2 resultados para Costa del sol
em AMS Tesi di Dottorato - Alm@DL - Università di Bologna
Resumo:
Questo studio propone un’esplorazione dei nessi tra fenomeno migratorio, dinamiche transnazionali e quadri familiari, in un contesto specificato che è quello peruviano. Dal confronto critico con i paradigmi disciplinari in uso negli ambiti dell’antropologia delle migrazioni, degli studi sul transnazionalismo e sulle famiglie transnazionali, e dell’etnografia multi-situata, si è tentata una lettura teorica e metodologica che renda conto del contesto socio-familiare di partenza non come parte periferica di una completa visione del migrante, ma quale oggetto specifico della ricerca. L’obbiettivo è verificare, a livello locale, quale siano gli impatti della migrazione esterna di uno o più membri sulle strutture e sulle dinamiche, sui codici e sui ruoli del nucleo parentale originario. E individuare, sul piano transnazionale, quali reti, quali rituali o pratiche di connessione funzionino tra coloro che vanno e coloro che restano, quali discorsi e quali culture migratorie si sviluppino e si condividano. La ricerca si è svolta in Perù tra il 2009 ed il 2011. Il campo dell’indagine si è diviso tra due località nell’area della Costa del Perù. Lima, la capitale, e Chiclín, un villaggio rurale nella regione settentrionale de La Libertad. Attraverso le tecniche d’inchiesta della pratica etnografica, una permanenza prolungata sul terreno e l’osservazione partecipante, si è lavorato con i membri adulti di ambo i sessi di tre gruppi parentali distribuiti tra i due luoghi menzionati, selezionati in partenza sulla base dei contatti forniti da alcuni dei loro familiari emigrati in Italia tra il 1990 ed il 2000. Centrare l’analisi sulle figure per certi aspetti marginali dell’esperienza della migrazione normalmente considerata, è servito da un lato a rovesciare parzialmente la prospettiva transnazionale aggiustandola proprio rispetto a quegli attori sociali; dall’altro e ad un tempo, ha permesso di fare luce su dinamiche migratorie più generali, di ricostruirle e di ri-teorizzarle.
Resumo:
Depuis 70 ans, les outils de planification des zones dédiées aux activités productives (Zones industrielles, Zones d’activités économiques, etc.) ont produit des espaces déconnectés des spécificités physiques et sociales du territoire, et ont participé à réduire le sol à un support de production soumis en premier lieu à des logiques de marché. Aujourd’hui, nous constatons l’inadéquation de ces outils avec leur objectif : le développement du territoire. L’ambition de la thèse est de réfléchir à une démarche alternative qui permet d’envisager des outils de planification capables d’instaurer une relation de maintien et de valorisation des ressources territoriales. Face à un aménagement des activités productives inadéquat au développement durable du territoire, la thèse propose de retracer une généalogie de la démarche « territorialiste » qui vise à établir une relation synergique entre la production et les ressources territoriales. Une démarche « Eutopique » de retour au territoire qui, en prenant en compte le lien indissociable entre défis sociaux et environnementaux, permet d’un côté de rétablir une relation aux ressources naturelles et d’en respecter les cycles et les rythmes écologiques, et de l’autre d’identifier des éléments de réponse à la crise sociale. Suite à une introduction critique du rapport que les activités productives établissent avec le territoire, le raisonnement se développe en quatre parties : Les trois premières parties suivent une approche généalogique et montrent comment les concepts de cette démarche ont évolué et se sont transformées en s’adaptant à différents contextes, et répondant à la question de pourquoi et comment ces transferts théoriques ont vu le jour. Dans la quatrième partie de la thèse est retracée l’influence et le développement original que cette démarche trouve aujourd’hui en France : l’objectif est celui d’ouvrir sur des stratégies pour envisager un système productif capable de développer le territoire dans le temps long.