4 resultados para Langues de spécialité
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Resumo:
The Cangin languages are classified as an own subgroup of the Atlantic languages. Evidence for their common origin can be given by the comparative method. By means of the systematic grammatical comparison of different languages this method aims at the reconstruction of a hypothetic proto-language and allows to draw hypothesises on their diachronic linguistic development. This paper concentrates on the evolution of the consonant system of the Cangin languages.
Resumo:
Cet article traite des expressions de la perception sensuelle de l’ouest nilotique. La première partie de l’article présente une terminologie ophrésiologique en louo et burun et démontre que cette catégorie lexicale détient aussi une catégorie grammaticale particulière. Phénomènes très rares dans les langues du monde, les termes ophrésiologiques sont seulement présentés sous forme introductive pour encourager davantage les recherches futures. La seconde partie de l’article porte sur les descriptions des couleurs utilisées pour les animaux domestiques. Quand les modalités de l’économie changent, les noms utilisés pour les couleurs des animaux peuvent aussi être employés pour d’autres concepts culturels. La troisième partie de l’article montre que les classificateurs nominaux en mabaan (burun) expriment des principes concernant le toucher en tant que structure cognitive. En conséquence, différents procédés de grammaticalisation sont assumés et corrélés avec des ponctuations dans l’histoire culturelle et mentale des ancêtres des locuteurs de l’ouest nilotique.
Resumo:
L’internet est reconnue de manière générale comme un instrument de recherche valable. Bien que les langues africaines ne soient pas bien représentées sur internet il y a assez d’informations qui peuvent être découvertes dans la recherche sur terrain virtuel. Des petits vocabulaires et des descriptions de plusieurs langues africaines sont écrits par des auteurs individuels, des départements d’universités et des agences de voyages. Des textes en langues africaines sont en majorité publiés par des missionaries ou des ONGs. Ces données tendent à refléter les variantes standards des langues utilisées. Ce sont des contributions dans des forums qui sont témoins d’un langage proche de la langue parlée. On recherche les données linguistiques en utilisant les noms des langues respectives combinés avec des termes tels que “langue”, “grammaire”, “cours” ou le nom d’un auteur comme terme de recherche. Des chaînes de mots (en guillemets) qui sont très courantes dans le langage parlé et/ou écrit peuvent constituer de bons termes de recherche pour trouver des textes ou des contributions dans des forums.
Resumo:
Die Songhaysprachen verwenden unterschiedliche Konstruktionen, um Genitivbeziehungen auszudrücken. In den hier 'Mainstream' genannten Songhaysprachen findet sich vornehmlich eine Konstruktion ohne weitere Verbindungselemente mit dem Possessor an erster Stellung. In den so genannten nördlichen Songhaysprachen findet sich die gleiche Reihenfolge von Possessor und Possessum, dort werden sie jedoch durch eine Adposition n getrennt. Die Forschung hat bisher meistens die Ansicht vertreten, dieses n sei aus dem Tuareg entlehnt worden, wo man ja eine Genitivpräposition n hat. Diese Ableitung ist jedoch problematisch, da im Tuareg der Possessor dem Possessum folgt, also eine umgekehrte Reihenfolge wie im Songhay vorliegt. In diesem Artikel werde ich versuchen, für eine songhay-interne Ableitung von n zu argumentieren. Zwei verschiedene Lösungen werden vorgeschlagen. Der erste An¬satz geht davon aus, dass es sich um das Relikt einer alten Genitivpartikel, ánè, handelt, die sich noch im Pronomen wane 'der von' finden lässt. Im zweiten Ansatz wird angenommen, dass n ursprünglich die Trennung von zwei NPs markierte. Im Mainstream Songhay hätte sich dieses Element zum Transitivmarkierer im Perfektiv entwickelt, im nördlichen Songhay dagegen zum Markierer von Genetivkonstruktionen haben.