967 resultados para Aemilia Lepida (0003 av. J.-C.-0053) -- Portraits
Resumo:
Notre mémoire porte sur la mise en valeur du patrimoine archéologique sur la côte nord du Pérou. À partir de deux études de cas, Chan Chan et Huacas de Moche, nous cherchons à faire ressortir différentes approches de mise en valeur au complexe archéologique et d’exposition au musée de site. La cité de Chan Chan aurait été la capitale de l’Empire chimor (900 à 1476 ap. J.C.) et utilisée à titre de siège pour le gouvernement, de résidence, de centre administratif et de centre religieux. Le complexe de Huaca del Sol y de la Luna aurait été la capitale de la civilisation moche (100 av. J.C. à 700 ap. J.C.) à son apogée. Il représente l’un des plus anciens centre urbain-cérémonial de la côte nord du Pérou. Le cas du Musée de site de Chan Chan présente un modèle muséographique des années 1990, tandis que le cas du Musée de site de Huacas de Moche propose une approche puisant ses concepts dans la nouvelle muséologie (2010). D’autre part, ces modèles de gestion, l’un issu du secteur public (Chan Chan) et l’autre (Huacas de Moche) émanant d’une gestion mixte ont une influence sur la manière de présenter l’archéologie au public. Le premier chapitre aborde l’histoire du développement de l’archéologie, des musées et du tourisme au Pérou. La deuxième partie de ce chapitre traite des questions liées à l’herméneutique de la culture matérielle, des questions esthétiques et de l’architecture précolombienne, ainsi que des approches de médiation. Le deuxième chapitre met en parallèle l’analyse du circuit de visite du complexe archéologique de Chan Chan et celui de Huacas de Moche. Le troisième chapitre présente l’analyse de la mise en exposition des musées de site des deux études de cas et des liens créés avec leur site archéologique. Le quatrième chapitre porte sur les formes de financement des projets de fouilles, de conservation, de restauration et de mise en valeur de l’archéologie, ainsi que des stratégies utilisées pour sa diffusion et sa mise en tourisme. Enfin, la dernière section du quatrième chapitre traite des différents moyens utilisés par chacun des complexes archéologiques et leurs musées pour intégrer la communauté locale aux projets de recherche et de mise en valeur archéologique.
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Notre mémoire porte sur la mise en valeur du patrimoine archéologique sur la côte nord du Pérou. À partir de deux études de cas, Chan Chan et Huacas de Moche, nous cherchons à faire ressortir différentes approches de mise en valeur au complexe archéologique et d’exposition au musée de site. La cité de Chan Chan aurait été la capitale de l’Empire chimor (900 à 1476 ap. J.C.) et utilisée à titre de siège pour le gouvernement, de résidence, de centre administratif et de centre religieux. Le complexe de Huaca del Sol y de la Luna aurait été la capitale de la civilisation moche (100 av. J.C. à 700 ap. J.C.) à son apogée. Il représente l’un des plus anciens centre urbain-cérémonial de la côte nord du Pérou. Le cas du Musée de site de Chan Chan présente un modèle muséographique des années 1990, tandis que le cas du Musée de site de Huacas de Moche propose une approche puisant ses concepts dans la nouvelle muséologie (2010). D’autre part, ces modèles de gestion, l’un issu du secteur public (Chan Chan) et l’autre (Huacas de Moche) émanant d’une gestion mixte ont une influence sur la manière de présenter l’archéologie au public. Le premier chapitre aborde l’histoire du développement de l’archéologie, des musées et du tourisme au Pérou. La deuxième partie de ce chapitre traite des questions liées à l’herméneutique de la culture matérielle, des questions esthétiques et de l’architecture précolombienne, ainsi que des approches de médiation. Le deuxième chapitre met en parallèle l’analyse du circuit de visite du complexe archéologique de Chan Chan et celui de Huacas de Moche. Le troisième chapitre présente l’analyse de la mise en exposition des musées de site des deux études de cas et des liens créés avec leur site archéologique. Le quatrième chapitre porte sur les formes de financement des projets de fouilles, de conservation, de restauration et de mise en valeur de l’archéologie, ainsi que des stratégies utilisées pour sa diffusion et sa mise en tourisme. Enfin, la dernière section du quatrième chapitre traite des différents moyens utilisés par chacun des complexes archéologiques et leurs musées pour intégrer la communauté locale aux projets de recherche et de mise en valeur archéologique.
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Ce mémoire analyse le processus de romanisation et de colonisation de Xanten-Vetera, une région frontalière de l’Empire romain située en basse Rhénanie dans la province romaine de Germania inferior. À l’intérieur d’un cadre temporel inclus entre les conquêtes de Jules César et le milieu du second siècle apr. J.-C., l’étude cherche à comprendre et à restituer la présence militaire ainsi que le développement des peuplades civiles sur place, du fait des transferts de population et de l’immigration gallo-romaine. Le processus de romanisation est analysé en tenant compte des réalités ethnographiques, sociales et culturelles et selon les théories les plus actuelles de la recherche moderne sur ce sujet. Comme il s’agit d’une agglomération située sur une voie fluviale en périphérie de l’Empire, le concept de « frontière » y est évalué afin d’estimer si Xanten-Vetera constituait une zone de convergence ou de divergence par rapport à l’espace rhénan. Dans un deuxième temps, cette recherche analyse le contexte militaire et social durant lequel l’empereur Trajan prit la décision d’octroyer le statut de colonie à ce territoire qui devint la Colonia Ulpia Traiana. Cette démarche qui se veut régionale souligne la nature particulière de l’histoire de Xanten-Vetera sous le Haut Empire ; les migrations et les tragédies à l’intérieur de cet espace géographique ont façonné un endroit au destin unique en Germanie et dans l’Empire romain. Enfin, ce travail fournit un exemple pertinent de l’évolution des motivations qui ont guidé les politiques coloniales sous les Julio-Claudiens, les Flaviens et les Antonins et suggère l’essor des groupes de pression non militaires dans ce contexte.
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Compiled by M. H. Tilden.
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Vol. 1: [2], iv, [2], 604 p.; v.2: [2], iv, [2], 616 p.
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This thesis addresses the following broad research question: what did it mean to be a disabled Revolutionary War veteran in the early United States during the period from 1776 to roughly 1840? The study approaches the question from two angles: a state-centred one and an experiential one. In both cases, the theoretical framework employed comes from disability studies. Consequently, disability is regarded as a sociocultural phenomenon rather than a medical condition. The state-centred dimension of the study explores the meaning of disability and disabled veterans to the early American state through an examination of the major military pension laws of the period. An analysis of this legislation, particularly the invalid pension acts of 1793 and 1806, indicates that the early United States represents a key period in the development of the modern disability category. The experiential approach, in contrast, shifts the focus of attention away from the state towards the lived experiences of disabled veterans. It seeks to address the issue of whether or not the disabilities of disabled veterans had any significant material impact on their everyday lives. It does this through a comparison of the situation of 153 disabled veterans with that of an equivalent number of nondisabled veterans. The former group received invalid pensions while the latter did not. In comparing the material conditions of disabled and nondisabled veterans, a wide range of primary sources from military records to memoirs and letters are used. The most important sources in this regard are the pension application papers submitted by veterans in the early nineteenth century. These provide us with a unique insight into the everyday lives of veterans. Looking at the issue of experience through the window of the pension files reveals that there was not much difference in the broad contours of disabled and nondisabled veteran life. This finding has implications for the theorisation of disability that are highlighted and discussed in the thesis. The main themes covered in this study are: the wartime experiences of injured American soldiers, the military pension establishment of the early United States and the legal construction of disability, and the post-war working and family lives of disabled veterans. Keywords: disability, early America, veterans, military pensions, disabled people, Revolutionary War, United States, disability theory.
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This study sets out to provide new information about the interaction between abstract religious ideas and actual acts of violence in the early crusading movement. The sources are asked, whether such a concept as religious violence can be sorted out as an independent or distinguishable source of aggression at the moment of actual bloodshed. The analysis concentrates on the practitioners of sacred violence, crusaders and their mental processing of the use of violence, the concept of the violent act, and the set of values and attitudes defining this concept. The scope of the study, the early crusade movement, covers the period from late 1080 s to the crusader conquest of Jerusalem in 15 July 1099. The research has been carried out by contextual reading of relevant sources. Eyewitness reports will be compared with texts that were produced by ecclesiastics in Europe. Critical reading of the texts reveals both connecting ideas and interesting differences between them. The sources share a positive attitude towards crusading, and have principally been written to propagate the crusade institution and find new recruits. The emphasis of the study is on the interpretation of images: the sources are not asked what really happened in chronological order, but what the crusader understanding of the reality was like. Fictional material can be even more crucial for the understanding of the crusading mentality. Crusader sources from around the turn of the twelfth century accept violent encounters with non-Christians on the grounds of external hostility directed towards the Christian community. The enemies of Christendom can be identified with either non-Christians living outside the Christian society (Muslims), non-Christians living within the Christian society (Jews) or Christian heretics. Western Christians are described as both victims and avengers of the surrounding forces of diabolical evil. Although the ideal of universal Christianity and gradual eradication of the non-Christian is present, the practical means of achieving a united Christendom are not discussed. The objective of crusader violence was thus entirely Christian: the punishment of the wicked and the restoration of Christian morals and the divine order. Meanwhile, the means used to achieve these objectives were not. Given the scarcity of written regulations concerning the use of force in bello, perceptions concerning the practical use of violence were drawn from a multitude of notions comprising an adaptable network of secular and ecclesiastical, pre-Christian and Christian traditions. Though essentially ideological and often religious in character, the early crusader concept of the practise of violence was not exclusively rooted in Christian thought. The main conclusion of the study is that there existed a definable crusader ideology of the use of force by 1100. The crusader image of violence involved several levels of thought. Predominantly, violence indicates a means of achieving higher spiritual rewards; eternal salvation and immortal glory.