4 resultados para Réformes parlementaires
em Universidade Federal do Rio Grande do Norte(UFRN)
Resumo:
Les préoccupations gérées par les changements de l éducation nationale poussés par les réformes mises en places par le gouvernement de Fernando Henrique Cardoso, notamment la politique nationale de formation de professeurs, et le besoin de connaître comment ces réformes ont été incorporées par l Université Fédérale de Rio Grande do Norte - UFRN, constituent les questions centrales développées par cette thèse. Cette étude propose à montrer, à partir d une approche socio-historique, la façon comment la législation éducationnelle brésilienne sur la formation de professeurs pour l éducation basique expresse la politique de l État brésilien et, en même temps, comment le PROBÁSICA signifie une réponse de l UFRN à cette politique. En ce sens, cette recherche, selon sa perspective exploratoire, descriptive et analytique a privilégié plusieurs techniques et procédés de collectes des données conforme au modèle de la recherche participative, à savoir : enquête semi- structurée, observations directes, contacts formels et informels; enregistrement des opinions de professeurs, coordinateurs pédagogiques et étudiants; repérage, systématisation et analyses de plusieurs documents. L analyse des données, qui a été faite d une façon fondamentalement qualitative, a révélé que le PROBÁSICA a sa genèse à l intérieur de l UFRN et représente, en même temps, une réponse de cette université à la demande de la catégorie et la politique de formation de professeurs. Nous espérons que cette étude suscite d autres recherches qui développent des discussions sur les relations entre l État brésilien, ses politiques éducationnelles et les pratiques pédagogiques de formation de professeurs
Resumo:
Les initiatives du gouvernement ayant pour finalité une réorganisation de la structure urbaine de la ville au début du XXème siècle reflètent le désir vécu par les membres de l'élite locale d'encadrer Natal dans les moules des grands centres urbains de la même période. Les élites désiraient transformer Natal dans une ville moderne. Dans ce but, le gouvernement s'est engagé dans la reformulation de quelques espaces physiques de la ville. Néanmoins, il fallait aussi d autres que les transformations urbaines, la ville devrait passer par des réformes sociales. De cette façon, ces groupes ont créées des nouvelles institutions et espaces de sociabilité qui affirmeraient la capitale de l'État comme une ville moderne. Les institutions formelles avaient un rôle imortant dans la construction de cette nouvelle ville convoitée par l'élite locale. Ainsi, à travers celles-ci, se diffusaient des nouvelles pratiques sociales qui seraient reflétées dans les espaces urbains. Dans des places tels, des cafés, des clubs et associations sportives, l'élite se distinguait du populaire. Dans ces places, leurs pratiques étaient légitimées, en contrepoint avec les pratiques populaires. C était dans les clubs et par les activités pratiquées par leurs membres que les idéals de l'élite circulaient, c était par là que l'élite se formait et se transformait. De cette façon, les aspirations d'un groupe social reflétaient dans l'organisation sociale des espaces de la ville
Resumo:
Le présent texte vise à analiser la apropriation de l'espace par le pouvoir publique. Entre les années 1956 et 1964, la ville brésilien de Natal a été administré par le maire Djalma Maranhao, dirigeants politiques marquées par des idées nationalistes, comme la lutte contre l'impérialisme et l'émancipation du peuple a travers de ce que l'on appelle « culture populaire ». Le terme a acquis une connotation politique, en même temps dans ce qui était considéré comme la plus pure manifestation du peuple brésilien. La dynamique politique signifie aussi un nouveau regard sur la ville, enquant que le désir de progrès, de industrialisation et de réformes sociales propagée dans la politique nationale brésilienne, directement traduit par des changements dans son espace physique. Dans cette orientation nationaliste, la ville a entrepris des actions systématiques à l'encontre des nouveaux besoins urbains qui se posent en même temps que tourné certains places de la ville à espaces culturelles, appelée « places de la culture ». Ces espaces sont destinés à la promotion de la culture populaire en même temps il a été un domaine stratégique de la production et la réception des valeurs défendues par Djalma Maranhao. En ce sens, nous avons demandé répondre quelle a été la position du maire face à la besoins urbaines qu'ils se posaient et comme les places de la culture sont intégré à la vie quotidienne de la ville de Natal, donnant une nouvelle signification à la place publique. Pour la construction de ce travail, nous utilisons les sources orales et de revues, de journaux et de A República et Folha da Tarde, comme le principal ressources méthodologiques
Resumo:
Dans les premières décennies du XXème siècle, un groupe d intellectuels brésiliens a pris pour soi la mission de conduire la nation aux chemins du progrès, en réfléchissant sur les transformations des villes et, souvent, en proposant et en mettant en avant des actions et mesures qui dirigeraient la modernisation du pays. Dans ce contexte, la ville apparaissait comme un synonyme de progrès en opposition à la campagne, en donnant emphase à la construction du Brésil urbain. À Natal, celui-ci a été une période de sensible modification dans l espace urbain, en suivant les préceptes de l hygiénisme et de l esthétique racionaliste, qui ont orienté les réformes entreprises dans beaucoup de villes brésiliennes. Les élites politiques et socioéconomiques de la capitale du Rio Grande do Norte ont developpé le discours en faveur de la modernisation qui avait pour objectif de justifier les interventions dans la ville et l introduction de l infra-structure de services urbains, par exemple, les services d illumination et de transport, qui à partir de 1911, ont commencé à être stimulés par l électricité. Cette modernisation est matérialisée par de nouveaux équipements et services, par des espaces remodelés en accord avec la rationalité technique de l urbaniste, pour l utilisation de nouvelles sources d énergie (gaz, électricité), en plus de la croissance de la population résidente en ville. Cependant, nous ne pouvons pas oublier que la construction de la ville moderne est passée tant par des transformations physiques, matérielles, comme par l absorption de valeurs, symboles, gestes, vocabulaires, objets, adoptions de nouvelles normes de comportement et par la formation de nouvelles sensibilités sur l espace urbain et la vie en ville. De cette manière, les nouvelles normes technologiques, comme l électricité, ont rendu possible des transformations dans la structure matérielle de la ville et en vie urbaine dans ses plus divers aspects. Ce travail propose d analyser la relation entre énergie électrique et la vie urbaine à Natal entre 1911 et 1940, en prenant en compte, pour cela, les actions d intervention de l État sur l espace urbain et les perceptions d intellectuels face aux transformations urbaines dont ils étaient les témoins. À partir de cette analyse, nous cherchons à préciser les efforts gouvernementaux pour la manutention des services d électricité et conservation des équipements urbains; comprendre comment l utilisation d énergie électrique a aidé à produire de nouvelles situations quotidiennes et comment elle a été perçue, traduite en sentiments et perceptions fondées dans la cohabitation avec cette innovation technique. Les élites locales désiraient diffuser des habitudes considerées modernes, en construisant une identification avec la manière de vie urbaine, fortement inspirée dans la vie dans les villes Européennes et Américaines. L électricité a rendu possible des expériences et sensations qui allaient caractériser l habitant de la ville