455 resultados para Maux de tête


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Starting from the famous and enigmatic quotation of the Aristotle’s Poetics, who argues that the human has a natural desire and pleasure to see corpses if mediated by art, is intended to show the relationship between the attraction for the horror and some contemporary art practices surrounding the depiction of death, particularly with regard to the ultimate use of the human corpse as an artistic resource. Avoiding any kind of ethical approach or questioning of the limits of the artistic production, is meant to highlight the phenomenon through the examples brought out by the work of some contemporary artists such as Andy Warhol, Eric Fischl, Damien Hirst, Von Hagens, Andres Serrano, Joel-Peter Witkin and Teresa Margolles: From those who use the corpse in and turn it in something aesthetically pleasant, to others who turn human corpses in sculptures of scientific value, and further other kind of artists who assume the morbid and dramatic life of the corpse in their art production as something structural.

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RESUMO - Introdução: Os critérios de adequação (Appropriate Use Criteria - AUC) em Ecocardiografia Transtorácica (ETT) foram publicados com o intuito de permitir o uso racional da ecocardiografia, de influenciar decisões clinicas, prestar cuidados de saúde de elevada qualidade e melhorar o outcome dos pacientes. A relação entre a adequação destes e o seu impacto clinico ainda não se encontra largamente estudada. Objectivo: Neste estudo pretendeu-se avaliar o grau de adesão aos AUC em ETT, em diferentes contextos de atendimento e de acordo com diferentes especialidades, bem como o impacto clínico do exame no outcome do paciente, num hospital público terciário no Reino Unido. Metodologia: 859 ETTs realizados consecutivamente no mês de Janeiro de 2014, foram revistos por forma a avaliar a sua adequação e foram classificados como adequados, incertos ou inadequados de acordo com as guidelines de 2011. De seguida os registos dos pacientes foram revistos com o intuito de avaliar o impacto clinico dos ETTs e foram classificados de acordo com uma das 3 seguintes categorias: (1) alteração ativa dos cuidados – por continuação ou descontinuação dos cuidados como resultado do ETT, (2) continuação dos cuidados – sem continuação ou descontinuação dos cuidados, mas comunicação ao paciente dos resultados do ETT, (3) sem alteração dos cuidados – os cuidados ao paciente já estavam a ser aplicados previamente ao resultado do ETT, causa de sintomas já estabelecida no momento da requisição para exame, exame prévio explicativo dos sintomas e sem indicação aguda para novo ETT, terapêutica não alterada ou inexistência de documentação relativa aos achados ecocardiográficos. Pacientes cujos registos não se encontravam disponíveis foram excluídos (259). Todas as classificações foram avaliadas por uma cardiologista independente, sem relação direta com o estudo. Resultados: A nossa amostra apresentou uma média de idades de 63 ± 17 anos, com uma equilíbrio de géneros. A maioria dos exames foi solicitada em contexto de ambulatório (81,4%), pela Cardiologia (50,3%) e pela Medicina Geral e Familiar (13,4%). Relativamente aos achados ecocardiográficos dos exames, 7,6% demonstraram disfunção sistólica do ventrículo esquerdo moderada a grave, 4,0% revelaram doença valvular grave e 5,1% hipertensão pulmonar significativa. Em relação à adequação dos pedidos para ETTs, 76,5% foram adequados, 7,1% inadequados e 12,6% incertos. Relativamente ao impacto clínico dos ETTs, 42,7% dos exames revelaram uma alteração ativa nos cuidados, 15,6% mostraram uma continuação dos cuidados e 11,5% demonstraram não haver alteração nos cuidados. A idade (P=0,05), o contexto de atendimento (P<0,01) e o pedido realizado pela especialidade medicina geral e familiar (MGF) (P=0,02) foram os preditores mais importantes de uma alteração ativa nos cuidados. Numa perspectiva de prestação de cuidados a uma população mais idosa, o contexto de atendimento, a presença de achados ecocardiográficos significativos e a não alteração dos cuidados apresentam uma relação significativa com a idade. Conclusões: Os dados demonstram que quase 8 em cada 10 ETTs foram considerados adequados e que 4 em cada 10 exames não apresentaram alteração ativa dos cuidados.

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Considérations méthodologiques Nous avons limité aux précisions indispensables à la compréhension de notre propos les considérations sur la gigantomachie en général. Nous renvoyons aux études signalées plus haut (supra, p. 7, n. 2), principalement pour ce qui concerne les géants avant leur transformation en anguipèdes à partir de l'époque hellénistique. Notre recherche de parallèles reposera sur quelques oeuvres d'art encore existantes : les sculptures décorant les plus importantes d'entre elles feront dès lors figure d'archétype, même si, bien sûr, rien ne permet d'exclure qu'il en ait existé de plus significatives. Parmi les nombreux monuments aujourd'hui disparus, respectivement parmi ceux qui seraient encore à découvrir, il s'en trouvait sans doute qui auraient été susceptibles de servir de modèle pour les sculptures ornant le fanum de Lousonna, duquel bien peu de restes nous sont parvenus. A l'exception de quelques renvois ponctuels, notre démarche s'est appuyée exclusivement sur du matériel et des informations déjà publiés. Pour la reconstitution des bas-reliefs de Lousonna, nous nous sommes inspiré généralement de sculptures hellénistiques et romaines dont l'ornementation présentait des similitudes avec les fragments à notre disposition ; la plupart des parallèles sont mentionnés dans le Lexicon Iconographicum Mythologiae Classicae. L'examen des volumes du Corpus Signorum Imperii Romani et de quelques autres recueils nous a permis de faire des propositions pour les cas restés en suspens. A une exception près, l'échantillonnage aéré formé à partir d'ensembles sculptés qui devaient avoir les mêmes caractéristiques que le matériel que nous tenterons d'identifier : ils comportaient des monstres anguipèdes avec les jambes se terminant par la tête du serpent, remontant au plus tard à la fin de la période romaine et produits dans un atelier gréco-romain. Afin de recréer avec le plus de vraisemblance possible l'environnement du fanum de Lousonna, nous avons recherché des édifices de caractéristiques semblables dans les catalogues de temples gallo-romains dressés par P. D. HORNE et A. C. KING (1980), respectivement I. FAUDUET et P. ARCELIN (1993). Tant l'absence presque complète de restes architecturaux susceptibles d'être rapportés à l'édifice religieux que la nature somme toute modeste du vicus lémanique nous ont fait opter pour une variante minimaliste, se limitant finalement à la structure supportant la gigantomachie devant un temple sans aucune décoration. Pour tenter de préciser les modalités de la transmission du thème des géants, nous envisagerons trois cheminements possibles : la tradition orale, la transmission littéraire et, enfin, la représentation iconographique, qu'il s'agisse de monuments, d'objets mobiliers ou même des quelques rares illustrations de textes antiques. Sauf indication contraire, les textes anciens sont cités dans les traductions des Belles-Lettres, des Sources chrétiennes ou de la Loeb Classical Library dont la liste figure à la page 161. La version française des textes dont aucune traduction n'était disponible est généralement due à François Mottas (traduction F.M.). Nous ne reportons les dates de naissance des auteurs ou des artistes mentionnés que lorsqu'elles sont utiles à la compréhension de notre exposé. En plus du rôle qu'ont pu jouer les oeuvres d'art disparues au cours des deux derniers millénaires, divers facteurs ont dû assurer la constitution et la mise au point d'un imaginaire de plus en plus élaboré des gigantomachies. La mémoire a certes sa part dans l'inspiration des artistes qui réalisèrent les sculptures de la cité lémanique; mais si un mythe ou le récit d'un événement peuvent s'être transmis de bouche à oreille au cours des siècles, certaines ressemblances dans l'attitude des personnages sont trop frappantes, même en tenant compte de ces gestes qu'il n'existe qu'une seule façon de représenter: il n'est dès lors pas possible d'imaginer que la transmission des détails des scènes se serait pratiquée uniquement par voie orale. Si le voyage touristique; tel que nous l'entendons de nos jours, n'a pas existé, les personnes susceptibles d'avoir ramené des informations de leurs déplacements à travers l'Empire sont plus nombreuses qu'on ne le croirait au premier abord. Fonctionnaires allant prendre leur charge ou en mission dans une contrée voisine; soldats, parmi lesquels des mercenaires gaulois; pèlerins ayant visité de grands sanctuaires, comme celui d'Esculape à Pergame, emplacement de la gigantomachie la plus impressionnante, ou d'autres lieux de culte; jeunes fortunés ayant étudié à Athènes; commerçants accompagnés par des muletiers ou des portefaix acheminant leurs marchandises; membres de corporations ou artisans exerçant des métiers itinérants; esclaves, dont l'exportation devait représenter une source de revenus intéressante pour les commerçants romains; en dernier lieu, sans parler des artistes eux-mêmes, ces arpenteurs-géomètres chargés de toutes sortes de relevés qui accompagnaient les empereurs lors de leurs déplacements (infra, p. 36). Il faudra cependant rester prudent quant à l'affirmation d'une connaissance visuelle directe que les sculpteurs de Lousonna auraient eue des réalisations antiques avec lesquelles nous mettrons la gigantomachie en parallèle. Même si elle n'a toujours pas pu être prouvée, la circulation de cahiers de modèles semble bel et bien assurée: dans un atelier, les maîtres ont forcément passé leurs croquis à leurs successeurs et ceci s'est peut-être répété pour plusieurs générations d'artisans. Sans parler des monnaies, d'autres moyens de transmission peuvent encore être mentionnés : éventuelles éditions illustrées de textes antiques, motifs gravés sur des gemmes ou représentés sur des récipients décorés... Une observation s'impose ici : la plupart des monuments que nous utiliserons pour notre reconstitution existaient encore lors de l'érection de notre gigantomachie. Une fois les bas-reliefs de Lousonna reconstitués, restait donc à combler l'absence de toute étude sur la survie de la gigantomachie à travers les âges et à préciser l'emploi qui en serait fait à la Renaissance. Divers recueils d'ouvrages consacrés à la mythologie et remontant à cette période nous ont permis de décrire les modalités de la reprise du récit de la guerre des géants; en l'absence de toute synthèse sur ceux-ci dans la peinture de la Renaissance, c'est en partant de l'examen des nombreux travaux consacrés au Palazzo del Te à Mantoue que nous avons pu établir un lien entre les représentations de géants peintes durant la première moitié du 16ème siècle, au cours duquel la gigantomachie était redevenue un sujet d'actualité. Le monument de la bourgade lémanique comporte encore neuf personnages et constitue, avec celui d'Yzeures-sur-Creuse, l'exemplaire le plus complet découvert dans la partie occidentale de l'Empire romain : il méritait bien d'être à l'origine d'une telle démarche.

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Variante(s) de titre : En nov. 1901 absorbe : "Oeuvre (L') sociale" ; la couv. porte alors en tête "Semailles (Les) et l'Oeuvre social [sic]"

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En tête de cette chronique est une table, qui occupe les feuillets 1 à 5. Puis vient (fol. 6) une espèce de prologue en vers intitulé : « L'exorde de ce present livre » dont le premier vers est : « Affin que tous les faictz de nostre temps ... ». Le texte en prose débute (fol. 7) par : « La descripcion des oeuvres recommandables et commemorables gestes de très cristien roy de France Loys doziesme de ce nom, redigée en escript et mise en lumière par moy frère Jehan d'Auton, de l'ordre Sainct Benoist, historiographe du roy nostred. souverain seigneur. Après avoir par volumes abregez ostencion faicte des actes gallicanes et ultransmontaines choses encommancées à la fin de l'an mille quatre cens quatre vingts dix huyt et icelles continuées ... » et finit (fol. 230) par : « ... et puys très devotement celebra la joyeuse feste de Pasques, sur laquelle mectray paille à mon escript, jucques à temps, en faisant fin au recit de ce present historial volume contenant les faictz de France de l'an mille cincq cens et ung continuant jucques à l'an mille cincq cens et six ».

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Commençant par : « A tres hault et puissant prince, mon tres chier, tres amé, mon seul frere germain Charles d'Anjou,...Je René d'Anjou,... » et finissant par : «... Item ceulz qui ont gaignié le pris sont tenuz de donner aulcune chose aux trompettes et menestrelz, et les deux princes chiefz du tournoy aussi» . En tête de l'ouvrage, au fol. 7, on trouve la mention d'un tournoi « fait en la ville de Bruges par tres haut et puissant seigneur monseigneur de La Gruthuse », le 11 mars 1392; avec les armoiries des combattants.

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En tête, la lettre de Pierre d'Aubusson, datée du 10 octobre 1489 ; divisé en deux livres.

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ff. 1-6v : préfaces Plures fuisse (1-3), Novum opus (3-5), Ammonius (5-6) et Sciendum (6r-v); ff. 6v-9v : préface (6v-7) et table des chapitres (7-9v) de l’Evangile selon saint Matthieu; ff. 10-16v : tables des canons; ff. 17-63 : Evangile selon saint Matthieu; ff. 64-66 : préface (64r-v) et table des chapitres (64v-66) de l’Evangile selon saint Marc; ff. 66v-95 : Evangile selon saint Marc; ff. 95-100v : préface (95-96) et table des chapitres (96-100v) de l’Evangile selon saint Luc; ff. 101v-150v : Evangile selon saint Luc; ff. 151-152v : préface (151r-v) et table des chapitres (152r-v) de l’Evangile selon saint Jean; ff. 153v-188v : Evangile selon saint Jean; ff. 189-198v : Capitulare evangeliorum.

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Contient : « LE ROY DE NAVARRE » ; « HUBERT CHANCESEL » ; « Mesire ANDRIEU CONTREDIS » ; « Monseigneur ANDRIEU DOUCHE » ; « Mestre RICHART DE FOURNIVAL » ; « Mesire ANDRIEU CONTREDIS » ; « LI VIDAMES DE CHARTRES » ; « Mesire QUESNES » ; « AUDEFROIS LI BASTARS » ; « JAQUES DE DEMPIERRE » ; « MONNIOS » ; « SENDRART à Colart » ; « JEHAN DE TOURNAY » ; « CHIERTAIN à Sandrart » ; « JEHAN à Sendrart » ; « COLART à Mahieu » ; « JEHAN à Colart le Changeur » ; « COLART à Michiel » ; « LI ROYS DE NAVARRE à Girart d'Amiens » ; « RENIER à Jehan » ; « HUE à Robert » ; « RENIER DE QUARIGNON à Andriu Douche » ; « JEHAN à Robert » ; « ANDRIU DOUCHE à Jehan amis » ; « GUILLAUME à Thoumas » ; « SAUVAGE à Robert de Betune » ; « FRERE à roy de Navarre » ; « LE ROY DE NAVARRE à Frere » ; « MONNIOS » ; « Mes[i]res GASSES BRULEZ » ; « LI CHASTELAINS DE COUCY » ; « Mesires GUILLAUME LI VINIERS » ; « LI CHASTELAINS DE COUCY » ; « LE ROI DE NAVARRE » ; « Mesires QUESNES, chevalier » ; « Monseigneur RAOUL DE SOISSONS » ; « JEHAN au roy de Navarre » ; « TIEBAUT, ROY DE NAVARRE » ; « MONNIOS » ; « LI CHASTELAINS DE COUCY » ; « CRESTIENS DE TROIES » ; « HUCS DE BARGI » ; « Monseingneur PIERRE DE CRAON » ; « BLONDIAUS » ; « CARASAUS » ; « ROBERT DU CHASTEL » ; « MARTINS LI BEGUINS » ; « GASTEBLE » ; « CUVELIERS » ; « GERARDIN DE BOULOINGNE » ; Nom des auteurs resté en blanc ; « Li desirriers que j'ai d'achever ». [ADAM LE BOSSU] ; « On me reprent d'amours qui me maistrie ». [JEAN LE PETIT] ; « Paine d'amour et li maux que je trai ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « En chantant plaing et souspir » ; « Orendroit plus que onques mais » ; « On dit que j'aing et pour quoi n'ameroie » ; « Se j'ai chanté, encore chanterai » ; « Pluseurs amans ont souvent desirré » ; « Li hons qui veut honneur et joie avoir » ; « Bien doi du tout à amours obeir » ; « En mon chant lo et graci » ; « Aucun qui weullent leur vie » ; « Du plaissant mal savoureus, jolis » ; « Li rosignos chante tant ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Tout autresi con l'ente fet venir ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Je me cuidoie partir d'amours ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Qui plus aimme et plus endure ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Il feroit trop bon mourir ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Mauves arbre ne peut flourir ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Je me cuidoie partir d'amours ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Une doulour enossée ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Chanter m'estuet que ne m'en puis tenir ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Li dous pensers et li dous souvenirs ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Nien plus que dit peut estre sans raison ». [EUSTACHE LE PEINTRE] ; « Phellippe, je vouz demant : Dui ami ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Phelippes, je vous demant : Que est devenue ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Cil qui chantent de fleur ne de verdure ». EUSTACHE LE PEINTRE] ; « Aymans fins et verais ». [GAUTIER D'ESPINAUS] ; « Des ore mais est raison ». [GUIOT DE DIJON] ; « De bonne amour et de loial amie ». [GASSE BRULE.] ; « Onques ne fui sans amour ». [JEHAN] ; « Se j'ai chanté sans guerredon avoir ». [ROBERT DU CHASTEL D'ARRAS] ; « Je n'ai loisir d'assez penser ». [Le ROI DE NAVARRE.] ; « James ne cuidai avoir ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Au repairier que je fis de Prouvence » ; « Haute chose a en amour ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE.] ; « Ou nouviaus temps que iver se debrise ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; « Qui veult amours maintenir ». [MONIOT DE PARIS] ; « Quant esté faut encontre la saison » ; « Amours, pour ce que mes chans soit jolis ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; « Pensis, desirant d'amours ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE.] ; « A la plus sage et à la miex vaillant ». [THIERRY DE SOISSONS] ; « Se felon et losengier ». [JEHANNOT PAON DE PARIS] ; « Quant voi la glaie meure ». [Messire RAOUL DE SOISSONS.] ; « Je ne chant pas pour verdour ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Beau desir et pensée jolie » ; « Li grans desir de deservir amie » ; « Amours est une merveille ». [JEAN LE CHARPENTIER D'ARRAS] ; « Je ne sui pas esbahis ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Diex, je n'os nommer amie » ; « Grant deduit a et savoureuse vie ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Bien doi chanter la qui chançon set plaire ». [GUILLAUME LE VINIER] ; « Li jolis maus que je sent ne dedoit mie ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Je sent en moi l'amour renouveler ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Ma douce dainé et amours ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Qui à droit veult amours servir ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Sans espoir d'avoir secours de nului ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Dame, vos hons vous estrainne ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Pour ce se je n'ai esté chantans ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Tels s'entremet de garder ». [RICHART DE FOURNIVAL.] ; « Lors quant je voi le buisson en verdure ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Il ne me chaut d'esté ne de rousée ». [PERRIN D'ANGECOURT.] ; « Quant voi la douce saison » ; « Puisqu'amours m'a donné le beau savoir » ; « Puisque je sui de l'amoureuse loi ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Li jolis mais ne la flor qui blanchoie ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Lonc tamp ai esté envite et sanz joie ». [AUBUIN DE SEZANNE] ; « Tres haute amour qui tant s'est abaissie ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Biau m'est du tamps de gain qui raverdoie ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Ne m'i donne pas talent ». [MONIOT D'ARRAS] ; « Ne rose ne flour de lis » ; « Chanter m'i fait pour mez malz aligier ». [EUSTACHE LE PEINTRE ou LE COMTE DE BAR.] ; « Cilz qui d'amourz me conseille ». [GASSE BRULE] ; « Aurenouviau de la douchour d'esté. [GASSE BRULE] ; « Hé! amours, je sui norris ». [ROBERT DE LA PIERRE] ; « Desconfortés et de joie partis ». [GAUTIER D'ESPINAUS.] ; « Encor ferai une chanson perdue ». [HUGUES DE BREGI] ; « Foy et amour et loyautés ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; « Quant fueille, glais et verdure ». [GASSE BRULE.] ; « Onques d'amours n'oi nulle si grief painne ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; « A vous, amant, plus qu'à nulle autre gent ». [LE CHATELAIN DE COUCI] ; « Quant je plus sui en paour de m'amie ». [BLONDIAU] ; « Les oisillons de mon païs ». [GASSE BRULE.] ; « Quant li tamps pert sa chalour ». [SAUVAGE D'ARRAS] ; « Iriés et destrois et pensis ». [GASSE BRULE.] ; « Mercis clamant de mon fol errement ». [LE CHATELAIN DE COUCI] ; « S'onques nulz hom pour dure departie ». [LE CHATELAIN DE COUCI] ; « Quant partis sui de Provence ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « En loyal amour ai mis » ; « Au besoing voit on l'ami ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; « Bien doit chanter [qui] fine amor adrece ». [BLONDIAU DE NESLE.] ; « Au commenchement du tamps » ; « Quant à son vol a failli » ; « Au tamps que muert la froidure » ; « Tant sai d'amours que cilz qui plus l'emprent ». [AUBIN DE SEZANNE] ; « Quant l'erbe muert, voi la fueille cheoir ». [GASSE BRULE] ; « Li nouveax tamps et mays et violette ». [LE CHATELAIN DE COUCI.] ; « J'aim par coustume et par us ». « BLONDIAU » [DE NESLE] ; « Au repairier en la douce contrée ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Nulz ne doit estre alentis » ; « Aucun dient que poins et lieus et tamps » ; « Aucune gent vont disant » ; « Sens et raisons et mesure ». [THIERRY DE SOISSONS] ; « Ce que je sui de bonne amour espris » ; « Moult me merveil comment on puet trouver » ; « Moult scet amours tres savoureusement » ; « Amours m'assaut doucement » ; « Dedens mon cuer s'est, n'a gaires, fichiés » ; « Je sent le doulz mal d'amours » ; « Liés et loiaus, amoureu et jolis » ; « Pris fui amoureusement » ; « Onques n'amai plus loyalmentnuljour » ; « Si me fait tres doucement » ; « Mervilliés me sui forment » ; « Moult a cilz plaisant deduit » ; « Onquez mais mainz esbahis » ; « Plus amoureusement pris » ; « Hé! bonne amour, si com vous ai servie » ; « Ce qu'amours a si tres grande poissance » ; « Loyal amour point celer » ; « Bien doi chanter liés et baus » ; « Douce amours, je vous pri merci » ; « Li doulz malz qui met en joie » ; « Amours me fait joliement chanter » ; « Onques mais si doucement » ; « Si me tient amours joli » ; « Plus ne me voeil abaubir de chanter » ; « Mult douce souffrance » ; « Merci amours de la douce dolour ». [ADAM DE LA HALLE] ; « On demande moult souvent qu'est amours ». [ADAM DE LA HALLE] ; « J'ai.I. joli souvenir ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Quant voi le felon temps fine ». [PERRIN D'ANGECOURT.] ; « On voit souvent en chantant esmartir ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Quant la flour de l'espinete » ; « Quant li cincenis s'escrie ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Novelle amour qui m'est ou cors entrée ». [JACQUES DE CHISON.] ; « Quant yvers trait à fin » ; « Quant li nouviaus tens define » ; « Li dous maus mi renouvelle ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Pourquoi se plaint d'amour nuls ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Au repairié de la douce contrée ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Tant me plest vivre en amoureus dangier ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Dous est li maus qui met la gent en voie ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Amours ne me veult oïr ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Je n'ai autre recevance ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Il ne muet pas de sens celui ». [ADAM DE LA HALLE] ; « On me deffent que mon cuer pas ne croie ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Helas! il n'est mais nuls qui aint ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Helas! il n'est mes nuls qui n'aint ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Puis que je sui en l'amoureuse loi ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Or voi je bien qu'i souvient ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Li souvenir me retient » ; « Li roussignos chante tant ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Tout autressi que l'ente fait venir ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « A tort m'ocies, amours » ; « Au dieu d'amours ai requis.I. don ». [RAOUL DE BEAUVAIS] ; « Chanter me fait bons vins et resjoïr » ; « D'enuis sent mal qui ne l'a apris ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Nuls hons ne puet ami reconforter ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Chançon ferai, car talens m'en est prins ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « L'autre nuit en mon dormant ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « En chantant veul ma doulour descouvrir ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Pour mau temps ne pour gelée ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Je ne chant paz revelans de merci ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Merveille est quel talent j'ai de chanter ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Robert, vees de Pierron ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Merci, où estes vous manans » ; « Une chançon encor veul ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « De grant joie me sui tous esmeüs ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Puisqu'il m'estuet de ma dame partir » ; « Au temps plain de felonnie ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Malvais arbrez ne puet flourir ». [LE ROI DE NAVARRE]

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Contient : « LE ROY DE NAVARRE » ; « HUBERT CHANCESEL » ; « Mesire ANDRIEU CONTREDIS » ; « Monseigneur ANDRIEU DOUCHE » ; « Mestre RICHART DE FOURNIVAL » ; « Mesire ANDRIEU CONTREDIS » ; « LI VIDAMES DE CHARTRES » ; « Mesire QUESNES » ; « AUDEFROIS LI BASTARS » ; « JAQUES DE DEMPIERRE » ; « MONNIOS » ; « SENDRART à Colart » ; « JEHAN DE TOURNAY » ; « CHIERTAIN à Sandrart » ; « JEHAN à Sendrart » ; « COLART à Mahieu » ; « JEHAN à Colart le Changeur » ; « COLART à Michiel » ; « LI ROYS DE NAVARRE à Girart d'Amiens » ; « RENIER à Jehan » ; « HUE à Robert » ; « RENIER DE QUARIGNON à Andriu Douche » ; « JEHAN à Robert » ; « ANDRIU DOUCHE à Jehan amis » ; « GUILLAUME à Thoumas » ; « SAUVAGE à Robert de Betune » ; « FRERE à roy de Navarre » ; « LE ROY DE NAVARRE à Frere » ; « MONNIOS » ; « Mes[i]res GASSES BRULEZ » ; « LI CHASTELAINS DE COUCY » ; « Mesires GUILLAUME LI VINIERS » ; « LI CHASTELAINS DE COUCY » ; « LE ROI DE NAVARRE » ; « Mesires QUESNES, chevalier » ; « Monseigneur RAOUL DE SOISSONS » ; « JEHAN au roy de Navarre » ; « TIEBAUT, ROY DE NAVARRE » ; « MONNIOS » ; « LI CHASTELAINS DE COUCY » ; « CRESTIENS DE TROIES » ; « HUCS DE BARGI » ; « Monseingneur PIERRE DE CRAON » ; « BLONDIAUS » ; « CARASAUS » ; « ROBERT DU CHASTEL » ; « MARTINS LI BEGUINS » ; « GASTEBLE » ; « CUVELIERS » ; « GERARDIN DE BOULOINGNE » ; Nom des auteurs resté en blanc ; « Li desirriers que j'ai d'achever ». [ADAM LE BOSSU] ; « On me reprent d'amours qui me maistrie ». [JEAN LE PETIT] ; « Paine d'amour et li maux que je trai ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « En chantant plaing et souspir » ; « Orendroit plus que onques mais » ; « On dit que j'aing et pour quoi n'ameroie » ; « Se j'ai chanté, encore chanterai » ; « Pluseurs amans ont souvent desirré » ; « Li hons qui veut honneur et joie avoir » ; « Bien doi du tout à amours obeir » ; « En mon chant lo et graci » ; « Aucun qui weullent leur vie » ; « Du plaissant mal savoureus, jolis » ; « Li rosignos chante tant ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Tout autresi con l'ente fet venir ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Je me cuidoie partir d'amours ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Qui plus aimme et plus endure ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Il feroit trop bon mourir ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Mauves arbre ne peut flourir ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Je me cuidoie partir d'amours ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Une doulour enossée ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Chanter m'estuet que ne m'en puis tenir ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Li dous pensers et li dous souvenirs ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Nien plus que dit peut estre sans raison ». [EUSTACHE LE PEINTRE] ; « Phellippe, je vouz demant : Dui ami ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Phelippes, je vous demant : Que est devenue ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Cil qui chantent de fleur ne de verdure ». EUSTACHE LE PEINTRE] ; « Aymans fins et verais ». [GAUTIER D'ESPINAUS] ; « Des ore mais est raison ». [GUIOT DE DIJON] ; « De bonne amour et de loial amie ». [GASSE BRULE.] ; « Onques ne fui sans amour ». [JEHAN] ; « Se j'ai chanté sans guerredon avoir ». [ROBERT DU CHASTEL D'ARRAS] ; « Je n'ai loisir d'assez penser ». [Le ROI DE NAVARRE.] ; « James ne cuidai avoir ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Au repairier que je fis de Prouvence » ; « Haute chose a en amour ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE.] ; « Ou nouviaus temps que iver se debrise ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; « Qui veult amours maintenir ». [MONIOT DE PARIS] ; « Quant esté faut encontre la saison » ; « Amours, pour ce que mes chans soit jolis ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; « Pensis, desirant d'amours ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE.] ; « A la plus sage et à la miex vaillant ». [THIERRY DE SOISSONS] ; « Se felon et losengier ». [JEHANNOT PAON DE PARIS] ; « Quant voi la glaie meure ». [Messire RAOUL DE SOISSONS.] ; « Je ne chant pas pour verdour ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Beau desir et pensée jolie » ; « Li grans desir de deservir amie » ; « Amours est une merveille ». [JEAN LE CHARPENTIER D'ARRAS] ; « Je ne sui pas esbahis ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Diex, je n'os nommer amie » ; « Grant deduit a et savoureuse vie ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Bien doi chanter la qui chançon set plaire ». [GUILLAUME LE VINIER] ; « Li jolis maus que je sent ne dedoit mie ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Je sent en moi l'amour renouveler ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Ma douce dainé et amours ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Qui à droit veult amours servir ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Sans espoir d'avoir secours de nului ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Dame, vos hons vous estrainne ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Pour ce se je n'ai esté chantans ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Tels s'entremet de garder ». [RICHART DE FOURNIVAL.] ; « Lors quant je voi le buisson en verdure ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Il ne me chaut d'esté ne de rousée ». [PERRIN D'ANGECOURT.] ; « Quant voi la douce saison » ; « Puisqu'amours m'a donné le beau savoir » ; « Puisque je sui de l'amoureuse loi ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Li jolis mais ne la flor qui blanchoie ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Lonc tamp ai esté envite et sanz joie ». [AUBUIN DE SEZANNE] ; « Tres haute amour qui tant s'est abaissie ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Biau m'est du tamps de gain qui raverdoie ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Ne m'i donne pas talent ». [MONIOT D'ARRAS] ; « Ne rose ne flour de lis » ; « Chanter m'i fait pour mez malz aligier ». [EUSTACHE LE PEINTRE ou LE COMTE DE BAR.] ; « Cilz qui d'amourz me conseille ». [GASSE BRULE] ; « Aurenouviau de la douchour d'esté. [GASSE BRULE] ; « Hé! amours, je sui norris ». [ROBERT DE LA PIERRE] ; « Desconfortés et de joie partis ». [GAUTIER D'ESPINAUS.] ; « Encor ferai une chanson perdue ». [HUGUES DE BREGI] ; « Foy et amour et loyautés ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; « Quant fueille, glais et verdure ». [GASSE BRULE.] ; « Onques d'amours n'oi nulle si grief painne ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; « A vous, amant, plus qu'à nulle autre gent ». [LE CHATELAIN DE COUCI] ; « Quant je plus sui en paour de m'amie ». [BLONDIAU] ; « Les oisillons de mon païs ». [GASSE BRULE.] ; « Quant li tamps pert sa chalour ». [SAUVAGE D'ARRAS] ; « Iriés et destrois et pensis ». [GASSE BRULE.] ; « Mercis clamant de mon fol errement ». [LE CHATELAIN DE COUCI] ; « S'onques nulz hom pour dure departie ». [LE CHATELAIN DE COUCI] ; « Quant partis sui de Provence ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « En loyal amour ai mis » ; « Au besoing voit on l'ami ». [GILLEBERT DE BERNEVILLE] ; « Bien doit chanter [qui] fine amor adrece ». [BLONDIAU DE NESLE.] ; « Au commenchement du tamps » ; « Quant à son vol a failli » ; « Au tamps que muert la froidure » ; « Tant sai d'amours que cilz qui plus l'emprent ». [AUBIN DE SEZANNE] ; « Quant l'erbe muert, voi la fueille cheoir ». [GASSE BRULE] ; « Li nouveax tamps et mays et violette ». [LE CHATELAIN DE COUCI.] ; « J'aim par coustume et par us ». « BLONDIAU » [DE NESLE] ; « Au repairier en la douce contrée ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Nulz ne doit estre alentis » ; « Aucun dient que poins et lieus et tamps » ; « Aucune gent vont disant » ; « Sens et raisons et mesure ». [THIERRY DE SOISSONS] ; « Ce que je sui de bonne amour espris » ; « Moult me merveil comment on puet trouver » ; « Moult scet amours tres savoureusement » ; « Amours m'assaut doucement » ; « Dedens mon cuer s'est, n'a gaires, fichiés » ; « Je sent le doulz mal d'amours » ; « Liés et loiaus, amoureu et jolis » ; « Pris fui amoureusement » ; « Onques n'amai plus loyalmentnuljour » ; « Si me fait tres doucement » ; « Mervilliés me sui forment » ; « Moult a cilz plaisant deduit » ; « Onquez mais mainz esbahis » ; « Plus amoureusement pris » ; « Hé! bonne amour, si com vous ai servie » ; « Ce qu'amours a si tres grande poissance » ; « Loyal amour point celer » ; « Bien doi chanter liés et baus » ; « Douce amours, je vous pri merci » ; « Li doulz malz qui met en joie » ; « Amours me fait joliement chanter » ; « Onques mais si doucement » ; « Si me tient amours joli » ; « Plus ne me voeil abaubir de chanter » ; « Mult douce souffrance » ; « Merci amours de la douce dolour ». [ADAM DE LA HALLE] ; « On demande moult souvent qu'est amours ». [ADAM DE LA HALLE] ; « J'ai.I. joli souvenir ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Quant voi le felon temps fine ». [PERRIN D'ANGECOURT.] ; « On voit souvent en chantant esmartir ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Quant la flour de l'espinete » ; « Quant li cincenis s'escrie ». [PERRIN D'ANGECOURT] ; « Novelle amour qui m'est ou cors entrée ». [JACQUES DE CHISON.] ; « Quant yvers trait à fin » ; « Quant li nouviaus tens define » ; « Li dous maus mi renouvelle ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Pourquoi se plaint d'amour nuls ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Au repairié de la douce contrée ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Tant me plest vivre en amoureus dangier ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Dous est li maus qui met la gent en voie ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Amours ne me veult oïr ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Je n'ai autre recevance ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Il ne muet pas de sens celui ». [ADAM DE LA HALLE] ; « On me deffent que mon cuer pas ne croie ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Helas! il n'est mais nuls qui aint ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Helas! il n'est mes nuls qui n'aint ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Puis que je sui en l'amoureuse loi ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Or voi je bien qu'i souvient ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Li souvenir me retient » ; « Li roussignos chante tant ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Tout autressi que l'ente fait venir ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « A tort m'ocies, amours » ; « Au dieu d'amours ai requis.I. don ». [RAOUL DE BEAUVAIS] ; « Chanter me fait bons vins et resjoïr » ; « D'enuis sent mal qui ne l'a apris ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Nuls hons ne puet ami reconforter ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Chançon ferai, car talens m'en est prins ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « L'autre nuit en mon dormant ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « En chantant veul ma doulour descouvrir ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Pour mau temps ne pour gelée ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Je ne chant paz revelans de merci ». [ADAM DE LA HALLE] ; « Merveille est quel talent j'ai de chanter ». [ADAM DE LA HALLE.] ; « Robert, vees de Pierron ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Merci, où estes vous manans » ; « Une chançon encor veul ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « De grant joie me sui tous esmeüs ». [LE ROI DE NAVARRE] ; « Puisqu'il m'estuet de ma dame partir » ; « Au temps plain de felonnie ». [LE ROI DE NAVARRE.] ; « Malvais arbrez ne puet flourir ». [LE ROI DE NAVARRE]

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Ce volume a été relié avec le ms. Latin 50 pour former une bible complète (cf. Berger, Hist. de la Vulg., 401), mais il semble que ces deux manuscrits ont été réalisés séparément, à une date et par un atelier différent. (F. Avril, Dix siècles d'enluminure italienne, notice 11). Avec prologues, arguments et « capitula ». Psalmi (1) ; Proverbia (13v) ; Ecclesiastes (20) ; Cant. canticorum (22v) ; Sapientia (24) ; Ecclesiasticus (29v) ; Oratio Salomonis (42v) ; Paralip. I-II (43) ; Job (62) ; Tobias (69) ; Judith (72) ; Esther (76) ; Esdras I-II (80) ; Macchab. I-II (87v). — Evangeliorum canones (103) ; Evang. Matthaei (106), Marci (112v), Lucae (117v), Johannis (125) ; Actus Apost. (131v) ; VII Epist. canon. (142), Apocalypsis (147v) ; Concordia Epist. Pauli (153) ; XIV Epist. Pauli (154) ; Epist. ad Laodicenses (addit. du XIIe s.) (176). — Quelques leçons indiquées en marge.

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F. I. Fragments d'un temporal d'hiver. Extraits d'Isaïe, LV, LVI, LX-LXII : « Omnes sitientes... », « Surge illuminare... », « Gaudens gaudebo... » F. 1-7. Le premier cahier contenant des homélies liées à la fête de l'Ascension, provient certainement d'un homéliaire d'été : sermons sur Matth., XIX, 21 et VIII, 5 (f. 1-2) ; sermons de s. Augustin et de s. Léon sur l'Ascension (f. 3-7). F. 8-224. Partie primitive du manuscrit : temporal d'hiver suivi de la fête de s. André. — Vers sibyllins (Carmen de die Judicii) (40) ; — Oratio Jeremiae (214v)F. 218v, début du sanctoral (9 leçons).

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Principales fêtes seulement. F. 1-265v Bréviaire noté : — « De b. Juliano, primo Cenomanensi ep. » (42v) ; — Office de ste Catherine (incompl.) (201) ; — Commun des saints (220). F. 266-345 Graduel : — s. Julien (271v) ; — Kyriale (334v) ; — Credo (notation proportionnelle) (342).

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F. 1-12v. Calendrier en français, à l’encre rouge et noire, où l’on remarque des formes dialectales picardes et plusieurs saints du Nord : « sainte Audegonde » (30 janvier) ; « le Candelier » (2 févr.) ; « ste Gertrude » (17 mars) ; « saint Quentin » (2 mai) ; « saint Ernoulx » [ep. Suessonensis] (16 août) ; « saint Bertin » (5 septembre) ; « saint Lambert » (17 septembre) ; « saint Franchois » (4 oct.) ; « saint Gillain » [mart. in Hannonia] (16 oct., Ghislain); « le jour st Estievene » (26 déc., rouge). Une deuxième main très cursive ajouté d’autres saints, dont « s. Amand » (6 févr.) ; « s. Waleri » (1er avril) ; « s. Fuscien » [mart. Ambianensis] (27 juin et 10 déc.) ; « s. Firmin » [mart. Ambianensis] (25 septembre) ; « s. Bavon » (1er oct.). F. 13v-17v. « ... hore sancte Crucis». F. 18v-22v. « ... hore de sancto Spiritu ».F. 23v-85. « ... hore beate marie virginis secundum usum romanum ». F. 86v-94v. Office de la Vierge, selon les temps de l’année. « ... officum beate Marie virginis quod dicitur per totum adventum ad vesperas ».F.95-115. « ... septem psalmi penitentiales cum suis litaniis et precibus ». A noter « ... sancte Lamberte... sancte Rumolde [ep. Mechlinensis]... sancte Fursee [ab. Latiniacensis] ... sancte Amande... sancte Vedaste, sancte Bavo... sancte Philiberte... santa Ursula... sancta Brigida... sancta Aldegondis, sancta Gertrudis... ».F.116v-152v. « ... vigilie mortuorum » office des morts à l’usage de Sarum-Normandie-Metz ; cf. K. Ottosen, Responsories..., p. 242 (116v-151). — « Octo versus beati Bernardi ». « Illumina oculos meos ne umquam obdormiam... » ; cf. Leroquais, Livres d’heures, I, XXX-XXXI (151-152v).F.153-158v. « Initium sancti evvangelii secundum Johannem... secundum Lucam... secundum Matheum... secundum Marcum ».F. 158v-166. Suffrages aux saints : « Memoria de santo Johanne Baptista... ; devota oratio... » ; — « ... de sancto Adriano » ; — « ... de sancto Sebastiano » ; — « ... de sancto Anthonio » ; — « ... de sancto Quintino » ; — « ... de sancto Nicholae » ; — « ... de sancto Andrea » ; — « ... de sancto Fiacro ».F.166v-174v. Prières à la Vierge. « ... devotissima oratio ad beatem virginem Mariam ». « O intemerata... O Johannes... » (éd. Wilmart, Auteurs spirituels, 488-490) (166v-169v). — « Alia oratio ad beatam virginem Mariam ». « Obsecro te.... » (éd. Leroquais, Livres d’heures, II, 346-347) (169v-174). Les deux prières sont rédigées à la forme masculine. — « Laus Marie virginis ». « Salve regina... » (Analecta Hymnica, L, 318-319, n° 245) (174-174v). F. 175-184v. Suffrages aux saintes : « ... de santa Barbara » ; — « ... de sancta Margareta » ; — « ... de sancta Katerina » ; — « ... de sancta Maria Magdelena » ; — « ... de sancta Appolonia » ; — « ... de sancta Venicie [Venice, forme dérivée de Véronique] » « Veni sponsa Christi... Versus. Diffusa est gratia... Oratio. Exaudi nos Deus ut sicut de beate Venicie festivitate gaudemus, ita pie devotionis erudiamur. Per.... » ; sur le culte de sainte Véronique/Venice, en particulier à Paris, voir Gr. A. RUNNALS, Le mystère de sainte Venice, Exeter, 1980 (Textes littéraires) (175-180v). — Prières diverses : « ... quinque gaudia de beata virgine Maria » « Gaude Virgo mater Christi... » (éd. Leroquais, Livres d’heures, I, XXVI-XXVII) (180v-182). — « Oratio devota ad Jesum Christum ». « Ave domine Jhesu Christe verbum patris » (éd. Wilmart, Auteurs spirituels, 412 [III]) (182-183). — « Oratio devota que dicitur ad elevationem Domini ». « Ave verum corpus Domini nostri... » (éd. Szövérffy, Die Annalen , II, 298-299) (183-184). — « Memore de saint Miquiel », en latin (184-184v).