653 resultados para Multifocal contact lens
Resumo:
Dissertação de mestrado em Optometria Avançada
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Dissertação de mestrado em Optometria Avançada
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BACKGROUND: Infectious keratitis after PRK remains a rare but potentially devastating complication. HISTORY AND SIGNS: Medical records of 3 male patients with infectious keratitis after uneventful PRK for myopia and astigmatism were reviewed retrospectively. PRK was performed using the Wavelight Allegretto excimer laser. Postoperative care included a bandage contact lens (BCL) for 5 days, topical antibiotics, ketorolac, and artificial tears. THERAPY AND OUTCOME: Keratitis presented 2 - 4 days postoperatively. In one case, each culture was negative (case 1), and was positive for Streptococcus pneumoniae (case 2) and Staphylococcus aureus (case 3). Final BSCVA (best spectacle corrected visual acuity) after intensive antibiotic treatment and removal of BCL were 1.0 (case 1), 0.9 (case 2) and 0.3 correctable to 0.8 with pinhole (case 3). CONCLUSIONS: Postoperative broad-spectrum antibiotics are mandatory after PRK to prevent infectious keratitis. However, resistant organisms are more and more common. The presence of a bandage soft contact lens after surgery is an unfavourable element that may increase risk of infection. Based on our case series, we suggest limiting soft contact lens wear during the two postoperative days even if the corneal ulceration is not healed.
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Justification: Le glaucome entraîne une perte progressive de la vision causée par la détérioration du nerf optique. Le glaucome est répandu dans le monde et cause la cécité dans environ sept millions de personnes. Le glaucome touche plus de 400 000 Canadiens et sa prévalence augmente avec le vieillissement de la population.1,2 Il s'agit d'une maladie chronique surnoise dont les symptômes se manifestent uniquement lors des stades avancés et qui peuvent mener à la cécité. Présentement, le seul moyen possible d’arrêter la progression du glaucome au stade initial est de diminuer la pression intra-oculaire (PIO). Les analogues de prostaglandines (APG) topiques sont fréquemment utilisées comme traitement de première ligne. Cependant, la recherche démontre que cette classe de médicaments peut changer certaines propriétés de la cornée, et possiblement influencer la mesure de la PIO.3 Objectif: À déterminer si l'utilisation d'APG affecte les propriétés biomécaniques de la cornée. La conclusion sera basée sur l'analyse intégrée des résultats obtenus de l'analyseur Reichert oculaire Réponse (ORA), la tonométrie par applanation de Goldmann (TAG) et la pachymétrie ultrasonographique. Le deuxième objectif potentiel de cette étude est de déterminer la corrélation, le cas échéant, entre les propriétés biomécaniques de la cornée, l'épaisseur de la cornée centrale (ECC) et la PIO chez les patients subissant un traitement d’APG topique. L'hypothèse principale de cette étude est que l’APG influence les propriétés de la cornée telles que l'épaisseur centrale, l'élasticité et la résistance. Patients et méthodes : Soixante-dix yeux de 35 patients, âgés de 50-85 ans, atteints de glaucome à angle ouvert (GAO) et traités avec APG topique ont été examinés. Seulement les sujets avec une réfraction manifeste entre -6,00 D et +4,25 D ont été inclus. Les critères d'exclusion sont: patients avec n'importe quelle autre maladie de la cornée de l’œil, telles que la dystrophie endothéliale de Fuch’s et kératocône, ou tout antécédent de traumatisme ou d'une chirurgie de la cornée, ainsi que le port de lentilles de contact. Nous avons demandé aux patients atteints du glaucome qui ont des paramètres stables et qui utilisent l’APG dans les deux yeux de cesser l’APG dans l'œil moins affecté par la PIO, et de continuer l’utilisation d’APG dans l'œil contralatéral. Le meilleur œil est défini comme celui avec moins de dommage sur le champ visuel (CV) (déviation moyenne (DM), le moins négatif) ou une PIO maximale historique plus basse si la DM est égale ou encore celui avec plus de dommage sur la tomographie par cohérence optique (TCO, Cirrus, CA) ou la tomographie confocale par balayage laser (HRT, Heidelberg, Allemagne). Toutes les mesures ont été prises avant la cessation d’APG et répétées 6 semaines après l’arrêt. Les patients ont ensuite recommencé l’utilisation d’APG et toutes les mesures ont été répétées encore une fois après une période supplémentaire de 6 semaines. Après commencer ou de changer le traitement du glaucome, le patient doit être vu environ 4-6 semaines plus tard pour évaluer l'efficacité de la goutte.4 Pour cette raison, on été décidé d'utiliser 6 semaines d'intervalle. Toutes les mesures ont été effectuées à l’institut du glaucome de Montréal par le même technicien, avec le même équipement et à la même heure de la journée. L'œil contralatéral a servi comme œil contrôle pour les analyses statistiques. La tonométrie par applanation de Goldmann a été utilisée pour mesurer la PIO, la pachymétrie ultrasonographique pour mesurer l'ECC, et l’ORA pour mesurer les propriétés biomécaniques de la cornée, incluant l'hystérèse cornéenne (HC). L’hypothèse de l'absence d'effet de l'arrêt de l’APG sur les propriétés biomécaniques a été examiné par un modèle linéaire à effets mixtes en utilisant le logiciel statistique R. Les effets aléatoires ont été définies à deux niveaux: le patient (niveau 1) et l'œil de chaque patient (niveau 2). Les effets aléatoires ont été ajoutés au modèle pour tenir compte de la variance intra-individuelle. L’âge a également été inclus dans le modèle comme variable. Les contrastes entre les yeux et les temps ont été estimés en utilisant les valeurs p ajustées pour contrôler les taux d'erreur internes de la famille en utilisant multcomp paquet dans R. Résultats: Une augmentation statistiquement significative due l 'HC a été trouvée entre les visites 1 (sur APG) et 2 (aucun APG) dans les yeux de l'étude, avec une moyenne (±erreur standard) des valeurs de 8,98 ± 0,29 mmHg et 10,35 ± 0,29 mmHg, respectivement, correspondant à une augmentation moyenne de 1,37 ± 0,18 mmHg (p <0,001). Une réduction significative de 1,25 ± 0,18 mmHg (p <0,001) a été observée entre les visites 2 et 3, avec une valeur moyenne HC finale de 9,09 ± 0,29 mmHg. En outre, une différence statistiquement significative entre l’oeil d’étude et le contrôle n'a été observée que lors de la visite 2 (1,01 ± 0,23 mmHg, p <0,001) et non lors des visites 1 et 3. Une augmentation statistiquement significative du facteur de résistance conréen (FRC) a été trouvée entre les visites 1 et 2 dans les yeux de l'étude, avec des valeurs moyennes de 10,23 ± 0,34 mmHg et 11,71 ± 0,34 mmHg, respectivement. Le FRC a ensuite été réduit de 1,90 ± 0,21 mmHg (p <0,001) entre les visites 2 et 3, avec une valeur moyenne FRC finale de 9,81 ± 0,34 mmHg. Une différence statistiquement significative entre l’oeil d’étude et le contrôle n'a été observée que lors de la visite 2 (1,46 ± 0,23 mmHg, p <0,001). Une augmentation statistiquement significative de l'ECC a été trouvée entre les visites 1 et 2 dans les yeux de l'étude, avec des valeurs moyennes de 541,83 ± 7,27 µm et 551,91 ± 7,27 µm, respectivement, ce qui correspond à une augmentation moyenne de 10,09 ± 0,94 µm (p <0,001). L'ECC a ensuite diminué de 9,40 ± 0,94 µm (p <0,001) entre les visites 2 et 3, avec une valeur moyenne finale de 542,51 ± 7,27 µm. Une différence entre l’étude et le contrôle des yeux n'a été enregistré que lors de la visite 2 (11,26 ± 1,79 µm, p <0,001). De même, on a observé une augmentation significative de la PIO entre les visites 1 et 2 dans les yeux de l'étude, avec des valeurs moyennes de 15,37 ± 0,54 mmHg et 18,37 ± 0,54 mmHg, respectivement, ce qui correspond à une augmentation moyenne de 3,0 ± 0,49 mmHg (p <0,001). Une réduction significative de 2,83 ± 0,49 mmHg (p <0,001) a été observée entre les visites 2 et 3, avec une valeur moyenne de la PIO finale de 15,54 ± 0,54 mmHg. L’oeil de contrôle et d’étude ne différaient que lors de la visite 2 (1,91 ± 0,49 mmHg, p <0,001), ce qui confirme l'efficacité du traitement de l’APG. Lors de la visite 1, le biais de la PIO (PIOcc - PIO Goldmann) était similaire dans les deux groupes avec des valeurs moyennes de 4,1 ± 0,54 mmHg dans les yeux de contrôles et de 4,8 ± 0,54 mmHg dans les yeux d’études. Lors de la visite 2, après un lavage de 6 semaines d’APG, le biais de la PIO dans l'œil testé a été réduit à 1,6 ± 0,54 mmHg (p <0,001), ce qui signifie que la sous-estimation de la PIO par TAG était significativement moins dans la visite 2 que de la visite 1. La différence en biais PIO moyenne entre l'étude et le contrôle des yeux lors de la visite 2, en revanche, n'a pas atteint la signification statistique (p = 0,124). On a observé une augmentation peu significative de 1,53 ± 0,60 mmHg (p = 0,055) entre les visites 2 et 3 dans les yeux de l'étude, avec une valeur de polarisation finale de la PIO moyenne de 3,10 ± 0,54 mmHg dans les yeux d'études et de 2,8 ± 0,54 mmHg dans les yeux de contrôles. Nous avons ensuite cherché à déterminer si une faible HC a été associée à un stade de glaucome plus avancé chez nos patients atteints du glaucome à angle ouvert traités avec l’APG. Lorsque l'on considère tous les yeux sur l’APG au moment de la première visite, aucune association n'a été trouvée entre les dommages sur le CV et l'HC. Cependant, si l'on considère seulement les yeux avec un glaucome plus avancé, une corrélation positive significative a été observée entre la DM et l'HC (B = 0,65, p = 0,003). Une HC inférieure a été associé à une valeur de DM de champ visuelle plus négative et donc plus de dommages liés au glaucome. Conclusions : Les prostaglandines topiques affectent les propriétés biomécaniques de la cornée. Ils réduisent l'hystérèse cornéenne, le facteur de résistance cornéen et l'épaisseur centrale de la cornée. On doit tenir compte de ces changements lors de l'évaluation des effets d’APG sur la PIO. Plus de recherche devrait être menées pour confirmer nos résultats. De plus, d’autres études pourraient être réalisées en utilisant des médicaments qui diminuent la PIO sans influencer les propriétés biomécaniques de la cornée ou à l'aide de tonomètre dynamique de Pascal ou similaire qui ne dépend pas des propriétés biomécaniques de la cornée. En ce qui concerne l'interaction entre les dommages de glaucome et l'hystérésis de la cornée, nous pouvons conclure qu' une HC inférieure a été associé à une valeur de DM de CV plus négative. Mots Clés glaucome - analogues de prostaglandines - hystérèse cornéenne – l’épaisseur de la cornée centrale - la pression intraoculaire - propriétés biomécaniques de la cornée.
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INTRODUCCION: Existe controversia en cuanto a la técnica quirúrgica para el manejo de tumores del limbo conjuntival. El uso de cierre primario con uso de lente de contacto puede ofrecer una mejor cicatrización y tener ventajas adicionales sobre la técnica tradicional con el uso de plastia. OBJETIVOS: Comparar los resultados en cuanto a grado de dolor, picadas, prurito, porcentaje de epitelización y cicatrización, comodidad del paciente, grado de quemosis y tiempo de retorno a actividades diarias en ambas técnicas quirúrgicas. MATERIALES Y METODOS: Experimento clínico controlado aleatorizado en dos grupos: Al primer grupo se le realizó cirugía de resección de la lesión más plastia. Al segundo grupo se le practicó la resección de la lesión cierre primario y lente de contacto. El seguimiento se realizó al primer y cuarto día, y cada semana durante el primer mes de postoperatorio. Se utilizó el SPSS 20.0 ® para análisis estadístico de datos y se utilizó estadística no paramétrica. RESULTADOS: Se conto con 10 pacientes por grupo. El dolor y porcentaje de cicatrización al primer día postoperatorio fueron mayores en el grupo usando lente de contacto (p=0.048). Al cuarto día postquirúrgico se encontró un mayor porcentaje de cicatrización en el grupo usando lente de contacto. (p=0.075). CONCLUSIONES: El cierre por afrontamiento con uso de lente de contacto mostró dolor y picadas mayores al primer y cuarto día postoperatorio. Pero la epitelización y cicatrización fueron tempranas con un retorno corto a actividades cotidianas.
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Se estimó la sensibilidad y especificidad de la citología de impresión como prueba diagnóstica en lesiones conjuntivales clínicamente sospechosas de neoplasia usando como patrón de oro la patología. Se estudiaron 60 pacientes, que ingresaron al azar a la Fundación Oftalmológica Nacional, con diagnóstico clínico de neoplasia de superficie ocular o lesión sospechosa de neoplasia, quienes fueron sometidos a citología de impresión y posterior resección quirúrgica completa, más estudio patológico de la lesión. Se realizó un análisis descriptivo, analizando la sensibilidad y la especificidad con el método clásico y análisis bayesiano.
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Introducción: En la literatura, han aparecido reportes de neoplasia escamosa de superficie ocular (NESO) asociado con pterigio en un mismo paciente. Sin embargo, Colombia no cuenta con una estadística para ninguna de estas patologías. Objetivos: Determinar la frecuencia de NESO en pterigios resecados, en la Fundación Oftalmológica Nacional. Identificar factores de riesgo y características clínicas que predispongan a su aparición. Metodología: Estudio descriptivo de corte transversal. Se realizó una clasificación prequirúrgica y estudio histopatológico de los pterigios resecados en 93 pacientes, para confirmar su coexistencia con NESO. Se efectuó un análisis de frecuencias para datos demográficos y factores de riesgo asociados su aparición. Resultados: La frecuencia de NESO asociado a pterigio fue 7,07%. De estos, 28,5% identificados como sospechosos en la evaluación preoperatoria. La mayoría se presentaron en mujeres (71,4%), las ocupaciones con mayor frecuencia: labores domésticas (42,8%) y el comercio (28.5%). La exposición a derivados del petróleo y tabaquismo fue del 14,28%. No se presentaron casos asociados a infección por VIH. No hubo diferencias estadísticamente significativas sobre la presencia de NESO al comparar los casos en edad (p=0,8), procedencia (p=0,6) tabaquismo (p=0,4), leucoplaquia (p=1,0), queratinización (p=0,137), o vasos amputados (p=0,137). Conclusiones: De los pacientes con diagnóstico histopatológico de NESO, un porcentaje mínimo es sospechado clínicamente. Además se encontró este diagnóstico en pacientes más jóvenes que lo reportado en la literatura. Se recomienda realizar estudios con mayor número de pacientes para una mejor identificación de factores de riesgo. Palabras clave:
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Purpose: We described the rate of Acanthamoeba keratitis (AK) in a referral eye center in Sao Paulo, Brazil, through a retrospective review of clinical and laboratorial records of patients over 2 decades. Methods: From 1987 to 2006, a total of 581 requests for amoebic laboratory workup in cases of infections keratitis were investigated. Statistical analyses were applied to analyze a tendency of AK cases. Results: Acanthamoeba species were cultured from corneal scrapings of 185 patients, 5 of them with bilateral infection. Eighty-three percent of those patients were related with contact lens wear. Conclusions: The results suggested that patients with AK have persisted and increased over time at our ophthalmology center. Contact lenses showed to be a potential risk factor. Amoebic corneal infection can be considered as a new but well-established disease ill Brazilian ophthalmology and visual sciences.
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Purpose: To describe corneal graft survival and visual outcome after therapeutic penetrating keratoplasty in patients with Acanthamoeba keratitis (AK) that is unresponsive to clinical treatment. Methods: Retrospective study. Thirty-two patients with AK who underwent therapeutic penetrating keratoplasty (tPK) from August 1996 to August 2005 were included. Data relating to clinical features, visual acuity, surgical technique, graft survival and complications were collected. Graft survival was evaluated by the Kaplan-Meier method and comparisons were performed using the Log-rank test. Results: Most patients (62.5%) were female. Mean age [+/- standard deviation (SD)] was 35 (+/- 13) years (range 15-68 years). All patients were contact lens wearers. Eighteen patients (56%) presented paralytic mydriasis and glaucoma during the treatment. Thirteen patients (40%) developed glaucoma after surgery; eight of them (61%) required a second PK because of graft failure. Of the 32 keratoplasty eyes, 56.2% presented graft failure at any follow-up point. Forty-five per cent of graft failures occurred before the 12 month follow-up, so 55% remained clear in the first year after surgery. Twelve patients underwent a second PK; seven of them failed and 45% were clear at 1 year. Two patients presented graft recurrence of amoebic infection. There was no significant difference in graft survival when eyes with or without mydriasis were compared (P = 0.40). Eyes with glaucoma presented a significantly shorter graft survival (P = 0.01). Conclusion: Penetrating keratoplasty is a treatment option for eyes that are unresponsive to clinical treatment infections. However, graft survival is poor; postoperative glaucoma is frequent and is associated with shorter graft survival.
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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The artificial iris is the structure responsible for the dissimulation and aesthetics of ocular prosthesis. The objective of the present study was to evaluate the color stability of artificial iris of microwaveable polymerized ocular prosthesis, as a function of paint type, drying method and accelerated aging. A total of 40 discs of microwaveable polymerized acrylic resin were fabricated, and divided according to the blue paint type ( n = 5): hydrosoluble acrylic, nitrocellulose automotive, hydrosoluble gouache and oil paints. Paints where dried either at natural or at infrared light bulb method. Each specimen was constituted of one disc in colorless acrylic resin and another colored with a basic sclera pigment. Painting was performed in one surface of one of the discs. The specimens were submitted to an artificial aging chamber under ultraviolet light, during 1008 h. A reflective spectrophotometer was used to evaluate color changes. Data were evaluated by 3-way repeated-measures ANOVA and the Tukey HSD test (alpha = 0.05). All paints suffered color alteration. The oil paint presented the highest color resistance to artificial aging regardless of drying method. (C) 2010 British Contact Lens Association. Published by Elsevier Ltd. All rights reserved.
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OBJETIVO: Analisar o perfil dos usuários de lentes de contato entre os estudantes de medicina da Faculdade de Medicina de Botucatu da Universidade Estadual Paulista - UNESP - Botucatu (SP), quanto à ametropia, à aquisição, aos cuidados e às complicações. MÉTODOS: Foi aplicado um questionário aos alunos do 1º ao 6º ano de Medicina da Faculdade de Medicina de Botucatu da Universidade Estadual Paulista - UNESP - Botucatu (SP), perfazendo um estudo analítico transversal. RESULTADOS: Foram 566 entrevistados. Destes, 155 (27,4%) usavam lente de contato. Das lentes de contato usadas, 94,8% eram gelatinosas, e em 98,7% o grau era negativo. O descarte dessas lentes era mensal em 46,9% dos entrevistados e 63,9% a utilizavam, em média, 14 horas/dia. Faziam aquisição da lente de contato em óptica ou farmácia 14,1% dos estudantes. Faziam a higiene ao colocá-las e ao retirá-las dos olhos, 46,5%. As complicações referentes aos olhos vermelhos eram 51,0%; 44,5%, embaçamento; e 42,6%, sensação de corpo estranho, além de 4 estudantes relatarem ceratite. CONCLUSÕES: A maioria dos alunos utilizava lentes hidrofílicas, descarte mensal e grau negativo. A adaptação inadequada, aquisição de lentes de contato em ópticas ou farmácias e complicações graves ocorreram, mesmo nos usuários socioculturalmente considerados diferenciados. em vista disso, demanda a extrema necessidade de maior atenção na abordagem do tema em questão, a fim de prevenir o comprometimento visual permanente.
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Purpose: To detect normal values of red phenol thread test in the Brazilian population and compare it between different races, age and sex. Methods: 280 white individuals (560 eyes) and 280 non-white individuals (560 eyes) were analyzed regarding sex and age, and analyzed using the Phenol Red test. Individuals with ocular diseases, contact lens or ocular drug users were excluded from this study. Results: Of the 1,120 evaluated eyes, the mean ± standard deviation result was 19,77±7,90 mm. Conclusion: The mean result found in this study was an intermediate value compared to the previously studied populations (Japanese and American).