800 resultados para Attention deficit hyperactivity disorder (ADHD)
Resumo:
Le trouble déficitaire de l'attention/hyperactivité (TDA/H) est une problématique qui touche un nombre important de jeunes Québécois. Un lien entre le TDA/H, plus particulièrement la composante inattention, et l’apparition de difficultés scolaires a été démontré à maintes reprises. Quelques études suggèrent que la pratique d'activités sportives pourrait influencer le lien entre l'inattention et les difficultés scolaires et augmenter ainsi la probabilité de perséverer dans les études et, conséquemment, d’obtenir un diplôme scolaire. La présente étude vise à examiner le lien entre l’inattention durant l’enfance et l’obtention du diplôme d’études secondaires, puis à vérifier si la pratique d'activités sportives durant l’adolescence influence ce lien. À cette fin, 1043 jeunes ont été suivis de 6 à 23 ans. Une analyse de régression logistique binaire de type hiérarchique a été utilisée pour tester les hypothèses proposées. D’une part, et tel que prévu, une forte association négative entre l’inattention et la diplomation est observée. Cette association demeure satistiquement significative après contrôle de différentes variables (hyperactivité, symptômes intériorisés, Q.I. et l’adversité familiale). La relation inattention-diplomation n’est toutefois pas modérée par la pratique d’activités sportives. Cette étude souligne l’importance de mettre en place des mesures efficaces pour permettre aux jeunes souffrant d’inattention d’avoir de meilleures chances de diplômer.
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Les parents d’enfants aux prises avec un trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) sont à risque de dépression. Ces parents rapportent aussi des relations familiales plus problématiques, des expériences plus stressantes, un sentiment d’auto-efficacité plus faible à l’égard de leur rôle parental et des pratiques parentales plus coercitives ou inadéquates en comparaison aux parents d’enfants sans ce diagnostic. Plusieurs recherches ont relevé que les parents d’enfants ayant un TDA/H qui ont participé à un programme d’entraînement aux habiletés parentales (PEHP) rapportent une amélioration générale des difficultés énumérées précédemment. Le changement d’attitude et de pratiques parentales est souvent relié à une diminution des symptômes du TDA/H chez les enfants. L’intervention peut donc contribuer à améliorer la condition du parent et par le fait même celle de son enfant. Toutefois, le TDA/H est un trouble chronique qui peut affecter certaines caractéristiques personnelles du parent pouvant interférer avec la capacité de ce dernier à bénéficier d’une intervention. Peu d’études s’attardent aux caractéristiques du parent pouvant affecter l’efficacité de l’intervention. Le but de la présente étude est d’étudier le lien bidirectionnel entre certaines caractéristiques personnelles (dépression, stress, sentiment d’auto-efficacité) et les pratiques parentales dans un contexte d’intervention qui s’adresse aux parents d’enfants ayant un TDA/H. Les résultats démontrent que le sentiment d’auto-efficacité initial du parent est prédicteur d’une discipline inconstante, et ce, indépendamment de la condition expérimentale. De plus, les pratiques positives initiales sont prédicteurs d’un sentiment d’auto-efficacité élevé au post-test et ce, indépendamment de la condition expérimentale.
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La présente thèse de doctorat visait d’abord à valider les résultats des études antérieures démontrant un accroissement de la prévalence des problèmes de santé mentale et ensuite, à évaluer l’importance du contexte social dans l’explication des changements de prévalence, à partir des effets d’âge, de période et de cohorte. L’atteinte de ces objectifs s’est faite à partir de deux études empiriques, chacune ciblant sa propre problématique en santé mentale. La première étude, basée sur les données de l’Enquête longitudinale nationale sur les enfants et les jeunes (ELNEJ) de Statistique Canada, a permis de conclure à un accroissement réel de la prévalence du diagnostic de trouble déficitaire de l’attention/hyperactivité (TDA/H) et de la consommation de psychostimulants chez les enfants canadiens entre 1994 et 2007. Toutefois, cette tendance n’est ni constante, ni universelle, puisque des effets de période et d’âge apparaissent clairement : l’augmentation des prévalences est uniquement remarquée dans les années 2000, et survient seulement chez les enfants d’âge scolaire. L’identification d’inégalités de prévalence dues à la période historique et à l’âge des enfants souligne l’importance du contexte social dans la problématique du diagnostic de TDA/H et de la consommation de psychostimulants. La seconde étude a été réalisée à partir des données du Panel Study of Belgian Households (PSBH) et cherchait à expliquer l’accroissement des symptômes dépressifs observé ces vingt dernières années chez les adultes belges. L’utilisation de l’analyse multiniveaux longitudinale permettant la distinction des effets d’âge et des effets de cohortes a été privilégiée. Bien que l’intensité des symptômes dépressifs ait varié de manière relativement importante chez les individus au cours des années 1990, nos conclusions démontrent que les symptômes auto-rapportés de dépression sont davantage associés aux conditions de vie, qu’à la personnalité. L’augmentation résulte d’un effet de la succession des cohortes, où les individus des cohortes les plus récentes rapportent toujours une plus grande intensité de symptômes dépressifs que les individus des cohortes précédentes. Les membres d’une même cohorte de naissance partagent donc des expériences communes à un âge similaire, ce qui a un impact durable sur leurs comportements et sur leur santé mentale. De manière générale, les résultats des deux articles empiriques ont, chacun à leur manière, confirmé la réalité de l’accroissement des problèmes de santé mentale dans les sociétés occidentales contemporaines, et permis de constater que la prévalence diffère selon l’âge et la cohorte de naissance des individus, ainsi que selon la période historique, renforçant ainsi l’hypothèse de l’importance des facteurs sociaux dans l’étiologie des problèmes de santé mentale. Bien que la nature de ces facteurs n’ait pu être testée de manière directe, de nombreuses explications sociales furent tout de même proposées. À cet égard, des changements dans les normes comportementales associées à l’âge, dans les normes sociales, dans la conceptualisation des troubles mentaux, des modifications dans la sphère éducative, ainsi que des innovations pharmacologiques, médicales et technologiques constituent des explications sociales aux effets d’âge, de période et de cohorte qui ont été observés.
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Le trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) est de plus en plus reconnu chez l'adulte. Les psychostimulants représentent la première ligne de traitement, mais ceux-ci ne sont parfois pas tolérés, peuvent être contrindiqués ou ne pas être efficaces. Les médicaments non stimulants constituent une alternative mais ont été insuffisamment explorés. Cette thèse présente un essai clinique randomisé contrôlé de 30 sujets souffrant de TDAH qui ont reçu soit la duloxétine 60 mg par jour ou le placebo pendant une période de 6 semaines. Le Conners’ Adult ADHD Rating Scale (CAARS) et le Clinical Global Impression scale (CGI) ont été utilisés pour mesurer la sévérité des symptômes et l'amélioration clinique. Le Hamilton Anxiety Rating Scale (HARS) et le Hamilton Depression Rating Scale (HDRS) ont été choisis pour vérifier l'impact sur la symptomatologie anxio-dépressive. Les résultats démontrent que les sujets ayant reçu la duloxétine avait un score au CGI-Severity (CGI-S) inférieur au groupe contrôle à 6 semaines de traitement et une amélioration plus importante au CGI-Improvement (CGI-I). Ce groupe démontre également des diminutions supérieures des scores à plusieurs sous-échelles du CAARS. Aucun effet n'a été observé sur le HARS et le HDRS. Le taux de retrait du bras duloxetine remet par contre en question la dose initiale choisie dans ce protocole. La duloxétine semble donc une option prometteuse dans le traitement du TDAH chez l'adulte et la réplication des données cliniques serait la prochaine étape pour confirmer ces résultats.
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À ce jour, plusieurs études se sont penchées sur l’influence des comportements problématiques des enfants présentant un trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) sur les pratiques parentales (Chronis-Tuscano et al., 2008), mais peu de recherches se sont intéressées à la relation entre ce que pensent les parents et la façon dont ils se comportent avec leur enfant (Rudy & Grusec, 2006). L’objectif principal de cette thèse est d’étudier la relation entre les cognitions sociales des parents, les pratiques parentales et les caractéristiques comportementales de l’enfant présentant un TDAH. Une première étude examine la relation entre les cognitions sociales des parents (attributions causales, sentiment d’auto-efficacité parental (SAEP)), les caractéristiques comportementales de l’enfant (sous-type TDAH, symptômes concomitants) en lien avec les pratiques parentales utilisées. Cent dix familles dont l’enfant a un TDAH ont participé à l’étude. Les résultats indiquent que plus les parents ont un SAEP élevé, plus ils rapportent employer une discipline appropriée, une discipline verbale positive, des félicitations/récompenses et moins ils rapportent utiliser une discipline sévère/inconstante ou la punition physique. Les résultats montrent également que l’attribution des comportements de désobéissance de l’enfant soit à l’effort important du parent, soit au manque d’effort de l’enfant joue un rôle prédicteur en regard respectivement de l’utilisation d’une discipline verbale positive ou de l’utilisation d’une discipline sévère et inconstante par le parent. Par ailleurs, le fait de percevoir des symptômes d’opposition chez l’enfant TDAH prédit l’utilisation d’une discipline appropriée et d’une discipline verbale positive. Enfin, la présence de symptômes concomitants au TDAH prédit l’utilisation d’une discipline sévère et inconstante. L’objectif de la seconde étude est d’examiner le rôle des cognitions sociales des parents d’enfant ayant un TDAH en lien avec les pratiques parentales utilisées après leur participation à deux types d’intervention (programme d’entraînement aux habiletés parentales (PEHP) ou soutien téléphonique (ST)) comparativement à un groupe contrôle (GC). Les résultats suggèrent que dans certains cas, le SAEP ou les attributions causales prédisent différemment les pratiques parentales selon que les parents ont ou non participé à une intervention, mais il est prématuré de conclure que les cognitions sociales des parents d’enfant TDAH sont des modérateurs du changement des pratiques parentales. Les implications méthodologiques, conceptuelles et cliniques de ces deux études sont discutées.
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Au Québec, le trouble du déficit de l’attention/hyperactivité (TDA/H) est celui qui requiert le plus grand nombre de consultations en pédopsychiatrie (50 % à 75 %). À ce jour, l’intervention multimodale (traitement pharmacologique, programme d’entraînement aux habiletés parentales (PEHP) et programme d’intervention cognitive comportementale (PICC) auprès des enfants ayant un TDA/H) a obtenu de bons résultats à long terme. Dans cette étude, nous avons évalué les changements dans le fonctionnement familial suite à un PEHP. La conception de ce PEHP repose sur les deux approches : l’approche systémique familiale de Calgary (Wright & Leahey, 2013) et l’approche de solution collaborative et proactive (Greene, 2014). Le Family Assessment Device (FAD; Epstein, Baldwin, et Bishop, 1983), version courte, a été utilisé pour mesurer le fonctionnement général (FG) de la famille. La collecte de données a été réalisée auprès de deux groupes (groupe participant et groupe témoin) et à deux temps de mesure (avant et après le PEHP). L’échantillon contient 28 familles participantes et 18 familles témoins. L’analyse de variance à mesures répétées (ANOVA) a été utilisée pour tester l’effet des variables indépendantes (Temps et Intervention) sur la variable dépendante (FG). Les résultats indiquent que les parents qui participent à un PEHP perçoivent un fonctionnement familial général amélioré par rapport au groupe témoin. L’interprétation des changements à la suite du PEHP donne des pistes d’intervention infirmières à ces familles afin d’éviter les impacts de ce trouble sur le fonctionnement familial à long terme.
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Introducción: El TDAH tiene un componente genético importante; el gen de transportador de Dopamina (DAT1) se ha asociado con susceptibilidad al TDAH y con sus endofenotipos. El VNTR de 40pb en la región 3’UTR aumenta la expresión del DAT1. En Colombia no hay ningún estudio previo que indique evidencia de la asociación genética entre TDAH y el gen DAT1. Objetivo: Determinar asociación entre el VNTR del DAT1 y el fenotipo y/o endofenotipos del TDAH. Métodos: Se seleccionaron 73 pacientes con TDAH y 75 controles, se valoró en los casos inteligencia y funciones ejecutivas. Mediante (PCR) se amplificó el VNTR DAT1. Se establecieron estadísticos genético poblacionales, análisis de asociación y de regresión logística entre las pruebas neuropsicológicas y genotipo. Resultado: El polimorfismo del DAT1 no mostró asociación con TDAH, ni con alteraciones en las funciones ejecutivas. El genotipo 10/10 del VNTR DAT1 se encontró asociado con el índice de velocidad de procesamiento (p <0,05). En el subgrupo hiperactividad hubo asociación con algunas subpruebas de flexibilidad cognitiva, número de respuestas correctas, total de errores, número de respuestas perseverativas (p ≤ 0.01). En el subgrupo mixto se asoció con índice de comprensión verbal (p <0,05). Conclusiones: No hubo asociación entre el polimorfismo VNTR (DAT1) y el fenotipo de TDAH. Se encontraron asociaciones entre genotipo y algunos test de flexibilidad cognitiva e índice de comprensión verbal. Se establecieron los estadísticos genético poblacionales de este polimorfismo para la población analizada, el cual corresponde al primer reporte de una muestra de nuestro país.
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El objetivo del presente estudio descriptivo-comparativo fue comparar el desempeño en funciones ejecutivas de escolares entre ocho y trece años con trastorno por déficit de atención e hiperactividad (TDAH), trastorno del cálculo (TC), TDAH+TC y controles normales. Los diagnósticos se confirmaron a través de una entrevista clínica semiestructurada, un cuestionario clínico de déficit atencional y pruebas de cálculo matemático. Se encontraron diferencias estadísticamente significativas entre los grupos en atención visual y auditiva, fluidez verbal fonémica, flexibilidad cognitiva, organización y planeación. Los resultados indican, de manera similar que investigaciones anteriores, que los escolares con TDAH+TC presentan mayores déficits en funciones ejecutivas que los niños normales.
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En 2007, un grupo de especialistas en salud mental y neurociencias elaboró la Declaración de México para el trastorno por déficit de atención e hiperactividad (TDAH), en la que se integra la información científica sobre el padecimiento. En 2009, durante el III Consenso Latinoamericano para el TDAH, se elaboró la Declaración de Cartagena para el TDAH; en ella, se actualiza la información científica y se promueven acciones contra el estigma del TDAH en la sociedad y en las escuelas. Previamente, se elaboró un borrador que fue evaluado por los participantes durante el Consenso y revisado posteriormente por veintiséis especialistas de diez países de la región. En este documento se enlistan veintisiete puntos de la declaración sobre los aspectos clínicos, epidemiológicos y terapéuticos basados en la evidencia científica para el TDAH, y se enumeran diferentes aspectos contra el estigma en la sociedad y en las escuelas. La Declaración de Cartagena para el TDAH constituye el segundo llamado que los miembros de la Liga Latinoamericana para el Estudio del TDAH (LILAPETDAH) realizan de forma organizada y multinacional para la difusión de las manifestaciones clínicas y terapéuticas, y para la promoción de estrategias gremiales y sociales orientadas a la disminución del estigma de este padecimiento.
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El trastorno de hiperactividad y déficit de atención (THDA), es definido clínicamente como una alteración en el comportamiento, caracterizada por inatención, hiperactividad e impulsividad. Estos aspectos son clasificados en tres subtipos, que son: Inatento, hiperactivo impulsivo y mixto. Clínicamente se describe un espectro amplio que incluye desordenes académicos, trastornos de aprendizaje, déficit cognitivo, trastornos de conducta, personalidad antisocial, pobres relaciones interpersonales y aumento de la ansiedad, que pueden continuar hasta la adultez. A nivel global se ha estimado una prevalencia entre el 1% y el 22%, con amplias variaciones, dadas por la edad, procedencia y características sociales. En Colombia, se han realizado estudios en Bogotá y Antioquia, que han permitido establecer una prevalencia del 5% y 15%, respectivamente. La causa específica no ha sido totalmente esclarecida, sin embargo se ha calculado una heredabilidad cercana al 80% en algunas poblaciones, demostrando el papel fundamental de la genética en la etiología de la enfermedad. Los factores genéticos involucrados se relacionan con cambios neuroquímicos de los sistemas dopaminérgicos, serotoninérgicos y noradrenérgicos, particularmente en los sistemas frontales subcorticales, corteza cerebral prefrontal, en las regiones ventral, medial, dorsolateral y la porción anterior del cíngulo. Basados en los datos de estudios previos que sugieren una herencia poligénica multifactorial, se han realizado esfuerzos continuos en la búsqueda de genes candidatos, a través de diferentes estrategias. Particularmente los receptores Alfa 2 adrenérgicos, se encuentran en la corteza cerebral, cumpliendo funciones de asociación, memoria y es el sitio de acción de fármacos utilizados comúnmente en el tratamiento de este trastorno, siendo esta la principal evidencia de la asociación de este receptor con el desarrollo del THDA. Hasta la fecha se han descrito más de 80 polimorfismos en el gen (ADRA2A), algunos de los cuales se han asociado con la entidad. Sin embargo, los resultados son controversiales y varían según la metodología diagnóstica empleada y la población estudiada, antecedentes y comorbilidades. Este trabajo pretende establecer si las variaciones en la secuencia codificante del gen ADRA2A, podrían relacionarse con el fenotipo del Trastorno de Hiperactividad y el Déficit de Atención.
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A Perturbação de Hiperatividade e Défice de Atenção (PHDA) é um distúrbio que, segundo a literatura, afeta entre 3-7% das crianças em idade escolar e que consiste numa tríade de desatenção, hiperatividade e impulsividade. Este distúrbio é prevalente e para os atingidos pode ter consequências gravosas sendo o insucesso escolar um dos primeiros obstáculos. Muitas vezes entendidas pela classe docente como falta de educação e preguiça, estas características não recebem a atenção devida. Baseado num aluno do 8º ano com diagnóstico de PHDA do tipo misto desde os 5 anos de idade, este projeto destinou-se a estudar sumariamente a PHDA e a encontrar, aplicar e avaliar a eficácia de um conjunto de estratégias de aprendizagem que, numa perspetiva inclusiva, permitissem quer ao aluno quer ao grupo turma desenvolver os seus potenciais de aprendizagem. O aluno não se encontra abrangido pelo Decreto Lei 3/2008 mas apresentou insucesso escolar no 7º ano que quase comprometeu a sua progressão. Integra uma turma de dezasseis alunos que inclui três alunos abrangidos pelo referido decreto sendo um de currículo específico individual. Este projeto desenvolveu-se no primeiro período do ano letivo 2012-2013 e possui duas vertentes: a tutoria individual - num tempo semanal – assumido na qualidade de diretora de turma, e o espaço de sala de aula curricular de Físico-Química – em três tempos semanais – da qual a autora do presente trabalho é docente. O projeto de tutoria, sugerido pelo psicólogo que acompanha o aluno, destinou-se à implementação de um Programa de Promoção da Função Cognitiva e de Métodos e Hábitos de Estudo incidindo nos seguintes domínios: componente motivacional, componente comportamental, componente cognitiva, autoconhecimento e autoavaliação, e planeamento de uma metodologia de estudo mais eficaz. Em sala de aula o enfoque esteve na componente motivacional para o estudo da disciplina com o intento de otimizar as funções executivas de Ativação, Foco e Esforço mencionadas por Brown (2009), e na atribuição de significado aos conteúdos estudados para trabalhar a Memória de curto e longo prazo. Para a abordagem dos vários temas utilizaram-se recursos variados procurando respeitar os vários estilos de aprendizagem mas o recurso a objetos e atividades experimentais foram os que se revelaram mais eficazes. No final desta intervenção, a avaliação do período em estudo revelou um aluno mais motivado e participativo na generalidade das disciplinas e especialmente em Físico-Química onde obteve classificações acima da média da turma. PALAVRAS CHAVE: Perturbação de hiperatividade e défice de atenção, inclusão, estratégias de intervenção em sala de aula.
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A Perturbação de Hiperatividade com Défice da Atenção (PHDA) é uma das principais demandas da saúde mental, sendo um dos problemas mais estudados do desenvolvimento da infância e adolescência. Neste estudo, pretende-se refletir acerca da perceção que os professores têm sobre diferentes aspetos relacionados com esta problemática, desde logo, o seu nível de conhecimentos, a sua perceção acerca do condicionamento da PHDA na aprendizagem e as formas de intervenção que consideram mais apropriadas. Para tal, aplicou-se um questionário devidamente elaborado, tendo em conta os objetivos propostos. Participaram neste estudo 124 professores do 1º, 2º e 3º ciclos do ensino básico e ensino secundário. Os resultados mostram que os participantes têm conhecimento limitado, independentemente das habilitações académicas, do ciclo que lecionam e do tempo de serviço; conclui-se também que a PHDA condiciona a aprendizagem e é considerada grave. Demonstra-se, ainda, que os professores valorizam a intervenção familiar e individual. Devido aos avanços da PHDA no mundo científico, recomenda-se que se continuem estudos especialmente no que diz respeito à perceção dos professores.
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Os problemas de comportamento e de aprendizagem em idade escolar constituem uma das principais fontes de preocupação para professores, pais, psicólogos e, de uma forma geral, para todos aqueles que se interessam pelos fenómenos educativos. Contudo, tem sido difícil alcançar posições consensuais na definição do número e tipo de crianças afetadas por estes problemas, em parte devido ao número e diversidade dos profissionais que por eles se interessam. A denominada Perturbação de Hiperatividade e Défice de Atenção (P H.D.A.) (Antunes, 2009) tem sido um dos mais estudados problemas de desenvolvimento da infância e da adolescência e dos que tem mais impacto quer seja ao nível de salas de aula, quer seja no contexto específico onde o projeto se insere. Assim sendo, este trabalho de projeto pretende atuar num grupo de crianças que frequenta o centro de atividades de tempos livres (C.A.T.L.) e que inclui uma criança hiperativa (desencadeadora do projeto), de forma a desenvolver competências sociais e educativas, no grupo e com o grupo. Neste sentido, foram realizadas atividades de estimulação de memória, ativação de atenção e concentração, de forma lúdica. O lúdico, aliado a uma programação adaptada à situação, refletida e avaliada sistematicamente, proporcionou ao grupo e ao aluno momentos de cooperação, de aprendizagens de regras, de comportamentos e de respeito por si e pelo outro.
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The present research aimed to comprehensively explore psychopathology in Williams syndrome (WS) across the lifespan and evaluate the relationship between psychopathology and age category (child or adult), gender and cognitive ability. The parents of 50 participants with WS, aged 6-50 years, were interviewed using the Schedule for Affective Disorders and Schizophrenia for School-Age Children (K-SADS-PL). The prevalence of a wide range of Axis I DSM-IV disorders was assessed. In addition to high rates of anxiety and Attention Deficit Hyperactivity Disorder (ADHD) (38% and 20% respectively), 14% of our sample met criteria for a depressive disorder and 42% of participants were not experiencing any significant psychopathological difficulties. There was some evidence for different patterns of psychopathology between children and adults with WS and between males and females. These relationships were largely in keeping with those found in the typically developing population, thus supporting the validity of applying theory and treatment approaches for psychopathology in the typically developing population to WS.
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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)