909 resultados para Compassion fatigue
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Recent studies have shown that social workers and other professional helpers who work with traumatized individuals run a risk of developing compassion fatigue or secondary traumatic stress. Some researchers have hypothesized that helpers do this as a result of feeling too much empathy or too much compassion for their clients, thereby implying that empathy and compassion may be bad for the professional social worker. This paper investigates these hypotheses. Based on a review of current research about empathy and compassion it is argued that these states are not the causes of compassion fatigue. Hence, it is argued that empathy and compassion are not bad for the professional social worker in the sense that too much of one or the other will lead to compassion fatigue.
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Empathic communication, (i.e. emotionally engaging with a patient), is an important part of the therapeutic relationship. It has been shown to improve the health and therapeutic outcomes for patients by improving diagnosis and compliance. In the West, front-line medical professionals, including herbal medicine practitioners, put themselves at risk of burnout and compassion fatigue by giving emotionally intensive care. While treatments for compassion fatigue and burnout are available, another way forward is needed to ensure healthcare professionals do not become ill; one that will enable both patients and healthcare professionals to receive the care needed. In this paper it is argued that compassion, which is defined in this paper, involves different neural circuitry to empathy and can protect healthcare professionals from the effects of stress that can, if not addressed, lead to burnout. Traditional Buddhist meditation techniques such as loving-kindness meditation have been shown to increase compassion in non-meditative states. Short daily sessions of such mediation practices have been shown to improve compassion in a way that protects healthcare professionals from burnout.
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AbstractOBJECTIVETo systematically review evidence on dysfunctional psychological responses of Intensive Care Units nurses (ICUNs), with focus on anxiety and depressive symptoms and related factors.METHODA literature search was performed in CINAHL, PubMed and Scopus databases, from 1999 to present, along with a critical appraisal and synthesis of all relevant data. The following key words, separately and in combination, were used: "mental status" "depressive symptoms" "anxiety" "ICU nurses" "PTSD" "burnout" "compassion fatigue" "psychological distress".RESULTSThirteen quantitative studies in English and Greek were included. The results suggested increased psychological burden in ICUNs compared to other nursing specialties, as well as to the general population.CONCLUSIONSStudies investigating psychological responses of ICUNs are limited, internationally. Future longitudinal and intervention studies will contribute to a better understanding of the phenomenon.
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Objectif. L’objectif est de comprendre comment les intervenants en relation d’aide et les agents des forces de l’ordre composent avec la violence au travail et le stress lié à l’imputabilité. Un cadre théorique basé sur l’identité professionnelle est proposé afin de comprendre la modulation de la santé psychologique au travail et testé via le Professional Quality of Life des intervenants en protection de la jeunesse. Les facteurs de prédiction de la banalisation de la violence au travail et des impacts psychologiques de cette banalisation sont également étudiés. Méthodologie. Un sondage mené auprès d’un échantillon représentatif constitué de 301 intervenants en protection de la jeunesse a permis d’examiner le Professional Quality of Life. Les effets de l’exposition à la violence en milieu de travail, à l’exposition au matériel traumatique et du stress lié à l’imputabilité sur la fatigue de compassion ont été analysés à l’aide d’équation structurelle. Les effets indirects attribuables au genre, au soutien organisationnel perçu, à l’adhésion à l’identité professionnelle, aux stratégies d’adaptation et à la confiance en ses moyens pour gérer un client agressif ont été mesurés. Pour l’examen des facteurs de prédiction de la banalisation de la violence au travail, les résultats d’un sondage mené auprès de 1141 intervenants en relation d’aide et des forces de l’ordre ont été analysés à l’aide de régression linéaire. L’analyse des réponses des 376 intervenants de cet échantillon ayant rapporté avoir été perturbé par un acte de violence au travail a permis de mesurer l’impact de la banalisation sur les conséquences psychologiques suite à une victimisation au travail. Les effets indirects attribuables à la banalisation de la violence ont été mesurés. Des analyses différenciées en fonction du sexe ont également été menées. Résultats. L’exposition à la violence, le sentiment d’imputabilité et l’évitement amplifiaient la fatigue de compassion chez les intervenants en protection de la jeunesse sondés. Les attitudes masculines, l’adhésion à l’identité professionnelle, la confiance en ses moyens pour gérer les clients agressifs l’atténuaient. Quant aux facteurs de prédiction de la banalisation de la violence au travail, les participants masculins étaient plus enclins que les femmes à la normaliser. Les agents des forces de l’ordre percevaient davantage la violence comme tabou que les intervenants en relation d’aide. Les facteurs organisationnels avaient tous un effet négatif sur le tabou entourant la violence au travail. Finalement, l’âge, les victimisations antérieures, les blessures graves et percevoir la violence au travail comme un tabou augmentaient le nombre de conséquences psychologiques suite à une victimisation. Les analyses différenciées en fonction du sexe ont identifié des facteurs de prédiction spécifiques aux hommes et aux femmes. Implications. Lors de déploiement de stratégies organisationnelles afin d’aider les employés à gérer avec les stress liés au travail, les organisations doivent considérer l’identité professionnelle de leur travailleur ainsi que des différences en fonction du sexe et du genre.
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The purpose of the study is to investigate social workers experiences of compassion fatigue as well as their thoughts about health and risk factors in the area. The method used is a qualitative interview study in which eight social workers, investigating child welfare matters, were individually interviewed. The study shows that most of the social workers describe their own experiences of burnout but not of secondary traumatic stress. The most important support for not suffer from compassion fatigue is to be supported and the possibility to ventilate with colleagues and managers. However, the social workers consider that the risk of burnout is primarily due to a heavy workload in terms of the number of cases and high staff turnover. Finally, the study indicates that social workers do not have experience of secondary traumatic stress because they are using tools that prevent this. However, the risk of experiencing burnout is high since they have not found strategies for managing workplace stress.
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Au cours du siècle dernier, des améliorations au niveau des conditions de vie ainsi que des avancées importantes dans les sciences biomédicales ont permis de repousser les frontières de la vie. Jusqu’au début du XXe Siècle, la mort était un processus relativement bref, survenant à la suite de maladies infectieuses et avait lieu à la maison. À présent, elle survient plutôt après une longue bataille contre des maladies incurables et des afflictions diverses liées à la vieillesse et a le plus souvent lieu à l’hôpital. Pour comprendre la souffrance du malade d’aujourd’hui et l’aborder, il faut comprendre ce qu’engendre comme ressenti ce nouveau contexte de fin de vie autant pour le patient que pour le clinicien qui en prend soin. Cette thèse se veut ainsi une étude exploratoire et critique des enjeux psychologiques relatifs à cette mort contemporaine avec un intérêt premier pour l’optimisation du soulagement de la souffrance existentielle du patient dans ce contexte. D’abord, je m’intéresserai à la souffrance du patient. À travers un examen critique des écrits, une définition précise et opérationnelle, comportant des critères distinctifs, de ce qu’est la souffrance existentielle en fin de vie sera proposée. Je poserai ainsi l’hypothèse que la souffrance peut être définie comme une forme de construction de l’esprit s’articulant autour de trois concepts : intégrité, altérité et temporalité. D’abord, intégrité au sens où initialement l’individu malade se sent menacé dans sa personne (relation à soi). Ensuite, altérité au sens où la perception de ses conditions extérieures a un impact sur la détresse ressentie (relation à l’Autre). Et finalement, temporalité au sens où l’individu souffrant de façon existentielle semble bien souvent piégé dans un espace-temps particulier (relation au temps). Ensuite, je m’intéresserai à la souffrance du soignant. Dans le contexte d’une condition terminale, il arrive que des interventions lourdes (p. ex. : sédation palliative profonde, interventions invasives) soient discutées et même proposées par un soignant. Je ferai ressortir diverses sources de souffrance propres au soignant et générées par son contact avec le patient (exemples de sources de souffrance : idéal malmené, valeurs personnelles, sentiment d’impuissance, réactions de transfert et de contre-transfert, identification au patient, angoisse de mort). Ensuite, je mettrai en lumière comment ces dites sources de souffrance peuvent constituer des barrières à l’approche de la souffrance du patient, notamment par l’influence possible sur l’approche thérapeutique choisie. On constatera ainsi que la souffrance d’un soignant contribue par moment à mettre en place des mesures visant davantage à l’apaiser lui-même au détriment de son patient. En dernier lieu, j'élaborerai sur la façon dont la rencontre entre un soignant et un patient peut devenir un espace privilégié afin d'aborder la souffrance. J'émettrai certaines suggestions afin d'améliorer les soins de fin de vie par un accompagnement parvenant à mettre la technologie médicale au service de la compassion tout en maintenant la singularité de l'expérience du patient. Pour le soignant, ceci nécessitera une amélioration de sa formation, une prise de conscience de ses propres souffrances et une compréhension de ses limites à soulager l'Autre.
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Au cours du siècle dernier, des améliorations au niveau des conditions de vie ainsi que des avancées importantes dans les sciences biomédicales ont permis de repousser les frontières de la vie. Jusqu’au début du XXe Siècle, la mort était un processus relativement bref, survenant à la suite de maladies infectieuses et avait lieu à la maison. À présent, elle survient plutôt après une longue bataille contre des maladies incurables et des afflictions diverses liées à la vieillesse et a le plus souvent lieu à l’hôpital. Pour comprendre la souffrance du malade d’aujourd’hui et l’aborder, il faut comprendre ce qu’engendre comme ressenti ce nouveau contexte de fin de vie autant pour le patient que pour le clinicien qui en prend soin. Cette thèse se veut ainsi une étude exploratoire et critique des enjeux psychologiques relatifs à cette mort contemporaine avec un intérêt premier pour l’optimisation du soulagement de la souffrance existentielle du patient dans ce contexte. D’abord, je m’intéresserai à la souffrance du patient. À travers un examen critique des écrits, une définition précise et opérationnelle, comportant des critères distinctifs, de ce qu’est la souffrance existentielle en fin de vie sera proposée. Je poserai ainsi l’hypothèse que la souffrance peut être définie comme une forme de construction de l’esprit s’articulant autour de trois concepts : intégrité, altérité et temporalité. D’abord, intégrité au sens où initialement l’individu malade se sent menacé dans sa personne (relation à soi). Ensuite, altérité au sens où la perception de ses conditions extérieures a un impact sur la détresse ressentie (relation à l’Autre). Et finalement, temporalité au sens où l’individu souffrant de façon existentielle semble bien souvent piégé dans un espace-temps particulier (relation au temps). Ensuite, je m’intéresserai à la souffrance du soignant. Dans le contexte d’une condition terminale, il arrive que des interventions lourdes (p. ex. : sédation palliative profonde, interventions invasives) soient discutées et même proposées par un soignant. Je ferai ressortir diverses sources de souffrance propres au soignant et générées par son contact avec le patient (exemples de sources de souffrance : idéal malmené, valeurs personnelles, sentiment d’impuissance, réactions de transfert et de contre-transfert, identification au patient, angoisse de mort). Ensuite, je mettrai en lumière comment ces dites sources de souffrance peuvent constituer des barrières à l’approche de la souffrance du patient, notamment par l’influence possible sur l’approche thérapeutique choisie. On constatera ainsi que la souffrance d’un soignant contribue par moment à mettre en place des mesures visant davantage à l’apaiser lui-même au détriment de son patient. En dernier lieu, j'élaborerai sur la façon dont la rencontre entre un soignant et un patient peut devenir un espace privilégié afin d'aborder la souffrance. J'émettrai certaines suggestions afin d'améliorer les soins de fin de vie par un accompagnement parvenant à mettre la technologie médicale au service de la compassion tout en maintenant la singularité de l'expérience du patient. Pour le soignant, ceci nécessitera une amélioration de sa formation, une prise de conscience de ses propres souffrances et une compréhension de ses limites à soulager l'Autre.
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Regular classroom teachers, who often report that they lack adequate training and resources, increasingly find themselves supporting students with special education needs (Connelly & Graham, 2009). Teachers working in challenging environments can thrive in their role and continue to experience professional growth and passion about their work with students with exceptionalities (Perry, Brenner, Collie, & Hofer, 2015). Thriving is one framework of psychological wellness that can provide insight into the experiences of teachers working with exceptional learners (Spreitzer & Porath, 2014). Chronic stress from occupational demands such as heavy workload and insufficient resources can negatively affect the wellbeing of teachers and lead to poor mental health (Desrumaux et al., 2015). Burnout and compassion fatigue are two constructs of poor mental health that can inform our understanding of teachers’ social and emotional experiences. The purpose of this study was to explore the social and emotional experiences of teachers working with exceptional learners in regular classrooms. The objective of this study was to describe the elements within teachers’ professional roles that they report contribute to their social and emotional experiences understood through the lenses of thriving, burnout, and compassion fatigue. Interviews were conducted with five teachers: one full-time in-service teacher and four teachers who are pursuing graduate studies in education. The theme of thriving emerged as a significant component of the interview with all five participants. All five participants described experiences of vitality and learning as essential to their workplace satisfaction and overall thriving. Although the data from this study did not suggest that participants were experiencing burnout or compassion fatigue, elements of the two constructs did emerge as relevant to the social-emotional experiences of the teachers.
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El objetivo de este estudio fue describir el Síndrome de Burnout y la Calidad de Vida Laboral en el personal asistencial en una institución de salud de segundo nivel ubicada en Bogotá, y observar si existe relación entre estos constructos. Se aplicó el Inventario de Burnout de Maslach [MBI] y el Cuestionario de Calidad de Vida Profesional [CVP-35] a 62 participantes, pertenecientes a distintos campos del área de la salud. Los resultados indicaron que el 38,7% de los participantes presentaron severidad alta y moderada del síndrome, no obstante, con un nivel de realización personal alto, que unido a la fuerte motivación intrínseca encontrada, constituye un factor protector ante la alta carga laboral y el escaso apoyo directivo. El cansancio emocional correlacionó directamente con la carga laboral e inversamente con la motivación intrínseca. Se resalta la importancia de una eficiente gestión en las organizaciones de salud y la necesidad de una dirección más centrada en las personas a fin de garantizar su bienestar, lo que redundará en su calidad de vida y en la atención ofrecida.
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Au cours des trois dernières décennies, un nombre grandissant de chercheurs et de cliniciens se sont intéressés à la méditation comme stratégie de régulation attentionnelle et émotionnelle. Plusieurs études ont mis en évidence un lien entre la pratique de la méditation en pleine conscience, l’alliance thérapeutique et l’empathie. Plus récemment, des pratiques méditatives portant sur l’amour bienveillant et la compassion ont également suscité l’intérêt de la communauté scientifique. Les pratiques de méditation de compassion pourraient s’avérer tout aussi utiles que la pleine conscience dans le développement de l’empathie et offriraient de surcroit une certaine protection contre la fatigue empathique. L’objectif principal de cette thèse consiste à mieux comprendre l’impact de la méditation de compassion sur l’empathie des psychothérapeutes. À cette fin, la thèse est composée de deux articles explorant le lien entre la méditation de compassion et l’empathie des psychothérapeutes sous des angles complémentaires. Le premier article présente une revue des écrits portant sur le lien entre la pratique de la méditation de compassion et l’empathie des psychothérapeutes. L’objectif de cette revue des écrits est de répondre à la question suivante : la méditation de compassion peut-elle contribuer au développement de l’empathie des psychothérapeutes? Étant donné les nombreux liens et les chevauchements entre les pratiques de méditation en pleine conscience et les pratiques de méditation de compassion, les études portant sur le lien entre pleine conscience et empathie sont également considérées dans cette revue des écrits. Il apparaît, au terme de cette revue de littérature, que les pratiques de méditation de compassion peuvent augmenter l’activation de circuits neuronaux importants pour l’empathie. Ces pratiques de méditation semblent également améliorer l’empathie affective et la justesse de la perception empathique lorsque ces variables sont mesurées à l’aide d’échelles d’auto-évaluation. La méditation de compassion diminuerait également l’intensité des affects négatifs accompagnant l’empathie pour la douleur d’autrui. Tout en permettant de constater que la méditation de compassion semble avoir des impacts positifs sur divers aspects de l’empathie, la revue des écrits présentée dans le premier chapitre a permis de relever certaines limites des études citées et de suggérer quelques pistes de recherches futures. Ainsi, on note que la méditation en pleine conscience et la méditation de compassion sont souvent présentées conjointement et ce, à des participants n’ayant aucune expérience préalable de méditation. Cela fait en sorte qu’il est difficile de déterminer avec certitude si les bienfaits rapportés par les participants sont attribuables à la méditation de compassion, ou s’ils sont simplement dûs au fait que les participants ont entamé une pratique de méditation. Cela soulève donc la question suivante : quel est l’impact spécifique de la méditation de compassion sur l’empathie des psychothérapeutes, au delà des bienfaits qu’ils retirent déjà de la méditation en pleine conscience? C’est à cette question que tente de répondre l’étude conduite dans le cadre de la présente thèse et qui constitue l’objet du deuxième article. Dans le cadre de cette étude, un entraînement à la méditation de compassion a été offert à trois psychothérapeutes d’expérience ayant déjà une pratique régulière de la méditation en pleine conscience. L’entraînement proposé consistait en une pratique guidée de la méditation de compassion, offerte sur un enregistrement audio-numérique, à raison de vingt minutes par jour, à tous les deux jours, pendant quatre semaines. Des entrevues semi-structurées ont eu lieu avant l’entraînement, puis au terme des quatre semaines d’entraînement, de même que lors d’un suivi effectué quatre semaines plus tard. Une analyse compréhensive du récit phénoménologique des participants a mis en lumière des changements touchant quatre aspects principaux de l’expérience empathique : 1) la relation à soi; 2) l’expérience empathique elle-même; 3) l’expérience d’une relation thérapeutique; et 4) l’intégration du changement. À travers ces quatre aspects, des changements touchant diverses dimensions de l’expérience empathique sont abordés comme : la compassion pour soi, la pression de performance, la qualité de la présence à l’autre, l’acceptation de l’autre, la tolérance à la souffrance, et l’amour altruiste. Cette étude a donc permis de constater que même des psychothérapeutes d’expérience ayant déjà une pratique régulière de méditation en pleine conscience peuvent retirer des bienfaits de la méditation de compassion, tant au niveau de leur expérience empathique qu’au niveau de la prévention de la fatigue empathique et de l’épuisement professionnel. Cette thèse apporte donc une contribution originale à la compréhension de l’impact spécifique de la méditation de compassion sur l’empathie des psychothérapeutes en permettant de mieux saisir, à partir d’une perspective phénoménologique, l’influence de cette pratique de méditation sur divers aspects et dimensions de l’expérience empathique. En donnant la parole à des psychothérapeutes d’expérience ayant déjà une pratique de méditation en pleine conscience, l’étude met en lumière les bienfaits propres à la méditation de compassion au niveau de l’expérience empathique et au niveau de la prévention de la fatigue empathique. À ce titre, elle offre des pistes permettant d’améliorer tant la formation de base que la formation continue des psychothérapeutes en s’appuyant sur des données scientifiques probantes.
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Objective: To investigate if development of skeletal muscle fatigue during repeated voluntary biceps contractions could be attenuated by low-level laser therapy (LLLT). Background Data: Previous animal studies have indicated that LLLT can reduce oxidative stress and delay the onset of skeletal muscle fatigue. Materials and Methods: Twelve male professional volleyball players were entered into a randomized double-blind placebo-controlled trial, for two sessions (on day 1 and day 8) at a 1-wk interval, with both groups performing as many voluntary biceps contractions as possible, with a load of 75% of the maximal voluntary contraction force (MVC). At the second session on day 8, the groups were either given LLLT (655 nm) of 5 J at an energy density of 500 J/cm(2) administered at each of four points along the middle of the biceps muscle belly, or placebo LLLT in the same manner immediately before the exercise session. The number of muscle contractions with 75% of MVC was counted by a blinded observer and blood lactate concentration was measured. Results: Compared to the first session (on day 1), the mean number of repetitions increased significantly by 8.5 repetitions (+/- 1.9) in the active LLLT group at the second session (on day 8), while in the placebo LLLT group the increase was only 2.7 repetitions (+/- 2.9) (p = 0.0001). At the second session, blood lactate levels increased from a pre-exercise mean of 2.4 mmol/L (+/- 0.5 mmol/L), to 3.6 mmol/L (+/- 0.5 mmol/L) in the placebo group, and to 3.8 mmol/L (+/- 0.4 mmol/L) in the active LLLT group after exercise, but this difference between groups was not statistically significant. Conclusion: We conclude that LLLT appears to delay the onset of muscle fatigue and exhaustion by a local mechanism in spite of increased blood lactate levels.
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The objective of this study was to validate the Piper Fatigue Scale-Revised (PFS-R) for use in Brazilian culture. Translation of the PFS-R into Portuguese and validity and reliability tests were performed. Convenience samples in Brazil we as follows: 584 cancer patients (mean age 57 +/- 13 years; 51.3% female); 184 caregivers (mean age 50 +/- 12.7 years; 65.8% female); and 189 undergraduate nursing students (mean age 21.6 +/- 2.8 years; 96.2% female); Instruments used were as follows: Brazilian PFS, Beck Depression Inventory (BDI), and Karnofsky Performance Scale (KPS). The 22 items of the Brazilian PFS loaded well (factor loading > 0.35) on three dimensions identified by factor analysis (behavioral, affective, and sensorial-psychological). These dimensions explained 65% of the variance. Internal consistency reliability was very good (Cronbach`s alpha ranged from 0.841 to 0.943 for the total scale and its dimensions). Cancer patients and their caregivers completed the Brazilian PFS twice for test-retest reliability and results showed good stability (Pearson`s r a parts per thousand yenaEuro parts per thousand 0,60, p < 0,001). Correlations among the Brazilian PFS and other scales were significant, in hypothesized directions, and mostly moderate contributing to divergent (Brazilian PFS x KPS) and convergent validity (Brazilian PFS x BDI). Mild, moderate, and severe fatigue in patients were reported by 73 (12.5%), 167 (28.6%), and 83 (14.2%), respectively. Surprisingly, students had the highest mean total fatigue scores; no significant differences were observed between patients and caregivers showing poor discriminant validity. While the Brazilian PFS is a reliable and valid instrument to measure fatigue in Brazilian cancer patients, further work is needed to evaluate the discriminant validity of the scale in Brazil.
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The aim of this study was to directly compare the causes of fatigue after a short- and a long-rest interval between consecutive stretch-shortening cycle exercises. Eleven healthy males jumped with different resting period lengths (short = 6.1 +/- 1 s, long = 8.6 +/- 0.9 s), performing countermovement jumps at 95% of their maximal jump height until they were unable to sustain the target height. After short- and long-rest, the maximal voluntary isometric contraction knee extension torque decreased (-7%; p = 0.04), comparing to values obtained before exercise protocols. No change was seen from pre- to post-exercise, for either short- or long-rest, in biceps femoris coactivation (-1%; p = 0.95), peak-to-peak amplitude (1%; p = 0.95) and duration (-8%; p = 0.92) of the compound muscle action potential of the vastus lateralis. Evoked peak twitch torque reduced after both exercise protocols (short = -26%, long = -32%; p = 0.003) indicating peripheral fatigue. However, central fatigue occurred only after short-rest evidenced by a reduction in voluntary activation of the quadriceps muscle (-14%; p = 0.013) measured using the interpolated twitch technique. In conclusion, after Stretch-shortening cycle exercise using short rest period length, the cause of fatigue was central and peripheral, while after using long rest period length, the cause of fatigue was peripheral.
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The purpose of the present study was to compare the effects of eight weeks of strength training on fatigue resistance in men and women. Thirty-three men and twenty-three women performed eight weeks of strength training in three weekly sessions. Subjects performed four sets using 80% of 1-RM tests on bench press, squat and arm curl. Fatigue index (FI) was used for analysis of decline in motor performance along the sets. The sum of the number of repetitions accomplished in the four sets in each exercise was used to indicate the fatigue resistance. Anova or Ancova two-way ( time x gender) was employed for statistical analysis ( P < 0.05). Eight weeks of strength training increased significantly 1-RM strength, fatigue resistance and total number of repetitions in both genders. FI decreased significantly in both genders after training ( men = 50% vs. women = Time x gender interaction was observed in the total number of repetitions in squat ( P = 0.04) and arm curl exercises, regarding gains to women ( P = 0.01). In conclusion, eight weeks of ST improved strength, FR, FI and total number of repetitions performed. However, women obtained greater adaptations than men.
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Fatigue and crack propagation are phenomena affected by high uncertainties, where deterministic methods fail to predict accurately the structural life. The present work aims at coupling reliability analysis with boundary element method. The latter has been recognized as an accurate and efficient numerical technique to deal with mixed mode propagation, which is very interesting for reliability analysis. The coupled procedure allows us to consider uncertainties during the crack growth process. In addition, it computes the probability of fatigue failure for complex structural geometry and loading. Two coupling procedures are considered: direct coupling of reliability and mechanical solvers and indirect coupling by the response surface method. Numerical applications show the performance of the proposed models in lifetime assessment under uncertainties, where the direct method has shown faster convergence than response surface method. (C) 2010 Elsevier Ltd. All rights reserved.