980 resultados para Second French Empire


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John Willson first came to Upper Canada along with his friend Nathaniel Pettit in the late 1700s. They both moved with their families from New Jersey where they had both been imprisioned for not siding with the rebels and maintaining Loyalist allegiences. Pettit arrived with his four daughters, leaving his son behind. Willson came with his wife and nine children. Willson received 1200 acres of land as well as 200 per child. He settled at the corner of Dorchester road and Thorold Stone Road, where he and his family did very well for themselves. Willson as well as his son Thomas ran ox-teams on the portage. His son John became the proprietor of the Exchange hotel at Niagara, and Charles operated at the Pavilion hotel at Falls View. Shortly after his arrival in Upper Canada John Willson changed his name to “Irish” John Willson, as there were 5 other “John Willsons” which appeared on the Loyalists lists. Irish John drowned in the Niagara River in 1798, and his family continued to thrive in Niagara after his death. His second son Thomas Willson, married Abigail Pettit, daughter of his Father’s friend Nathaniel. Thomas was awarded 250 acres of land as a Loyalist and 200 for Abigail, as she was the daughter of a loyalist. He became a blacksmith and also operated ox-teams along the portage. He was Assessor for Stamford Township for 1800, 1807, 1820 and 1829. During the years 1808, 1822, 1825, 1826 and 1831 he was a tax collector and overseer of Statute of Labour. Thomas and Abigail Willson had nine children together. Francis Bond Head Willson of Beaverdams (mentioned throughout the collection) was a great grandson of Thomas and Abigail. Thomas and his wife are both buried beside the Lundy’s Lane United Church. *for more information on the remaining Willson family please refer to box #1, folders 1-3. * Genealogical information from a paper prepared by Pearl Wilson and given before the Lundy’s Lane Historical Society, May 1945, by Hazel Culp Ferris. Box 1 Folder 1.

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Survey map of the Second Welland Canal created by the Welland Canal Company showing the border area of the townships of Crowland and Humberstone. Identified structures associated with the Canal include back ditches, towing path and spoil banks. Surveyor measurements and notes can be seen in red and black ink and pencil. Local area landmarks include line between the 7th Concession of Crowland and the Gore, Town Line between the Townhips of Crowland and Humberstone and the Highane and Company Store. Roads parallel to Canal include southern Road Allowance and the Road to Port Colborne. Roads perpendicular to Canal include Road Allowance between the 4th and 5th Concession. Properties and property owners are noted as Thomas Merrit, John Betty, John Brown, Charles French, James McCoppen, and S.D. Woodruff. Lots noted are: Lots Number 22, 23, 24, 5th Concession."Humberstone" - Scale: 4 Chs. per Inch "Gore"

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This project presents a primer for secondary French Immersion teachers that facilitates the use of French oral communicative activities in secondary Canadian and World Studies courses. The primer supports collaborative and inclusive teaching strategies that invite students to speak and develop their oral French communication skills. The primer is divided into 2 main components: (a) Rationale for the Primer, and (b) the Strategies themselves, comprising succinct descriptions as well as potential uses and suggestions. A critical content analysis of various Ontario Ministry of Education documents was undertaken in order to explore the importance of oral communication in second-language learning in Ontario secondary schools. Furthermore, holistic and invitational education perspectives were examined in order to define the advantages of collaborative learning. Moreover, research in the stream of French Immersion studies was also referenced to frame the relevance of second-language learning and the significant role the French Immersion teacher plays. The aforementioned research contributes to the advancement of theory and practice regarding the importance of opportunities for oral French communication in secondary Canadian and World Studies courses.

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Entre 1853 et 1870, de multiples quartiers de la ville sont éventrés pour permettre la mise en place de nouveaux boulevards par le baron Haussmann, préfet de Paris sous Napoléon III. Ces travaux majeurs ont frappé l’imaginaire social et constitué un objet de fascination pour la littérature. Le mémoire se situe sur le terrain de la sociocritique. La chercheuse cherche à comprendre comment des textes de Verne, Hugo et Zola lisent la nouvelle configuration urbaine parisienne. Dans Paris au XXe siècle (1863), Jules Verne projette la destruction dans le futur et, en retour, imagine les rémanences d’un passé étrangement constructif. Bien qu’il soit en exil, Victor Hugo est très au courant des changements urbains et sociaux en cours. Dans Paris (1867), son écriture travaille à rendre compatibles les idées de ruine et de progrès. Émile Zola, avec Paris (1898), exprime les contradictions accompagnant le changement urbain par le biais de métaphores médicales et organiques proches de « l’esprit de décadence » qui caractérise la fin du siècle. En conformité avec les visées de l’approche sociocritique, c’est à partir d’une lecture interne des oeuvres, mettant à profit les ressources de l’analyse de texte, de la poétique et de la narratologie, que la recherche se développe. L’étude mobilise également les ressources des travaux consacrés aux relations de la littérature et de la ville, ainsi que celles des ouvrages de synthèse produits dans les champs de l’histoire générale et de l’histoire de l’urbanisme.

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La guerre franco-prussienne (ou franco-allemande) de 1870-71 fut un conflit majeur dont l’issue changea considérablement l’équilibre des puissances en Europe avec notamment l’émergence de l’Empire allemand. Pourtant, elle a été oubliée. Bien que depuis la fin du XIXe siècle, elle fut largement traitée par l’historiographie, la question des responsabilités relativement à son déclenchement demeure un sujet de débat. Tandis que certains historiens estiment que cette guerre fut sciemment provoquée par Bismarck afin de parachever l’unification allemande, d’autres croient que la responsabilité est partagée et que ce conflit était tout simplement inévitable dans le contexte du refroidissement des rapports franco-allemands depuis la défaite autrichienne de Königgrätz (Sadowa). Le présent mémoire entend se dissocier de ces interprétations en jetant un nouveau regard sur le rôle joué par Bismarck lors des « préliminaires » (Vorgeschichte) de 1870. En s’appuyant sur des sources primaires ainsi que sur ce que les historiographies allemande, française et anglo-saxonne nous apprennent, il sera démontré premièrement que la candidature Hohenzollern pour le trône d’Espagne n’a pas été « fabriquée » volontairement par le chef de la diplomatie prussienne afin de compléter l’unification allemande, mais qu’elle fut promue d’abord et avant tout pour des considérations de prestige politique. Deuxièmement, la fameuse dépêche d’Ems modifiée par Bismarck ne peut être considérée comme l’élément déclencheur de ce conflit, car la décision d’aller en guerre fut prise à Paris avant que les effets de la dépêche ne se fassent sentir. Enfin, par son besoin d’un succès politico-diplomatique qui aurait consolidé le Second Empire en faisant oublier les reculades antérieures, par son refus de se satisfaire du retrait de la candidature Hohenzollern et par les erreurs de sa politique étrangère en général, la France a adopté une position belliqueuse et s’est retrouvée seule dans une guerre qu’elle n’avait su ni prévenir, ni préparer. L’enjeu à Paris n’était finalement pas le règlement pacifique des différends avec la Prusse, mais la pérennisation de la prépondérance française sur le continent européen.

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De nombreuses études sur l’évolution de la motivation pour les mathématiques sont disponibles et il existe également plusieurs recherches qui se sont penchées sur la question de la différence motivationnelle entre les filles et les garçons. Cependant, aucune étude n’a tenu compte de la séquence scolaire des élèves en mathématiques pour comprendre le changement motivationnel vécu pendant le second cycle du secondaire, alors que le classement en différentes séquences est subi par tous au secondaire au Québec. Le but principal de cette étude est de documenter l’évolution de la motivation pour les mathématiques des élèves du second cycle du secondaire en considérant leur séquence de formation scolaire et leur sexe. Les élèves ont été classés dans deux séquences, soit celle des mathématiques de niveau de base (416-514) et une autre de niveau de mathématiques avancé (436-536). Trois mille quatre cent quarante élèves (1864 filles et 1576 garçons) provenant de 30 écoles secondaires publiques francophones de la grande région de Montréal ont répondu à cinq reprises à un questionnaire à items auto-révélés portant sur les variables motivationnelles suivantes : le sentiment de compétence, l’anxiété de performance, la perception de l’utilité des mathématiques, l’intérêt pour les mathématiques et les buts d’accomplissement. Ces élèves étaient inscrits en 3e année du secondaire à la première année de l’étude. Ils ont ensuite été suivis en 4e et 5e année du secondaire. Les résultats des analyses à niveaux multiples indiquent que la motivation scolaire des élèves est généralement en baisse au second cycle du secondaire. Cependant, cette diminution est particulièrement criante pour les élèves inscrits dans les séquences de mathématiques avancées. En somme, les résultats indiquent que les élèves inscrits dans les séquences avancées montrent des diminutions importantes de leur sentiment de compétence au second cycle du secondaire. Leur anxiété de performance est en hausse à la fin du secondaire et l’intérêt et la perception de l’utilité des mathématiques chutent pour l’ensemble des élèves. Les buts de maîtrise-approche sont également en baisse pour tous et les élèves des séquences de base maintiennent généralement des niveaux plus faibles. Une diminution des buts de performance-approche est aussi retrouvée, mais cette dernière n’atteint que les élèves dans les séquences de formation avancées. Des hausses importantes des buts d’évitement du travail sont retrouvées pour les élèves des séquences de mathématiques avancées à la fin du secondaire. Ainsi, les élèves des séquences de mathématiques avancées enregistrent la plus forte baisse motivationnelle pendant le second cycle du secondaire bien qu’ils obtiennent généralement des scores supérieurs aux élèves des séquences de base. Ces derniers maintiennent généralement leur niveau motivationnel. La différence motivationnelle entre les filles et les garçons ne sont pas souvent significatives, malgré le fait que les filles maintiennent généralement un niveau motivationnel inférieur à celui des garçons, et ce, par rapport à leur séquence de formation respective. En somme, les résultats de la présente étude indiquent que la diminution de la motivation au second cycle du secondaire pour les mathématiques touche principalement les élèves des séquences avancées. Il paraît ainsi pertinent de considérer la séquence scolaire dans les études sur l’évolution de la motivation, du moins en mathématiques. Il semble particulièrement important d’ajuster les interventions pédagogiques proposées aux élèves des séquences avancées afin de faciliter leur transition en mathématiques de quatrième secondaire.

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L’histoire des relations franco-japonaises est source de bien des surprises pour les historiens, ces deux pays n’ayant, à première vue, que peu de raisons de se rapprocher. La France du Second Empire est l’une des premières puissances à se rendre au Japon et elle démontre rapidement un vif intérêt pour le développement du Japon. Dès la signature des premiers traités en 1859, la présence française se développe pour atteindre son sommet quelques années plus tard. Malgré les changements de régime au Japon et en France, cette présence restera forte jusqu’au début des années 1880, avant de décliner. Qu’est-ce qui explique cet intérêt? Et, surtout, qu’est-ce qui explique le désintérêt de la France après les années 1880? Il n’y a que quelques auteurs qui ont tenté d’y trouver des réponses, et celles-ci sont, à notre point de vue, peu concluantes: soit la France agit pour faire grandir son prestige, soit elle agit en fonction de ses représentants. Nous tenterons dans le présent travail de cerner et, si possible, de trouver en utilisant une variété de sources françaises une autre cause plus convaincante comme explication de la position française au Japon. Serait-ce le commerce qui a motivé la France au Japon, notamment à cause de la crise du ver à soie? Serait-ce la religion, avec toute la question des persécutions des chrétiens? Ou encore, est-ce une raison plus globale liée à la colonisation de l’Indochine? Afin d’y répondre, nous avons étudié avec minutie les archives du gouvernement français ainsi que les données économiques de l’époque, afin de cerner l’importance qu’ont eue certaines raisons, telles la crise de la soie, les persécutions religieuses et la présence française en Indochine, dans les décisions du gouvernement français.

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Why did a majority of French voters reject the Treaty Establishing a Constitution for Europe in the 2005 referendum? We argue here that the collective mobilization of the left-wing ‘No’ camp made the decisive difference through its formation of ‘Collectifs pour le non’, a coalition which facilitated the public expression of an anti-liberal and pro-European position capable of bringing together the Green and Socialist electorates, along with other parts of the left. Using a comprehensive analysis of the multi-organizational field of protest constituted by the mobilization of the left-wing ‘No’ camp, we show first that the mobilization was a ‘European affair’, in the sense that it developed a pro-European position in the context of struggles against liberal forces. Second, we show that the mobilization was also a ‘French’ affair because it relied on the high valuation of the ‘national’ mode of belonging, through the defence of the French state model.

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France is known for being a champion of individual rights as well as for its overt hostility to any form of group rights. Linguistic pluralism in the public sphere is rejected for fear of babelization and Balkanization of the country. Over recent decades the Conseil Constitutionnel (CC) has, together with the Conseil d’État, remained arguably the strongest defender of this Jacobin ideal in France. In this article, I will discuss the role of France’s restrictive language policy through the prism of the CC’s jurisprudence. Overall, I will argue that the CC made reference to the (Jacobin) state-nation concept, a concept that is discussed in the first part of the paper, in order to fight the revival of regional languages in France over recent decades. The clause making French the official language in 1992 was functional to this policy. The intriguing aspect is that in France the CC managed to standardise France’s policy vis-à-vis regional and minority languages through its jurisprudence; an issue discussed in the second part of the paper. But in those regions with a stronger tradition of identity, particularly in the French overseas territories, the third part of the paper argues, normative reality has increasingly become under pressure. Therefore, a discrepancy between the ‘law in courts’ and the compliance with these decisions (‘law in action’) has been emerging over recent years. Amid some signs of opening of France to minorities, this contradiction delineates a trend that might well continue in future.

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Second language listening has historically proved to be a difficult skill. Strategy instruction studies have sought to bring about improvements in subjects’ listening but with mixed results. This lack of success might be due to the nature of listening strategy theory and its influence on conceptualizations of listening strategy instruction. The current study, based on an initial descriptive investigation of a specific population of learners, measured the effects of strategy instruction on both the listening performance and self-efficacy of 68 lower-intermediate learners of French in England, against a comparison group. Moreover, the effects of high- and low-scaffolded interventions were compared. Results suggest that the program improved listening proficiency and learners’ confidence about listening. Implications for pedagogy and strategy theory are discussed.

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This paper explores methodological issues related to research into second language listening strategies. We argue that a number of central questions regarding research methodology in this line of enquiry are underexamined, and we engage in the discussion of three key methodological questions: (1) To what extent is a verbal report a valid and reliable way of eliciting information about strategies? (2) Should we control for learners' level of linguistic knowledge when examining their listening strategy use? and (3) What are the problems surrounding the analysis of data gained through verbal reports? We discuss each of these three methodological issues within the framework of a research project investigating listening strategies deployed by learners of French in secondary schools in England. Implications from these findings for future research are discussed.

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We show how teacher judgements can be used to assess the quality of vocabulary used by L2 learners of French.

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This chapter compares lexical diversity of French words used by Dutch-French bilinguals, English-French bilinguals and Flemish L2 learners of French.