760 resultados para Nom propre
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Ce mémoire porte sur la pratique du nom propre dans quatre romans de l'auteure québécoise Suzanne Jacob : Laura Laur (1983), La Passion selon Galatée (1987), Rouge, mère et fils (2001) et Fugueuses (2005). À partir du postulat de Suzanne Jacob qui affirme que la réalité se compose de conventions, cette étude s'efforce de mettre à l'épreuve l'hypothèse selon laquelle le nom propre est une fiction. À l'aide de balises méthodologiques privilégiant la narratologie et la pragmatique, l'analyse, constituée de lectures microtextuelles, s'intéresse aux commentaires des personnages et de la narration sur le nom, en plus de relever les procédés qui encadrent et mettent en lumière le fonctionnement du nom, autant d'un point de vue sémantique que syntaxique. C'est donc dire que le nom est abordé dans le réseau des différents signes du texte et non pas comme un signifiant isolé. L'étude se divise en trois chapitres consacrés à des problématiques structurantes du nom propre chez Jacob : « L'omniprésence du nom », « L'instabilité du nom » et « Le nom performé ? » À partir de ces trois axes, la réflexion ouvre sur des enjeux plus vastes qui concernent autant l'identité que les relations sociales et familiales.
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Nas gramáticas tradicionais da língua portuguesa, o estudo sobre a antonomásia, figura de linguagem que designa o processo de passagem de um nome próprio a um nome comum e vice-versa, é visto ora ligado ao conceito de metáfora, ora ligado à relação parte- todo, isto é, à metonímia. Na maioria das vezes, os exemplos mostrados nessas abordagens tradicionais estão descontextualizados, ou seja, não são retirados de um emprego discursivo- dialógico da língua. O principal objetivo desta tese é fazer uma reflexão sobre o potencial semiótico- funcional e cognitivo dos nomes próprios nas antonomásias discursivas, ou seja, aquelas que ainda não estão dicionarizadas, porque são temporárias, e, consequentemente, sua interpretação pertence ao âmbito do processamento discursivo. Tendo como base teórica a teoria dos Espaços Mentais em seu segundo momento, reconhecida como teoria da Integração Conceptual (FAUCONNIER; TURNER, 2002), e a teoria da Iconicidade Verbal, desenvolvida por Simões (2009), baseada nos estudos semióticos de Charles Sanders Peirce, analisar-se-ão, nesta tese, os seguintes aspectos do nome próprio nas antonomásias discursivas: a forma do nome próprio, ou seja, sua plasticidade, que é a característica central da iconicidade diagramática, e a iconicidade isotópica, que age como uma espécie de condutor temático para a formação de sentido de um texto. Esses dois tipos de iconicidade se inserem numa rede mais ampla de signos denominada iconicidade verbal, ou lexical (SIMÕES, 2004), que abrange efeitos tanto de ordem discursiva (discursivização) como de ordem estilística. Assim, ao se conceber o estudo das antonomásias discursivas do nome próprio em uma perspectiva semiótico- discursiva e cognitiva, ter-se-á dado mais um passo nos estudos dos itens lexicais que atuam como organizadores de sentido de um texto
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Notre thèse s’attache à définir certains rapports possibles entre le cinéma et le politique ou, plus précisément, entre le cinéma et le concept pratique de résistance. Il existe une théorie de la résistance, soit sous la forme d’une cartographie du pouvoir moléculaire (M. Foucault), soit sous la forme d’une analytique de la résistance (F. Proust). Il existe également une théorie de la résistance cinématographique, soit comme sociologie ou histoire de l’action politique par le cinéma (cinéma de la Résistance, cinéma militant), soit comme une sémiotique des formes et des genres marginaux (cinéma expérimental, cinéma des avant-gardes). Suivant une direction tracée par Serge Daney et Gilles Deleuze, nous croyons qu’il faut poser autrement le problème : si « le politique est affaire de perception », alors la résistance est d’abord une invention de visibilité et d’audibilité. En ce sens, la résistance cinématographique est une exploration de ce que peut le cinéma, tant d’un point de vue esthétique, éthique, que politique. D’où notre hypothèse, qui est double : d’une part, cette invention de visibilité, cette création de potentiel n’est peut-être possible qu’en passant par un ré-enchaînement anachronique d’une déformation plastique, narrative et audiovisuelle à une autre, c’est-à-dire d’une survivance à une autre. D’autre part, nous croyons qu’une forme esthétique est en soi matière politique et manière de politique, et qu’elle implique également une éthique venant brasser notre propre subjectivité (de cinéaste, de spectateur, de citoyen, etc.). Or, pour saisir cette invention de visibilité inhérente au cinéma, il faut en passer par une généalogie de certaines alliances théoriques et pratiques parmi les plus importantes. Le cas de trois machines autopoïétiques nous intéressera tout particulièrement, trois constellations d’œuvres et de pensées qui débordent le nom propre des « Auteurs » convoqués : Eisenstein et les résistances méthodologiques ; Syberberg et les résistances plastiques ou audiovisuelles (à travers la seule figure du hors-champ) ; Welles et les résistances esth/éthico-politiques. Ainsi, une telle chaîne généalogique nous permettra de mieux mesurer l’efficace de ces résistances, mais sans désir de systématisation ni constitution d’une Théorie de la résistance cinématographique.
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Le graffiti est depuis longtemps associé au vandalisme dans les métropoles où il prolifère. Il s’intègre au paysage urbain à un point tel que, même s’il procède d’une logique de visibilité et de promotion, nous parvenons à ne plus le remarquer. Pourtant, sa présence suscite toujours la colère des citoyens propriétaires de murs vandalisés et des autorités municipales qui, chaque année, dépensent de grosses sommes d’argent pour l’effacer. Malgré les restrictions et les amendes, le graffiti est néanmoins devenu un véritable phénomène d’art urbain : des artistes graffiteurs ont atteint la notoriété en dehors de leur sous-culture et ont pu exposer légalement leur travail, du fait d’un intérêt croissant du milieu officiel de l’art. Celui-ci contribue à faire grandir l’engouement et l’enthousiasme pour une pratique d’art urbaine. Le graffiti illustre l’expression d’une identité qui s’approprie et subvertit les surfaces urbaines de la ville, au moyen d’un nom propre fictif qui n’a aucune légitimation juridique et légale. De plus, l’application et la diffusion de la signature graffitique communiquent des valeurs qui guident et définissent toute la sous-culture du graffiti. Ces valeurs sont culturellement considérées comme masculines : le risque, le défi et la dissidence. La figure de l’artiste graffiteur apparaît ainsi comme une figure marginale et rebelle. Un tel portrait laisse alors entrevoir une culture fortement machiste, d’autant plus que les garçons qui exercent le graffiti sont beaucoup plus nombreux. Or, si les femmes artistes de la communauté graffitique représentent une minorité, c’est notamment parce que leur attrait pour une pratique illicite, nocturne et dangereuse est moindre. À partir d’une approche qui touche aux gender studies et à certains concepts traditionnels de l’histoire de l’art, nous cherchons à expliquer l’intérêt généralement plus faible des femmes pour le graffiti. Nous désirons également démontrer comment l’exercice des artistes féminines du graffiti se distingue de celui de leurs homologues masculins. De quelle manière se détermine leur expérience? Leur iconographie sert-elle à les définir? Quelles sont leurs opinions et leurs perceptions sur leur propre culture? Finalement, comment caractérisent-elles leur statut de femme artiste au sein d’une communauté "machiste"?
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Cotutelle de thèse réalisée en littérature comparée (option épistémologie) avec l'Université de Montréal sous la direction de Terry Cochran et en philosophie avec Paris X (Nanterre) sous la direction d'Alain Milon.
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Dans la perspective d’un réexamen du rôle du nom propre dans « le pacte autobiographique », quelle place faire à ces autres noms que sont les toponymes ? Exception faite, bien sûr, de quelques textes canoniques — au premier rang desquels « Noms de pays : le nom » —, qui constituent eux-mêmes des théories littéraires du nom propre, le toponyme, objet privilégié de l’onomastique historique, reste le parent pauvre des études sur le nom propre littéraire, qui ne le retiennent généralement qu’au titre de la mimesis, comme l’un des effets de réel les plus attestables, marqueur d’un espace référentiel soit familier, soit dépaysant. Parallèlement, les études sur le biographique, qu’elles portent sur les biographies, les autobiographies ou les autofictions, s’interrogent moins sur le lieu que sur le milieu ou la famille du sujet dont l’histoire est racontée. [Introduction]
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Cultures originally identified as Drechslera australiensis, from seeds of Chloris gayana in Japan, were the basis for Tsuda and Ueyama's new combination, Bipolaris australiensis, and its associated sexual morph Pseudocochliobolus australiensis. By studying ex-type materials of both Drechslera australiensis, which was originally isolated from seeds of Oryza sativa in Australia, and Pseudocochliobolus australiensis, we show by morphological and molecular phylogenetic analysis that these two specimens represent different species. Taxonomic confusion is resolved by the transfer of Pseudocochliobolus australiensis to Curvularia tsudae comb. nov. et nom. nov., together with a revised synonymy for Curvularia australiensis. © 2014 The Mycological Society of Japan.
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Cultures originally identified as Drechslera australiensis, from seeds of Chloris gayana in Japan, were the basis for Tsuda and Ueyama's new combination, Bipolaris australiensis, and its associated sexual morph Pseudocochliobolus australiensis. By studying ex-type materials of both Drechslera australiensis, which was originally isolated from seeds of Oryza sativa in Australia, and Pseudocochliobolus australiensis, we show by morphological and molecular phylogenetic analysis that these two specimens represent different species. Taxonomic confusion is resolved by the transfer of Pseudocochliobolus australiensis to Curvularia tsudae comb. nov. et nom. nov., together with a revised synonymy for Curvularia australiensis.
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Purification of drinking water is routinely achieved by use of conventional coagulants and disinfection procedures. However, there are instances such as flood events when the level of turbidity reaches extreme levels while NOM may be an issue throughout the year. Consequently, there is a need to develop technologies which can effectively treat water of high turbidity during flood events and natural organic matter (NOM) content year round. It was our hypothesis that pebble matrix filtration potentially offered a relatively cheap, simple and reliable means to clarify such challenging water samples. Therefore, a laboratory scale pebble matrix filter (PMF) column was used to evaluate the turbidity and natural organic matter (NOM) pre-treatment performance in relation to 2013 Brisbane River flood water. Since the high turbidity was only a seasonal and short term problem, the general applicability of pebble matrix filters for NOM removal was also investigated. A 1.0 m deep bed of pebbles (the matrix) partly in-filled with either sand or crushed glass was tested, upon which was situated a layer of granular activated carbon (GAC). Turbidity was measured as a surrogate for suspended solids (SS), whereas, total organic carbon (TOC) and UV Absorbance at 254 nm were measured as surrogate parameters for NOM. Experiments using natural flood water showed that without the addition of any chemical coagulants, PMF columns achieved at least 50% turbidity reduction when the source water contained moderate hardness levels. For harder water samples, above 85% turbidity reduction was obtained. The ability to remove 50% turbidity without chemical coagulants may represent significant cost savings to water treatment plants and added environmental benefits accrue due to less sludge formation. A TOC reduction of 35-47% and UV-254 nm reduction of 24-38% was also observed. In addition to turbidity removal during flood periods, the ability to remove NOM using the pebble matrix filter throughout the year may have the benefit of reducing disinfection by-products (DBP) formation potential and coagulant demand at water treatment plants. Final head losses were remarkably low, reaching only 11 cm at a filtration velocity of 0.70 m/h.