2 resultados para labyrinth

em AMS Tesi di Dottorato - Alm@DL - Università di Bologna


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Entre les années 1950 et 1980, émerge une nouvelle forme de labyrinthe chez des romanciers européens comme Michel Butor, Alain Robbe-Grillet, Italo Calvino, Patrick Modiano et Alasdair Gray : un labyrinthe insaisissable et non cartographiable. Pour en rendre compte nous avons recours au modèle du rhizome, issu de la philosophie de Gilles Deleuze et de Félix Guattari, aussi bien qu'au concept d'hétérotopie de Michel Foucault. La spatialité de nos romans nous pousse à prendre en compte également les réécritures ironiques du mythe de Thésée, Ariane, le Minotaure, Dédale. Les citations et les allusions au mythe nous font remarquer la distance d'avec le modèle traditionnel et les effets de ce qu'on peut considérer comme un « bricolage mythique », dans le cadre d'un regard ironique, parodique ou satirique. La représentation romanesque du labyrinthe accentue d'un côté l'absence d'un centre, et de l'autre côté l'ouverture extrême de cet espace qu'est la ville contemporaine. En même temps, la présence de nombreux « espaces autres », les hétérotopies de Foucault, définit l'égarement des protagonistes des romans. Au fur et à mesure que les écrivains acquièrent conscience des caractéristiques « labyrinthiques » de ces espaces, celles-ci commencent à informer l'œuvre romanesque, créant ainsi un espace métafictionnel. Entre les années Cinquante et le début des années Soixante-dix, les Nouveaux romanciers français accentuent ainsi l'idée de pouvoir jouer avec les instruments de la fiction, pour exaspérer l'absence d'un sens dans la ville comme dans la pratique de l'écriture. Calvino reformule cette conception du roman, remarquant l'importance d'un sens, même s'il est caché et difficile à saisir. Pour cette raison, à la fin de l'époque que nous analysons, des auteurs comme Modiano et Gray absorbent les techniques d'écriture de ces prédécesseurs, en les faisant jouer avec la responsabilité éthique de l'auteur.

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La presente dissertazione si pone come oggetto di analisi la produzione poetica di Robert Kroetsch (1927-2011), scrittore e critico letterario canadese nativo dell’Alberta (Canada), che tra il 1960 e il 2010 ha pubblicato un numero notevole di opere (nove romanzi, più di venti opere poetiche tra componimenti singoli e in raccolta, due volumi di saggi e diverse interviste). In particolare si è scelto di focalizzare l’attenzione sulle ultime tre raccolte di poesia – rispettivamente The Hornbooks of Rita K (2001), The Snowbird Poems (2004) e Too Bad: Sketches Toward a Self-Portrait (2010) – che, se confrontate con la produzione precedente, forniscono prova di alcuni elementi di novità all’interno della prospettiva poetica di Kroetsch. L’ipotesi dalla quale trae origine il presente studio è infatti che, a partire dalla raccolta The Hornbooks of Rita K, Kroetsch abbia imboccato un percorso di evoluzione stilistica che corre in parallelo con la formulazione di una nuova poetica. Nello specifico, si osserva che, negli ultimi dieci anni, da un punto di vista formale i componimenti si frammentano progressivamente, passando da una forma lunga – quella del long poem – a una breve – lo sketch, che risulta più adatta a rappresentare sul piano espressivo una mutata percezione dell’Io poetico. A un simile aspetto si aggiunge poi il fatto che la raffigurazione della propria vicenda umana diventa, con sempre maggiore evidenza, motivo di riflessione su una condizione universale dell’umano e sulla dimensione etica del suo agire.