7 resultados para Anthropologie urbaine
em Universidade Federal do Rio Grande do Norte(UFRN)
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Ce travail est une contribution aux études anthropologiques conduites sur Ia beauté et le corps dans des segments moyens urbains. Il cherche à analyser le processus de construction du corps et sa relation avec le individualisme et Ia beauté et la réalisation de chirurgies plasticiennes esthétiques, à partir d'une approche de la construction sociale. En ce sens, la ligne directrice de cette discussion sont le concept de corps comme une construction sociale et culturelle spécifique de chaque société et les différentes utilisations et les représentations que les divers segments font de celui-ci. A cette fin, une recherche de caractere ethnographique a été réalisé aupres des femmes âgés de vingt à quarante et cinq ans, résidents des quartiers Tirol et Petrópolis de Ia ville de Natal-RN (Brésil), dans Ia période d'avril à novembre 2006. Le travail de terrain a mêlé observation directe et entretiens avec des femmes et des médecins chirurgiens plasticiens
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Le Poète Fernando Pessoa (1888-1935), l un des artistes les plus controversés du XXème siècle, se déclarait comme un chrétien gnostique. Malgré cela, il ne s est aligné sur aucune institution et/ou doctrine établie. Mais, il a eu dans la dimension religieuse sa thématique préférée. La proposition de ce travail est de comprendre la religiosité chez Pessoa par le moyen de la lecture d images suscitées à partir de la lecture de son oeuvre, et ainsi, mettre en évidence dans sa vaste production, des significations poétiques qui peuvent être associées à des signes de religiosité, soit dans son contenu manifeste, soit dans le contenu latent de son oeuvre. Ceci, en comprenant que Pessoa, dans tous ses personnages créés par l intermédiaire de l hétéronymie, a fait usage dans son écriture du langage symbolique des univers religieux les plus distincts pour composer sa propre forme de religiosité. Il apparaît que celle-ci est pluriforme et a peut-être com objectif de contrarier les limites sociales établies pour l exercice de la foi
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Cette étude présente l anthropophagie comme une notion théorique et experiementale du corps qui réhabilite le sensible et réveille le monde perçu. L argumentation fait ressortir la dimension sensible du corps et de la connaissance, en considerant sa sensibilité et motricité, corps qui ne se sépare pas de la nature et de l histoire, en actuant dans le monde comme présence vive, originaire, en mouvement ; en supposant un sujet qui, au même temps que construit ses propres senses, il dépend de l expérience de l autre et du monde, en créant et en recréant la culture, et il agrandit le processus de connaître, de sentir, de penser, d agir, d être, de se transformer. Cette attitude annonce une connaissance sensible et un corps qui est suscetible de sensations, mais d expréssions aussi, de communication, de création, aspects indispensables pour se pensar l éducation comme un space sensible, d apprantissage et réssignification de la culture ; que dévient possible la communion avec le corps, le temps, le space ; qu enseigne à réapprendre à voir le monde, que considère la réversibilité des senses et l esthésie comme champs de l expérience sensible et de l imputation des senses ; qu évoque la beauté des multiples léctures du vécu et qu agrandit la compréhension du soi et de l autre. L objectif de ce travail est comprendre l anthropophagie comme une attitude du corps et de la connaisance sensible, qu approfondit la rélation de l être au monde, la rélation avec l autre et permet la création de senses culturelles, ésthetiques et éxistentielles our l éducation. Nos présentons l attitude phénomologique de Maurice Merleau-Ponty comme référence théorique et méthodologique de notre recherche. Il s agit d une attitude de la pensée qui place la conaissance au centre de nos expériences vécues au monde ; une attitude qui ne propose pas un sens définitif des choses et des personnes et qui contribue pour la compréhension de l anthropophagie, du corps, du sensible, du monde et de l autre, en indiquant des développements de ces réflexions pour l éducation. En créant des horizonts de sense et strastégies de pérception sur l anthopophagie, nos considérons comme choix notre expérience vécu, comme les voyages; atelier d extension avec des élèves du cours de Technologie en Production Culturelle de l Institut Fédéral d Éducation, Science et Technologie du Rio Grande do Norte-IFRN, Campus Cidade Alta ; l anthropophagie comme élement de l Art Moderne Brésilien ; les créations et les récits des élèves ; images ; filmes et livres recherchés ; dialogues avec les penseurs Lévi-Strauss, Montaigne et Oswald de Andrade, qui constituent nos principales références conceptuelles et qui ont permis traversé des savoirs et promouvoir un dialogue entre divers champs de connaissance, comme l Anthropologie, la Philosophie, l Art et l Éducation. Ces stratégies constituent le resultat partiel et inachevé d un processus de connaisance de soi et de l autre, que permet de revivre des mémoires, faire ressortir des couleurs, des senses, des goûts, des découvertes sensibles et encourageantes sur la connaissance, sur l art, des découvertes sur soi même, sur l autre, sur le monde, sur la vie, indiquant que l éducation peut être un processus fort sensible, dans lequel le corps est une présence indispensable, aussi comme le toucher, le créer, les delires, les affections, les encontres et l invention
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Les initiatives du gouvernement ayant pour finalité une réorganisation de la structure urbaine de la ville au début du XXème siècle reflètent le désir vécu par les membres de l'élite locale d'encadrer Natal dans les moules des grands centres urbains de la même période. Les élites désiraient transformer Natal dans une ville moderne. Dans ce but, le gouvernement s'est engagé dans la reformulation de quelques espaces physiques de la ville. Néanmoins, il fallait aussi d autres que les transformations urbaines, la ville devrait passer par des réformes sociales. De cette façon, ces groupes ont créées des nouvelles institutions et espaces de sociabilité qui affirmeraient la capitale de l'État comme une ville moderne. Les institutions formelles avaient un rôle imortant dans la construction de cette nouvelle ville convoitée par l'élite locale. Ainsi, à travers celles-ci, se diffusaient des nouvelles pratiques sociales qui seraient reflétées dans les espaces urbains. Dans des places tels, des cafés, des clubs et associations sportives, l'élite se distinguait du populaire. Dans ces places, leurs pratiques étaient légitimées, en contrepoint avec les pratiques populaires. C était dans les clubs et par les activités pratiquées par leurs membres que les idéals de l'élite circulaient, c était par là que l'élite se formait et se transformait. De cette façon, les aspirations d'un groupe social reflétaient dans l'organisation sociale des espaces de la ville
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Dans les premières décennies du XXème siècle, un groupe d intellectuels brésiliens a pris pour soi la mission de conduire la nation aux chemins du progrès, en réfléchissant sur les transformations des villes et, souvent, en proposant et en mettant en avant des actions et mesures qui dirigeraient la modernisation du pays. Dans ce contexte, la ville apparaissait comme un synonyme de progrès en opposition à la campagne, en donnant emphase à la construction du Brésil urbain. À Natal, celui-ci a été une période de sensible modification dans l espace urbain, en suivant les préceptes de l hygiénisme et de l esthétique racionaliste, qui ont orienté les réformes entreprises dans beaucoup de villes brésiliennes. Les élites politiques et socioéconomiques de la capitale du Rio Grande do Norte ont developpé le discours en faveur de la modernisation qui avait pour objectif de justifier les interventions dans la ville et l introduction de l infra-structure de services urbains, par exemple, les services d illumination et de transport, qui à partir de 1911, ont commencé à être stimulés par l électricité. Cette modernisation est matérialisée par de nouveaux équipements et services, par des espaces remodelés en accord avec la rationalité technique de l urbaniste, pour l utilisation de nouvelles sources d énergie (gaz, électricité), en plus de la croissance de la population résidente en ville. Cependant, nous ne pouvons pas oublier que la construction de la ville moderne est passée tant par des transformations physiques, matérielles, comme par l absorption de valeurs, symboles, gestes, vocabulaires, objets, adoptions de nouvelles normes de comportement et par la formation de nouvelles sensibilités sur l espace urbain et la vie en ville. De cette manière, les nouvelles normes technologiques, comme l électricité, ont rendu possible des transformations dans la structure matérielle de la ville et en vie urbaine dans ses plus divers aspects. Ce travail propose d analyser la relation entre énergie électrique et la vie urbaine à Natal entre 1911 et 1940, en prenant en compte, pour cela, les actions d intervention de l État sur l espace urbain et les perceptions d intellectuels face aux transformations urbaines dont ils étaient les témoins. À partir de cette analyse, nous cherchons à préciser les efforts gouvernementaux pour la manutention des services d électricité et conservation des équipements urbains; comprendre comment l utilisation d énergie électrique a aidé à produire de nouvelles situations quotidiennes et comment elle a été perçue, traduite en sentiments et perceptions fondées dans la cohabitation avec cette innovation technique. Les élites locales désiraient diffuser des habitudes considerées modernes, en construisant une identification avec la manière de vie urbaine, fortement inspirée dans la vie dans les villes Européennes et Américaines. L électricité a rendu possible des expériences et sensations qui allaient caractériser l habitant de la ville
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Cette dissertation a pour but d´analyser la ville de São Luís do Maranhão pendant la Première Republique, d´après le roman Vencidos e Degenerados, de José do Nascimento Moraes, publié en 1915. À partir des rapports entre l´Histoire et la Littérature, nous nous intéressons à la façon dont l´auteur écrit l´histoire d´une ville qui, après la fin de l´esclavage et l´installation de la Republique, conserve des anciens préjugés de race et reste plongée dans l´immobilité economique. Le roman fait partie d´un ensemble d´oeuvres scientifiques et littéraires d´une géneration connue sous le nom de Novos Atenienses (nouveaux athéniens), laquelle discutait la crise économique et culturelle vécue par le Maranhão au tournant des XIXe et XXe siècles. Le discours formulé par les nouveaux-athéniens comprennait des eléments nostalgiques associés au culte des lettres envisageant la conquête de la réconaissance littéraire et le désir d´adapter la ville de São Luis aux modèles de progrès et modernisation de la période républicaine. Dans ce contexte, Moraes introduit les thèmes liés à la discrimination raciale qui demerait après la fin de l´esclavage, qu´il considérait un obstacle au progrès de la capitale de Maranhão, et aussi la cause des pérsecutions littéraires dont il était victime. On a analisé le roman en cherchant compreendre les rapports entre les individus et les rapports qui´ils entretienent avec les spaces de la ville, à partir de questions d´ordre littéraire, raciale et urbaine. En guise de conclusion, la narration de l´oeuvre est dévellopée de façon que la ville, peuplée de gens de couleurs, sert à legitimée l´oeuvre littéraire de Moraes, dont le nom a été oublié dans les principaux cercles littéraires de la capitale pendant la période examinée
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thèse de maîtrise, qui a été idealizée et exécutée à partir de la réunion et les relations dialogiques établies entre la géographie et l'histoire, et l'espace et le temps, a considéré l'environnement urbain comme le thème général et, comme la référence empirique, l'espace urbain de Caicó, incrusté dans les terres semi-arides du Sertão do Seridó Potiguar, plus précisément à la mi-sud de l'État du Rio Grande do Norte. Dans cet espace, à travers de recherche des fragments de mémoires acquis de diverses sources historiques, on a tenté de faire des investigations sur les transformations urbaines qui ont eu lieu dans la ville au cours des années 50 et 60 du XXe siècle. Ces transformations, dans l espace urbain de Caicó à un moment du pic de l'activité de développement de coton, reflétaient et conditionnaient les propres projets de modernization urbaine qui représentants des élites locales eurent conçu avec l'objectif de la construction d une ville idéal dans les regions isolées du Seridó: moderne, civilisé, progressive et capitale régionale du Seridó. Pour cette construction, les nouveaux équipements et services urbains ont passé du plan imaginaire à l espace réel, installés dans plusieurs quartiers de la ville en transformant le paysage urbain. Face à cette situation, cinémas, magasins, station de radio, énergie électrique, institutions de l'éducation, téléphonie, maison de soins infirmiers, usine de bénéficiement de coton, banques, politiques urbaines, hygiéniques et sanitaires, modes de comportement, sociabilités urbaines distincttes, parmi d'autres éléments géographiques se sont institués à travers la réalisation de certains idéaux de progrès social et dans un esprit de modernité urbaine, dans de nouveaux espaces et pratiques inventés, tramés et éprouvés sur les rochers et entre le cours d eau au milieu d'un quotidien urbain marqué par ruptures et permanence de certaines coutumes et habitudes antiques et de certains paysages et environnement ridé