955 resultados para Printing press
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by David Werner Amram
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"Supplementary reading": p. 64.
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Includes index.
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"9 May 1988."
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"6 January 1986."
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This chapter introduces the changing role of copyright in China from a historical perspective. It begins by briefly tracing the history of copyright, from a censorship-related system associated with the emergence of the printing press in imperial China, through modernisation during the Republican period, abolition under communism and finally to the introduction of the People's Republic of China's (PRC) first copyright law in 1990 and the nation's entry into the World Trade Organisation (WTO) in 2001.
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This study investigates the process of producing interactivity in a converged media environment. The study asks whether more media convergence equals more interactivity. The research object is approached through semi-structured interviews of prominent decision makers within the Finnish media. The main focus of the study are the three big ones of the traditional media, radio, television and the printing press, and their ability to adapt to the changing environment. The study develops theoretical models for the analysis of interactive features and convergence. Case-studies are formed from the interview data and they are evaluated against the models. As a result the cases arc plotted and compared on a four-fold table. The cases are Radio Rock, NRJ, Biu Brother, Television Chat, Olivia and Sanoma News. It is found out that the theoretical models can accurately forecast the results of the case studies. The models are also able to distinguish different aspects of both interactivity and convergence so that a case, which at a first glance seems not to be very interactive is in the end found out to receive second highest scores on the analysis. The highest scores are received by Big Brother and Sanoma News. Through the theory and the analysis of the research data it is found out that the concepts of interactivity and convergence arc intimately intertwined and very hard in many cases to separate from each other. Hence the answer to the main question of this study is yes, convergence does promote interactivity and audience participation. The main theoretical background for the analysis of interactivity follows the work of Came Fleeter, Spiro Kiousis and Sally McMillan. Heeler's six-dimensional definition of interactivity is used as the basis for operationalizing interactivity. The actor-network theory is used as the main theoretical framework to analyze convergence. The definition and operationalization of the actor-network theory into a model of convergence follows the work of Michel Callon. Bruno Latour and especially John Law and Felix Stalder.
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[ES] De entre las ediciones de Terencio publicadas en las primeras décadas de la imprenta, las de Vindelino de Espira son las que muestran una mayor voluntad filológica y, sin duda, las que ofrecen un texto más correcto. Estas ediciones dependen del texto terenciano reconstruido por Petrarca: concretamente, IGI 9408 desciende de una fase textual anterior a la que queda fijada en 1358 y responde además a algunos de los criterios propugnados por Petrarca en la Vita Terrentii; IGI 9409, por su parte, depende —parcialmente— del texto de 1358 y muestra indicios de haber sufrido la influencia de otro ejemplar de Petrarca. En fin, la presencia de la Vita Terrentii en la transmisión impresa de Terencio es una muestra más de la vigencia de la filología terencia de Petrarca durante aquellos años.
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O presente estudo examina o momento fundador da imprensa no Brasil em 1808 e a rotina de funcionamento da Impressão Régia, no Rio de Janeiro, entre 1808 e 1821. Qual era sua estrutura administrativa, sua ordem de despesas, a natureza das ocupações funcionais, enfim, qual era a lógica de funcionamento da casa impressora oficial da Corte no início do Oitocentos? Qual o lugar ocupado pelos impressos naquele contexto?Para melhor compreender a estrutura, a rotina administrativa e de funcionamento da Impressão Régia no Rio de Janeiro, mas, principalmente, os usos e funções da régia tipografia no momento de seu estabelecimento por iniciativa do príncipe regente d. João, foi analisada também parte de sua produção, qual seja, os títulos dedicados às Ciências e às Artes. A partir desses livros, localizados no acervo da Biblioteca Nacional do Rio de Janeiro e na Biblioteca Guita e José Mindlin, em São Paulo, foram estudadas as características biobibliográficas de seus autores e a relação dos mesmos com o poder oficial.Foi possível identificar que os autores dos títulos examinados eram herdeiros da tradição ilustrada portuguesa. Partilhando de uma mesma cultura política, possuíam laços estreitos com membros da Corte, prestando obediência ao príncipe, sendo alguns autores, inclusive, integrantes da junta diretora da Impressão Régia.Assim, além da rotina e funcionamento da casa impressora da Corte, no Rio de Janeiro de d. João, o presente trabalho examina tomando como fonte de análise sua produção editorial no campo das Ciências e das Artes a formação da cultura científica do período Joanino e a rede de sociabilidades existente no Rio de Janeiro, entre 1808 e 1821.
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Williams, Gruffydd. 'The poetic debate of Edmwnd Prys and Wiliam Cynwal', In: The Renaissance and the Celtic Countries (Oxford: Blackwell Publishing, 2005), pp.33-54 RAE2008
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Rothwell, W., 'Synonymity and Semantic Variability in Medieval French and Middle English', Modern Language Review (2007) 102(2) pp.363-380 RAE2008
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"Thèse présentée à la Faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de docteur en droit"
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Cette thèse aborde la question de la valeur de la littérature contemporaine, en posant la question de la puissance de la création langagière. Dans la mesure où l’humanisme tombe en désuétude avec la fin de l’hégémonie médiatique de l’imprimerie, et où le capitalisme contemporain assigne à la culture un rôle économique et récréatif, la « littérature » se retrouve sans « critère final » pour penser sa puissance non économique. En d’autres termes, quels sont les effets intermédiaux de la création langagière livresque qui survivent à l’humanisme tout en résistant à la communication récréative? Il en va bien sûr de la nature même de la « création littéraire ». Le premier chapitre explore les liens entre l’humanisme et l’imprimerie à partir d’un concept de fongibilité, et introduit un ensemble de concepts clé. Le deuxième chapitre présente un autre ensemble de concepts (dont le geste vertical), cette fois pour penser le langage en termes de pouvoir et de puissance. Le troisième chapitre aborde le « capitalisme civilisationnel » en termes intermédiaux. On y réfléchit sur la saturation, la séparation et la fenestration, notamment à partir d’une éthique du jeu. Le quatrième chapitre traite de la question de la plasticité. Enfin, les cinquième et sixième chapitres forment deux exemples – des exemples de puissance – à partir des oeuvres de Valère Novarina (Lumières du corps) et de David Foster Wallace (Infinite Jest). Le corpus théorique se compose d’éléments puisés d’une part dans l’oeuvre de Walter Benjamin et de Giorgio Agamben, selon un matérialisme messianique, et d’autre part dans celle de Gilles Deleuze. Certaines considérations sont également tenues sous l’influence de Michel Foucault et de Ludwig Wittgenstein.
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"Sur un ton humoristique, les auteurs avouent être des voleurs… d’idées. À quoi riment les lois sur le droit d’auteur demandent-ils ? À l’origine, ce ne sont pas les droits des créateurs que le souverain ou l’État voulait protéger, mais bien les privilèges des éditeurs. Et d’où vient qu’on ait ainsi accordé à ces derniers le droit exclusif de publier ? C’est que dès l’invention de l’imprimerie, les hommes de pouvoir ont bien vu la menace que représentait pour eux la dissémination des idées : le calcul qu’ils ont fait a profité aux imprimeurs. Le phénomène n’est pas étranger à l’existence des permis de radiodiffusion / télévision existant de nos jours dans nos États démocratiques ; et l’histoire se répète comme on l’observe aujourd’hui quant à la régulation du réseau Internet. Quand les éditeurs se rendirent compte qu’ils ne pouvaient plus avoir la main haute sur tout ce qui se publiait, ils ont pris prétexte du droit des créateurs pour protéger leurs propres intérêts. Ni l’éthique ni l’esthétique ne motivaient les éditeurs , mais bien leurs seuls intérêts commerciaux, légitimes au demeurant. Deux factions s’opposent aujourd’hui quant à la question du droit des auteurs à l’ère numérique. La vieille garde se bat pour préserver à peu de choses près le statu quo tandis que ses vis-à-vis proclament la mort du droit d’auteur tel qu’il a existé. Et quel modèle nouveau préconisent ces derniers ? En fait, ils ne s’opposent pas à toute forme de protection pour ceux qui traditionnellement en ont bénéficié, mais songent à des mécanismes nouveaux …, de sorte que la vieille garde n’a pas à s’en faire outre mesure. Le fond du problème est ailleurs soutiennent MM. Benyekhlef et Tresvant : même si les avocats plaideront que ce ne sont pas les idées, mais bien la forme particulière qu’un créateur a choisie pour les exprimer qu’on protège par les lois sur le droit d’auteur, cela ne change rien. Dès qu’une idée est exprimée et fixée d’une certaine manière, il devient plus difficile de l’exprimer à nouveau puisqu’une partie du champ virtuel qu’elle pouvait occuper est déjà conquise, à bon droit selon le droit actuel. Il faut en conclure que le droit d’auteur nouveau, comme le droit d’auteur traditionnel, est une entrave à la libre circulation des idées."