998 resultados para Stimuli de premier ordre
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The third of a series of collections of French drama, the first two being the Répertoire général du Théâtre Français, 67 v., 1818; the 4th Collection des théâtres français. Fin du Répertoire, 45 v., 1829; and the 5th Chefs-d'oeuvres du répertoire des melodrames, 20 v., 1824.
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"Premier partie. Chimie" ; "Seconde partie. Métallurgie "
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Alternative title appears on t.-p. of v. 1 only; v. 2-4, by J.E. Dezeimeris; imprint varies slightly.
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Les manifestations de crise, en Côte d'Ivoire, ont été extrêmement violentes. Au cours des quinze dernières années, plus de 400 personnes sont mortes, tuées dans des affrontements avec les forces de sécurités ou des contre-manifestants. Malgré la gravité du problème, peu d’études scientifiques y sont consacrées et les rares analyses et enquêtes existantes portent, de façon unilatérale, sur l’identité et la responsabilité pénale des auteurs et commanditaires putatifs de cette violence. La présente étude s’élève contre le moralisme inhérent à ces approches pour aborder la question sous l’angle de l’interaction : cette thèse a pour objectif de comprendre les processus et logiques qui sous-tendent l’usage de la violence au cours des manifestations. Le cadre théorique utilisé dans cette étude qualitative est l’interactionnisme symbolique. Le matériel d’analyse est composé d’entrevues et de divers documents. Trente-trois (33) entrevues semi-dirigées ont été réalisées avec des policiers et des manifestants, cooptés selon la technique de la boule de neige, entre le 3 janvier et le 15 mai 2013, à Abidjan. Les rapports d’enquête, de l’ONG Human Rights Watch, sur les manifestations de crise, les manuels de formation de la police et divers autres matériaux périphériques ont également été consultés. Les données ont été analysées suivant les principes et techniques de la théorisation ancrée (Paillée, 1994). Trois principaux résultats ont été obtenus. Premièrement, le système ivoirien de maintien de l'ordre est conçu selon le modèle d’une « police du prince ». Les forces de sécurité dans leur ensemble y occupent une fonction subalterne d’exécutant. Elles sont placées sous autorité politique avec pour mandat la défense inconditionnelle des institutions. Le style standard de gestion des foules, qui en découle, est légaliste et répressif, correspondant au style d’escalade de la force (McPhail, Schweingruber, & Carthy, 1998). Cette « police du prince » dispose toutefois de marges de manœuvre sur le terrain, qui lui permettent de moduler son style en fonction de la conception qu’elle se fait de l’attitude des manifestants : paternaliste avec les foules dites calmes, elle devient répressive ou déviante avec les foules qu’elle définit comme étant hostiles. Deuxièmement, à rebours d’une conception victimaire de la foule, la violence est une transaction situationnelle dynamique entre forces de sécurité et manifestants. La violence suit un processus ascendant dont les séquences et les règles d’enchainement sont décrites. Ainsi, le premier niveau auquel s’arrête la majorité des manifestations est celui d’une force non létale bilatérale dans lequel les deux acteurs, protestataires et policiers, ont recours à des armes non incapacitantes, où les cailloux des premiers répondent au gaz lacrymogène des seconds. Le deuxième niveau correspond à la létalité unilatérale : la police ouvre le feu lorsque les manifestants se rapprochent de trop près. Le troisième et dernier niveau est atteint lorsque les manifestants utilisent à leur tour des armes à feu, la létalité est alors bilatérale. Troisièmement, enfin, le concept de « l’indignité républicaine » rend compte de la logique de la violence dans les manifestations. La violence se déclenche et s’intensifie lorsqu’une des parties, manifestants ou policiers, interprète l’acte posé par l’adversaire comme étant en rupture avec le rôle attendu du statut qu’il revendique dans la manifestation. Cet acte jugé indigne a pour conséquence de le priver de la déférence rattachée à son statut et de justifier à son encontre l’usage de la force. Ces actes d’indignités, du point de vue des policiers, sont symbolisés par la figure du manifestant hostile. Pour les manifestants, l’indignité des forces de sécurité se reconnait par des actes qui les assimilent à une milice privée. Le degré d’indignité perçu de l’acte explique le niveau d’allocation de la violence.
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Cette thèse est constituée de deux parties : Dans la première partie nous étudions l’existence de solutions périodiques, de periode donnée, et à variations bornées, de l’équation de van der Pol en présence d’impulsions. Nous étudions, en premier, le cas où les impulsions ne dépendent pas de l’état. Ensuite, nous considèrons le cas où les impulsions dépendent de la moyenne de l’état et enfin, nous traitons le cas général où les impulsions dépendent de l’état. La méthode de résolution est basée sur le principe de point fixe de type contraction. Nous nous intéressons ensuite à l’étude d’un problème avec trois points aux limites, associé à certaines équations différentielles impulsives du second ordre. Nous obtenons un premier résultat d’existence de solutions en appliquant le théorème de point fixe de Schaefer. Un deuxième résultat est obtenu en utilisant le théorème de point fixe de Sadovskii. Pour le résultat d’unicité des solutions nous appliquons, enfin, un théorème de point fixe de type contraction. La deuxième partie est consacrée à la justification de la technique de moyennisation dans le cadre des équations différentielles floues. Les conditions sur les données que nous imposons sont moins restrictives que celles de la littérature.
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Les manifestations de crise, en Côte d'Ivoire, ont été extrêmement violentes. Au cours des quinze dernières années, plus de 400 personnes sont mortes, tuées dans des affrontements avec les forces de sécurités ou des contre-manifestants. Malgré la gravité du problème, peu d’études scientifiques y sont consacrées et les rares analyses et enquêtes existantes portent, de façon unilatérale, sur l’identité et la responsabilité pénale des auteurs et commanditaires putatifs de cette violence. La présente étude s’élève contre le moralisme inhérent à ces approches pour aborder la question sous l’angle de l’interaction : cette thèse a pour objectif de comprendre les processus et logiques qui sous-tendent l’usage de la violence au cours des manifestations. Le cadre théorique utilisé dans cette étude qualitative est l’interactionnisme symbolique. Le matériel d’analyse est composé d’entrevues et de divers documents. Trente-trois (33) entrevues semi-dirigées ont été réalisées avec des policiers et des manifestants, cooptés selon la technique de la boule de neige, entre le 3 janvier et le 15 mai 2013, à Abidjan. Les rapports d’enquête, de l’ONG Human Rights Watch, sur les manifestations de crise, les manuels de formation de la police et divers autres matériaux périphériques ont également été consultés. Les données ont été analysées suivant les principes et techniques de la théorisation ancrée (Paillée, 1994). Trois principaux résultats ont été obtenus. Premièrement, le système ivoirien de maintien de l'ordre est conçu selon le modèle d’une « police du prince ». Les forces de sécurité dans leur ensemble y occupent une fonction subalterne d’exécutant. Elles sont placées sous autorité politique avec pour mandat la défense inconditionnelle des institutions. Le style standard de gestion des foules, qui en découle, est légaliste et répressif, correspondant au style d’escalade de la force (McPhail, Schweingruber, & Carthy, 1998). Cette « police du prince » dispose toutefois de marges de manœuvre sur le terrain, qui lui permettent de moduler son style en fonction de la conception qu’elle se fait de l’attitude des manifestants : paternaliste avec les foules dites calmes, elle devient répressive ou déviante avec les foules qu’elle définit comme étant hostiles. Deuxièmement, à rebours d’une conception victimaire de la foule, la violence est une transaction situationnelle dynamique entre forces de sécurité et manifestants. La violence suit un processus ascendant dont les séquences et les règles d’enchainement sont décrites. Ainsi, le premier niveau auquel s’arrête la majorité des manifestations est celui d’une force non létale bilatérale dans lequel les deux acteurs, protestataires et policiers, ont recours à des armes non incapacitantes, où les cailloux des premiers répondent au gaz lacrymogène des seconds. Le deuxième niveau correspond à la létalité unilatérale : la police ouvre le feu lorsque les manifestants se rapprochent de trop près. Le troisième et dernier niveau est atteint lorsque les manifestants utilisent à leur tour des armes à feu, la létalité est alors bilatérale. Troisièmement, enfin, le concept de « l’indignité républicaine » rend compte de la logique de la violence dans les manifestations. La violence se déclenche et s’intensifie lorsqu’une des parties, manifestants ou policiers, interprète l’acte posé par l’adversaire comme étant en rupture avec le rôle attendu du statut qu’il revendique dans la manifestation. Cet acte jugé indigne a pour conséquence de le priver de la déférence rattachée à son statut et de justifier à son encontre l’usage de la force. Ces actes d’indignités, du point de vue des policiers, sont symbolisés par la figure du manifestant hostile. Pour les manifestants, l’indignité des forces de sécurité se reconnait par des actes qui les assimilent à une milice privée. Le degré d’indignité perçu de l’acte explique le niveau d’allocation de la violence.
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Au cours de la période considérée, il a été effectué 4 cycles d'élevage larvaire complets et 5 cycles d'élevage post-larvaire matérialisant une importante évolution quantitative par rapport aux deux années antérieures du programme. Le protocole, décrit dans le rapport d'avancement des travaux 1988, n'a pas subi d'aménagements majeurs saufen matière de conditionnement des géniteurs. Malgré les progrès réalisés dans la production de larves "D" et en survie larvaire, il n'a pas été possible d'obtenir un nombre de post-larves significatif de Pecten jacobaeus pour cause de mortalité à la fixation. En revanche, un essai mené en parallèle à partir de pédivéligères de Pecten maximus, originaires d'Argenton, s'est soldé par l'obtention de près de 30.000 naissains dans des conditions de rendement satisfaisants. Enfin, le suivi mensuel de l'indice gonadique de la population naturelle de Pecten jacobaeus, associé à un examen histologique des gonades pendant une année, a permis de préciser pour la première fois en Méditerranée française le cycle de reproduction, ainsi que la période optimale de réponse à un stimuli de déclenchement de ponte.
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Mechanically evoked reflexes have been postulated to be less sensitive to presynaptic inhibition (PSI) than the H-reflex. This has implications on investigations of spinal cord neurophysiology that are based on the T-reflex. Preceding studies have shown an enhanced effect of PSI on the H-reflex when a train of ~10 conditioning stimuli at 1 Hz was applied to the nerve of the antagonist muscle. The main questions to be addressed in the present study are if indeed T-reflexes are less sensitive to PSI and whether (and to what extent and by what possible mechanisms) the effect of low frequency conditioning, found previously for the H-reflex, can be reproduced on T-reflexes from the soleus muscle. We explored two different conditioning-to-test (C-T) intervals: 15 and 100 ms (corresponding to D1 and D2 inhibitions, respectively). Test stimuli consisted of either electrical pulses applied to the posterior tibial nerve to elicit H-reflexes or mechanical percussion to the Achilles tendon to elicit T-reflexes. The 1 Hz train of conditioning electrical stimuli delivered to the common peroneal nerve induced a stronger effect of PSI as compared to a single conditioning pulse, for both reflexes (T and H), regardless of C-T-intervals. Moreover, the conditioning train of pulses (with respect to a single conditioning pulse) was proportionally more effective for T-reflexes as compared to H-reflexes (irrespective of the C-T interval), which might be associated with the differential contingent of Ia afferents activated by mechanical and electrical test stimuli. A conceivable explanation for the enhanced PSI effect in response to a train of stimuli is the occurrence of homosynaptic depression at synapses on inhibitory interneurons interposed within the PSI pathway. The present results add to the discussion of the sensitivity of the stretch reflex pathway to PSI and its functional role.
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Testing contexts have been shown to critically influence experimental results in psychophysical studies. One of these contexts that show important modulation of the behavioral effects of different stimulatory conditions is the separate (blocked) or mixed presentation of these stimulatory conditions. The study presents evidence that the apparent discriminabilities of two target stimuli can change according to which of these two testing contexts is used. A cross inside a ring and a vertical line inside a ring were presented as go stimuli in a go/no-go reaction time task. In one experiment, each of these stimuli was presented to a different group of volunteers and in another experiment they were presented to the same group of volunteers, randomly mixed in the blocks of trials. Similar reaction times were obtained for the two stimuli in the first experiment, and different reaction times (faster for the cross) in the second experiment. The latter result indicates that the two stimuli have different discriminabilities from the no-go stimulus; the cross having greater discriminability. This difference is however masked, presumably by the adoption of specific compensatory attentional sets, in a separate testing context.