnisse.

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This investigation proposes to explore the existing link between a strategic conception of philanthropy and innovation. Indeed, the nature of the research question relies on an unexplored field in the CSR and Innovation management academic literature. It starts with the interest to know which the benefits are for a firm encouraged to invest strategically in philanthropy. In this regard, the analysis contributes in fitting this gap by following different objectives in an exploratory perspective. Throughout the research it will be analyzed the concept and the current and past contributions on the different branches of innovation (product innovation, managerial innovation, technological innovation), to accentuate the relation between an accurate strategic approach to philanthropy and the impact on the organizational value. Indeed, analyzing philanthropic innovation may provide insights about business opportunities and notions related to social investments and profit. That aspect includes the link between those strategic decisions that a firm can use to maximize those investments as it was part of their core business. It also proves the existing link between CSR and innovation, and the possibilities that the enterprises have towards this subject.