9 resultados para Langue (de l’) autre

em AMS Tesi di Laurea - Alm@DL - Università di Bologna


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Le rôle du traducteur est de permettre le dialogue entre deux « mondes autres », de connaître les éléments qui les différencient et de transmettre le message le plus fidèlement possible. Tout dans un texte peut résister à la traduction (vocabulaire, syntaxe, culture). Le but de la traduction est de recréer l’original, tout en sachant que la traduction a ses limites. Quelles sont les limites de la traduction ? Est-il suffisant de bien maîtriser une langue pour pouvoir la traduire ? Est-ce que tous nos mots ont une équivalence dans les autres langues ? Pouvons-nous faire rire l'autre avec les mêmes traits d’humour ? Une traduction, peut-elle transmettre au lecteur ou au spectateur cible toutes les nuances présentes dans le texte ou le film de départ ? Le film français Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu ?3 sera l'objet de notre analyse. Tout comme le film de Dany Boon, il a eu beaucoup de succès en France et il a également été doublé en italien. Il s'agit ici aussi d'un film humoristique qui joue sur les stéréotypes que nous avons sur l'autre, d'où le choix de commenter le doublage et d'imaginer une piste de transposition italienne. Ce mémoire se propose de répondre aux questions posées ci-dessus, tout en proposant des commentaires de traduction et des pistes de transposition. Nous allons développer trois parties : tout d'abord, nous allons voir comment notre vision du monde influence notre langue et, vice versa, comment notre langue crée un ordre dans le monde. Ensuite, nous allons nous concentrer sur l'intraduisible verbal et non verbal, sur la traduction et l'adaptation de l'humour. Enfin, la troisième et dernière partie sera consacrée au thème de la transposition et, plus particulièrement, à la piste transposition du film Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu ?.

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La standardisation de la langue française a inévitablement eu des conséquences soit dans l’attitude de défense du français, soit dans l’inquiétude de ceux qui parlent une autre langue. Cette étude veut établir une comparaison entre le rapport langue du pouvoir/langues non officielles et le rapport professeur/élève en milieu scolaire. La distinction entre langue officielle et dites « langues minoritaires » sera mis en relation avec la langue des jeunes, qui, à l’école, se confrontent et entrent en collision avec la langue de leur professeur. En effet, les classes hétérogènes et l’influence de la langue maternelle auprès des élèves, fils d’immigrés, exposent les enseignants à toute une série de difficultés liées aux différences culturelles. Les dénonciations et les cas de violence dans les écoles mettront l’accent également sur l’opinion publique et sur le type de mesures mises en relief par les Institutions publiques. L’aire géographique prise en considération inclut Paris et ses environs même si quelques exemples d’enquêtes menées dans d’autres parties de la France et à l’étranger seront cités.

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Ce mémoire propose d’étudier le phénomène des interférences linguistiques qui se vérifient lors de l’apprentissage du français langue étrangère (FLE). Après avoir apporté quelques notions historico-théoriques de la grammaire et de la didactique, nous nous pencherons sur la question des interférences linguistiques à travers une étude de cas spécifique portant sur des apprenants italophones et sinophones de niveau B1 selon le Cadre Européen Commun de Référence pour les langues. Il s’agit de réfléchir, à travers cette analyse, au rôle de la grammaire dans un contexte d’enseignement/apprentissage de la langue française où l’origine de l’apprenant influence l’approche à la langue étrangère et est source d’interférences linguistiques. En dernier lieu, nous tirerons les conclusions de l’analyse sur le plan didactique.

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Questa tesi di laurea magistrale ha come obiettivo quello di individuare gli equivalenti interlinguistici in bulgaro, italiano e russo dei concetti trattati nel compendio sugli strumenti di navigazione aerea redatto dall'Office Québécois de la Langue Française. Nel primo capitolo verranno brevemente presentati gli strumenti di navigazione e le tecniche di navigazione. Ci si soffermerà poi sull'istituzione dell'OACI (Organizzazione dell'Aviazione Civile Internazionale), sugli obiettivi e sui metodi della ricerca terminologica di questa tesi. Nel secondo capitolo verrà descritto il compendio sugli strumenti di navigazione aerea e illustrata la sua origine; si parlerà del soggiorno presso l'OQLF e l'Università di Laval e saranno presentati i collaboratori che hanno partecipato alla realizzazione di questa tesi. Il terzo capitolo si propone di illustrare le fonti utilizzate per la ricerca terminologica e di comparare i risultati ottenuti. Le fonti di cui si è usufruito hanno una natura, un pubblico, autori e obbiettivi molto diversi fra loro e ci si vuole interrogare quindi sulla possibilità di conciliazione di queste differenze per la redazione di un glossario multilingue. Nel capitolo quarto, dopo una breve riflessione sulla politica editoriale adottata, sarà esposto il database realizzato nelle tre lingue di lavoro (bulgaro, italiano e russo). Alcune note forniscono le indicazioni necessarie per comprendere come si è agito nei confronti del documento preesistente, redatto in francese ed in inglese e come questo abbia influenzato le decisioni prese sugli equivalenti delle lingue di lavoro. Il capitolo quinto vuol invece esporre le difficoltà incontrate in fieri e le strategie usate per ovviare a queste problematiche. Ci si soffermerà ancora una volta sulle fonti e sulla loro affidabilità, alla luce dei risultati ottenuti e della riflessione condotta a posteriori. Infine, saranno proposte delle riflessioni conclusive sul lavoro svolto, sugli obbiettivi iniziali e il lavoro finale.

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L’un des buts de ce mémoire est de définir le concept de « mise en abyme » appliqué au court-métrage Mouettes, réalisé en 2013 par le cinéaste belge Zeno Graton. Un autre but est celui de présenter une version sous-titrée en langue italienne de ce même court-métrage tout en explorant le monde de la traduction audiovisuelle et notamment du sous-titrage. Ce mémoire est divisé en trois chapitres. Le premier chapitre porte principalement sur la mise en abyme, sur les différents types de mise en abyme, à savoir pictural, littéraire et filmique, sur les études réalisées et les théories conçues à propos de ce procédé, à partir d’André Gide jusqu’à Lucien Dällenbach en passant par Jean Ricardou. Ce chapitre se penche également sur les différences entre la mise en abyme filmique et d’autres modes de réflexivité cinématographique, pour ensuite se concentrer sur le court-métrage Mouettes, décrire le procédé de la mise en abyme hétérogène utilisée dans Mouettes et présenter les thèmes abordés dans le court-métrage. Parmi les thèmes exposés, l’un des plus évocateurs est celui de la figure de l’acteur qui ne sait plus distinguer, parfois, ses passions et ses sentiments réels de ceux ressentis dans le rôle du personnage qu’il doit jouer. Ensuite, le deuxième chapitre est consacré aux différents procédés utilisés dans la traduction audiovisuelle, du doublage, au voice-over au respeaking, en analysant surtout la technique du sous-titrage, la théorie et les problèmes liés. Enfin, le dernier chapitre propose mon travail de sous-titrage à travers un tableau avec le time code, le texte de départ transcrit, la traduction et, si nécessaire, l’adaptation. Dans le troisième chapitre, il y a également un commentaire sur les difficultés rencontrées pendant le travail de sous-titrage, dans la traduction ainsi que dans l’utilisation du logiciel Jubler.

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La lexiculture a identifié la « charge culturelle des mots », ce qui permet de comprendre les jeux de mots dans la phrase, l'humour, l'allusion socioculturelle, l'ironie d'une langue. Le concept se montre à nous comme un concept fonctionnel et mobilisateur qui nous permet de voir autrement le monde, pour un avenir où langue et culture ne seront pas traitées comme deux entités étrangères entre elles.

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Depuis mon arrivée en Italie j’ai été frappée par les grandes différences qui existent entre les expressions figées et idiomatiques dans les deux langues que sont le français et l’Italien. Etant d’expression francophone, et inscrite à la faculté de langue et de traduction, il m’a été donné de constater que j’avais de grandes difficultés à traduire les expressions figées d’une langue à une autre. Et plus encore il était très difficile de leur trouver des définitions et expressions équivalentes. Fort de ce constat, je me suis intéressée à la possibilité d’analyse des expressions figées du français à l’Italien à travers l’ouvrage de Gaston Gross paru aux éditions OPHRYS, 1996, sous le titre : Les expressions figées en français. Noms composés et autres locutions. Cet ouvrage constitue une avancée importante dans les études et les recherches sur la médiation linguistique et rejoint donc notre domaine de compétence. A travers cette analyse il s’agira de se poser la question fondamentale : Qu’est-ce qu’une expression figée ? Quelles sont ses représentations et ses évolutions dans cet ouvrage et comment s’effectuent son passage et ses transformations d’une langue à une autre ? Pour être plus précis, dans notre cas, comment pouvons-nous établir le passage des expressions figés du français à l’Italien dans cet ouvrage de Gaston Gross ? En répondant à ces questions, nous partons sur la base de l’hypothèse que les expressions figées constituent une richesse dans une langue et sont difficilement traductibles dans une autre langue sans en perdre la richesse et la teneur, lors de ce processus. Notre travail consistera donc à vérifier cette hypothèse.

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Ce travail de recherche se base sur la traduction d’un texte littéraire du russe vers l’italien. Il s’agit d’un essai du psychanalyste N. E. Osipov, intitulé « Zapiski sumasšedšego », nezakončennoe proizvedenie L. N. Tolstogo (“Les mémoires d’un fou”, œuvre inaccomplie de L. N. Tolstoï ). Cet essai est une analyse de la vie et de la maladie de l’auteur des Mémoires du point de vue psychanalytique. En effet, Osipov fut l’un des représentants plus importants du mouvement psychanalytique en Russie. C’était un psychanalyste et il est considéré comme l’un des pionniers de la psychanalyse russe. En effet, il a joué un rôle très important en faveur de la diffusion des œuvres de Freud et de la psychanalyse dans son pays. En traduisant les œuvres de Freud, il a introduit la théorie et la langue psychanalytiques en Russie, surtout, parmi les intellectuels. Ce travail de recherche se compose de trois chapitres principaux. Dans le premier, les thèmes abordés sont : la naissance et la diffusion de la psychanalyse en Russie ; la vie et les œuvres psychanalytiques et littéraires de Osipov ; l’analyse du texte Les mémoire d’un fou. A l’intérieur du deuxième chapitre, on trouve la traduction italienne du texte de Osipov susmentionné. Enfin, le troisième chapitre contient une analyse du travail de traduction, c’est-à-dire une analyse des difficultés rencontrées et des choix de traduction effectués pour les surmonter, en utilisant plusieurs moyens comme des dictionnaires, des ouvrages spécialisés, même en langue originale, et des sites internet sur le thème de la psychanalyse. Le travail a été rédigé en italien, mais il contient beaucoup de citations en langue originale (russe) des textes utilisés pour la recherche. Il en résulte un apport très important pour comprendre la diffusion de la discipline psychanalytique en Russie et le rôle important joué par le psychanalyste Osipov de ce point de vue.

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Cette étude naît à la suite d'un contact direct avec l'une des manifestations contemporaines des variétés de français qui caractérisent Paris et dont l'histoire est liée à l'urbanisation de la ville, l'Argot des jeunes parisiens. Ce langage naît en effet de l'opposition des jeunes des catégories populaires vivant dans des quartiers dits « sensibles » aux pratiques des jeunes issus des classes moyennes et supérieures. Mais l'émergence de pratiques langagières argotiques n'est pas un phénomène récent. En effet la langue française a toujours été déstructurée pour masquer ou crypter des informations surtout chez les classes sociales les plus basses, au milieu desquelles vivaient les criminels. Le point de départ est donc la définition du langage argotique qui, en gardant la phonologie et la syntaxe de la langue française commune, introduit un lexique nouveau pour nommer les activités qui sont propres à des communautés spécifiques et que l'on analysera au cours de cette recherche. On parlera donc des premières sociétés criminelles caractérisées par l'usage de ce type de langage et de la découverte du première document argotique officiel à l'intérieur duquel on a retrouvé une description détaillée des expressions utilisées par un groupe de malfaiteurs. On se focalisera ensuite sur les attitudes linguistiques qui viennent d'une vision du monde typique des classes sociales les plus basses et qui comportent différents procédés de formation de mots propres au langage parallèle à la langue d'usage commun. On abordera enfin la condition des jeunes banlieusards de nos jours, qui, à cause du manque d'intérêt de la société qui les entoure, cherchent à s' évader de la condition de marginalité dans laquelle ils vivent à travers la création d'un langage qui puisse seconder leur sentiment d'appartenance au même groupe social et qu'ils utilisent comme instrument d'évasion d'une réalité aliénante.