21 resultados para Prédication
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info:eu-repo/semantics/published
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Vol. 3: 3. éd.
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Includes indexes.
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Includes bibliographical references.
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Les participes présents apparaissent, entre autres, dans des constructions à prédication seconde détachées : (1) Intervenant hier soir à Ankara, […], Vladimir Poutine s’est risqué à […]. (Le Figaro 7.12.2004 : 4) Même si les gérondifs, formes adverbiales du verbe (« converbes », cf. Haspelmath & König 1995), n’ont pas d’incidence nominale, contrairement aux participes présents, formes adjectivales du verbe, et ne sont donc pas toujours comptés parmi les constructions à prédication seconde (p.ex. Neveu 1998), les deux ont des emplois assez proches : dans des énoncés du type (2a-b), le participe adjoint peut être paraphrasé par un gérondif, même si son statut fonctionnel n’est pas le même (Halmøy, 2003 : 156-157) : (2a) Arrivant à Paris, Emile a proposé à Léa de [...]. (2b) En arrivant à Paris, Emile a proposé à Léa de[...]. (Halmøy, 2003 : 157) Le finnois ne connaît ni ce genre de constructions détachés ni de forme appelée ‘gérondif’, et les deux participes présents finnois (actif et passif) ne correspondent jamais à un participe présent détaché français : en plus de subordonnées, on trouve à leur place le deuxième infinitif, soit à l’inessif, soit à l’instructif, formes nominales qu’on trouve également dans la traduction des gérondifs : (3a) […] ? me demanda-t-elle sèchement en me montrant l’une des lignes incriminées. (Nothomb, p. 62) […] : hän kysyi minulta kuivakkaasti näyttäen erästä Unajin moittimaa riviä. (Suni, p. 4) (3b) L’espace d’un instant, il sourit, croyant que […] je m’étais trompée de commodités. (Nothomb, p. 138-139) Hetken hän hymyili luullen, että minä […] olin erehtynyt mukavuuslaitoksesta. (Suni, p. 94) : Dans cette communication, nous examinerons quatre traductions littéraires en nous demandant dans quels cas et de quelle manière la différence entre le participe et le gérondif a éventuellement été prise en considération.
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O objetivo principal deste trabalho é a análise do sermão Pecados capitais e hipocrisia, simonia, detração e adulação, circunscrito no conjunto dos escritos antonianos que se reportam ao universo dos bestiários medievais. Na obra em questão, os respectivos vícios humanos são evocados, cada qual, a partir da analogia estabelecida com o comportamento de determinados animais. Santo Antônio de Lisboa (1192-1231) viveu a maior parte de sua vida durante as primeiras décadas do período conhecido como Baixa Idade Média (século XIII ao XV). Data do início dessa era o estabelecimento de uma arte de pregar medieval, que toma como referência as idéias propaladas no princípio do Cristianismo, a filosofia dos Padres da Igreja e, por fim, os diversos preceptores do século XIII, que espelhavam o novo contorno do qual havia se revestido a teoria da prédica, em que se sublinhava também a forma de pregar, até então preterida em função do conteúdo da oratória. É também nessa época que tomam vulto as ordens mendicantes, dentre as quais se destacam os franciscanos. Santo Antônio, como pregador dos Frades Menores, valeu-se dos conhecimentos adquiridos durante o período em que integrou a Ordem dos Cônegos Regrantes de Santo Agostinho; da filosofia propalada pelo fundador da Ordem instituída por São Francisco de Assis; e, por fim, de todos os artifícios que lhe oferecia a oratória de seu tempo. Dirigiu sua prédica, sobretudo, aos cátaros, hereges que desprezavam as coisas materiais, inclusive a natureza. Ao utilizar o simbolismo dos bestiários medievais, estima-se que Santo Antônio conciliou três fatores fundamentais na eficácia de seu discurso. O primeiro deles se refere à plena comunhão entre os recursos da ars praedicandi e a alegoria do bestiário medieval. Em seguida, ressalta-se a própria utilização do mundo animal como fator de eficaz eloqüência, considerando-se a concepção, em voga na sociedade medieval, de que a natureza seria um espelho codificado do universo espiritual, e nela estariam subjacentes os propósitos de Deus para com os homens. O terceiro fator a ser destacado é a harmonia entre a utilização do bestiário medieval como subsídio retórico e a filosofia dos franciscanos, que confere valor especial à natureza, sobretudo aos animais
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Ne doit-on prêcher que pour les oreilles? Ou peut-on aussi prêcher pour les yeux, la peau, le nez ou la bouche? Comment alors s’adresser à ces sens? C’est à ces questions qu’Olivier Bauer s’efforce d’apporter des réponses qu’il considère comme modestes et partiales. À partir de l’expérience accumulée comme prédicateur et comme paroissien en Europe francophone et en Polynésie française, il défend l’hypothèse qu’un prédicateur doit mobiliser les cinq sens de ses paroissiens et qu’il ne peut d’ailleurs faire autrement.
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Département de linguistique et de traduction
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Le texte proposé ici reproduit une prédication que j’ai prononcée le dimanche 9 octobre 2005 lors du culte dominical de l’Église protestante francophone de Washington, DC, dont j’étais alors pasteur. Elle s’inscrivait dans un cycle de quatre cultes sur quatre motifs bibliques fondamentaux, mais inégalement repris dans la tradition chrétienne: Dieu est celui qui pardonne les péchés, mais il est aussi celui qui guérit les malades, celui qui libère les esclaves et celui qui ramène les exilés. Dans ma prédication sur le retour d’exil, je me suis efforcé de reproduire, à propos du thème de l’exil, un double mouvement: faire redécouvrir aux paroissiens certaines valeurs biblique et théologique autour des thèmes de l’exil et du retour, en montrer la pertinence dans leur existence. Et tout ça dans le cadre d’une communication orale d’une demi-heure, pour un public varié, quant à son sexe et son âge, ses origines religieuses et culturelles, sa connaissance du français, son niveau scolaire, ses intérêts, ses motivations et son degré d’attention!