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em BORIS: Bern Open Repository and Information System - Berna - Suiça
Resumo:
Objective Malnutrition is common in HIV-infected children in Africa and an indication for antiretroviral treatment (ART). We examined anthropometric status and response to ART in children treated at a large public-sector clinic in Malawi. Methods All children aged <15 years who started ART between January 2001 and December 2006 were included and followed until March 2008. Weight and height were measured at regular intervals from 1 year before to 2 years after the start of ART. Sex- and age-standardized z-scores were calculated for weight-for-age (WAZ) and height-for-age (HAZ). Predictors of growth were identified in multivariable mixed-effect models. Results A total of 497 children started ART and were followed for 972 person-years. Median age (interquartile range; IQR) was 8 years (4–11 years). Most children were underweight (52% of children), stunted (69%), in advanced clinical stages (94% in WHO stages 3 or 4) and had severe immunodeficiency (77%). After starting ART, median (IQR) WAZ and HAZ increased from −2.1 (−2.7 to −1.3) and −2.6 (−3.6 to −1.8) to −1.4 (−2.1 to −0.8) and −1.8 (−2.4 to −1.1) at 24 months, respectively (P < 0.001). In multivariable models, baseline WAZ and HAZ scores were the most important determinants of growth trajectories on ART. Conclusions Despite a sustained growth response to ART among children remaining on therapy, normal values were not reached. Interventions leading to earlier HIV diagnosis and initiation of treatment could improve growth response.
Resumo:
La forêt primaire de la région de Mandraka a été classée par le gouvernement en station forestière pour être conservée et restaurée. Suite à cette décision, tous prélèvements y sont interdits. Pourtant, aucune étude n’a évalué sa viabilité depuis cette restriction. Ce mémoire a ainsi comme objectif l’estimation de cette viabilité par le suivi permanent de l’état actuel de la forêt comprenant la végétation, la biodiversité et les pressions. La collecte de données y afférentes a eu recours à une étude bibliographique, à des enquêtes socio-économiques, à un inventaire des pressions, à un inventaire forestier et à une distance sampling. L’état a été évalué par l’analyse de ces composants. Cette recherche a fait ressortir que la forêt est soumise à des pressions anthropiques et biologiques : coupes illicites, collecte de Dioscorea sp., feux de forêt, envahissement des lianes. Ces pressions ont réduit la superficie de la forêt, modifié sa structure et celle de la faune : les régénérations naturelles sont abondantes, les arbres émergents et de diamètre supérieur à 40 cm sont rares, certaines essences floristiques et les lémuriens risquent de disparaître. Puis, les lianes remplacent successivement la forêt. Malgré ces pressions, la forêt a pu conserver certaines caractéristiques de son état originel : l’abondance élevée des tiges et la réduction de leur taille sur les crêtes, l’allure exponentielle de la structure totale, la présence des genres Tambourissa et Weinmannia. En outre, la forêt est encore riche en avifaune. Après analyse de viabilité, elle est classée comme un écosystème viable. Mais ces potentialités sont insuffisantes : il faut réduire les pressions et reconstituer la forêt pour une meilleure conservation de l’écosystème. A cet effet, la présente étude suggère l’aménagement, en premier lieu de la forêt par des interventions sylvicoles favorisant les régénérations comme l’enrichissement en placeaux, le délianage et en second lieu, celui de ses environs par des vulgarisations d’activités génératrices de revenu autres que l’exploitation des forêts naturelles telles l’agroforesterie, le reboisement, l’apiculture. Des patrouilles fréquentes et une délimitation de la station forestière s’avèrent aussi nécessaires.