470 resultados para Middaugh, Bud


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L’hypothyroïdie congénitale par dysgénésie thyroïdienne (HCDT) est la condition endocrinienne néonatale la plus fréquemment rencontrée, avec une incidence d’un cas sur 4000 naissances vivantes. L’HCDT comprend toutes les anomalies du développement de la thyroïde. Parmi ces anomalies, le diagnostic le plus fréquent est l’ectopie thyroïdienne (~ 50% des cas). L’HCDT est fréquemment associée à un déficit sévère en hormones thyroïdiennes (hypothyroïdisme) pouvant conduire à un retard mental sévère si non traitée. Le programme de dépistage néonatal assure un diagnostic et un traitement précoce par hormones thyroïdiennes. Cependant, même avec un traitement précoce (en moyenne à 9 jours de vie), un retard de développement est toujours observé, surtout dans les cas les plus sévères (c.-à-d., perte de 10 points de QI). Bien que des cas familiaux soient rapportés (2% des cas), l’HCTD est essentiellement considérée comme une entité sporadique. De plus, plus de 92% des jumeaux monozygotiques sont discordants pour les dysgénésies thyroïdiennes et une prédominance féminine est rapportée (spécialement dans le cas d’ectopies thyroïdiennes), ces deux observations étant clairement incompatible avec un mode de transmission héréditaire mendélien. Il est donc cohérent de constater que des mutations germinales dans les facteurs de transcription thyroïdiens connus (NKX2.1, PAX8, FOXE1, and NKX2.5) ont été identifiées dans seulement 3% des cas sporadiques testés et furent, de plus, exclues lors d’analyse d’association dans certaines familles multiplex. Collectivement, ces données suggèrent que des mécanismes non mendéliens sont à l’origine de la majorité des cas de dysgénésie thyroïdienne. Parmi ces mécanismes, nous devons considérer des modifications épigénétiques, des mutations somatiques précoces (au stade du bourgeon thyroïdien lors des premiers stades de l’embryogenèse) ou des défauts développementaux stochastiques (c.-à-d., accumulation aléatoire de mutations germinales ou somatiques). Voilà pourquoi nous proposons un modèle «2 hits » combinant des mutations (épi)génétiques germinales et somatiques; ce modèle étant compatible avec le manque de transmission familial observé dans la majorité des cas d’HCDT. Dans cette thèse, nous avons déterminé si des variations somatiques (épi)génétiques sont associées à l’HCTD via une approche génomique et une approche gène candidat. Notre approche génomique a révélé que les thyroïdes ectopiques ont un profil d’expression différent des thyroïdes eutopiques (contrôles) et que ce profil d’expression est enrichi en gènes de la voie de signalisation Wnt. La voie des Wnt est cruciale pour la migration cellulaire et pour le développement de plusieurs organes dérivés de l’endoderme (p.ex. le pancréas). De plus, le rôle de la voie des Wnt dans la morphogénèse thyroïdienne est supporté par de récentes études sur le poisson-zèbre qui montrent des anomalies du développement thyroïdien lors de la perturbation de la voie des Wnt durant différentes étapes de l’organogénèse. Par conséquent, l’implication de la voie des Wnt dans l’étiologie de la dysgénésie thyroïdienne est biologiquement plausible. Une trouvaille inattendue de notre approche génomique fut de constater que la calcitonine était exprimée autant dans les thyroïdes ectopiques que dans les thyroïdes eutopiques (contrôles). Cette trouvaille remet en doute un dogme de l’embryologie de la thyroïde voulant que les cellules sécrétant la calcitonine (cellules C) proviennent exclusivement d’une structure extrathyroïdienne (les corps ultimobranchiaux) fusionnant seulement avec la thyroïde en fin de développement, lorsque la thyroïde a atteint son emplacement anatomique définitif. Notre approche gène candidat ne démontra aucune différence épigénétique (c.-à-d. de profil de méthylation) entre thyroïdes ectopiques et eutopiques, mais elle révéla la présence d’une région différentiellement méthylée (RDM) entre thyroïdes et leucocytes dans le promoteur de FOXE1. Le rôle crucial de FOXE1 dans la migration thyroïdienne lors du développement est connu et démontré dans le modèle murin. Nous avons démontré in vivo et in vitro que le statut de méthylation de cette RDM est corrélé avec l’expression de FOXE1 dans les tissus non tumoraux (c.-à-d., thyroïdes et leucocytes). Fort de ces résultats et sachant que les RDMs sont de potentiels points chauds de variations (épi)génétiques, nous avons lancé une étude cas-contrôles afin de déterminer si des variants génétiques rares localisés dans cette RDM sont associés à la dysgénésie thyroïdienne. Tous ces résultats générés lors de mes études doctorales ont dévoilé de nouveaux mécanismes pouvant expliquer la pathogenèse de la dysgénésie thyroïdienne, condition dont l’étiologie reste toujours une énigme. Ces résultats ouvrent aussi plusieurs champs de recherche prometteurs et vont aider à mieux comprendre tant les causes des dysgénésies thyroïdiennes que le développement embryonnaire normal de la thyroïde chez l’homme.

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La localisation des ARNm par transport dirigé joue un rôle dans le développement, la motilité cellulaire, la plasticité synaptique et la division cellulaire asymétrique. Chez la levure Saccharomyces cerevisiæ, la localisation d’ARNm est un phénomène dont les mécanismes de régulation sont conservés auprès de nombreux autres organismes. Lors de la division de la levure, plus d’une trentaine de transcrits sont localisés par transport actif à l’extrémité du bourgeon de la cellule-fille. Parmi ceux-ci, l’ARNm ASH1 est le mieux caractérisé et constitue le modèle utilisé dans cette étude. Pour exercer sa fonction, la protéine Ash1 doit être produite uniquement après la localisation de l’ARNm ASH1. Pour ce faire, les mécanismes de régulation de la traduction de l’ARNm ASH1 empêchent son expression durant le transport. Ce projet de recherche vise à étudier les mécanismes de régulation de la traduction de l’ARNm ASH1 par les répresseurs traductionnels connus, soit Khd1, Puf6 et Loc1. Les études antérieures se sont penchées sur ces facteurs de manière individuelle. Cependant, dans cette étude, nous avons exploré la présence d’une collaboration entre ceux-ci. Ainsi, nous avons voulu déterminer si les répresseurs traductionnels peuvent être intégrés en une seule voie de régulation de la traduction de l’ARNm ASH1. De plus, nous avons cherché à identifier le mécanisme de recrutement des répresseurs traductionnels sur l’ARNm ASH1, qui correspond au point initial des voies de régulations de l’ARNm ASH1. Nos résultats montrent que les répresseurs traductionnels de l’ARNm ASH1, soit Khd1 et Puf6, font partie d’une même voie de régulation de la traduction. Le rôle du facteur nucléaire Loc1 dans la voie de régulation de la traduction, quant à elle, a été examinée à partir d’expériences permettant l’étude du mécanisme de recrutement des répresseurs traductionnels dans le noyau. Ainsi, nos travaux montrent que Puf6 et Loc1 sont associés de manière ARN-dépendant avec la machinerie de transcription, notamment au facteur d’élongation de la transcription Spt4-Spt5/DSIF. Par ailleurs, notre laboratoire a précédemment montré que la localisation nucléaire de la protéine de liaison à l’ARN She2 est essentielle au recrutement des facteurs Loc1 et Puf6 sur l’ARNm ASH1. Des expériences d’immunoprécipitation de la chromatine (ChIP) supportent l’hypothèse que le recrutement de Loc1 est essentiel à celui de Puf6, qui s’effectue ultérieurement. Ainsi, à partir des résultats de cette étude et des résultats publiés précédemment dans notre laboratoire, nous avons élaboré un modèle de recrutement coordonné des facteurs She2, Loc1 et Puf6 sur l’ARNm ASH1 naissant. De manière générale, cette étude a permis d’établir la présence d’une seule voie de régulation de la traduction de l’ARNm ASH1 et une meilleure connaissance du recrutement des facteurs de répression traductionnelle sur celui-ci.

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Since dwarf napiergrass (Pennisetum purpureum Schumach.) must be propagated vegetatively due to lack of viable seeds, root splitting and stem cuttings are generally used to obtain true-to-type plant populations. These ordinary methods are laborious and costly, and are the greatest barriers for expanding the cultivation area of this crop. The objectives of this research were to develop nursery production of dwarf napiergrass in cell trays and to compare the efficiency of mechanical versus manual methods for cell-tray propagation and field transplanting. After defoliation of herbage either by a sickle (manually) or hand-mowing machine, every potential aerial tiller bud was cut to a single one for transplanting into cell trays as stem cuttings and placed in a glasshouse over winter. The following June, nursery plants were trimmed to a 25–cm length and transplanted in an experimental field (sandy soil) with 20,000 plants ha^(−1) either by shovel (manually) or Welsh onion planter. Labour time was recorded for each process. The manual defoliation of plants required 44% more labour time for preparing the stem cuttings (0.73 person-min. stemcutting^(−1)) compared to using hand-mowing machinery (0.51 person-min. stem-cutting^(−1)). In contrast, labour time for transplanting required an extra 0.30 person-min. m^(−2) (14%) using the machinery compared to manual transplanting, possibly due to the limited plot size for machinery operation. The transplanting method had no significant effect on plant establishment or plant growth, except for herbage yield 110 days after planting. Defoliation of herbage by machinery, production using a cell-tray nursery and mechanical transplanting reduced the labour intensity of dwarf napiergrass propagation.

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Desde mi experiencia como educador físico y futuro especialista en ejercicio físico para la salud, pongo especial atención en los hábitos de vida de las personas, con el objetivo de poder orientarles en un plan de ejercicios que redunden en su salud y bienestar. Sin embargo, para la presente investigación, centraré la atención en mis propios hábitos de vida, particularmente en lo referido a nutrición y actividad física, la cual presenta actualmente una tendencia hacia la disminución del movimiento en mi vida cotidiana, aspecto bastante cuestionable teniendo en cuenta el campo de mi especialización. A partir de esta perspectiva, surge entonces la idea de realizar un programa de auto ejercitación, a la luz de los conocimientos adquiridos en la especialización y poniendo a prueba los postulados estudiados, para convertirme en el sujeto de mi propia investigación, con el objetivo de modificar conductas erróneas, atreverme a buscar un estilo de vida saludable y ganar así, una mayor experiencia en mi futura labor como especialista en ejercicio físico para la salud.

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El presente estudio tiene como objetivo analizar la factibilidad de implementar el Sistema de Mercadeo Multinivel o por redes en las compañias de fabricación y/o distribución de productos cosméticos radicados en la ciudad de Santafé de Bogotá

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Resumen tomado de la publicación

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Este recurso se divide en diecisiete temas orientados a adolescentes, con más de cincuenta actividades y juegos de distintos niveles, desde el elemental hasta el intermedio superior. Estas actividades adicionales permiten la lectura, escritura, comprensión y conversación e incluyen juegos de rol, juegos de mesa, concursos y debates.

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Aquest treball es centra en l'estudi de la regeneració vegetativa en els estadis inicials del desenvolupament de Quercus coccifera, Q. humilis, Q. ilex i Q. suber, analitzant la capacitat de rebrotada després de l'eliminació de la biomassa aèria. S'ha realitzat una descripció, a nivell histològic, de l'ontogènesi del nus cotiledonar des de l'embrió fins a la plàntula de mig any d'edat de Q. coccifera, Q. humilis i Q. ilex. Així mateix, s'ha analitzat el contingut de midó i de nitrogen a la primavera, l'estiu i l'hivern en diferents parts de les plàntules de les quatre espècies, avaluant, alhora, l'efecte de la tala. D'altra banda, també s'ha estudiat la biometria de les glans, la capacitat de germinació i el creixement de les plàntules de les quatre espècies de Quercus. A partir dels resultats s'ha comprovat que les glans de Q. suber, en general, són més grans, tant en diàmetre com en longitud, i tenen un pes superior, mentre que les de Q. ilex són més petites i pesen menys. En les quatre espècies estudiades, el pes de la llavor està determinat per la longitud i el diàmetre, si bé, també hi ha un cert efecte de l'espècie. Amb les dades obtingudes de les tres variables de la gla s'ha calculat una funció discriminant a partir de la qual es pot determinar, amb un alt grau d'encert, a quina espècie pertany una determinada gla coneixent la mida i el pes. En relació a la capacitat de germinació, en Q. coccifera i Q. ilex la germinació depèn del pes de la gla, mentre que en Q. humilis i Q. suber és independent. Així mateix, també s'ha comprovat que el pes de la llavor afecta positivament en el creixement de les plàntules de tres i sis mesos d'edat. Possiblement un major pes de la gla implica un contingut de substàncies de reserva més elevat, i per tant representa un major subministrament de nutrients cap a la planta, repercutint així en el seu creixement inicial. En plàntules de nou mesos d'edat ja no s'ha trobat relació entre el pes de la gla i el creixement de la planta, la qual cosa es podria explicar pel fet que les substàncies de reserva de la llavor s'han esgotat. Pel que fa al creixement de la plàntula, les plàntules de Q. ilex han tingut la major taxa de creixement per quasi totes les variables estudiades. En aquesta espècie, al principi de l'experiment la grandària de les plàntules ha estat baixa, però al final han crescut més que les de les altres espècies. Les plàntules de Q. coccifera han presentat la menor taxa. En les plàntules de les quatre espècies s'ha constatat, també, que la biomassa del sistema radicular és superior a la de l'aeri. Les plàntules de Q. coccifera i Q. humilis han tingut una relació BA/BR (biomassa aèria/biomassa radicular) més baixa que les de Q. ilex i Q. suber. En espècies mediterrànies s'ha relacionat sovint una baixa relació BA/BR com una adaptació a la sequera. No obstant això, Q. humilis és una espècie que viu en zones més humides que la resta d'espècies estudiades. En referència a la regeneració vegetativa, amb aquest estudi es demostra que les plàntules de les quatre espècies tenen una elevada capacitat d'emissió de rebrots, quan s'elimina la biomassa aèria per sobre la zona d'inserció dels cotilèdons. Tanmateix, el grau de supervivència difereix segons l'espècie i la intervenció. Així, per exemple, les plàntules de Q. ilex han presentat una major mortalitat tant en la primera com en la segona tala, mentre que en Q. humilis i Q. suber la supervivència de les plàntules ha disminuït després de talar dues vegades. En el cas de Q. coccifera el grau de supervivència és bastant similar tant en la primera com en la segona intervenció. La tala successiva afecta negativament al vigor dels rebrots en Q. coccifera, Q. humilis i Q. ilex. Ara bé, en el cas de Q. suber s'ha trobat que els rebrots emesos després de talar dues vegades han estat més grans que els obtinguts després d'una sola tala. Després de tallar la biomassa aèria per sobre la zona d'inserció dels cotilèdons, els rebrots s'originen a partir de les gemmes del nus cotiledonar. L'estudi de l'ontogènesi del nus cotiledonar ens ha permès de constatar que el patró de desenvolupament d'aquest en Q. coccifera, Q. humilis i Q. ilex és similar, però difereix del descrit per a Q. suber. En les tres primeres espècies el nus cotiledonar pràcticament no s'allarga i només es desenvolupen gemmes cotiledonars just en l'axil·la del pecíol cotiledonar. En aquest sentit, cal ressaltar que en el cas de Q. coccifera i Q. ilex les gemmes es formen després de germinar la gla, mentre que en Q. humilis i Q. suber són ja presents en l'embrió. Tal i com també s'ha descrit en Q. suber, en l'estadi de plàntula, en Q. coccifera, Q. humilis i Q. ilex a l'axil·la de la gemma cotiledonar proliferen noves gemmes, de tal manera que es formen plaques de gemmes. Les anàlisis del contingut de midó han permès de determinar que el sistema radicular de les plàntules de Q. coccifera, Q. humilis, Q. ilex i Q. suber conté aproximadament un 90% del midó de tota la planta. Concretament de les diferents fraccions del sistema radicular (nus cotiledonar, 11 pimers centímetres de l'arrel i resta de l'arrel) la major concentració de midó es troba ens els 11 primers cm de l'arrel, que en el cas de Q. suber correspon al nus cotiledonar. Quant a les estacions, a l'estiu la concentració de midó de la part aèria i radicular disminueix en Q. coccifera, Q. humilis i Q. ilex, si bé es recuperen a l'hivern. En canvi en el cas de Q. suber els nivells més baixos de midó s'han obtingut a l'hivern. La tala provoca una disminució dels nivells de midó, ja que una part d'aquest és mobilitzat per a la síntesi dels nous brots. En les quatre espècies la major proporció de midó mobilitzat és en els primers 11 cm de l'arrel, és a dir, el nus cotiledonar en el cas de Q. suber. Per tant, amb aquest estudi es reafirma que el nus cotiledonar de Q. suber és un lignotúber. Tanmateix, Q. coccifera, Q. humilis i Q. ilex no presenten cap lignotúber o estructura especialitzada en la rebrotada, si bé el fet de tenir gemmes i substàncies de reserva els confereix igualment una elevada capacitat per rebrotar. En relació al nitrogen, en les quatre espècies el sistema radicular presenta aproximadament el 70% del nitrogen total de la planta. A l'estiu, la concentració de nitrogen del sistema radicular de Q. humilis i Q. suber és més baixa que a l'hivern, mentre que en Q. coccifera i Q. ilex els valors són bastant similars en ambdues estacions. La tala no provoca una davallada dels nivells de midó, això possiblement es degui a que les plàntules van rebre continuament un aport de nitrogen a través de l'aigua de reg.

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center dot Background and Aims The control of dormancy in yam (Disocorea spp.) tubers is poorly understood and attempts to shorten the long dormant period (i.e. cause tubers to sprout or germinate much earlier) have been unsuccessful. The aim of this study was to identify and define the phases of dormancy in Dioscorea rotundata tubers, and to produce a framework within which dormancy can be more effectively studied. center dot Methods Plants of 'TDr 131' derived from tissue culture were grown in a glasshouse simulating temperature and photoperiod at Ibadan (7 degrees N), Nigeria to produce tubers. Tubers were sampled on four occasions: 30 d before shoot senescence (149 days after planting, DAP), at shoot senescence (179 DAP), and twice during storage at a constant 25 degrees C (269 and 326 DAP). The development of the apical shoot bud was described from tissue sections. In addition, the responsiveness of shoot apical bud development to plant growth regulators (gibberellic acid, 2-chloroethanol and thiourea) applied to excised tuber sections was also examined 6 and 12 d after treatment. center dot Key Results and Conclusions Three phases of tuber dormancy are proposed: Phase I, from tuber initiation to the appearance of the tuber germinating meristem; Phase II, from the tuber germinating meristem to initiation of foliar primordium; and Phase III, from foliar primordium to appearance of the shoot bud on the surface of the tuber. Phase I is the longest phase (approx. 220 d in 'TDr 131'), is not affected by PGRs and is proposed to be an endo-dormant phase. Phases II and III are shorter (< 70 d in total), are influenced by PGRs and environmental conditions, and are therefore endo-/eco-dormant phases. To manipulate dormancy to allow off-season planting and more than one generation per year requires that the duration of Phase I is shortened.

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Temperate-zone crops require a period of winter chilling to terminate dormancy and ensure adequate bud break the following spring. The exact chilling requirement of blackcurrant (Ribes nigrum), a commercially important crop in northern Europe, is relatively unknown. Chill unit models have been successfully utilized to determine the optimum chilling temperature of a range of crops, with one chill unit equating to I h exposure to the optimum temperature for chill satisfaction. Two-year-old R. nigrum plants of the cultivars 'Ben Gairn', 'Ben Hope' and 'Ben Tirran' were exposed to temperatures of -10.1 degrees C. -3.4 degrees C. 0.1 degrees C, 1.5 degrees C, 2.1 degrees C, 3.4 degrees C or 8.9 degrees C (+/- 0.7 degrees C) for durations of 0, 2, 4, 6, 8 or 10 weeks and multiple regression analyses used to determine the optimum temperature for chill satisfaction. (C) 2009 Elsevier B.V. All rights reserved.

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Oak galls are spectacular extended phenotypes of gallwasp genes in host oak tissues and have evolved complex morphologies that serve, in part, to exclude parasitoid natural enemies. Parasitoids and their insect herbivore hosts have coevolved to produce diverse communities comprising about a third of all animal species. The factors structuring these communities, however, remain poorly understood. An emerging theme in community ecology is the need to consider the effects of host traits, shaped by both natural selection and phylogenetic history, on associated communities of natural enemies. Here we examine the impact of host traits and phylogenetic relatedness on 48 ecologically closed and species-rich communities of parasitoids attacking gall-inducing wasps on oaks. Gallwasps induce the development of spectacular and structurally complex galls whose species- and generation-specific morphologies are the extended phenotypes of gallwasp genes. All the associated natural enemies attack their concealed hosts through gall tissues, and several structural gall traits have been shown to enhance defence against parasitoid attack. Here we explore the significance of these and other host traits in predicting variation in parasitoid community structure across gallwasp species. In particular, we test the "Enemy Hypothesis,'' which predicts that galls with similar morphology will exclude similar sets of parasitoids and therefore have similar parasitoid communities. Having controlled for phylogenetic patterning in host traits and communities, we found significant correlations between parasitoid community structure and several gall structural traits (toughness, hairiness, stickiness), supporting the Enemy Hypothesis. Parasitoid community structure was also consistently predicted by components of the hosts' spatiotemporal niche, particularly host oak taxonomy and gall location (e.g., leaf versus bud versus seed). The combined explanatory power of structural and spatiotemporal traits on community structure can be high, reaching 62% in one analysis. The observed patterns derive mainly from partial niche specialisation of highly generalist parasitoids with broad host ranges (>20 hosts), rather than strict separation of enemies with narrower host ranges, and so may contribute to maintenance of the richness of generalist parasitoids in gallwasp communities. Though evolutionary escape from parasitoids might most effectively be achieved via changes in host oak taxon, extreme conservatism in this trait for gallwasps suggests that selection is more likely to have acted on gall morphology and location. Any escape from parasitoids associated with evolutionary shifts in these traits has probably only been transient, however, due to subsequent recruitment of parasitoid species already attacking other host galls with similar trait combinations.

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Two field trials were conducted using established apple (Malus cv. Golden Delicious) and pear (Pyrus communis 'Williams' Bon Chretien') to assess the efficacy of three commercially available systemic inducing resistance (SIR) products, Messenger (a.i. Harpin protein), Phoenix (a.i. Potassium phosphite) and Rigel (a.i. Salicylic acid derivative) applied at four different growth stages of tree development (bud break, green cluster, 90% petal fall, early fruitlet) against the foliar pathogens Venturia inaequalis and Venturia pirina which cause apple and pear scab respectively. A conventional synthetic fungicide (penconazole) used within the UK for apple and pear scab control was included for comparison. Little efficacy as scab protectants was demonstrated when each SIR product and penconazole was applied at only two growth stages (bud break, green cluster). However when the above compounds were applied at three or more growth stages efficacy as scab protectants was confirmed. The synthetic fungicide penconazole provided greatest protection against apple and pear scab in both the 2006 and 2007 field trials. There was little difference in the magnitude of scab protection conferred by each SIR agent. Results suggest application of at least three sprays during bud break to early fruitlet formation with an appropriate SIR agent may provide a useful addition to existing methods of apple and pear scab management under field conditions. (C) 2009 Published by Elsevier Ltd.

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Background and Aims The control of dormancy in yam (Disocorea spp.) tubers is poorly understood and attempts to shorten the long dormant period (i.e. cause tubers to sprout or germinate much earlier) have been unsuccessful. The aim of this study was to identify and define the phases of dormancy in Dioscorea rotundata tubers, and to produce a framework within which dormancy can be more effectively studied. center dot Methods Plants of 'TDr 131' derived from tissue culture were grown in a glasshouse simulating temperature and photoperiod at Ibadan (7 degrees N), Nigeria to produce tubers. Tubers were sampled on four occasions: 30 d before shoot senescence (149 days after planting, DAP), at shoot senescence (179 DAP), and twice during storage at a constant 25 degrees C (269 and 326 DAP). The development of the apical shoot bud was described from tissue sections. In addition, the responsiveness of shoot apical bud development to plant growth regulators (gibberellic acid, 2-chloroethanol and thiourea) applied to excised tuber sections was also examined 6 and 12 d after treatment. center dot Key Results and Conclusions Three phases of tuber dormancy are proposed: Phase I, from tuber initiation to the appearance of the tuber germinating meristem; Phase II, from the tuber germinating meristem to initiation of foliar primordium; and Phase III, from foliar primordium to appearance of the shoot bud on the surface of the tuber. Phase I is the longest phase (approx. 220 d in 'TDr 131'), is not affected by PGRs and is proposed to be an endo-dormant phase. Phases II and III are shorter (< 70 d in total), are influenced by PGRs and environmental conditions, and are therefore endo-/eco-dormant phases. To manipulate dormancy to allow off-season planting and more than one generation per year requires that the duration of Phase I is shortened.

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The relationship between shoot growth and rooting was examined in two, 'difficult-to root' amenity trees, Syringa vulgaris L. cv. Charles Joly and Corylus avellana L. cv. Aurea. A range of treatments reflecting severity of pruning was imposed on field-grown stock prior to bud break. To minimise variation due to the numbers of buds that developed under different treatments, bud number was restricted to 30 per plant. Leafy cuttings were harvested at different stages of the active growth phase of each species. With Syringa, rooting decreased with later harvests, but loss of rooting potential was delayed in cuttings collected from the most severe pruning treatment. Rooting potential was associated with the extent of post-excision shoot growth on the cutting but regression analyses indicated that this relationship could not entirely explain the loss of rooting with time, nor the effects due to pruning. Similarly, in Corylus rooting was promoted by severe pruning, but the relationship between apical growth on the cutting and rooting was weaker than in Syringa, and only at the last harvest did growth play a critical role in determining rooting. Another unusual factor of the last harvest of Corylus was a bimodal distribution of roots per cutting, with very few rooted cuttings having less than five roots. This implies that, for this harvest at least, the potential of an individual cutting to root is probably not limited by the number of potential rooting sites.