TUḤFAT al-NAṢĀ’IḤ de Yūsuf Gadā

Dans cette copie le bāb 45 est numéroté 46 par erreur, de même que la date de composition (f. 66v) est donnée comme étant 700H.[sic] au lieu de 795H. De la main de Muḥ. Zamān, on trouve des gloses lexicographiques entre les lignes ou dans le marges. La signature d’Aussant figure au f. 1. Ce ms. (Aussant n° 38) a été acquis par la B.N. en 1798. [Anc. cote, Suppl. persan 51].

I yineka pou skotoni / Paul Gad et Aleco Ahiadis, duo voc. [acc. mandolines et p]. Cardherina Que Florouss / Paul Gad, chant [acc. choeur et instr.]

[Traditions. Europe. Grèce]

To palatti this aghapis / Paul Gad et Aleco Ahiadis, duo voc. [acc. mandolines et p]. Horriss cardia / Paul Gad, chant [acc. choeur et instr.]

[Traditions. Europe. Grèce]

Glikia régina / Paul Gad et Aleco Ahiadis, duo voc. [acc. mandolines et p]. I accro thalassia / Paul Gad, Aleco Ahiadis, duo voc. [acc. instr.]

[Traditions. Europe. Grèce]

Mi nostalgia / Paul Gad et Aleco Ahiadis, duo voc. [acc. mandolines et p]. Coquetta / Paul Gad, chant [acc. choeur et instr.]

[Traditions. Europe. Grèce]

Yasmina / Paul Gad [acc. mandolines et p]. Tha fio corri sta xéna / Paul Gad, chant [acc. choeur et instr.]

[Traditions. Europe. Grèce]

Mana / Paul Gad [acc. mandolines et p]. Stone affro tis thallassass : yalo… yalo… / Paul Gad, chant [acc. choeur et instr.]

[Traditions. Europe. Grèce]

Aghapi qué filia / Paul Gad, chant ; M. Angelo. R, p. Thimasse / Paul Gad, chant [acc. instr.]

[Traditions. Europe. Grèce]

Espassess ta piatta ; Osso yirizi i sphera / Paul Gad, chant [acc. choeur et instr.]

[Traditions. Europe. Grèce]

Idha Mattia / Paul Gad, chant ; M. Angelo. R, p. Yatti pino / Paul Gad, Aleco Ahiadis, duo voc. [acc. instr.]

[Traditions. Europe. Grèce]

I modhistroulla / Paul Gad, chant [acc. choeur et instr.]. Sou ippa mou ippess / Paul Gad, chant ; M. Angelo. R, p

[Traditions. Europe. Grèce]

Le Roman de Tristan, translaté par « LUCE DE GAD ».

Commençant par : « Apres ce que j'ay leu et releu... » et finissant par : «... laisse ore le compte à parler de ceste chose et retourne à nostre matiere » . Le ms s'arrête au livre II, lorsque Gauvain prémédite la mort de Morholt.

« L'un des quatre Volumes de l'Istoire de la Table Ronde, nommé le Livre de Tristan », translaté par « LUCE, chevalier et sire du chastel DU GAD ».

Commençant par : « Apres ce que j'ay leu et releu... » et finissant par : «... apres ce conte n'en pourroit nulz riens dire qu'il ne mentist. Cy finist le Rommant de Tristant et plus n'en y a » .