On genitive linking in Songhay


Autoria(s): Kossmann, Maarten
Data(s)

20/08/2008

20/01/2009

Resumo

Die Songhaysprachen verwenden unterschiedliche Konstruktionen, um Genitivbeziehungen auszudrücken. In den hier 'Mainstream' genannten Songhaysprachen findet sich vornehmlich eine Konstruktion ohne weitere Verbindungselemente mit dem Possessor an erster Stellung. In den so genannten nördlichen Songhaysprachen findet sich die gleiche Reihenfolge von Possessor und Possessum, dort werden sie jedoch durch eine Adposition n getrennt. Die Forschung hat bisher meistens die Ansicht vertreten, dieses n sei aus dem Tuareg entlehnt worden, wo man ja eine Genitivpräposition n hat. Diese Ableitung ist jedoch problematisch, da im Tuareg der Possessor dem Possessum folgt, also eine umgekehrte Reihenfolge wie im Songhay vorliegt. In diesem Artikel werde ich versuchen, für eine songhay-interne Ableitung von n zu argumentieren. Zwei verschiedene Lösungen werden vorgeschlagen. Der erste An¬satz geht davon aus, dass es sich um das Relikt einer alten Genitivpartikel, ánè, handelt, die sich noch im Pronomen wane 'der von' finden lässt. Im zweiten Ansatz wird angenommen, dass n ursprünglich die Trennung von zwei NPs markierte. Im Mainstream Songhay hätte sich dieses Element zum Transitivmarkierer im Perfektiv entwickelt, im nördlichen Songhay dagegen zum Markierer von Genetivkonstruktionen haben.

Dans les langues songhay, plusieurs constructions sont employés pour exprimer une relation génitive. Dans les langues appelées ici « mainstream », comme les langues parlées aux bords du fleuve Niger, la construction la plus employée est la simple préposition du possesseur au possédé. Dans les langues dites septentrionales, parlées au Sahara, la construction non-marquée a un élément n qui se met entre le possesseur et le possédé. Dans la littérature, il a été proposé que cet élément n soit un emprunt au touareg, qui a une préposition génitivale n. Cette dérivation n’est pas sans problèmes, surtout parce qu’en touareg l’on emploie l’ordre « possédé n possesseur », c'est-à-dire, l’ordre invers du songhay septentrional. Dans cet article, nous étudierons les possibilités d’une dérivation interne au songhay. Deux pistes seront empruntés. Selon une première explication, n serait une abbréviation d’un ancien élément génitival *ánè qui serait encore préservé dans le pronom wane « celui de ». Selon une deuxième explication, n serait un ancien élément syntaxique pour disjoindre les NPs. En songhay mainstream, cet élément se serait développé en élément « transitivant » du perfectif, tandis qu’en songhay septentrional, il se serait spécialisé en marqueur de la relation génitivale.

Identificador

urn:nbn:de:0009-10-17408

http://www.afrikanistik-online.de/archiv/1740

Idioma(s)

eng

Direitos

DPPL

Fonte

Afrikanistik online ; 2009 , 6

Palavras-Chave #Genitiv #Songhay #bk: Singhay