6 resultados para Objet culturel
em AMS Tesi di Laurea - Alm@DL - Università di Bologna
Resumo:
Il presente lavoro mette in evidenza le principali difficoltà che il traduttore di testi specialistici è chiamato ad affrontare durante la pratica della traduzione. In particolar modo, il nostro studio si concentra sulla figura del traduttore che lavora in ambito artistico : oggigiorno la facilità degli spostamenti e il conseguente aumento del turismo culturale hanno reso la traduzione di dépliant, guide turistiche e cataloghi una pratica necessaria e in continua crescita. L’obiettivo prefissato è quello di verificare l’apporto che le risorse lessicografiche e terminologiche attualmente disponibili danno al traduttore di testi a contenuto artistico. Il nostro lavoro si articola in quattro capitoli. Il primo, di stampo teorico, pone l’accento sulla natura polisemica della parola terminologia (disciplina, metodologia e insieme di termini appartenenti ad un ambito specialistico) e sulla distinzione tra pratica terminologica e traduttiva gettando le basi del secondo capitolo che, partendo dall'esposizione degli ostacoli terminologici incontrati dal traduttore, descrive le lacune dei principali dizionari bilingui italiano-francese e delle basi di dati terminologiche oggi a disposizione. Il terzo capitolo, dedicato alla presentazione del progetto Lessico multilingue dei beni culturali (LBC), ne evidenzia i punti di forza e sottolinea la necessità di creare degli strumenti “ibridi”, concepiti per aiutare il traduttore in ambito artistico. Questa conclusione sarà ulteriormente ribadita nel quarto capitolo, di stampo pratico : l’analisi di una quindicina di termini dell’ambito della scultura (estratti dal corpus de La Vita di Michelangelo, appositamente creato nell'ambito del progetto LBC) mostra l’eccessivo numero di strumenti che il traduttore è costretto a consultare per risolvere adeguatamente le difficoltà incontrate, pratica che non rispecchia più il mestiere della traduzione, all'interno della società dell’informazione, sempre più influenzato dalle scadenze imposte.
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Ce mémoire propose la traduction de certains passages du livre « Per dieci minuti » de Chiara Gamberale. Ce roman raconte l’histoire de Chiara, une fille qui, pendant un période de troubles de sa vie où elle croit avoir perdu tous ses points de repère, décide d’essayer une thérapie-jeu: tous les jours, pendant dix minutes, elle doit faire quelque chose de nouveau, qu’elle n’a jamais expérimenté avant. Ce traitement thérapeutique s’inspire de la théorie des six exercices de Rudolf Steiner, un pédagogue autrichien qui décrit les six étapes fondamentales pour retrouver l’équilibre intérieur. D’un côté, ce mémoire veut souligner l’importance de se consacrer à la traduction d’un genre qui semble avoir de plus en plus du succès de nos jours: la littérature sur le développement personnel et le bien-être. De l’autre, il présente une analyse de l’histoire de la traduction, surtout en ce qui concerne la traduction des référents culturels, à travers une comparaison entre l’approche « normalisante » et l’approche « exotisante ». De plus, il traite le sujet épineux, puisque complexe et fascinant en même temps, des « intraduisibles », c’est-à-dire les implicites culturels. Il s’agit de mots pour lesquels il est impossible de trouver un équivalent direct dans les autres langues puisqu’ils décrivent les habitudes spécifiques d’une certaine communauté ou ils sont le fruit d’une vision spécifique et unique du monde de la part d’une culture. Moi-même, à travers cette traduction, j’ai dû me confronter avec toute une série de défis au niveau traductif , liés surtout au contexte culturel et au style de l’écrivain: j’ai traduit par exemple des parties en dialecte, des passages en rimes et j’ai dû même reproduire volontairement des erreurs de grammaire afin de m’adapter au registre linguistique de certains personnages.
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Dans un contexte de communication, des bonnes compétences linguistiques ne suffisent pas puisque la connaissance approfondie de la culture cible s’avère également une question fondamentale. Il est donc nécessaire d’adopter une attitude communicative adéquate pour que le message puisse être reçu correctement. Parmi les aspects culturels auxquels le parlant doit accorder une grande importance figurent les proverbes. Les proverbes sont des énoncés d’origine populaire qui recèlent un contenu moral et éthique dont la visée est apprendre aux hommes à bien vivre en société. Les messages véhiculés par les proverbes sont l’héritage de l’expérience des ancêtres dont il faut faire trésor pour comprendre les mœurs, le mode de vie et la pensée d’une communauté donnée : voilà donc pourquoi les proverbes ont été dénommés «sagesse des nations». Depuis la nuit de temps, les proverbes sont transmis de père en fils par voie orale : l’usage quotidien et l’apprentissage par cœur en ont fait des formules fixées dont la structure binaire rimique et rythmique facilite la mémorisation. Par ailleurs, les proverbes sont souvent à interpréter en clé métaphorique, le figement étant l’un des traits définitoires de ce genre du discours. Si les proverbes, énoncés de sagesse populaire, étaient autrefois des sources d’autorité morale, aujourd’hui, au contraire, ils ont perdu leur valeur éthique et sont en train de tomber en désuétude en tant que forme de littérature de deuxième rang, véhiculant des contenus stéréotypés. Néanmoins, les proverbes représentent toujours une clé de lecture pour étudier les sociétés dont ils constituent une partie très importante du patrimoine linguistique et culturel, ce que l’on nomme « patrimoine immatériel ». Le travail que nous allons proposer se penche sur le rôle et l’importance des proverbes, en présentant une approche à l’analyse contrastive des proverbes concernant la notion de temps en langue italienne et française.
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Résumé: Par le biais de cette thèse, nous nous aventurons dans le monde des Villes invisibles d'Italo Calvino à travers un voyage qui nous portera à affronter des thèmes tels que l'insuffisance du langage pour décrire les multiples formes de la réalité ; l'importance de la relation entre l'oeil et l'esprit ; les instruments déployés par Italo Calvino pour atteindre son objectif: toucher du doigt l'essence même de la réalité. Pour ce faire, l'écrivain puisera dans une tradition séculaire d'oeuvres littéraires, y compris et surtout Ovide et ses Métamorphoses, qui fera l'objet dune étude plus poussée étant donné que Calvino et lui partagent la conviction que l'art et l'illusion qu'il comporte nous guident vers une réalité nouvelle. Nous finirons par l'étude de certains concepts récurrents dans la littérature en général, mais surtout dans celle de l'écrivain. Des thèmes comme l'échiquier, le labyrinthe ou encore la carte nous apparaissent comme autant de moyens employés par Calvino pour comprendre notre monde. Le tout à travers un voyage initiatique qui nous permettra non seulement de mieux comprendre la réalité dans laquelle nous vivons et par conséquent nous-même, mais aussi d'entrer dans l'esprit de l'auteur sans toutefois oublier que nous ne pouvons qu'effleurer la surface de ce dernier. Abstract: Through this thesis, we will enter the world of Italo Calvino's Invisible cities in a trip that will bring us to analyse subjects such as the language inadequacy when it comes to describing reality and its multiple forms ; the importance of the link between the eye and the mind ; the tools used by Italo Calvino in order to achieve his goal: reach the very essence of reality. To do so, the writer will make full use of a tradition that comes from centuries of literary books, included and most of all Ovid and his Metamorphoses, which we will study more deeply as Calvino shares with him the belief that art and illusion that derives from it, bring us towards a new reality. Finally, we will analyse some topics which are generally recurrent not only in literature, but also in Calvino's work. Topics such as chessboard, labyrinth, map that are may different ways used by Calvino to understand our world. All of this will take us through an initiatory trip that will allow us not only to better understand the reality we live in and therefore ourselves, but also to enter the writer's mind without however forgetting that we cannot but only scratch the surface of the latter.
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Le rôle du traducteur est de permettre le dialogue entre deux « mondes autres », de connaître les éléments qui les différencient et de transmettre le message le plus fidèlement possible. Tout dans un texte peut résister à la traduction (vocabulaire, syntaxe, culture). Le but de la traduction est de recréer l’original, tout en sachant que la traduction a ses limites. Quelles sont les limites de la traduction ? Est-il suffisant de bien maîtriser une langue pour pouvoir la traduire ? Est-ce que tous nos mots ont une équivalence dans les autres langues ? Pouvons-nous faire rire l'autre avec les mêmes traits d’humour ? Une traduction, peut-elle transmettre au lecteur ou au spectateur cible toutes les nuances présentes dans le texte ou le film de départ ? Le film français Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu ?3 sera l'objet de notre analyse. Tout comme le film de Dany Boon, il a eu beaucoup de succès en France et il a également été doublé en italien. Il s'agit ici aussi d'un film humoristique qui joue sur les stéréotypes que nous avons sur l'autre, d'où le choix de commenter le doublage et d'imaginer une piste de transposition italienne. Ce mémoire se propose de répondre aux questions posées ci-dessus, tout en proposant des commentaires de traduction et des pistes de transposition. Nous allons développer trois parties : tout d'abord, nous allons voir comment notre vision du monde influence notre langue et, vice versa, comment notre langue crée un ordre dans le monde. Ensuite, nous allons nous concentrer sur l'intraduisible verbal et non verbal, sur la traduction et l'adaptation de l'humour. Enfin, la troisième et dernière partie sera consacrée au thème de la transposition et, plus particulièrement, à la piste transposition du film Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu ?.
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L’étude que je viens de mener s’adresse principalement à un public universitaire, aux italiens, à mes amis et professeurs, et à toutes ces personnes curieuses comme moi, qui n’ont pas encore eu la chance de connaitre la Roumanie dans le sens de son lien bien étroit avec la France. Il s’agit d’une analyse contextuelle et spécifique à la fois. Bien que restant une étude de surface sur de nombreux aspects j’ai tenté de montrer, à travers l’historiographie atypique de la culture roumaine, que celle-ci s’imprègne avant tout du français, aussi bien par son mimétisme socio-culturel que par l’évolution de sa langue. Nous avons pu constater à travers divers exemples - en partant du phénomène social “Petit-Paris” aux termes calqués en passant par l’intertextualité française - que la France a joué un rôle majeur dans l’épanouissement de la culture roumaine. Plus particulièrement, l’étude de la farce fantaisiste de Ion Luca Caragiale, O soacră, m’a permis de comprendre et de partager à travers l’analyse et la traduction de cette pièce ce mimétisme classique que le théâtre français prodiguait tant au XVIIè siècle.