16 resultados para Théâtre d’intervention--Mali

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This publication is a collation and summary of the major achievements of the Agricultural Research Station of Cinzana (SRAC) and the Capacity Building for Sustainable Agriculture Project (PRECAD). Both projects, created in 1983 and 2006, respectively, have been developed through close collaboration between the Rural Economy Institute (IER) responsible for agricultural research in Mali and the Syngenta Foundation for Sustainable Agriculture (SFSA), formerly the Ciba-Geigy Foundation. The publication covers the period from 1979 to 2009 and includes, where available, some key information for the year 2010. It is aimed at a wide audience and provides an overview of the work carried out in Mali by an agricultural research station and an extension project. It highlights the obstacles and opportunities encountered by the SRAC and PRECAD, as well as the successes and difficulties arising from their work.

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The present paper discusses a conceptual, methodological and practical framework within which the limitations of the conventional notion of natural resource management (NRM) can be overcome. NRM is understood as the application of scientific ecological knowledge to resource management. By including a consideration of the normative imperatives that arise from scientific ecological knowledge and submitting them to public scrutiny, ‘sustainable management of natural resources’ can be recontextualised as ‘sustainable governance of natural resources’. This in turn makes it possible to place the politically neutralising discourse of ‘management’ in a space for wider societal debate, in which the different actors involved can deliberate and negotiate the norms, rules and power relations related to natural resource use and sustainable development. The transformation of sustainable management into sustainable governance of natural resources can be conceptualised as a social learning process involving scientists, experts, politicians and local actors, and their corresponding scientific and non-scientific knowledges. The social learning process is the result of what Habermas has described as ‘communicative action’, in contrast to ‘strategic action’. Sustainable governance of natural resources thus requires a new space for communicative action aiming at shared, intersubjectively validated definitions of actual situations and the goals and means required for transforming current norms, rules and power relations in order to achieve sustainable development. Case studies from rural India, Bolivia and Mali explore the potentials and limitations for broadening communicative action through an intensification of social learning processes at the interface of local and external knowledge. Key factors that enable or hinder the transformation of sustainable management into sustainable governance of natural resources through social learning processes and communicative action are discussed.

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Certes la distinction tranchée entre tragédie et comédie n’a plus cours, par contre si vous essayez de ronger les frontières entre essai, roman, théâtre, poésie, quel tollé», écrivait Michel Butor. Pour représenter la multiplicité des frontières, il a pourtant été nécessaire dans ce livre de convoquer une écriture située elle-même aux frontières des genres, polyphonique, procédant par montage et rapprochements de voix éparses, selon un principe de choralité. En est né un genre hybride, le «théâtre-essai» (à la façon dont certains vidéastes pratiquent le «vidéo-essai»). En tant qu’essai, ce livre repose sur une base documentaire, qui a porté d’une part sur la figuration des frontières en littérature et dans les arts, d’autre part sur les approches des frontières par les différents domaines du savoir (géographie, droit, polémologie, sociologie, anthropologie et écologie). Mais c’est à travers le langage théâtral lui-même, tant sur le plan textuel que de l’organisation de l’espace, que les frontières sont ici interrogées : celles qui séparent le littéraire du non-littéraire, ou la salle de la scène.

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Mme Michèle Crogiez traite dans sa communication de la querelle du théâtre à Genève entre Jean-Jacques Rousseau et D’Alembert à l’occasion de la publication de l’article "Genève" de l’ "Encyclopédie". La "Lettre à D’Alembert sur les spectacles" (1758) rédigée à Montmorency par Rousseau n’a rien d’une relation de voyage. Rousseau a quitté adolescent sa ville natale, et D’Alembert ne l’a connaît que très imparfaitement par de courts séjours … et par Voltaire. C’est donc d’un lieu largement imaginaire que parlent les deux écrivains. Paradoxalement, Rousseau qui est connu alors par des "discours" scandaleux l’est aussi par sa participation à la querelle des musiques italienne et française et par son activité d’auteur dramatique ("Le Devin de village"). Le contempteur du théâtre à Genève est lui-même homme de théâtre. Si le but de l’article "Genève" est aussi de faire connaître la République helvétique aux Français, le théâtre fait partie de la dimension politique d’une cité et justifie le développement de l’article sur ce qui n’existe pas à Genève, une vie théâtrale officielle. Dans sa "Lettre" (forme habituelle du débat ouvert au XVIIIe siècle), Rousseau emploie de façon récurrente la notion de "patrie" et de "patriotique" pour désigner la spécificité genevoise. Pour Rousseau, les hommes modernes sont corrompus, mais de manière diversifiée. Si les spectacles peuvent être autorisés à Paris (corruption forte et sans espoir de retour), ils doivent être bannis dans les pays où la corruption n’a pas atteint ce degré et où subsiste quelque chose de la primitive honnêteté. Derrière cette querelle, il y a évidemment Voltaire qui tente, des Délices à Carouge, d’introduire à Genève des spectacles théâtraux privés, complices de l’esprit corrupteur (voir ci-dessous sa lettre au marquis Capacelli). Et D’Alembert est son truchement. Chez Rousseau, Genève est une ville d’utopie pour un voyage dans sa mémoire affective, un lieu intime et menacé.