3 resultados para mort subite du nourrisson
em AMS Tesi di Dottorato - Alm@DL - Università di Bologna
Resumo:
La tesi prende in esame l’attività artistica di Nicolò dell’Abate (Modena, 1509 – Parigi, 1571), con particolare riferimento alla sua grafica. L’artista lavorò circa sessanta anni suddivisi fra l’Emilia, in alcune delle sue piccole entità politiche autonome come Modena, Scandiano, Soragna, Busseto, Bologna, e la Francia, potente stato nazionale che, all’epoca qui presa in considerazione, era guidato dalla casata dei Valois: la carriera italiana di Nicolò dell’Abate si sviluppa in un arco temporale che si estende dal 1529 alla primavera del 1552, quando si trasferisce definitivamente oltralpe, morendo a Parigi alla fine di marzo del 1571. L’elaborato è diviso in quattro capitoli, dei quali il primo, introduttivo, ripercorre per sommi capi le principali tappe della sfaccettata attività italiana; il secondo e il terzo sono invece incentrati sull’esame dell’attività artistica francese del maestro, con particolare riferimento alla grafica, indagata sulla base della ricostruzione del contesto storico, culturale e artistico della Francia dell’epoca, con specifico riguardo alla corte reale della famiglia Valois nei periodi compresi fra l’arrivo di Nicolò, nel 1552, e la morte prematura del re Enrico II, nel 1559, e fra il 1560 e il 1571, durante il quale deteneva il potere de facto la regina madre Caterina de’ Medici, moglie di Enrico. Il quarto e ultimo capitolo costituisce il catalogo dei disegni italiani e francesi: è preceduto da un saggio introduttivo che esamina lo stile disegnativo di Nicolò dell’Abate in Italia e in Francia, le sue caratteristiche fondamentali e il suo mutamento, oltre alle tecniche grafiche impiegate dall’artista, la loro evoluzione e variazione e il loro ruolo nella sua poetica. Infine, in appendice, è presente il regesto delle fonti francesi sull’attività dell’artista e di alcuni dei maggiori esponenti della cosiddetta scuola di Fontainebleau.
Resumo:
« Dieu est mort » proclame à l’envi le fou nietzschéen. C’est sous l’égide inquiète de cette assertion paroxystique, traduisant ce «malaise de la culture» qu’évoquait Freud, que la pensée, la littérature et l’art du XXe siècle européen évoluent. Cependant, le christianisme dont ce cri signe l’extrême décadence, n’est pas seul à imprégner les productions artistiques de ce siècle, même les plus prétendument athées, mais avant tout la figure du Christ - autour de laquelle sont structurés tant cette religion que son système de croyance – semble, littéralement et paradoxalement, infester l’imaginaire du XXe siècle, sous des formes plus ou moins fantasmatiques. Ce travail se propose ainsi précisément d’étudier, dans une optique interdisciplinaire entre littérature, art et cinéma, cette dynamique controversée, ses causes, les processus qui la sous-tendent ainsi que ses effets, à partir des œuvres de trois auteurs : Artaud, Beckett et Pasolini. L’objectif est de fournir une clé de lecture de cette problématique qui mette en exergue comment « la conversion de la croyance », comme la définit Deleuze, à laquelle ces auteurs participent, n’engendre pas un rejet purement profanatoire du christianisme mais, à l’inverse, la mise en œuvre d’un mouvement aussi violent que libératoire qualifié par Nancy de « déconstruction du christianisme ». Ce travail entend donc étudier tout d’abord à la lumière de l’expérience intérieure de Bataille, l’imaginaire christique qui sous-tend leurs productions ; puis, d’en analyser les mouvements et les effets en les questionnant sur la base de cette dynamique ambivalente que Grossman nomme la « défiguration de la forme christique ». Les excès délirants d’Artaud, l’ironie tranchante de Beckett et la passion ambiguë de Pasolini s’avèrent ainsi participer à un mouvement commun qui, oscillant entre reprise et rejet, débouche sur une attitude tout aussi destructive que revitalisante des fondements du christianisme.
Resumo:
L'Europe commence à découvrir le désert à la fin du XVIIIe siècle. Ce milieu présente des aspects multiples aux premiers explorateurs, qui le décrivent comme un lieu vivant et varié. La géopolitique constitue le premier approche d'analyse : le désert peut être rendu plus viable si mieux administré, donc libre de la domination ottomane. Au cours du siècle, le tourisme se développe, aussi en raison de la colonisation ; l'expérience du désert devient commune, et les voyageurs partent en quête d'une expérience spirituelle aussi bien que d'une aventure. Le désert devient un écran de projection pour la rêverie et les souvenirs des Européens (la Bible et les topos traditionnels demeurent actifs dans l'imaginaire occidental) ; seules certaines caractéristiques de ce milieu sont dès lors appréciées par les voyageurs. Ensuite, avec l'âge du Réalisme, devient objet d'appréciation de la part des peintres. Grâce à la médiation de l'art, la littérature commence à regarder au désert d'un point de vue esthétique, et elle lui reconnaît un charme de la nudité et du dépouillement. La mort et le minéral caractérisent ce milieu vers la fin du siècle ; le désert se vide, et devient le "désert de sable" que nous tous connaissons aujourd'hui.