3 resultados para Culture populaire

em Universidade Federal do Rio Grande do Norte(UFRN)


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Notre dissertation propose un questionnement ayant pour thème l identité créole dans l oeuvre Texaco (1992), du martiniquais Patrick Chamoiseau. Texaco opère une rétrospective de l histoire martiniquaise en y apportant un nouveau point de vue, influencé par la culture populaire martiniquaise, inversant ainsi les représentations traditionnelles forgées à partir des modèles métropolitains. La théorie principale utilisée dans cette dissertation est celle d Edouard Glissant, lorsqu il utilisa la notion de rhizome pour l adapter à la réalité de la culture créole. D après cette perspective, une racine unique, qui représenterait symboliquement une culture unique, tuerait les autres racines se trouvant à son alentour, alors que le rhizome, c est-à-dire la racine multiple, irait à la rencontre des autres racines et se mélangerait avec elles, pour former un ensemble qui s étend à l infini. La théorie présente dans le livre de Patrick Chamoiseau Écrire en pays dominé (1997), s est révélé être d une importance fondamentale dans notre dissertation, en ce qui concerne le questionnement sur l usage de la langue de la métropole dans une ancienne colonie. Cette réflexion va permettre de commencer une discussion à propos de l influence de la culture métropolitaine sur la culture de l ancienne colonie, qui dans ce cas, se voit opprimée. Pour commencer, nous verrons dans la première partie les mécanismes d oppression utilisés en ce qui concerne la négation de l identité créole, s aidant de systèmes de domination linguistiques et culturelles. Dans la seconde partie, nous étudierons l émergence d une identité créole dans Texaco, grâce à une tentative de réecriture d une des possibles histoires de la Martinique

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Dans ce texte, nous prenons avec probleme le départment bresilien de Piauí comme espacialité de la Région « Nordeste », suivant les instants de son insertion politique et discursif dans l'identité régionale, qui s'est donnée entre la fin des années 1950 et débuts des années 1970. Pour ceci, nous proposons une analyse de discours identitaires de Piauí comme la littérature et le folklore produits alors, cherchant à rapporter telles discours avec les pratiques et intérêts politiques qui ont concouru pour la « nordestinization » de Piauí. Parmi ces discours et dans dialogue avec eux, nous prenons centralement l'oeuvre du juge et ecrivain João Nonon de Moura Fontes Ibiapina, emisseur de signes qui apparaît en ce moment. Notre objectif est discuter les images élaborées sur Piauí et son inclusion dans les stéréotypes cristallisés de Nordeste, comme la pauvreté et la nécessité, la vie dans le champs et la prédominance d'une « culture populaire » régionale. Dans une période d'importantes mutations dans la société brésilienne, dans la production culturelle, dans heurtes régionalistes Nordeste et dans les formes de penser et pratiquer les espaces, les intellectuels de Piauí que nous étudions ont essayé de recouvrir de mots et de sens la noirceur et l'incommode silence concernant le Piauí dans la Nation bresilienne, quand le déparment s'intégrait, au moyen de la Région, au Brésil urbain et industrialisé

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Le présent texte vise à analiser la apropriation de l'espace par le pouvoir publique. Entre les années 1956 et 1964, la ville brésilien de Natal a été administré par le maire Djalma Maranhao, dirigeants politiques marquées par des idées nationalistes, comme la lutte contre l'impérialisme et l'émancipation du peuple a travers de ce que l'on appelle « culture populaire ». Le terme a acquis une connotation politique, en même temps dans ce qui était considéré comme la plus pure manifestation du peuple brésilien. La dynamique politique signifie aussi un nouveau regard sur la ville, enquant que le désir de progrès, de industrialisation et de réformes sociales propagée dans la politique nationale brésilienne, directement traduit par des changements dans son espace physique. Dans cette orientation nationaliste, la ville a entrepris des actions systématiques à l'encontre des nouveaux besoins urbains qui se posent en même temps que tourné certains places de la ville à espaces culturelles, appelée « places de la culture ». Ces espaces sont destinés à la promotion de la culture populaire en même temps il a été un domaine stratégique de la production et la réception des valeurs défendues par Djalma Maranhao. En ce sens, nous avons demandé répondre quelle a été la position du maire face à la besoins urbaines qu'ils se posaient et comme les places de la culture sont intégré à la vie quotidienne de la ville de Natal, donnant une nouvelle signification à la place publique. Pour la construction de ce travail, nous utilisons les sources orales et de revues, de journaux et de A República et Folha da Tarde, comme le principal ressources méthodologiques