19 resultados para Literary genre
em AMS Tesi di Dottorato - Alm@DL - Università di Bologna
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Les considérations sur le statut de la femme dans la littérature picaresque sont principalement limitées à la production littéraire espagnole. Nous ne pouvons que constater l’absence d’une étude comparatiste s’attachant aux personnages féminins qui peuplent le monde picaresque des pays où ce genre littéraire s’est majoritairement affirmé : l’Espagne, la France et l’Angleterre. Le but de cette analyse est de proposer une comparaison exhaustive entre les personnages féminins des romans picaresques européens de l’époque classique. Ceux-ci sont présentés selon les âges de la vie féminine : l’enfance, la jeunesse, l’âge d’épouse et de mère et la vieillesse. L’exploration de ces catégories d’âges dans lesquelles les rôles féminins se construisent met en évidence la place déterminante qu’ils occupent dans la narration. Leurs tâches, leurs comportements, leurs modes relationnels sont analysés dans les différents espaces et à l’intérieur d’un cadre temporel qui leur sont propres. Les représentations de la femme qui sont diffusées par les écrivains sont bien souvent marquées par une conduite désordonnée. Que les femmes soient victimes d’une société sexiste ou bien qu’elles fassent sciemment de mauvais choix, elles sont dans la majorité des cas, inexorablement condamnées à accepter la condition d’infériorité qui leur est imposée. Il est pourtant une catégorie d’entre elles qui ne s’en tient pas au rôle qui lui est dévolu à l’époque par la société et ses institutions et qui met en place toute une série de stratagèmes lui permettant de se frayer un chemin dans un monde dominé par la supériorité masculine
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L’ucronia (Alternate History) è un fenomeno letterario ormai popolare e molto studiato, ma non lo sono altrettanto lo sue origini e i suoi rapporti con la storia “fatta con i se” (Counterfactual History), che risale a Erodoto e a Tito Livio. Solo nell’Ottocento alcuni autori, per vie largamente autonome, fecero della storia alternativa un genere di fiction: Louis Geoffroy con Napoléon apocryphe (1836), storia «della conquista del mondo e della monarchia universale», e Charles Renouvier con Uchronie. L’utopie dans l’histoire (1876), storia «della civiltà europea quale avrebbe potuto essere» se il cristianesimo fosse stato fermato nel II secolo. Questi testi intrattengono relazioni complesse con la letteratura dell’epoca di genere sia realistico, sia fantastico, ma altresì con fenomeni di altra natura: la storiografia, nelle sue forme e nel suo statuto epistemico, e ancor più il senso del possibile - o la filosofia della storia - derivato dall’esperienza della rivoluzione e dal confronto con le teorie utopistiche e di riforma sociale. Altri testi, prodotti in Inghilterra e negli Stati Uniti nello stesso periodo, esplorano le possibilità narrative e speculative del genere: tra questi P.s’ Correspondence di Nathaniel Hawthorne (1845), The Battle of Dorking di George Chesney (1871) e Hands Off di Edward Hale (1881); fino a una raccolta del 1931, If It Had Happened Otherwise, che anticipò molte forme e temi delle ucronie successive. Queste opere sono esaminate sia nel contesto storico e letterario in cui furono prodotte, sia con gli strumenti dell’analisi testuale. Una particolare attenzione è dedicata alle strategie di lettura prescritte dai testi, che subordinano i significati al confronto mentale tra gli eventi narrati e la serie dei fatti autentici. Le teorie sui counterfactuals prodotte in altri campi disciplinari, come la storia e la psicologia, arricchiscono la comprensione dei testi e dei loro rapporti con fenomeni extra-letterari.
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Cet extrait (le début du projet) peut être essentiellement considéré comme un travail de synthèse, de traduction et d’argumentation concernant un des textes de référence parmi les plus importants au sujet de la littérature picaresque : “La literatura picaresca desde la historia social” écrit par Jose Antonio Maravall. Mon but en développant ce projet était de me focaliser sur les idées principales contenues dans ce volume et en particulier sur la relation existante entre la littérature picaresque et le concept de ville, en termes urbanistiques. Je tiens à souligner le fait que ce travail a été longuement approfondi dans mes nombreuses activités d’étude et de recherche et en me référant, volontairement, au texte lui-même. La raison fondamentale de mon désir de rester près du texte se justifie par le fait que je venais de commence ce qui seraient mes futures activités de recherche de doctorat. J’ai utilisé ces idées à propos de la littérature picaresque, idées qui sont aujourd’hui universellement acceptées, afin de m’orienter moi-même dans ce genre littéraire. Les autres idées que j’ai étudiées et décrites au cours de mes activités de recherche successives sont plus personnelles, car j’avais eu l’occasion de les analyser auparavant. Ce travail n’inclut pas seulement des activités de recherche , mais il s’est agi aussi d’un projet de traduction puisque j’ai dû traduire de l’espagnol(texte original) en italien, pour ensuite concevoir et puis rédiger ma synthèse et mon argumentation en langue française. En conclusion, je peux affirmer que j’ai été capable de construire de solides bases pour élaborer et planifier ma thèse de Doctorat, avec les typiques thèmes de la littérature picaresque, pour exemple la recherche de la nourriture dans la ville.
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La problématique critique autour de la permanence du picaresque à l’époque contemporaine révèle, à partir des années soixante, une controverse qui n’est pas parvenue à en donner une vision homogène. L’oscillation entre une conception historique close et une conception a-historique ouverte ne permet pas de saisir les données essentielles d’une présence très riche et qui n’a pas du tout disparu. Pour le démontrer, on a pris en considération deux ensembles d’œuvres des XXe et XXIe siècles qui présentent un caractère bien distinct : d’un côté, un corpus restreint, composé par des réécritures ou des adaptations des textes canoniques espagnols ; de l’autre, un deuxième corpus plus riche en termes quantitatifs, qui ne représente pas forcement une réélaboration du canon du genre picaresque. Pour aborder l’analyse du corpus, on a évidemment essayé d’identifier des caractéristiques spécifiques qui ont survécu, tout en subissant parfois des transformations, au cours des XXe et XXIe siècles : plus particulièrement, on a pris en considération le narrateur, le motif de la naissance ignoble, la marginalisation du héros et son statut dynamique, aussi bien que la conclusion du récit. D’une tel analyse, il émerge en définitive que la réactivation du genre picaresque ne se borne pas à une réécriture contemporaine, mais aussi qu’il constitue un genre dont la survivance ne peut être mise en question, et dont la diffusion est assez ample. L’analyse d’une telle permanence dans la littérature contemporaine permet de comprendre que ce genre n’est pas lié exclusivement à une société particulière et à un moment historique précis, mais qu’il relève d’une structure plus profonde qui réussit à s’incarner, au cours de l’histoire, dans l’écriture et dans la tradition littéraire.
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Riconoscendo l’importanza delle traduzioni all’interno della cosiddetta repubblica democratica dell’infanzia, il lavoro analizza le prime traduzioni tedesche e italiane del classico della letteratura per l’infanzia I ragazzi della Via Pál di Ferenc Molnár, al fine di metterne in luce i processi non solo prettamente traduttivi, ma anche più ampiamente culturali, che hanno influenzato la prima ricezione del romanzo in due contesti linguistici spesso legati per tradizione storico-letteraria alla letteratura ungherese. Rispettando la descrizione ormai comunemente accettata della letteratura per ragazzi come luogo di interazione tra più sistemi – principalmente quello letterario, quello pedagogico e quello sociale –, il lavoro ricostruisce innanzitutto le dinamiche proprie dei periodi storici di interesse, focalizzando l’attenzione sulla discussione circa l’educazione patriottica e militare del bambino. In relazione a questa tematica si approfondisce l’aspetto della “leggerezza” nell’opera di Molnár, ricostruendo attraverso le recensioni del tempo la prima ricezione del romanzo in Ungheria e presentando i temi del patriottismo e del gioco alla guerra in dialogo con le caratteristiche linguistico-formali del romanzo. I risultati raggiunti – una relativizzazione dell’intento prettamente pedagogico a vantaggio di una visione critica della società e del militarismo a tutti i costi – vengono messi alla prova delle traduzioni. L’analisi critica si basa su un esame degli elementi paratestuali, sull’individuazione di processi di neutralizzazione dell’alterità culturale e infine sull’esame delle isotopie del “gioco alla guerra” e dei “simboli della patria”. Si mostra come, pur senza un intervento censorio o manipolazioni sensibili al testo, molte traduzioni italiane accentuano l’aspetto patriottico e militaresco in chiave pedagogica. Soprattutto in Italia, il romanzo viene uniformato così al contesto letterario ed educativo dell’epoca, mentre in area tedesca la ricezione nell’ambito della letteratura per ragazzi sembra aprire al genere del romanzo delle bande.
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«Fiction of frontier». Phenomenology of an open form/voice. Francesco Giustini’s PhD dissertation fits into a genre of research usually neglected by the literary criticism which nevertheless is arousing much interest in recent years: the relationship between Literature and Space. In this context, the specific issue of his work consists in the category of the Frontier including its several implications for the XX century fiction. The preliminary step, at the beginning of the first section of the dissertation, is a semantic analysis: with precision, Giustini describes the meaning of the word “frontier” here declined in a multiplicity of cultural, political and geographical contexts, starting from the American frontier of the pioneers who headed for the West, to the exotic frontiers of the world, with whose the imperialistic colonization has come into contact; from the semi-uninhabited areas like deserts, highlands and virgin forests, to the ethnic frontiers between Indian and white people in South America, since the internal frontiers of the Countries like those ones between the District and the Capital City, the Centre and the Outskirts. In the next step, Giustini wants to focus on a real “ myth of the frontier”, able to nourish cultural and literary imagination. Indeed, the literature has told and chosen the frontier as the scenery for many stories; especially in the 20th Century it made the frontier a problematic space in the light of events and changes that have transformed the perception of space and our relationship with it. Therefore, the dissertation proposes a critical category, it traces the hallmarks of a specific literary phenomenon defined “ Fiction of the frontier” ,present in many literary traditions during the 20th Century. The term “Fiction” (not “Literature” or “Poetics”) does not define a genre but rather a “procedure”, focusing on a constant issue pointed out from the texts examined in this work : the strong call to the act of narration and to its oral traditions. The “Fiction of the Frontier” is perceived as an approach to the world, a way of watching and feeling the objects, an emotion that is lived and told through the story- a story where the narrator ,through his body and his voice, takes the rule of the witness. The following parts, that have an analytic style, are constructed on the basis of this theoretical and methodological reflection. The second section gives a wide range of examples into we can find the figure and the myth of the frontier through the textual analysis which range over several literary traditions. Starting from monographic chapters (Garcia Marquez, Callado, McCarthy), to the comparative reading of couples of texts (Calvino and Verga Llosa, Buzzati and Coetzee, Arguedas and Rulfo). The selection of texts is introduced so as to underline a particular aspect or a form of the frontier at every reading. This section is articulated into thematic voices which recall some actions that can be taken into the ambiguous and liminal space of the frontier (to communicate, to wait, to “trans-culturate”, to imagine, to live in, to not-live in). In this phenomenology, the frontier comes to the light as a physical and concrete element or as a cultural, imaginary, linguistic, ethnic and existential category. In the end, the third section is centered on a more defined and elaborated analysis of two authors, considered as fundamental for the comprehension of the “Fiction of the frontier”: Joseph Conrad and João Guimarães Rosa. Even if they are very different, being part of unlike literary traditions, these two authors show many connections which are pointed by the comparative analysis. Maybe Conrad is the first author that understand the feeling of the frontier , freeing himself from the adventure romance and from the exotic nineteenthcentury tradition. João Guimarães Rosa, in his turn, is the great narrator of Brazilian and South American frontier, he is the man of sertão and of endless spaces of the Centre of Brazil. His production is strongly linked to that one belonged to the author of Heart of Darkness.
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Nella mia tesi di dottorato mi propongo di indagare la metamorfosi del romanzo nella letteratura italiana contemporanea attraverso il lavoro di Paolo Volponi, che può essere descritto come un’«opera mondo», in accordo con la formula critica coniata da Franco Moretti. Volponi intende superare il divario fra l’io e il mondo e ricomporre il corpo come una mediazione umanistica di ragione e sensi. La sua opera può essere definita ‘epica’ perché recupera la tradizione del romanzo cavalleresco e la parodia esercitata su questa tradizione letteraria da Cervantes nel Don Chisciotte. Ma, come l’Ulysses di Joyce, è un’epica «moderna» perché fondata su una totalità disgiunta e sul conflitto dialogico, in una linea che accomuna la moltiplicazione dei punti di vista, propria del romanzo polifonico secondo Bachtin, alla pluralità di prospettive del discorso scientifico. Dopo un primo capitolo teorico, nel secondo e nel terzo capitolo della tesi i romanzi di Volponi vengono studiati in rapporto al filone dell’«epica moderna» e al genere satirico, che ha un suo modello fondativo nell’opera di Giacomo Leopardi. Il quarto capitolo si focalizza sulle ultime raccolte poetiche, che mostrano la tendenza a recuperare il linguaggio formulare e la matrice orale della poesia delle origini, servendosene per rappresentare in funzione contrappuntistica l’universo globale dell’età contemporanea.
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In the present thesis, I discuss the role of orality in translation, taking into account the problems arising while translating Russian folk epics. I investigate the meaning of orality in the context of folkloristic translation, trying to define a concept of oral poetry, and exploring its consequences for translation. In the first chapter, I try to identify the main differences between written literature and oral modes of expression, with special reference to folklore. Oral verbal art is performed, sung or recited, and based on a vital and dynamic interrelation between kinesics, sound, speech and gestures. According to Muhawi (2006), performance provides an interpretive frame enabling a correct interpretation of the message conveyed beyond the literal meaning. Transposing certain performance elements into print is one of the most controversial problems in folklore studies. However, formulas and formal stylistic devices may be rendered in transcription, building a bridge between oral and written elements. In the translation of oral poetry in transcription, this interconnection between orality and literacy might be emphasized, thus creating a hybrid dimension where oral and literary features coexist. In the second chapter, I introduce and describe the genre of Russian folk epics, transmitted orally, and transcribed between the 19th and 20th centuries, from a historical, linguistic and stylistic point of view. In the third and fourth chapters, I explore the issue of translation of Russian oral poetry. I first analyse existing Italian translations of Russian epics, and then present and discuss my own translation, based on a philological, scholarly approach. Thus, in my translation, which is followed by a rich commentary, I try to focus on the rendering of formulas as one of the most relevant aspects of Russian epics. At the same time, oral devices combine with literary features, thus creating a sort of frozen orality.
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La tesi sviluppa le proposte teoriche della Linguistica Cognitiva a proposito della metafora e propone una loro possibile applicazione in ambito didattico. La linguistica cognitiva costituisce la cornice interpretativa della ricerca, a partire dai suoi concetti principali: la prospettiva integrata, l’embodiment, la centralità della semantica, l’attenzione per la psicolinguistica e le neuroscienze. All’interno di questo panorama, prende vigore un’idea di metafora come punto d’incontro tra lingua e pensiero, come criterio organizzatore delle conoscenze, strumento conoscitivo fondamentale nei processi di apprendimento. A livello didattico, la metafora si rivela imprescindibile sia come strumento operativo che come oggetto di riflessione. L’approccio cognitivista può fornire utili indicazioni su come impostare un percorso didattico sulla metafora. Nel presente lavoro, si indaga in particolare l’uso didattico di stimoli non verbali nel rafforzamento delle competenze metaforiche di studenti di scuola media. Si è scelto come materiale di partenza la pubblicità, per due motivi: il diffuso impiego di strategie retoriche in ambito pubblicitario e la specificità comunicativa del genere, che permette una chiara disambiguazione di fenomeni che, in altri contesti, non potrebbero essere analizzati con la stessa univocità. Si presenta dunque un laboratorio finalizzato al miglioramento della competenza metaforica degli studenti che si avvale di due strategie complementari: da una parte, una spiegazione ispirata ai modelli cognitivisti, sia nella terminologia impiegata che nella modalità di analisi (di tipo usage-based); dall’altra un training con metafore visive in pubblicità, che comprende una fase di analisi e una fase di produzione. È stato usato un test, suddiviso in compiti specifici, per oggettivare il più possibile i progressi degli studenti alla fine del training, ma anche per rilevare le difficoltà e i punti di forza nell’analisi rispetto sia ai contesti d’uso (letterario e convenzionale) sia alle forme linguistiche assunte dalla metafora (nominale, verbale, aggettivale).
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La ricerca si propone di inquisire il modo in cui il fantastico del primo Novecento utilizza la rappresentazione finzionale degli oggetti ai fini della propria emersione. Si ipotizza che certi schemi rappresentativi elaborati da autori fantastici come Hoffmann, Poe o Maupassant siano riscontrabili anche nella letteratura del XX secolo, e vengano reimpiegati per rispondere a una mutata situazione socioculturale. La tesi è bipartita: la prima parte, che è a sua volta suddivisa in due capitoli, funziona da cornice teorica e storica alle analisi testuali. Vi si discute del concetto di immagine; e da tale discussione viene derivata una precisa idea di spazio e di oggetto letterari. In seguito si procede a una ricostruzione della storia del fantastico ottocentesco (dalla quale non sono assenti riflessioni teoriche e in particolare genologiche), che da un lato è volta a storicizzare l’idea di “genere fantastico”; dall’altro ha come obiettivo l’identificazione di una tipologia di oggetti strutturalmente legata a quel genere narrativo. Due sono le classi di oggetti così individuate, e altrettanti i capitoli che compongono la seconda parte del lavoro. Entrambi i tipi di oggetto, che per semplicità si possono chiamare oggetti-feticcio e oggetti spettrali, stanno a metà strada tra immaginario e reale; ma mentre l’oggetto-feticcio ha qualcosa in più rispetto a un oggetto descritto realisticamente, l’oggetto spettrale ha un che di deficitario, e non giunge al risultato di una completa materializzazione. Tra gli autori affrontati compaiono Papini, Pirandello, Bontempelli, Savinio, Landolfi; né mancano riferimenti ad autori di altre nazioni da Kafka a Sartre, da James a Virginia Woolf, in ottemperanza all’idea di considerare il fantastico italiano all’interno di una più ampia geografia letteraria.
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La tesi è incentrata sull'analisi dell'organizzazione retorica della prosa di Giorgio Manganelli, indagando il sistema ritmico attraverso il quale l'autore è in grado di creare un fluire sintattico che sfugge alle classificazioni di genere. Per Manganelli, infatti, il linguaggio è solamente organizzazione di se stesso, e perciò la scrittura ruota attorno a un centro narrativo vuoto, dissimulando l'assenza di necessità. Egli è un retore puntuale dotato di una straordinaria abilità compositiva, che gli consente di mettere in scena l'ambiguità insita nella retorica. Per affrontare questa analisi è stato opportuno avvalersi della critique du rythme ideata da Henri Meschonnic, a partire dalle riflessioni di Emile Benveniste sul concetto eracliteo di ritmo, poiché essa fornisce una prospettiva duttile, dinamica e svincolata da pregiudizi critici. Meschonnic infatti considera il ritmo non come schema metrico ma in quanto organizzazione del senso nel discorso, volto alla signifiance del testo. In quest'ottica si è tentato di costruire un percorso attraverso le opere di Manganelli per descrivere il sistema retorico su cui si fonda la sua scrittura, a partire dai materiali del suo laboratorio (poesie, prose, appunti di diario, scambi epistolari) fino all'ideazione di discorsi pseudo-teologici che si presentano come allegoria stessa della scrittura. Si sono analizzati in particolare la trasposizione letteraria della tecnica musicale della variazione in Nuovo commento (1969), e il ritmo del periodo ipotetico in Rumori o voci (1987), testo emblematico della ricerca di Manganelli sulle potenzialità del linguaggio. Infine la prosa manganelliana è stata messa a confronto con quella di altri importanti autori italiani del Novecento (Pavese, Gadda, Camporesi, Celati), al fine di comparare tra loro diverse organizzazioni ritmiche del linguaggio, e ricollocando così Manganelli al centro del panorama letterario italiano con tutta la sua eversiva marginalità.
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Il seguente studio propone l'esame di una cronaca veneziana del XVI secolo, inedita, dalle origini al 1538/39, che parte della tradizione manoscritta attribuisce al Patriarca di Venezia Giovanni Tiepolo (1619-1631), parte ad Agostino degli Agostini, (1530-1574), un patrizio veneziano il cui nome è legato essenzialmente ad una cronaca dal 421 al 1570. Indipendentemente da chi sia il primitivo autore, la cronaca, di discreto pregio per la storia interna e il funzionamento delle istituzioni veneziane, presenta elementi di spiccata originalità dal punto di vista compositivo e formale che la pongono in una prospettiva storiografica alternativa al dualismo tra la storiografia ufficiale promossa per pubblico decreto e l'iniziativa privata dei diaria del XV-XVI. La cronaca veneziana, abbandonata per formule più sofisticate e innovative di diffusione dell'informazione pubblica, sopravvive, formalmente immutata nella sua arcaicità, rinnovandosi nella tendenza a creare compendi ricchi di documenti e di elenchi, destinati ad aiutare la nobiltà ad orientarsi nel mondo socio-politico contemporaneo. Si consuma così il divorzio fra l'informazione tecnico-politica utile al patriziato nello svolgimento del suo lavoro e la storiografia pubblica che, di fronte alle varie esigenze e ai diversi generi letterari, sceglie ideologicamente di abbracciare il genere delle laus civitatis e della storiografia laudativa ed encomiastica. In questo contesto si inserisce la Cronaca esemplata dal Patriarca Giovanni Tiepolo, chiaro esempio di un tentativo di razionalizzazione dell'informazione in cui le notizie e gli elementi non ritenuti immediatamente utili come le lunghe liste dei 41 elettori, le promissioni ducali, nonchè singoli episodi ed eventi trattati, trovano una collocazione esterna alla cronaca, in quello che Reines definisce l'ormai nascente archivio politico del XVI secolo.
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Ce travail est une analyse de la représentation du pathétique masculin dans le roman dit sentimental dans la deuxième moitié du dix-huitième siècle en Europe, ou plutôt dans les littératures anglaise, française, allemande et italienne. La thèse soutenue est celle de la dérivation du pathétique romanesque de l’âge des Lumières des pratiques de prédication religieuse du siècle précédent et donc de la valeur normative du roman sentimental à ses débuts : celui-ci aurait relayé le rôle des manuels de conduite des siècles précédents et se serait posé comme un répertoire d’exempla comportementaux adaptés aux différentes situations de la vie. Nous avons suivi les évolutions historiques du genre à travers l’analyse thématique du motif des larmes masculines. Pour ce faire, nous avons examiné la complexe proxémique de représentation de l’émotion et la diégèse qui en résulte, qui peut être nuancée, selon une terminologie récente, en pathétique attendrissant, sentimental et spectaculaire. Cela a entraîne la prise en compte de diverses formes artistiques, de la peinture au théâtre. La méthodologie utilisé conjugue l’histoire des idées et l’étude des formes de l’imaginaire, le pathétique appartenant au domaine de la philosophie autant qu’à celui de la représentation artistique : le concept glisse au dix-huitième siècle du champ rhétorique et stylistique à une dimension esthétique et anthropologique. Le travail a donc été divisé en trois grandes parties qui analysent les trois dimensions anthropologiques fondamentales : l’imaginaire religieux et l’héritage des anciens, c’est–à-dire le rapport que l’époque établit avec la tradition culturelle qui la précède ; l’imaginaire amoureux, qui se concentre sur les rapports entre les deux sexes et sur la « féminisation » du héros romanesque sentimental ; l’imaginaire familial, qui aborde les conséquences de ce changement dans la représentation de la masculinité au sein de la représentation de la famille et des rapports intergénérationnels.
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Cette thèse se propose d’analyser les images de la nuit et ses significations dans les romans du XVIII siècle, à partir des années 1730-1740, dans le cadre de trois littératures: la littérature anglaise, française et italienne. Deux conceptions opposées sont mises en comparaison: la première, d’exorcisation de la nuit, est typique de la première partie du siècle; elle est représentée principalement par le genre des romans libertins. La deuxième conception montre une valorisation de la nuit qu’on trouve en particulier dans les romans gothiques, qui se sont développés à partir de la seconde partie du siècle. Le but final de la présente recherche est de trouver une explication au refus de la nuit de la part de certains auteurs et ensuite de repérer les causes du bouleversement de cette vision. Puisque la nuit empêche le sens de la vue, elle a été considérée une forme de négation de l’espace physique; selon le profil psychologique et anthropologique la nuit constituerait alors la cause principale de la perte d’orientation. Selon une interprétation intellectuelle et philosophique, elle serait un symbole d’ignorance et d’irrationalité. La situation change vers la moitié du siècle des Lumières, car la nuit commence à assumer un rôle actif et nécessaire dans le processus d’apprentissage. Au niveau social, les rencontres les plus importantes adviennent pendant la nuit. Dans le revival des cathédrales gothiques et des châteaux médiévaux, on voit que la nuit s’empare désormais de l’espace, qui s’enrichit de lumières et d’ombres.
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Il saggio, genere di confine (Grenzgänger-Textsorte) per eccellenza, la cui indefinibilità è topos, si profila tuttora come terra incognita nell’àmbito delle scienze della traduzione. La presente ricerca mira a enucleare un modello traduttologico olistico per la traduzione del saggio. In feconda alternativa alla dicotomia approccio ermeneutico-letterario vs. approccio linguistico, la prospettiva teorico-metodologica del lavoro integra linee di ricerca filologico-letterarie e linguistico-testuali. Tale sguardo multiprospettico, l’unico in grado di dar conto della complessità del genere, permette di collocare operativamente il saggio e le sue varianti testuali principali (Textsortenvarianten), dal saggio specialistico (fachlicher Essay) al saggio poetico (poetischer Essay) sul continuum delle forme testuali comprese entro le dimensioni (scientifica, pragmatica, estetica) del Denkhandeln. Dalla produttiva intersezione tra la riflessione dell’Essayforschung classica e contemporanea e le più recenti indagini linguistico-testuali sulle forme del saggismo scientifico, si perviene alla formulazione di una definitio per proprietates del saggio. Segue lo sviluppo di un modello traduttologico olistico, che tesaurizza il proprio paradigma antropologico, la riflessione filosofico-ermeneutica e le acquisizioni della linguistica testuale, articolandosi attraverso le fasi ricorsive e interagenti di ricezione olistica, analisi poetico-ermeneutica e retorico-stilistica, progettazione linguistico-cognitiva, formulazione e revisione. L’approccio olistico così delinatosi viene quindi vagliato nella sua proficuità in sede applicativa. Funge da banco di prova un vero e proprio “caso limite” per complessità e qualità letteraria, ovvero il «poetischer Essay» del poeta, saggista e traduttore Durs Grünbein, una delle voci più acclamate nel panorama contemporaneo. La sezione pratica presenta infine l’inedita traduzione italiana dei saggi grünbeiniani Den Körper zerbrechen e Die Bars von Atlantis.